F. Modélisation et cartes de bruit

publicité
9$/25(0±3DUFpROLHQ'H%DkORQ±(WXGHG¶LPSDFWDFRXVWLTXH
9$/25(0±3DUFpROLHQ'H%DkORQ±(WXGHG¶LPSDFWDFRXVWLTXH
Carte de bruit particulier des éoliennes à 4 m/s – H = 10m
Périodes DIURNE et NOCTURNE
F. Modélisation et cartes de bruit
> Toutes les éoliennes à 96.2 dB(A)
Carte de bruit particulier des éoliennes à 3 m/s – H = 10m
Périodes DIURNE et NOCTURNE
> Toutes les éoliennes à 94 dB(A)
-/%L&RQVHLOV±Qƒ$±PDL
3DJHVXU
-/%L&RQVHLOV±Qƒ$±PDL
3DJHVXU
9$/25(0±3DUFpROLHQ'H%DkORQ±(WXGHG¶LPSDFWDFRXVWLTXH
9$/25(0±3DUFpROLHQ'H%DkORQ±(WXGHG¶LPSDFWDFRXVWLTXH
Carte de bruit particulier des éoliennes à 5 m/s – H = 10m
Périodes DIURNE et NOCTURNE
Carte de bruit particulier des éoliennes à 6 m/s – H = 10m
Périodes DIURNE
> Toutes les éoliennes à 102.5 dB(A)
-/%L&RQVHLOV±Qƒ$±PDL
> Toutes les éoliennes à 104.4 dB(A)
3DJHVXU
-/%L&RQVHLOV±Qƒ$±PDL
3DJHVXU
9$/25(0±3DUFpROLHQ'H%DkORQ±(WXGHG¶LPSDFWDFRXVWLTXH
9$/25(0±3DUFpROLHQ'H%DkORQ±(WXGHG¶LPSDFWDFRXVWLTXH
Carte de bruit particulier des éoliennes à 6 m/s – H = 10m
Périodes NOCTURNE
Carte de bruit particulier des éoliennes à 7 m/s – H = 10m
Périodes DIURNE et NOCTURNE
> E1, E4, E5 et E7 à 102 dB(A), les autres éoliennes à 104.4 dB(A)
-/%L&RQVHLOV±Qƒ$±PDL
> Toutes les éoliennes à 105 dB(A)
3DJHVXU
-/%L&RQVHLOV±Qƒ$±PDL
3DJHVXU
9$/25(0±3DUFpROLHQ'H%DkORQ±(WXGHG¶LPSDFWDFRXVWLTXH
9$/25(0±3DUFpROLHQ'H%DkORQ±(WXGHG¶LPSDFWDFRXVWLTXH
Carte de bruit particulier des éoliennes à 8 et 9 m/s – H = 10m
Périodes NOCTURNE
G. Lexique
> E5 et E7 à 102 dB(A), les autres éoliennes à 105 dB(A)
Lp ……………………………
Niveau de pression acoustique donné à une distance de la source et
perçu en ce point, il s'exprime en dB(A).
Lw …………………………...
Niveau de puissance acoustique caractérisant l'appareil et servant de
base de calcul pour déterminer une pression à une distance donnée, il
s'exprime en dB(A) et dépend de la distance : c'est une valeur
intrinsèque à la source.
LAeq ………………………..
Niveau acoustique continu équivalent.
Niveau sonore Résiduel…
Niveau sonore sans l’activité projetée.
Niveau sonore Ambiant….
Niveau sonore global incluant la source sonore étudiée et le niveau
résiduel régnant sur site.
Emergence ………………...
Différence entre le Niveau sonore Ambiant et le niveau sonore
Résiduel.
Indices Fractiles LX ……...
Niveau de pression acoustique pondéré A dépassé pendant x % de
l'intervalle de temps considéré les L90 et L50 (niveaux sonores
dépassés pendant 90 et 50 % du temps) sont les plus utilisés pour
caractériser une ambiance sonore.
Perception de l'oreille …...
20 Hz à 20 kHz.
Echelle de Bruit (brochure CIDB « Le Bruit Aujourd’hui »)
-/%L&RQVHLOV±Qƒ$±PDL
3DJHVXU
-/%L&RQVHLOV±Qƒ$±PDL
3DJHVXU
9$/25(0±3DUFpROLHQ'H%DkORQ±(WXGHG¶LPSDFWDFRXVWLTXH
9$/25(0±3DUFpROLHQ'H%DkORQ±(WXGHG¶LPSDFWDFRXVWLTXH
H. Volet Santé
ÉOLIENNES ET IMPACT SONORE
1 – Caractérisation du bruit
Deux éléments permettent de caractériser une émission sonore :
Sources d’information :
• La fréquence : Elle s’exprime en Hertz (Hz) et correspond au caractère aigu ou grave d’un son. Une
émission sonore est composée de nombreuses fréquences qui constituent son spectre. Le spectre
audible s’étend environ de 20 Hz à 20 000 Hz et se décompose comme suit :
• ADEME - Centre de Sophia-Antipolis - 500, route des Lucioles - 06560 Valbonne
tél : 04 93 95 79 00 - web : www.ademe.fr
• CLER - 2 B, rue Jules Ferry - 93100 Montreuil
tél : 01 55 86 80 00 - mail : [email protected] - web : www.cler.org
−
−
−
−
Références :
• Wind energy : the facts - EWEA - European Communitties, 1999
• The clinical stages of vibroacoustic disease - Castelo BRANCO, Occupational Medecine Research Center,
Lisbon, Portugal in “Aviation, space and environnemental medecine” (USA), Mars 1999
• Académie nationale de médecine : Le retentissement du fonctionnement des éoliennes sur la santé de
L’homme: Rapport et recommandations d'un Groupe de Travail, 14 mars 06
< 20 Hz : infrasons
de 20 à 400 Hz : graves
de 400 à 1 600 Hz : médiums
de 1 600 à 20 000 Hz : aigus
• L’intensité : Elle s’exprime en décibels (dB) ou en décibels pondérés “A” notés dB(A). L’oreille procède
naturellement à une pondération qui varie en fonction des fréquences. Cette pondération est d’autant
plus importante que les fréquences sont basses. Par contre, les hautes fréquences sont perçues telles
qu’elles sont émises : c’est pourquoi nous y sommes plus sensibles. Le dB(A) correspond donc au
niveau que nous percevons (spectre corrigé de la pondération de l’oreille), alors que le dB correspond à
ce qui est physiquement émis.
− La mesure de pression sonore exprimée en dB ou en dB(A) à l’aide d’un sonomètre permet de
quantifier le niveau sonore perçu à une distance donnée.
− La puissance acoustique d’une source exprimée en watts est la capacité d’une source à émettre un
son plus ou moins fort. C’est une grandeur qui se calcule à partir de mesures de pression sonore.
2 – Propagation
Le niveau de pression sonore diminue avec la distance. Plus on s’éloigne de la source et plus le bruit perçu
diminue. Ceci s’applique aux éoliennes comme pour n’importe quelle source sonore.
3 – Origine du bruit généré par une éolienne
Le bruit a pu constituer un problème avec les éoliennes de première generation. Elles faisaient appel à des
technologies aujourd’hui obsolètes. Le bruit généré par une éolienne a deux origines : le bruit mécanique et le
bruit aérodynamique.
o Le bruit mécanique :
Il est créé par les différents organes en mouvement (engrenages à l’intérieur du multiplicateur).
Ces dix dernières années, les émissions sonores des éoliennes ont été réduites grâce à un certain nombre
d’innovations technologiques :
− Les multiplicateurs actuels sont spécialement conçus pour les éoliennes contrairement à leurs
aînés qui utilisaient des systèmes industriels standards. Par ailleurs, des éoliennes sans
multiplicateur de vitesse sont aujourd’hui disponibles sur le marché ce qui réduit encore le bruit
émis.
− L’analyse de la dynamique des structures permet de bien maîtriser les phénomènes vibratoires qui
contribuent à amplifier le son émis par différents composants : les pales, qui se comportaient
comme des membranes, pouvaient retransmettre les vibrations sonores en provenance de la
nacelle et de la tour. L’utilisation de modèles numériques permet de maîtriser ce phénomène. C’est
la manière la plus efficace de réduire le niveau sonore de la machine.
− Le capitonnage de la nacelle permet de réduire les bruits centrés dans les moyennes et hautes
fréquences.
-/%L&RQVHLOV±Qƒ$±PDL
3DJHVXU
-/%L&RQVHLOV±Qƒ$±PDL
3DJHVXU
9$/25(0±3DUFpROLHQ'H%DkORQ±(WXGHG¶LPSDFWDFRXVWLTXH
9$/25(0±3DUFpROLHQ'H%DkORQ±(WXGHG¶LPSDFWDFRXVWLTXH
o Le bruit aérodynamique :
Le freinage du vent et son écoulement autour des pales engendrent un son caractéristique, comme un
souffle. Ce type de bruit est assimilé au bruit généré par l’activité de la nature : mélange irrégulier de hautes
fréquences générées par le passage du vent dans les arbres, les buissons ou encore sur les étendues
d’eau.
La plus grande partie du bruit a pour origine l’extrémité de la pale et dans une moindre mesure son bord de
fuite. L’utilisation de profils et de géométries de pales spécifiques à l’éolien a permis de réduire cette source
sonore. Les recherches se poursuivent, principalement pour des raisons de performance. Le passage des
pales devant la tour crée un bruit qui se situe dans les basses fréquences. Dans le cas des éoliennes, elles
n’ont aucune influence sur la santé humaine.
o Bruits de fond et effet de masque :
La nocivité des basses fréquences a pour origine les effets vibratoires qu’elles induisent au niveau de certains
organes creux de notre corps. On parle alors de maladies vibro-acoustiques (MVA). Elles sont causées par une
exposition prolongée (supérieure ou égale à 10 ans) à un environnement sonore caractérisé à la fois par une
forte intensité (supérieure ou égale à 90 dB) et par l’émission de basses fréquences (d’une fréquence inférieure
ou égale à 500 Hz).
Des cas de MVA ont été décrits chez des techniciens aéronautiques travaillant dans ce type d’environnement
sonore. Les études scientifiques sur l’effet des basses fréquences sur l’homme excluent en revanche tout
risque sanitaire dans le cas de sources sonores à faible pression acoustique. Pour engendrer des effets nocifs
à longue distance, les énergies mises en jeu en basses fréquences devraient être considérables ce qui est loin
d’être le cas des éoliennes. La pression acoustique susceptible de provoquer des troubles correspond à celle
enregistrée à l’intérieur d’une nacelle en fonctionnement. Si les basses fréquences peuvent se propager assez
loin, l’intensité sonore diminue rapidement (voir fiche éoliennes & impact sonore).
De manière générale, le silence n’existe pas dans l’environnement : les oiseaux, le bruit du vent dans les
arbres, les activités humaines génèrent des sons. Un espace est rarement absolument calme, peut-être
parfois à la campagne, la nuit, en l’absence de vent. Dans ce cas, les éoliennes restent elles aussi
silencieuses.
Le vent, en fonction de sa vitesse, participe à l’effet de masque.
Le niveau sonore d’une éolienne se stabilise lorsque le vent atteint une certaine vitesse. Au-delà de cette
vitesse, le niveau sonore du vent continue à augmenter alors que celui de l'éolienne reste stable. Le bruit
du vent vient alors couvrir celui de l’éolienne.
4 – Cumul des éoliennes : Que se passe t-il quand il y a plusieurs éoliennes ?
L’augmentation du niveau sonore n’est en aucun cas proportionnelle mais logarithmique. Cela signifie que la
présence de deux sources sonores identiques n’entraîne pas un doublement de la perception de l’intensité
sonore. Ainsi, une personne placée à égale distance de deux sources sonores identiques percevra une
augmentation du niveau auditif de 3 dB(A). Quatre sources identiques augmenteront le niveau de 6 dB(A).
L’EVALUATION ET LA PRÉVENTION DU RISQUE DE NUISANCE SONORE
Il est possible de prévoir la propagation du son autour d’une éolienne ou de plusieurs éoliennes et de limiter
ainsi tout risque de nuisances sonores. L’anticipation de l'impact sonore est réalisée en comparant le bruit de la
source calculé à proximité des habitations riveraines (niveau sonore différent selon la distance) et le niveau
sonore ambiant enregistré au même endroit grâce à un sonomètre, appareil de mesures acoustiques très
sensible.
L’émergence, valeur qui caractérise la nuisance sonore, correspond à l'éventuelle augmentation, imputable
aux éoliennes, du niveau sonore ambiant.
D’un point de vue réglementaire, rappelons que l’émergence maximale tolérée est de 3 dB(A) la nuit et de
5 dB(A) le jour à l’extérieur d’une maison d’habitation.
Des logiciels tels que Mithra et CadnaA – utilisés par JLBi Conseils – permettent de tracer les courbes
isophoniques (d’égal niveau sonore) autour des éoliennes. Ces courbes matérialisent la propagation du son. Le
modèle de calcul tient également compte de la topographie, de l’occupation du sol, de l’absorption acoustique
du sol, de l’atténuation atmosphérique et des données météorologiques (rose des vents) enregistrées sur le
site. La propagation du son est bien sûr plus importante dans le sens des vents dominants.
Dans certains cas, la modification du schéma d’implantation des éoliennes peut être rendue nécessaire après
analyse des différentes simulations d’implantation.
L’impact des basses fréquences sur la santé humaine
Les éoliennes émettent des basses fréquences. Si ces dernières peuvent effectivement, dans certains cas,
avoir une influence sur la santé humaine, elles sont parfaitement inoffensives dans le cas des éoliennes.
-/%L&RQVHLOV±Qƒ$±PDL
3DJHVXU
-/%L&RQVHLOV±Qƒ$±PDL
3DJHVXU
9$/25(0±3DUFpROLHQ'H%DkORQ±(WXGHG¶LPSDFWDFRXVWLTXH
9$/25(0±3DUFpROLHQ'H%DkORQ±(WXGHG¶LPSDFWDFRXVWLTXH
ACADEMIE NATIONALE DE MEDECINE
LE RETENTISSEMENT DU FONCTIONNEMENT DES EOLIENNES SUR LA SANTE DE L'HOMME
I. Matériel utilisé
Sonomètre intégrateur – Classe 1
Microphone
Préamplificateur
Contrôle primitif 01dB-Metravib en date de juillet 2012
Sonomètre intégrateur – Classe 1
Microphone
Préamplificateur
Contrôle primitif 01dB-Metravib en date de juillet 2012
Sonomètre intégrateur – Classe 1
Microphone
Préamplificateur
01dB
GRAS
01dB
DUO
40CD
n° 10539
n° 154557
Intégré
01dB
GRAS
01dB
DUO
40CD
n° 10538
n° 136963
Intégré
01dB
GRAS
01dB
DUO
40CD
n° 10135
n° 136823
Intégré
CONCLUSION du Groupe de Travail :
Sonomètre intégrateur – Classe 1
Microphone
Préamplificateur
01dB
GRAS
01dB
DUO
40CD
n° 10131
n° 136827
Intégré
Le Groupe de Travail réuni à cet effet a étudié, parmi les réticences suscitées par l'installation des éoliennes,
celles qui intéressent la santé de l'homme.
Sonomètre intégrateur – Classe 1
Microphone
Préamplificateur
01dB
GRAS
01dB
DUO
40CD
n° 10201
n° 136999
Intégré
Il estime :
Sonomètre intégrateur – Classe 1
Microphone
Préamplificateur 1
Préamplificateur 2
Contrôle primitif 01dB-Metravib en date de octobre 2012
Sonomètre intégrateur – Classe 1
Microphone
Préamplificateur 1
Contrôle primitif 01dB-Metravib en date de Juillet 2011
Sonomètre intégrateur – Classe 1
Microphone
Préamplificateur 1
Préamplificateur 2
Contrôle primitif 01dB-Metravib en date de Avril 2011
Sonomètre intégrateur – Classe 1
Microphone
Préamplificateur
Sonomètre intégrateur – Classe 1
Microphone
Préamplificateur
Sonomètre intégrateur – Classe 1
Microphone
Préamplificateur
Sonomètre intégrateur – Classe 1
Microphone
Préamplificateur 1
Préamplificateur 2
Sonomètre intégrateur – Classe 1
Microphone
Préamplificateur 1
Préamplificateur 2
Sonomètre intégrateur – Classe 1
Microphone
Préamplificateur
Contrôle primitif 01dB en date de décembre 2009
Système Mesure bi-voie – Classe 1
Microphone
Microphone
Préamplificateur
Préamplificateur
Plate-forme PC
Sonomètre intégrateur – Classe 1
Microphone
Préamplificateur
Sonomètre intégrateur – Classe 1
Microphone
Préamplificateur
Dosimètre – Classe 2
Microphone
Dosimètre – Classe 2
Microphone
Dosimètre – Classe 2
Microphone
01dB
GRAS
01dB
01dB
BLUESOLO
MCE 212
PRE 21 S
PRE 21 W
n° 61918
n° 103342
X
X
n° 30670
X
01dB
GRAS
01dB
BLUESOLO
MCE 212
PRE 21 S
n° 61446
n° 134737
n° 14422
01dB
GRAS
01dB
01dB
BLUESOLO
MCE 212
PRE 21 S
PRE 21 W
n° 60207
n° 51900
n° 12649
n° 30569
B&K
B&K
B&K
B&K
B&K
B&K
01dB
Microtech
01dB
01dB
01dB
01dB
01dB
01dB
01dB
01dB
01dB
01dB
GRAS
01dB
2250
ZC 0032
4189
2250
ZC 0032
4189
SIP 95 TR
MK 250
PRE 12 N
SOLO Master
MCE 212
PRE 21 S
PRE 21 W
SOLO Master
MCE 212
PRE 21 S
PRE 21 W
SOLO Master
MCE 212
PRE 21 W
n° 2473274
n° 2895
n° 2457783
n° 2506855
n° 4517
n° 2529953
n° 10873
n° 6087
n° 23656
n° 10668
n° 75229
n° 10359
n° 30662
n° 10667
n° 45218
n° 11006
n° 30730
n° 10675
n° 45035
n° 30728
X
X
X
X
X
X
01dB
GRAS
GRAS
01dB
01dB
Fujitsu Stylistic
01dB
Microtech
01dB
01dB
Microtech
01dB
01dB
MCE
01dB
MCE
01dB
MCE
Symphonie
40 AE
40 AE
PRE 12H
PRE 12H
LT C-500
SIP 95 TR
MK 250
PRE 12 N
SIP 95 TR
MK 250
PRE 12 N
SIE 95
320
SIE 95
320
SIE 95
320
n° 1038
n° 5069
n° 5421
n° 11443
n° 11328
X
X
Rapport et recommandations d'un Groupe de Travail / 14 mars 2006
L'Association APSA (Association pour la protection des Abers) a demandé par lettre du 7 mars 2005 au
Ministre de la Santé et des Solidarités, que soit étudiée l'éventualité d'une action nocive des éoliennes sur la
santé de l'homme. Elle en a adressé une copie pour information au Président de l'Académie nationale de
médecine. Le Conseil d'Administration de celle-ci a jugé nécessaire, dans sa réunion du 15 mars 2005, de se
saisir du problème, et d'en confier l'examen à un Groupe de Travail spécialement créé à cet effet.
• que la production d'infrasons par les éoliennes est, à leur voisinage immédiat, bien analysée et
très modérée : elle est sans danger pour l'homme
• qu'il n'y a pas de risques avérés de stimulation visuelle stroboscopique par la rotation des pales des
éoliennes
• que les risques traumatiques liés à l'installation, au fonctionnement et au démontage de ces engins sont
prévus et prévenus par la réglementation en vigueur pour les sites industriels, qui s'applique à cette phase
de l'installation et de la démolition des sites éoliens devenus obsolètes
ANNEXE B du rapport du Groupe de Travail / Le bruit et les infrasons
Les infrasons naturels (vent, tonnerre, etc…) font partie de l'environnement naturel de l'homme. Même s'ils sont
inaudibles parce que d'intensité trop faibles, ils sont produits par de nombreuses activités quotidiennes :
• jogging = 90 dB à 2 Hz
• nage = 140 dB à 0,5 Hz
• voyage en voiture vitres ouvertes = 115 dB à 15 Hz
Le seuil d’audibilité des infrasons chez l'homme est de 105 dB pour 8 Hz, de 95 dB pour 16 Hz, 66 dB pour 32
Hz, 45 dB pour 63Hz et de 29 dB pour 29 Hz.
Le seuil de douleur se situe entre 140 dB à 20 Hz et 162 dB à 3 Hz.
On n'observe pas de fatigue auditive, aussi bien pour 140 dB à 14 Hz pendant 30 minutes, que pour 170 dB
entre 1 et 10 Hz pendant 30 secondes.
Dans le cas particulier des éoliennes, notons que :
• à 100 mètres d’une éolienne de 1 MW, on trouve 58 dB à la fréquence 8Hz, 74 dB à la fréquence 32 Hz,
83 dB à la fréquence 63 Hz, 90 dB à la fréquence 125 Hz
• les basses fréquences mesurées à 100 mètres des éoliennes se situent donc à au moins 40 dB en
dessous du seuil d’audibilité
• à cette distance, l'intensité des infrasons est si faible que ces engins ne peuvent provoquer ni cette gêne,
ni cette somnolence liées à une action des infrasons sur la partie vestibulaire de l'oreille interne, que l'on
ne peut observer qu'aux plus fortes intensités expérimentalement réalisables
-/%L&RQVHLOV±Qƒ$±PDL
3DJHVXU
-/%L&RQVHLOV±Qƒ$±PDL
X
X
X
X
X
X
X
X
X
X
X
n° 10470
n° 6509
n° 991968
n° 991392
n° 5434
n° 991919
n° 30362
n° 12963
n° 30433
n° 12991
n° 30803
n° 13584
3DJHVXU
9$/25(0±3DUFpROLHQ'H%DkORQ±(WXGHG¶LPSDFWDFRXVWLTXH
Dosimètre – Classe 2
Microphone
Dosimètre – Classe 2
Microphone
Dosimètre – Classe 2
Microphone
Dosimètre – Classe 2
Microphone
Dosimètre – Classe 2
Microphone
Calibreur
Calibreur
Calibreur
Calibreur
Calibreur
Télémètre laser
Analyseur de Vibrations
Capteur corps-complet (tri-axial)
Capteur main-bras (tri-axial)
Accéléromètre mono-axial
Contrôleur multi-fréquences
Puissance – Alimentation
Puissance – Alimentation
Puissance – Alimentation
Puissance – Alimentation
Puissance – Alimentation
Puissance – Alimentation
Puissance – Alimentation
Puissance – Alimentation
Puissance – Alimentation
Puissance – Alimentation
Ensemble Monitoring OPER@
Surveillance sites industriels et urbains
Afficheur de niveau sonore
Microphone
Afficheur de niveau sonore
Microphone
Afficheur de niveau sonore
Microphone
Afficheur de niveau sonore
Microphone
Source de bruit – Enceinte active
Générateur de bruit rose
Source de bruit omnidirectionnelle
Amplificateur
Lecteur CD
CD (bruits roses, harmoniques…)
Machine à Chocs
Station de mesure de vent
Mât télescopique 10 mètres
Mât télescopique 10 mètres
Traitement et Exploitation des données
dBConfig32
dBTrig32
dBTrait32
dBBati32
dBLexd
Evaluator type 7820
Vibration Explorer 4447
Logiciels & Cartographie
Mithra
CadnaA
CATT Acoustics
AutoCAD
Table à Digitaliser
01dB
MCE
01dB
MCE
01dB
MCE
01dB
MCE
01dB
MCE
01dB
01dB
B&K
01dB
01dB
leica
B&K
B&K
B&K
B&K
01dB
01dB
01dB
01dB
01dB
B&K
B&K
01dB
01dB
01dB
01dB
01dB
01dB
01dB
01dB
01dB
01dB
01dB
01dB
01dB
AMIX
AMIX
AMIX
AMIX
AMIX
AMIX
AMIX
AMIX
RCF
Sony
A Cappella
AX200
TEAC
GIAC
01dB
NRG Systems
CAMPBELL Scientific
CAMPBELL Scientific
CLARK MASTS
CLARK MASTS
9$/25(0±3DUFpROLHQ'H%DkORQ±(WXGHG¶LPSDFWDFRXVWLTXH
WED007
321
WED007
321
WED007
321
WED007
321
WED007
321
CAL21
CAL01S
4231
CAL21
CAL21
DISTO D2
4447-A
4515-B-002
4520-002
4508 B
CDS
VES 95
VES 21
VES 21
VES 21
n° 10116
n° 10634
n° 10118
n° 10280
n° 10163
n° 10161
n° 10164
n° 10211
n° 10165
n° 10552
n° 51030950
n° 40250
n° 2542094
n° 34282698
n° 35183017
VES 21
VES 21
VES 21
VES 21
EXP
RF
RF
RF
RF
RF
RF
RF
RF
AFF 30
CAP 20
AFF 30
CAP 20
AFF 30
CAP 20
AFF 30
CAP 20
ART 312A
NWZ B162F
Omnipulse 19
11010
CD–P1120
n° 10104
n° 10184
n° 10253
n° 10278
n°30101
n°120211
n°120198
n°120195
n°120139
n°10259
n°12004
n°12008
n°10528
n° 35536
n° 35529
n° 35733
n° 35527
n° 35731
n° 35531
n° 39994
n° 35770
n° KGXW23988
n° 1155606
211A
Wind Explorer
CR200séries
CR200X
CSQT
CSQT + Kit GSM
n° 29660
01dB
01dB
01dB
01dB
01dB
B&K
B&K
v. 4.7
v. 4.7
v. 5.3
v. 4.7
v. 4.0.0.5
v. 4.9
v. 2.2
01dB - CSTB
01 dB - Datakustik
Euphonia
Autodesk
CalComp
v. 5.0.10
v.3.6
v. 8.0
v. 2006
DBIII
J. Autovérification du matériel sonométrique
X
n° 610244
n° 2596468
n° 54057
n° 30480
n° 10140
n° 10374
n° 10033
n° 10035
n° 10050
X
X
X
X
Les appareils de mesure sont conformes à la Norme NF S 31-109 "Acoustique & Sonomètres intégrateurs". Les calibreurs sont conformes
à la norme NF S 31-039 "Calibreurs Acoustiques". Les Vérifications primitives (ou Vérifications après réparation) sont effectuées par les
Laboratoires Techniques des sociétés 01dB-Metravib et Bruel & Kjaer. Les Vérifications périodiques sont effectuées par le Laboratoire
Nationale d’Essais (LNE), tous les deux ans (article 16 de l’Arrêté du 27 octobre 1989 relatif à la construction et au contrôle des
Sonomètres).
-/%L&RQVHLOV±Qƒ$±PDL
3DJHVXU
-/%L&RQVHLOV±Qƒ$±PDL
3DJHVXU
9$/25(0±3DUFpROLHQ'H%DkORQ±(WXGHG¶LPSDFWDFRXVWLTXH
-/%L&RQVHLOV±Qƒ$±PDL
9$/25(0±3DUFpROLHQ'H%DkORQ±(WXGHG¶LPSDFWDFRXVWLTXH
3DJHVXU
-/%L&RQVHLOV±Qƒ$±PDL
3DJHVXU
9$/25(0±3DUFpROLHQ'H%DkORQ±(WXGHG¶LPSDFWDFRXVWLTXH
Rapport d’étude n° 12 22 1657-1A © JLBi Conseils – mai 2013
Toute reproduction, même partielle, tout transfert à un tiers sous quelque forme que ce soit, sont strictement interdits sans autorisation écrite
Projet de parc éolien de Baâlon (55) – Étude d'impact – BAALON ENERGIES
Annexe 3 :
Etudes naturalistes
Novembre 2013
Annexes – Page G
Projet de parc éolien de Baâlon (55) – Étude d'impact – BAALON ENERGIES
Novembre 2013
Annexes – Page H
PROJET DE PARC EOLIEN SUR LA COMMUNE DE BAÂLON (55)
DIAGNOSTIC AVIFAUNISTIQUE
11 07 0048
07.10.2013
airele est
6 Place sainte Croix
51000 Châlons-en-champagne
Tél : 03 26 64 05 01
Fax : 03 26 64 73 32
[email protected]
Projet de parc éolien sur la commune de Baâlon (55)
Etude écologique
TABLE DES MATIERES
Chapitre 1. Localisation du périmètre d’étude et présentation du
contexte environnemental .................................................... 5
1.1. Présentation générale du secteur................................................ 6
1.2. Zonage patrimonial ................................................................ 6
Chapitre 2. Méthodologies employées .................................... 11
2.1. Expertise Flore et Habitats Naturels .......................................... 12
2.1.1.
Protocole .................................................................................... 12
2.1.2.
Limites de l’étude .......................................................................... 12
2.2. Expertise avifaunistique ......................................................... 12
2.2.1.
Protocole .................................................................................... 12
2.2.2.
Limites des méthodes utilisées ........................................................... 13
2.3. Expertise chiroptérologique .................................................... 14
2.3.1.
Protocole .................................................................................... 14
2.3.2.
Limites de l’étude .......................................................................... 14
2.1. Expertise « autre faune » ....................................................... 15
Chapitre 3. Etat initial ...................................................... 17
3.1. Flore et Habitats naturels ....................................................... 18
Chapitre 5. Présentation du projet ....................................... 43
Chapitre 6. Impacts ......................................................... 45
6.1. Zones naturelles d’intérêt reconnu ............................................ 48
6.1.1.
Etude d’incidence Natura 2000 ........................................................... 48
6.1.2.
Autres zones naturelles d’intérêt reconnu .............................................. 51
6.1.3.
Impacts cumulatifs sur les zones naturelles ............................................ 51
6.2. Flore/Habitats .................................................................... 52
6.2.1.
Phase de chantier........................................................................... 52
6.2.2.
Phase d’exploitation ....................................................................... 52
6.2.3.
Impacts cumulatifs ......................................................................... 52
6.3. Avifaune............................................................................ 54
6.3.1.
Phase de chantier........................................................................... 54
6.3.2.
Phase d’exploitation ....................................................................... 54
6.3.3.
Impacts cumulatifs ......................................................................... 58
6.4. Chiroptères ........................................................................ 60
6.4.1.
Phase de chantier........................................................................... 60
6.4.2.
Phase d’exploitation ....................................................................... 60
6.4.3.
Impacts cumulatifs ......................................................................... 60
6.5. Autre faune ........................................................................ 60
6.5.1.
Phase de chantier........................................................................... 60
3.1.1.
Les habitats naturels ....................................................................... 18
6.5.2.
Phase d’exploitation ....................................................................... 60
3.1.2.
La Flore ...................................................................................... 20
6.5.3.
Impacts cumulatifs ......................................................................... 60
3.2. Avifaune ........................................................................... 22
6.6. Synthèse des impacts sur le milieu naturel ................................... 61
3.2.1.
résultats ..................................................................................... 22
Chapitre 7. Mesures ......................................................... 63
3.2.2.
Bioévaluation patrimoniale ............................................................... 31
3.2.3.
Interprétation légale ....................................................................... 31
7.1. Mesures relatives aux zones naturelles d’intérêt reconnu ................. 64
7.2. Mesures relatives à la flore et aux habitats naturels ....................... 64
7.3. Mesures relatives à l’avifaune .................................................. 64
3.3. Chiroptères ........................................................................ 32
3.3.1.
Résultats ..................................................................................... 32
3.3.2.
Bioévaluation patrimoniale ............................................................... 38
3.3.3.
Interprétation légale ....................................................................... 38
3.4. Autre faune ........................................................................ 39
3.4.1.
Amphibiens et reptiles..................................................................... 39
3.4.2.
Mammifères autres que les chiroptères ................................................. 39
Chapitre 4. Synthèse des enjeux écologiques ........................... 41
Rapport final– Version 01 – OCTOBRE 2013
7.3.1.
Phase de chantier........................................................................... 64
7.3.2.
Phase d’exploitation ....................................................................... 64
7.4. Mesures relatives aux chiroptères ............................................. 65
7.5. Mesures relatives aux autres taxons faunistiques ........................... 65
7.6. Finalité et Coût des mesures ................................................... 65
Chapitre 8. Annexes ......................................................... 67
1
Projet de parc éolien sur la commune de Baâlon (55)
Etude écologique
8.1. Annexe 1 : Statut des espèces observées .....................................
8.2. Annexe 2 : Rappels sur la biologie des Chiroptères .........................
8.3. Annexe 3 : Réglementation nationale et internationale concernant
faune et la flore .........................................................................
8.4. Annexe 4 : Références bibliographiques ......................................
2
Rapport final – Version 01 – OCTOBRE 2013
68
71
la
74
75
Projet de parc éolien sur la commune de Baâlon (55)
Etude écologique
PREAMBULE
Dans le cadre d’un projet d’implantation d’un parc éolien sur la commune de Baâlon (55), la société VALOREM a
missionné la société AIRELE afin de réaliser un diagnostic écologique sur un cycle biologique complet. L’expertise
de terrain, débutée en août 2011 s’est étalée sur un cycle biologique complet pour se terminer en juillet 2012.
Rapport final– Version 01 – OCTOBRE 2013
3
Projet de parc éolien sur la commune de Baâlon (55)
Etude écologique
4
Rapport final – Version 00 – AOUT 2013
Projet de parc éolien sur la commune de Baâlon (55)
Etude écologique
Chapitre 1. LOCALISATION
DU PERIMETRE D’ETUDE ET
PRESENTATION DU CONTEXTE ENVIRONNEMENTAL
Rapport final– Version 01 – OCTOBRE 2013
5
Projet de parc éolien sur la commune de Baâlon (55)
Etude écologique
1.1. PRESENTATION GENERALE DU SECTEUR
La zone d’étude se trouve dans le nord du département de la Meuse (55) à 40 km au Nord de Verdun. La zone
d’étude est fractionnée sur un plateau dominé par les grandes cultures. Les haies et bosquets en sont quasiment
absents et le secteur est traversé par une ligne très haute tension. Des boisements sont présents sur les pourtours
de la zone et des prairies pâturées entourent la commune de Baâlon.
 Arrêté Préfectoral de Protection de Biotope :
L’Arrêté Préfectoral de Protection de Biotope (APPB) permet la préservation de biotopes nécessaires à la survie
d’espèces protégées. Il est créé à l’initiative de l’Etat, en la personne du préfet et n’est pas soumis à enquête
publique. L’arrêté fixe les mesures qui doivent permettre la conservation des biotopes. La réglementation édictée
vise le milieu lui-même et non les espèces qui y vivent. Ce classement ne comporte pas d’obligation de surveillance
et de gestion.
1.2. ZONAGE PATRIMONIAL
Six types de zones naturelles d’intérêt reconnu ont été recensés dans les environs du projet :
 Zones Naturelles d’Intérêt Ecologique, Faunistique et Floristique (type I et II) :
Le programme ZNIEFF a été initié par le ministère de l'Environnement en 1982, il a pour objectif de se doter d'un
outil de connaissance permanente, aussi exhaustive que possible, des espaces naturels, terrestres et marins, dont
l'intérêt repose soit sur l'équilibre et la richesse de l'écosystème soit sur la présence d'espèces de plantes ou
d'animaux rares et menacées.
Deux types de zones sont définis, les zones de type I, secteurs de superficie en général limitée, caractérisés par
leur intérêt biologique remarquable et les zones de type II, grands ensembles naturels riches et peu modifiés, ou
qui offrent des potentialités biologiques importantes.
1.2.1.1. AIRE D’ETUDE ELOIGNEE (PERIMETRE DE 20 KILOMETRES)
Cinquante-quatre zones naturelles d’intérêt reconnu sont concernées par l’aire d’étude éloignée :






Zone
naturelle
 Zone Importante pour la Conservation des Oiseaux (ZICO) :
Les Zones Importantes pour la Conservation des Oiseaux (ZICO) résultent de la mise en œuvre de la Directive
« Oiseaux » 79/409/CEE du 2 avril 1979.
Cet inventaire, publié en 1994, est basé sur la présence d'espèces d'intérêt communautaire répondant à des
critères numériques précis. Il regroupe 285 zones pour une superficie totale d'environ 4,7 millions d'hectares et
constitue l’inventaire scientifique préliminaire à la désignation des Zones de Protection Spéciale (ZPS).
 Site d’Importance Communautaire (SIC) et Zone de Protection Spéciale (ZPS)
La Directive 92/43 du 21 mai 1992 dite « Directive Habitats » prévoit la création d'un réseau écologique européen,
dénommé « Réseau Natura 2000 », et constitué de Zones Spéciales de Conservation (ZSC) et de Zones de
Protection Spéciale (ZPS).
Les ZSC concernent les habitats naturels et les espèces animales et végétales d’intérêt communautaire (hors
avifaune). Elles sont désignées à partir des Sites d’Importance Communautaire (SIC) proposés par les Etats
membres et adoptés par la Commission européenne, tandis que les ZPS sont désignées, en application de la
Directive « Oiseaux », sur la base des Zones Importantes pour la Conservation des Oiseaux (ZICO).
6
Rapport final – Version 00 – AOUT 2013
39 Zones Naturelles d’Intérêt Ecologique Faunistique et Floristique (ZNIEFF) de type I ;
2 Zones Naturelles d’Intérêt Faunistique et Floristique de type II ;
3 Zones d’Importance pour la conservation des oiseaux ;
4 Zones Spéciales de Conservation (ZSC) ;
5 Zones de protection spéciale (ZPS) ;
1 Arrêté Préfectoral de protection de Biotope (APPB).
ZNIEFF I
Distance par rapport à
Description
Désignation
la zone d’implantation
(en m)
ZONES OUVERTES ENTRE LUSY-SAINT-MARTIN ET LANEUVILLESUR-MEUSE
21
5900
BOCAGE ET PRAIRIES HUMIDES DU LOISON A JAMETZ
22
6500
GITES A CHIROPTERES DE BRANDEVILLE ET MURVAUX
29
6900
MILIEUX OUVERTS A BRANDEVILLE ET BREHEVILLE
30
7700
PELOUSES VERS LES BASSES PLANTES A INOR
6
7800
GITES A CHIROPTERES DE THONNE-LE-THIL
17
8000
GITES A CHIROPTERES DE VELOSNES ET BAZEILLES-SUROTHAIN
12
8400
BOIS DE JAMETZ ET DE LISSEY
23
8500
GITES A CHIROPTERES DE THONNELLE
28
9000
PELOUSES VERS LE MONT A VILLECLOYE
10
9200
SOUTERRAINS DE MONTLIBERT
44
9300
VALLEE DE LA MARCHE ET DU PAQUIS A AUFLANCE, MOIRY ET
SAPOGNE-SUR-MARCHE
46
9800
MARAIS D'AVIOTH
2
10000
GITES A CHIROPTERES DE HALLES-SOUS-LES-COTES
27
10000
PRAIRIES AU NORD-EST DE NOUART ET DE TAILLY
1
10243
PARTIE FORESTIERE DU RUISSEAU DE MONT A MONT-DEVANTSASSEY
24
10600
GITES A CHIROPTERES DE BREHEVILLE ET LISSEY
31
11400
RIVIERE L'OTHAIN
33
11400
PRAIRIES HUMIDES DE LA VALLEE DE LA MEUSE, BOIS ET
PELOUSES DES COTEAUX ENTRE LETANNE ET VILLEMONTRY
36
11600
Projet de parc éolien sur la commune de Baâlon (55)
Etude écologique
Zone
naturelle
Distance par rapport à
Description
ZICO
ZSC
ZPS
la zone d’implantation
(en m)
PELOUSES DE WARINVAUX A DUN-SUR-MEUSE
ZNIEFF II
Désignation
4
Distance par rapport à
Zone
Description
naturelle
Désignation
la zone d’implantation
(en m)
12400
FORËT ET ZONES HUMIDES DU PAYS DE SPINCOURT
FR4112001
18900
PORTIONS DE LA RIVIERE DE LA MARCHE ET DU RUISSEAU DES
PAQUIS
FR3800474
9700
MORTES DE LA MEUSE A LINY-DEVANT-DUN ET CLERY-LE-PETIT
5
12700
LA CHIERS EN AVAL DE LONGUYON
14
13900
GITE A CHIROPTERES D'AINCREVILLE
16
15200
PRAIRIES DES PETITS CLAIRS CHENES A L'OUEST DE
BEAUMONT-EN-ARGONNE
42
15300
TALUS ROUTIERS BOISES DE BELVAL-BOIS-DES-DAMES
37
15500
GITES A CHIROPTERES D'ETRAYE
3
15800
RUISSEAU DU DORLON
35
16600
PRAIRIES, PELOUSES ET BOIS AU SUD DE YONCQ
38
16600
COTE DE LA VIERGE A FAILLY
26
16700
PELOUSE DE LA COTE D'URBUL A CHARENCY-VEZIN
11
16800
SAVARTS, PRAIRIES ET BOIS ASSOCIES A VAUX-EN-DIEULET ET
BAR-LES-BUZANCY
45
16800
VALLONS BOISES DU FOND DE NANTY ET DU BOIS DE PUILLY A
WILLIERS ET PUILLY-ET-CHARBEAUX
41
FORET DOMANIALE DE BELVAL, BOIS ET MARDELLES DE SAINTPIERREMONT
APPB
Tableau 1.
Zones naturelles d’intérêt reconnu dans l’aire d’étude éloignée
1.2.1.2. AIRE D’ETUDE INTERMEDIAIRE (PERIMETRE DE 5 KILOMETRES)
Dix zones naturelles d’intérêt reconnu sont concernées par l’aire d’étude intermédiaire :
• 8 Zones Naturelles d’Intérêt Ecologique Faunistique et Floristique (ZNIEFF) de type I
• 2 Zones Naturelles d’Intérêt Ecologique, Faunistique et Floristique (ZNIEFF) de type II.
Distance par rapport à la
Description
Désignation
17100
FORET DE WOEVRE ET GITE A CHIROPTERES DE MOUZAY
15
240
43
17400
GITES A CHIROPTERES DE HAN-LES-JUVIGNY ET JUVIGNY-SURLOISON
13
1700
PRAIRIES AU SUD-EST DU BOIS DE LA FOLIE A BAYONVILLE
47
17600
PRAIRIES ET GRAVIERES DE MILLY A MOUZAY
32
3800
PELOUSES A SAINT-LAURENT-SUR-OTHAIN ET SORBEY
9
17700
GITE A CHIROPTERES A ALLONDRELLE-LA-MALMAISON
19
17800
BOIS DU BELLOY, DE CHAMPEL, DU BOCHET ET DE
BERTRIMONT ENTRE BIEVRES ET CHAUVENCY-SAINT-HUBERT
39
3800
LES VALLONS BOISES DE MATTON ET DE BANEL A MATTON-ETCLEMENCY
4100
17900
VALLEE DE LA MEUSE EN AMONT DE STENAY
7
40
4300
20
18400
VALLEE DE LA MEUSE DE POUILLY-SUR-MEUSE A STENAY
8
GITES A CHIROPTERES A COLMEY
PELOUSE DE VIGNENBOIS
34
18900
GITE A CHIROPTERES D'OLISY-SUR-CHIERS
25
4400
VALLEE DE LA CHIERS ET DELA CRUSNES
/
14000
GITES A CHIROPTERES DE MONTMEDY
18
4600
COTES DE MEUSE
/
7300
PAYS DE MONTMEDY
/
200
FORET DE DIEULET, DE JAULNAY ET BOIS DE LA VACHE ENTRE
BEAUMONT-EN-ARGONNE ET LANEUVILLE-SUR-MEUSE
/
6500
VALLEE DE LA MEUSE A STENAY
/
3700
VALLEE DE LA MEUSE
LE04
3900
PLAINE DE LA WOEVRE NORD
/
200
CONFLUENCE DE LA VALLEE DE LA MEUSE ET DE LA CHIERS
CA09
8200
PLATEAU ARDENNAIS
CA01
14500
VALLEE DE LA MEUSE (secteur de Stenay)
FR4100234
3900
PELOUSES ET MILIEUX CAVERNICOLES DE LA VALLEE DE LA
CHIERS ET DE L’OTHAIN, BUXAIE DE MONTMEDY
FR4100155
4100
FORET DE DIEULET
FR4100186
8900
SOUTERRAINS DE MONTLIBERT
FR2100342
9000
VALLEE DE LA MEUSE (secteur de Stenay)
FR4112005
3900
CONFLUENCE DE LA VALLEE DE LA MEUSE ET DE LA CHIERS
FR2112004
8200
PLATEAU ARDENNAIS
FR2112013
14500
VALLEE DE LA MEUSE
FR4112008
16300
Rapport final– Version 01 – OCTOBRE 2013
Zone naturelle
ZNIEFF I
ZNIEFF II
Tableau 2.
zone d’implantation (en m)
Zones naturelles d’intérêt reconnu dans l’aire d’étude intermédiaire
Les informations concernant ces entités sont peu nombreuses. Les habitats déterminants sont les forêts
(principalement caducifoliées), les landes, fruticées et prairies, les prairies humides et mégaphorbiaies ainsi que les
eaux courantes. Peu d’espèces sont mentionnées comme déterminantes. Notons toutefois la présence du Grand
murin (Myotis myotis) et du Murin de Daubenton (Myotis daubentoni) au niveau du canal de la vieille forge au Sud
de Stenay à 4,5 kilomètres de l’aire d’étude ainsi que du Grand murin dans les combles de l’hôpital à 4 kilomètres.
1.2.1.3. AIRE D’ETUDE IMMEDIATE ET EMPRISE DU PROJET
Aucune zone naturelle d’intérêt reconnu n’est concernée par l’aire d’étude immédiate ou l’emprise du projet.
7
Projet de parc éolien sur la commune de Baâlon (55)
Etude écologique
8
Rapport final – Version 00 – AOUT 2013
Téléchargement