Descriptif 2013 / 2014 Séquence L1 La danse de Salomé « Les réécritures, du XVIIe siècle jusqu’à nos jours » Problématique Comment une figure biblique nourrit-elle l’inspiration des artistes ? Perspectives Histoire littéraire Intérêt des réécritures Lectures analytiques LA n° 1 : Un extrait d’Hérodias, chapitre 3,Trois contes Flaubert (1877). LA n° 2 : « Hérodiade », Les Princesses, Théodore de Banville. LA n° 3 : « Salomé », Alcools, Apollinaire (1913). Séance 1 Séance introductive Origine biblique du mythe LC : évangile selon St Marc VI, verset 14 à 29 évangile selon St Mathieu XIV, verset 1 à 11 Séance 2 L’héritage du mythe dans la peinture : observation du corpus iconographique : La danse de Salomé de Filippo LIPPI (XVe) Salomé recevant la tête de saint Jean-Baptiste de Bernardino LUINI (XVIe) Salomé avec la tête de st Jn Baptiste du Caravage (National Galery Londres) Hérodiade de DELAROCHE (XIXe) Salomé dansant devant Hérode de G. MOREAU (XIXe) Travail personnel à faire Etude d’un tableau au choix parmi les 5 indiqués ci-dessus 1. rédiger une introduction présentant le tableau Identification de la pièce => le Contexte Auteur, brève biographie + Titre de l’œuvre, Date de création, courant… Caractéristiques du tableau Format - Nature du support et technique, Genre du tableau Sujet Thème principal, origine du thème + justification du choix de ce tableau. 2. analyse du tableau (sans rédiger) I - Description précise de ce que représente le tableau (décor, personnages, organisation dans l’espace, couleurs, etc.) II - Repérer les procédés mis en œuvre par le peintre, les nommer et analyser les effets recherchés et produits sur le spectateur. 1. Les plans (nombre, manière dont ils s’étagent) 2. Le point de fuite et la perspective : sur quoi orientent-ils le regard ? 3. La forme et la situation de la composition principale 5. La lumière : d’où vient-elle ? que met-elle en évidence ? 3. rédiger la conclusion : Synthèse de l’étude : synthèse des impressions créées par le tableau, des effets produits. Ouverture : établir un rapprochement avec l’un des textes de la séquence. Séance 3 LA n° 1 : Un extrait d’Hérodias, chapitre 3, Trois contes Flaubert (1877). Séance 4 LA n° 2 : « Hérodiade », Les Princesses, Théodore de Banville. (1874) Séance 5 LA n° 3 : « Salomé », Alcools, Apollinaire (1913). Séance 6 Lecture complémentaire : Apollinaire L’Hérésiarque et cie « La danseuse » (1910) Littérature - premières L Séquence L2 Cendrillon « Les réécritures, du XVIIe siècle jusqu’à nos jours » Problématique Perspectives Lectures analytiques Séance 1 Séance 2 Séance 3 Pourquoi réécrire un conte populaire ? Formes des réécritures Intérêt des réécritures LA n° 1 : Perrault Cendrillon (1697), incipit : du début jusqu’à « elle se mit à pleurer » LA n° 2 : Yak Rivais - Cendrillon, (1988) texte intégral Introduction A/ Qu’est-ce qu’un conte populaire ? - distinction conte / histoire / récit - pourquoi existe-t-il des variantes populaires ? B/ Les fonctions du conte - Corpus : Document 1 : Bruno BETTELHEIM, Psychanalyse des contes de fées (1976), Pluriel Edition Livre de Poche, Introduction - Pages 30-31-32 Document 2 : Marc SORIANO, Les Contes de Perrault (1968), T.E.L., Gallimard, Pages 474-475 Document 3 : Les Contes de Grimm, Edition Folio, Préface de Marthe Robert (1976) Pages 10-11-12-13 Document 4 : Les Contes de Grimm, Edition Folio, Préface de Marthe Robert (1976), Pages 17-18-19 Le conte «Cendrillon » - la symbolique du titre, référence aux cendres - le schéma narratif, les personnages - les « objets magiques », la pantoufle Lecture personnelle facultative : l’interprétation du conte « Cendrillon » par Bruno Bettelheim Les particularités de l’écriture d’un conte LA n° 1 Perrault Cendrillon (1697), incipit : jusqu’à « elle se mit à pleurer » Séance 4 Comparaison du conte de Perrault avec celui des frères Grimm - deux projets différents - le merveilleux chez Perrault, chez Grimm - la(les) morale(s) Séance 5 Intérêt des réécritures Corpus : - R DAHL, Cendrillon - Yak Rivais, Cendrillon - Anouilh, Le carrosse inutile Autres pistes : des publicités ; le dessin animé de Walt Disney, Cendrillon du groupe Téléphone, etc. 1. Définir les formes de réécriture 2. Identifier l’intérêt de recourir à une réécriture pour ces trois auteurs, dans une publicité, etc. Les réécritures modernes LA n° 2 : Yak Rivais - Cendrillon, (1988) texte intégral Séance 6 Séance 7 Dissertation Pensez-vous que toute création littéraire soit, dans une certaine manière, une réécriture ? Vous répondrez à cette question en vous appuyant sur le corpus de la séquence et sur vos lectures.