9$/25(0±3DUFpROLHQ'H%DkORQ±(WXGHG¶LPSDFWDFRXVWLTXH 9$/25(0±3DUFpROLHQ'H%DkORQ±(WXGHG¶LPSDFWDFRXVWLTXH Carte de bruit particulier des éoliennes à 4 m/s – H = 10m Périodes DIURNE et NOCTURNE F. Modélisation et cartes de bruit > Toutes les éoliennes à 96.2 dB(A) Carte de bruit particulier des éoliennes à 3 m/s – H = 10m Périodes DIURNE et NOCTURNE > Toutes les éoliennes à 94 dB(A) -/%L&RQVHLOV±Q$±PDL 3DJHVXU -/%L&RQVHLOV±Q$±PDL 3DJHVXU 9$/25(0±3DUFpROLHQ'H%DkORQ±(WXGHG¶LPSDFWDFRXVWLTXH 9$/25(0±3DUFpROLHQ'H%DkORQ±(WXGHG¶LPSDFWDFRXVWLTXH Carte de bruit particulier des éoliennes à 5 m/s – H = 10m Périodes DIURNE et NOCTURNE Carte de bruit particulier des éoliennes à 6 m/s – H = 10m Périodes DIURNE > Toutes les éoliennes à 102.5 dB(A) -/%L&RQVHLOV±Q$±PDL > Toutes les éoliennes à 104.4 dB(A) 3DJHVXU -/%L&RQVHLOV±Q$±PDL 3DJHVXU 9$/25(0±3DUFpROLHQ'H%DkORQ±(WXGHG¶LPSDFWDFRXVWLTXH 9$/25(0±3DUFpROLHQ'H%DkORQ±(WXGHG¶LPSDFWDFRXVWLTXH Carte de bruit particulier des éoliennes à 6 m/s – H = 10m Périodes NOCTURNE Carte de bruit particulier des éoliennes à 7 m/s – H = 10m Périodes DIURNE et NOCTURNE > E1, E4, E5 et E7 à 102 dB(A), les autres éoliennes à 104.4 dB(A) -/%L&RQVHLOV±Q$±PDL > Toutes les éoliennes à 105 dB(A) 3DJHVXU -/%L&RQVHLOV±Q$±PDL 3DJHVXU 9$/25(0±3DUFpROLHQ'H%DkORQ±(WXGHG¶LPSDFWDFRXVWLTXH 9$/25(0±3DUFpROLHQ'H%DkORQ±(WXGHG¶LPSDFWDFRXVWLTXH Carte de bruit particulier des éoliennes à 8 et 9 m/s – H = 10m Périodes NOCTURNE G. Lexique > E5 et E7 à 102 dB(A), les autres éoliennes à 105 dB(A) Lp …………………………… Niveau de pression acoustique donné à une distance de la source et perçu en ce point, il s'exprime en dB(A). Lw …………………………... Niveau de puissance acoustique caractérisant l'appareil et servant de base de calcul pour déterminer une pression à une distance donnée, il s'exprime en dB(A) et dépend de la distance : c'est une valeur intrinsèque à la source. LAeq ……………………….. Niveau acoustique continu équivalent. Niveau sonore Résiduel… Niveau sonore sans l’activité projetée. Niveau sonore Ambiant…. Niveau sonore global incluant la source sonore étudiée et le niveau résiduel régnant sur site. Emergence ………………... Différence entre le Niveau sonore Ambiant et le niveau sonore Résiduel. Indices Fractiles LX ……... Niveau de pression acoustique pondéré A dépassé pendant x % de l'intervalle de temps considéré les L90 et L50 (niveaux sonores dépassés pendant 90 et 50 % du temps) sont les plus utilisés pour caractériser une ambiance sonore. Perception de l'oreille …... 20 Hz à 20 kHz. Echelle de Bruit (brochure CIDB « Le Bruit Aujourd’hui ») -/%L&RQVHLOV±Q$±PDL 3DJHVXU -/%L&RQVHLOV±Q$±PDL 3DJHVXU 9$/25(0±3DUFpROLHQ'H%DkORQ±(WXGHG¶LPSDFWDFRXVWLTXH 9$/25(0±3DUFpROLHQ'H%DkORQ±(WXGHG¶LPSDFWDFRXVWLTXH H. Volet Santé ÉOLIENNES ET IMPACT SONORE 1 – Caractérisation du bruit Deux éléments permettent de caractériser une émission sonore : Sources d’information : • La fréquence : Elle s’exprime en Hertz (Hz) et correspond au caractère aigu ou grave d’un son. Une émission sonore est composée de nombreuses fréquences qui constituent son spectre. Le spectre audible s’étend environ de 20 Hz à 20 000 Hz et se décompose comme suit : • ADEME - Centre de Sophia-Antipolis - 500, route des Lucioles - 06560 Valbonne tél : 04 93 95 79 00 - web : www.ademe.fr • CLER - 2 B, rue Jules Ferry - 93100 Montreuil tél : 01 55 86 80 00 - mail : [email protected] - web : www.cler.org − − − − Références : • Wind energy : the facts - EWEA - European Communitties, 1999 • The clinical stages of vibroacoustic disease - Castelo BRANCO, Occupational Medecine Research Center, Lisbon, Portugal in “Aviation, space and environnemental medecine” (USA), Mars 1999 • Académie nationale de médecine : Le retentissement du fonctionnement des éoliennes sur la santé de L’homme: Rapport et recommandations d'un Groupe de Travail, 14 mars 06 < 20 Hz : infrasons de 20 à 400 Hz : graves de 400 à 1 600 Hz : médiums de 1 600 à 20 000 Hz : aigus • L’intensité : Elle s’exprime en décibels (dB) ou en décibels pondérés “A” notés dB(A). L’oreille procède naturellement à une pondération qui varie en fonction des fréquences. Cette pondération est d’autant plus importante que les fréquences sont basses. Par contre, les hautes fréquences sont perçues telles qu’elles sont émises : c’est pourquoi nous y sommes plus sensibles. Le dB(A) correspond donc au niveau que nous percevons (spectre corrigé de la pondération de l’oreille), alors que le dB correspond à ce qui est physiquement émis. − La mesure de pression sonore exprimée en dB ou en dB(A) à l’aide d’un sonomètre permet de quantifier le niveau sonore perçu à une distance donnée. − La puissance acoustique d’une source exprimée en watts est la capacité d’une source à émettre un son plus ou moins fort. C’est une grandeur qui se calcule à partir de mesures de pression sonore. 2 – Propagation Le niveau de pression sonore diminue avec la distance. Plus on s’éloigne de la source et plus le bruit perçu diminue. Ceci s’applique aux éoliennes comme pour n’importe quelle source sonore. 3 – Origine du bruit généré par une éolienne Le bruit a pu constituer un problème avec les éoliennes de première generation. Elles faisaient appel à des technologies aujourd’hui obsolètes. Le bruit généré par une éolienne a deux origines : le bruit mécanique et le bruit aérodynamique. o Le bruit mécanique : Il est créé par les différents organes en mouvement (engrenages à l’intérieur du multiplicateur). Ces dix dernières années, les émissions sonores des éoliennes ont été réduites grâce à un certain nombre d’innovations technologiques : − Les multiplicateurs actuels sont spécialement conçus pour les éoliennes contrairement à leurs aînés qui utilisaient des systèmes industriels standards. Par ailleurs, des éoliennes sans multiplicateur de vitesse sont aujourd’hui disponibles sur le marché ce qui réduit encore le bruit émis. − L’analyse de la dynamique des structures permet de bien maîtriser les phénomènes vibratoires qui contribuent à amplifier le son émis par différents composants : les pales, qui se comportaient comme des membranes, pouvaient retransmettre les vibrations sonores en provenance de la nacelle et de la tour. L’utilisation de modèles numériques permet de maîtriser ce phénomène. C’est la manière la plus efficace de réduire le niveau sonore de la machine. − Le capitonnage de la nacelle permet de réduire les bruits centrés dans les moyennes et hautes fréquences. -/%L&RQVHLOV±Q$±PDL 3DJHVXU -/%L&RQVHLOV±Q$±PDL 3DJHVXU 9$/25(0±3DUFpROLHQ'H%DkORQ±(WXGHG¶LPSDFWDFRXVWLTXH 9$/25(0±3DUFpROLHQ'H%DkORQ±(WXGHG¶LPSDFWDFRXVWLTXH o Le bruit aérodynamique : Le freinage du vent et son écoulement autour des pales engendrent un son caractéristique, comme un souffle. Ce type de bruit est assimilé au bruit généré par l’activité de la nature : mélange irrégulier de hautes fréquences générées par le passage du vent dans les arbres, les buissons ou encore sur les étendues d’eau. La plus grande partie du bruit a pour origine l’extrémité de la pale et dans une moindre mesure son bord de fuite. L’utilisation de profils et de géométries de pales spécifiques à l’éolien a permis de réduire cette source sonore. Les recherches se poursuivent, principalement pour des raisons de performance. Le passage des pales devant la tour crée un bruit qui se situe dans les basses fréquences. Dans le cas des éoliennes, elles n’ont aucune influence sur la santé humaine. o Bruits de fond et effet de masque : La nocivité des basses fréquences a pour origine les effets vibratoires qu’elles induisent au niveau de certains organes creux de notre corps. On parle alors de maladies vibro-acoustiques (MVA). Elles sont causées par une exposition prolongée (supérieure ou égale à 10 ans) à un environnement sonore caractérisé à la fois par une forte intensité (supérieure ou égale à 90 dB) et par l’émission de basses fréquences (d’une fréquence inférieure ou égale à 500 Hz). Des cas de MVA ont été décrits chez des techniciens aéronautiques travaillant dans ce type d’environnement sonore. Les études scientifiques sur l’effet des basses fréquences sur l’homme excluent en revanche tout risque sanitaire dans le cas de sources sonores à faible pression acoustique. Pour engendrer des effets nocifs à longue distance, les énergies mises en jeu en basses fréquences devraient être considérables ce qui est loin d’être le cas des éoliennes. La pression acoustique susceptible de provoquer des troubles correspond à celle enregistrée à l’intérieur d’une nacelle en fonctionnement. Si les basses fréquences peuvent se propager assez loin, l’intensité sonore diminue rapidement (voir fiche éoliennes & impact sonore). De manière générale, le silence n’existe pas dans l’environnement : les oiseaux, le bruit du vent dans les arbres, les activités humaines génèrent des sons. Un espace est rarement absolument calme, peut-être parfois à la campagne, la nuit, en l’absence de vent. Dans ce cas, les éoliennes restent elles aussi silencieuses. Le vent, en fonction de sa vitesse, participe à l’effet de masque. Le niveau sonore d’une éolienne se stabilise lorsque le vent atteint une certaine vitesse. Au-delà de cette vitesse, le niveau sonore du vent continue à augmenter alors que celui de l'éolienne reste stable. Le bruit du vent vient alors couvrir celui de l’éolienne. 4 – Cumul des éoliennes : Que se passe t-il quand il y a plusieurs éoliennes ? L’augmentation du niveau sonore n’est en aucun cas proportionnelle mais logarithmique. Cela signifie que la présence de deux sources sonores identiques n’entraîne pas un doublement de la perception de l’intensité sonore. Ainsi, une personne placée à égale distance de deux sources sonores identiques percevra une augmentation du niveau auditif de 3 dB(A). Quatre sources identiques augmenteront le niveau de 6 dB(A). L’EVALUATION ET LA PRÉVENTION DU RISQUE DE NUISANCE SONORE Il est possible de prévoir la propagation du son autour d’une éolienne ou de plusieurs éoliennes et de limiter ainsi tout risque de nuisances sonores. L’anticipation de l'impact sonore est réalisée en comparant le bruit de la source calculé à proximité des habitations riveraines (niveau sonore différent selon la distance) et le niveau sonore ambiant enregistré au même endroit grâce à un sonomètre, appareil de mesures acoustiques très sensible. L’émergence, valeur qui caractérise la nuisance sonore, correspond à l'éventuelle augmentation, imputable aux éoliennes, du niveau sonore ambiant. D’un point de vue réglementaire, rappelons que l’émergence maximale tolérée est de 3 dB(A) la nuit et de 5 dB(A) le jour à l’extérieur d’une maison d’habitation. Des logiciels tels que Mithra et CadnaA – utilisés par JLBi Conseils – permettent de tracer les courbes isophoniques (d’égal niveau sonore) autour des éoliennes. Ces courbes matérialisent la propagation du son. Le modèle de calcul tient également compte de la topographie, de l’occupation du sol, de l’absorption acoustique du sol, de l’atténuation atmosphérique et des données météorologiques (rose des vents) enregistrées sur le site. La propagation du son est bien sûr plus importante dans le sens des vents dominants. Dans certains cas, la modification du schéma d’implantation des éoliennes peut être rendue nécessaire après analyse des différentes simulations d’implantation. L’impact des basses fréquences sur la santé humaine Les éoliennes émettent des basses fréquences. Si ces dernières peuvent effectivement, dans certains cas, avoir une influence sur la santé humaine, elles sont parfaitement inoffensives dans le cas des éoliennes. -/%L&RQVHLOV±Q$±PDL 3DJHVXU -/%L&RQVHLOV±Q$±PDL 3DJHVXU 9$/25(0±3DUFpROLHQ'H%DkORQ±(WXGHG¶LPSDFWDFRXVWLTXH 9$/25(0±3DUFpROLHQ'H%DkORQ±(WXGHG¶LPSDFWDFRXVWLTXH ACADEMIE NATIONALE DE MEDECINE LE RETENTISSEMENT DU FONCTIONNEMENT DES EOLIENNES SUR LA SANTE DE L'HOMME I. Matériel utilisé Sonomètre intégrateur – Classe 1 Microphone Préamplificateur Contrôle primitif 01dB-Metravib en date de juillet 2012 Sonomètre intégrateur – Classe 1 Microphone Préamplificateur Contrôle primitif 01dB-Metravib en date de juillet 2012 Sonomètre intégrateur – Classe 1 Microphone Préamplificateur 01dB GRAS 01dB DUO 40CD n° 10539 n° 154557 Intégré 01dB GRAS 01dB DUO 40CD n° 10538 n° 136963 Intégré 01dB GRAS 01dB DUO 40CD n° 10135 n° 136823 Intégré CONCLUSION du Groupe de Travail : Sonomètre intégrateur – Classe 1 Microphone Préamplificateur 01dB GRAS 01dB DUO 40CD n° 10131 n° 136827 Intégré Le Groupe de Travail réuni à cet effet a étudié, parmi les réticences suscitées par l'installation des éoliennes, celles qui intéressent la santé de l'homme. Sonomètre intégrateur – Classe 1 Microphone Préamplificateur 01dB GRAS 01dB DUO 40CD n° 10201 n° 136999 Intégré Il estime : Sonomètre intégrateur – Classe 1 Microphone Préamplificateur 1 Préamplificateur 2 Contrôle primitif 01dB-Metravib en date de octobre 2012 Sonomètre intégrateur – Classe 1 Microphone Préamplificateur 1 Contrôle primitif 01dB-Metravib en date de Juillet 2011 Sonomètre intégrateur – Classe 1 Microphone Préamplificateur 1 Préamplificateur 2 Contrôle primitif 01dB-Metravib en date de Avril 2011 Sonomètre intégrateur – Classe 1 Microphone Préamplificateur Sonomètre intégrateur – Classe 1 Microphone Préamplificateur Sonomètre intégrateur – Classe 1 Microphone Préamplificateur Sonomètre intégrateur – Classe 1 Microphone Préamplificateur 1 Préamplificateur 2 Sonomètre intégrateur – Classe 1 Microphone Préamplificateur 1 Préamplificateur 2 Sonomètre intégrateur – Classe 1 Microphone Préamplificateur Contrôle primitif 01dB en date de décembre 2009 Système Mesure bi-voie – Classe 1 Microphone Microphone Préamplificateur Préamplificateur Plate-forme PC Sonomètre intégrateur – Classe 1 Microphone Préamplificateur Sonomètre intégrateur – Classe 1 Microphone Préamplificateur Dosimètre – Classe 2 Microphone Dosimètre – Classe 2 Microphone Dosimètre – Classe 2 Microphone 01dB GRAS 01dB 01dB BLUESOLO MCE 212 PRE 21 S PRE 21 W n° 61918 n° 103342 X X n° 30670 X 01dB GRAS 01dB BLUESOLO MCE 212 PRE 21 S n° 61446 n° 134737 n° 14422 01dB GRAS 01dB 01dB BLUESOLO MCE 212 PRE 21 S PRE 21 W n° 60207 n° 51900 n° 12649 n° 30569 B&K B&K B&K B&K B&K B&K 01dB Microtech 01dB 01dB 01dB 01dB 01dB 01dB 01dB 01dB 01dB 01dB GRAS 01dB 2250 ZC 0032 4189 2250 ZC 0032 4189 SIP 95 TR MK 250 PRE 12 N SOLO Master MCE 212 PRE 21 S PRE 21 W SOLO Master MCE 212 PRE 21 S PRE 21 W SOLO Master MCE 212 PRE 21 W n° 2473274 n° 2895 n° 2457783 n° 2506855 n° 4517 n° 2529953 n° 10873 n° 6087 n° 23656 n° 10668 n° 75229 n° 10359 n° 30662 n° 10667 n° 45218 n° 11006 n° 30730 n° 10675 n° 45035 n° 30728 X X X X X X 01dB GRAS GRAS 01dB 01dB Fujitsu Stylistic 01dB Microtech 01dB 01dB Microtech 01dB 01dB MCE 01dB MCE 01dB MCE Symphonie 40 AE 40 AE PRE 12H PRE 12H LT C-500 SIP 95 TR MK 250 PRE 12 N SIP 95 TR MK 250 PRE 12 N SIE 95 320 SIE 95 320 SIE 95 320 n° 1038 n° 5069 n° 5421 n° 11443 n° 11328 X X Rapport et recommandations d'un Groupe de Travail / 14 mars 2006 L'Association APSA (Association pour la protection des Abers) a demandé par lettre du 7 mars 2005 au Ministre de la Santé et des Solidarités, que soit étudiée l'éventualité d'une action nocive des éoliennes sur la santé de l'homme. Elle en a adressé une copie pour information au Président de l'Académie nationale de médecine. Le Conseil d'Administration de celle-ci a jugé nécessaire, dans sa réunion du 15 mars 2005, de se saisir du problème, et d'en confier l'examen à un Groupe de Travail spécialement créé à cet effet. • que la production d'infrasons par les éoliennes est, à leur voisinage immédiat, bien analysée et très modérée : elle est sans danger pour l'homme • qu'il n'y a pas de risques avérés de stimulation visuelle stroboscopique par la rotation des pales des éoliennes • que les risques traumatiques liés à l'installation, au fonctionnement et au démontage de ces engins sont prévus et prévenus par la réglementation en vigueur pour les sites industriels, qui s'applique à cette phase de l'installation et de la démolition des sites éoliens devenus obsolètes ANNEXE B du rapport du Groupe de Travail / Le bruit et les infrasons Les infrasons naturels (vent, tonnerre, etc…) font partie de l'environnement naturel de l'homme. Même s'ils sont inaudibles parce que d'intensité trop faibles, ils sont produits par de nombreuses activités quotidiennes : • jogging = 90 dB à 2 Hz • nage = 140 dB à 0,5 Hz • voyage en voiture vitres ouvertes = 115 dB à 15 Hz Le seuil d’audibilité des infrasons chez l'homme est de 105 dB pour 8 Hz, de 95 dB pour 16 Hz, 66 dB pour 32 Hz, 45 dB pour 63Hz et de 29 dB pour 29 Hz. Le seuil de douleur se situe entre 140 dB à 20 Hz et 162 dB à 3 Hz. On n'observe pas de fatigue auditive, aussi bien pour 140 dB à 14 Hz pendant 30 minutes, que pour 170 dB entre 1 et 10 Hz pendant 30 secondes. Dans le cas particulier des éoliennes, notons que : • à 100 mètres d’une éolienne de 1 MW, on trouve 58 dB à la fréquence 8Hz, 74 dB à la fréquence 32 Hz, 83 dB à la fréquence 63 Hz, 90 dB à la fréquence 125 Hz • les basses fréquences mesurées à 100 mètres des éoliennes se situent donc à au moins 40 dB en dessous du seuil d’audibilité • à cette distance, l'intensité des infrasons est si faible que ces engins ne peuvent provoquer ni cette gêne, ni cette somnolence liées à une action des infrasons sur la partie vestibulaire de l'oreille interne, que l'on ne peut observer qu'aux plus fortes intensités expérimentalement réalisables -/%L&RQVHLOV±Q$±PDL 3DJHVXU -/%L&RQVHLOV±Q$±PDL X X X X X X X X X X X n° 10470 n° 6509 n° 991968 n° 991392 n° 5434 n° 991919 n° 30362 n° 12963 n° 30433 n° 12991 n° 30803 n° 13584 3DJHVXU 9$/25(0±3DUFpROLHQ'H%DkORQ±(WXGHG¶LPSDFWDFRXVWLTXH Dosimètre – Classe 2 Microphone Dosimètre – Classe 2 Microphone Dosimètre – Classe 2 Microphone Dosimètre – Classe 2 Microphone Dosimètre – Classe 2 Microphone Calibreur Calibreur Calibreur Calibreur Calibreur Télémètre laser Analyseur de Vibrations Capteur corps-complet (tri-axial) Capteur main-bras (tri-axial) Accéléromètre mono-axial Contrôleur multi-fréquences Puissance – Alimentation Puissance – Alimentation Puissance – Alimentation Puissance – Alimentation Puissance – Alimentation Puissance – Alimentation Puissance – Alimentation Puissance – Alimentation Puissance – Alimentation Puissance – Alimentation Ensemble Monitoring OPER@ Surveillance sites industriels et urbains Afficheur de niveau sonore Microphone Afficheur de niveau sonore Microphone Afficheur de niveau sonore Microphone Afficheur de niveau sonore Microphone Source de bruit – Enceinte active Générateur de bruit rose Source de bruit omnidirectionnelle Amplificateur Lecteur CD CD (bruits roses, harmoniques…) Machine à Chocs Station de mesure de vent Mât télescopique 10 mètres Mât télescopique 10 mètres Traitement et Exploitation des données dBConfig32 dBTrig32 dBTrait32 dBBati32 dBLexd Evaluator type 7820 Vibration Explorer 4447 Logiciels & Cartographie Mithra CadnaA CATT Acoustics AutoCAD Table à Digitaliser 01dB MCE 01dB MCE 01dB MCE 01dB MCE 01dB MCE 01dB 01dB B&K 01dB 01dB leica B&K B&K B&K B&K 01dB 01dB 01dB 01dB 01dB B&K B&K 01dB 01dB 01dB 01dB 01dB 01dB 01dB 01dB 01dB 01dB 01dB 01dB 01dB AMIX AMIX AMIX AMIX AMIX AMIX AMIX AMIX RCF Sony A Cappella AX200 TEAC GIAC 01dB NRG Systems CAMPBELL Scientific CAMPBELL Scientific CLARK MASTS CLARK MASTS 9$/25(0±3DUFpROLHQ'H%DkORQ±(WXGHG¶LPSDFWDFRXVWLTXH WED007 321 WED007 321 WED007 321 WED007 321 WED007 321 CAL21 CAL01S 4231 CAL21 CAL21 DISTO D2 4447-A 4515-B-002 4520-002 4508 B CDS VES 95 VES 21 VES 21 VES 21 n° 10116 n° 10634 n° 10118 n° 10280 n° 10163 n° 10161 n° 10164 n° 10211 n° 10165 n° 10552 n° 51030950 n° 40250 n° 2542094 n° 34282698 n° 35183017 VES 21 VES 21 VES 21 VES 21 EXP RF RF RF RF RF RF RF RF AFF 30 CAP 20 AFF 30 CAP 20 AFF 30 CAP 20 AFF 30 CAP 20 ART 312A NWZ B162F Omnipulse 19 11010 CD–P1120 n° 10104 n° 10184 n° 10253 n° 10278 n°30101 n°120211 n°120198 n°120195 n°120139 n°10259 n°12004 n°12008 n°10528 n° 35536 n° 35529 n° 35733 n° 35527 n° 35731 n° 35531 n° 39994 n° 35770 n° KGXW23988 n° 1155606 211A Wind Explorer CR200séries CR200X CSQT CSQT + Kit GSM n° 29660 01dB 01dB 01dB 01dB 01dB B&K B&K v. 4.7 v. 4.7 v. 5.3 v. 4.7 v. 4.0.0.5 v. 4.9 v. 2.2 01dB - CSTB 01 dB - Datakustik Euphonia Autodesk CalComp v. 5.0.10 v.3.6 v. 8.0 v. 2006 DBIII J. Autovérification du matériel sonométrique X n° 610244 n° 2596468 n° 54057 n° 30480 n° 10140 n° 10374 n° 10033 n° 10035 n° 10050 X X X X Les appareils de mesure sont conformes à la Norme NF S 31-109 "Acoustique & Sonomètres intégrateurs". Les calibreurs sont conformes à la norme NF S 31-039 "Calibreurs Acoustiques". Les Vérifications primitives (ou Vérifications après réparation) sont effectuées par les Laboratoires Techniques des sociétés 01dB-Metravib et Bruel & Kjaer. Les Vérifications périodiques sont effectuées par le Laboratoire Nationale d’Essais (LNE), tous les deux ans (article 16 de l’Arrêté du 27 octobre 1989 relatif à la construction et au contrôle des Sonomètres). -/%L&RQVHLOV±Q$±PDL 3DJHVXU -/%L&RQVHLOV±Q$±PDL 3DJHVXU 9$/25(0±3DUFpROLHQ'H%DkORQ±(WXGHG¶LPSDFWDFRXVWLTXH -/%L&RQVHLOV±Q$±PDL 9$/25(0±3DUFpROLHQ'H%DkORQ±(WXGHG¶LPSDFWDFRXVWLTXH 3DJHVXU -/%L&RQVHLOV±Q$±PDL 3DJHVXU 9$/25(0±3DUFpROLHQ'H%DkORQ±(WXGHG¶LPSDFWDFRXVWLTXH Rapport d’étude n° 12 22 1657-1A © JLBi Conseils – mai 2013 Toute reproduction, même partielle, tout transfert à un tiers sous quelque forme que ce soit, sont strictement interdits sans autorisation écrite Projet de parc éolien de Baâlon (55) – Étude d'impact – BAALON ENERGIES Annexe 3 : Etudes naturalistes Novembre 2013 Annexes – Page G Projet de parc éolien de Baâlon (55) – Étude d'impact – BAALON ENERGIES Novembre 2013 Annexes – Page H PROJET DE PARC EOLIEN SUR LA COMMUNE DE BAÂLON (55) DIAGNOSTIC AVIFAUNISTIQUE 11 07 0048 07.10.2013 airele est 6 Place sainte Croix 51000 Châlons-en-champagne Tél : 03 26 64 05 01 Fax : 03 26 64 73 32 [email protected] Projet de parc éolien sur la commune de Baâlon (55) Etude écologique TABLE DES MATIERES Chapitre 1. Localisation du périmètre d’étude et présentation du contexte environnemental .................................................... 5 1.1. Présentation générale du secteur................................................ 6 1.2. Zonage patrimonial ................................................................ 6 Chapitre 2. Méthodologies employées .................................... 11 2.1. Expertise Flore et Habitats Naturels .......................................... 12 2.1.1. Protocole .................................................................................... 12 2.1.2. Limites de l’étude .......................................................................... 12 2.2. Expertise avifaunistique ......................................................... 12 2.2.1. Protocole .................................................................................... 12 2.2.2. Limites des méthodes utilisées ........................................................... 13 2.3. Expertise chiroptérologique .................................................... 14 2.3.1. Protocole .................................................................................... 14 2.3.2. Limites de l’étude .......................................................................... 14 2.1. Expertise « autre faune » ....................................................... 15 Chapitre 3. Etat initial ...................................................... 17 3.1. Flore et Habitats naturels ....................................................... 18 Chapitre 5. Présentation du projet ....................................... 43 Chapitre 6. Impacts ......................................................... 45 6.1. Zones naturelles d’intérêt reconnu ............................................ 48 6.1.1. Etude d’incidence Natura 2000 ........................................................... 48 6.1.2. Autres zones naturelles d’intérêt reconnu .............................................. 51 6.1.3. Impacts cumulatifs sur les zones naturelles ............................................ 51 6.2. Flore/Habitats .................................................................... 52 6.2.1. Phase de chantier........................................................................... 52 6.2.2. Phase d’exploitation ....................................................................... 52 6.2.3. Impacts cumulatifs ......................................................................... 52 6.3. Avifaune............................................................................ 54 6.3.1. Phase de chantier........................................................................... 54 6.3.2. Phase d’exploitation ....................................................................... 54 6.3.3. Impacts cumulatifs ......................................................................... 58 6.4. Chiroptères ........................................................................ 60 6.4.1. Phase de chantier........................................................................... 60 6.4.2. Phase d’exploitation ....................................................................... 60 6.4.3. Impacts cumulatifs ......................................................................... 60 6.5. Autre faune ........................................................................ 60 6.5.1. Phase de chantier........................................................................... 60 3.1.1. Les habitats naturels ....................................................................... 18 6.5.2. Phase d’exploitation ....................................................................... 60 3.1.2. La Flore ...................................................................................... 20 6.5.3. Impacts cumulatifs ......................................................................... 60 3.2. Avifaune ........................................................................... 22 6.6. Synthèse des impacts sur le milieu naturel ................................... 61 3.2.1. résultats ..................................................................................... 22 Chapitre 7. Mesures ......................................................... 63 3.2.2. Bioévaluation patrimoniale ............................................................... 31 3.2.3. Interprétation légale ....................................................................... 31 7.1. Mesures relatives aux zones naturelles d’intérêt reconnu ................. 64 7.2. Mesures relatives à la flore et aux habitats naturels ....................... 64 7.3. Mesures relatives à l’avifaune .................................................. 64 3.3. Chiroptères ........................................................................ 32 3.3.1. Résultats ..................................................................................... 32 3.3.2. Bioévaluation patrimoniale ............................................................... 38 3.3.3. Interprétation légale ....................................................................... 38 3.4. Autre faune ........................................................................ 39 3.4.1. Amphibiens et reptiles..................................................................... 39 3.4.2. Mammifères autres que les chiroptères ................................................. 39 Chapitre 4. Synthèse des enjeux écologiques ........................... 41 Rapport final– Version 01 – OCTOBRE 2013 7.3.1. Phase de chantier........................................................................... 64 7.3.2. Phase d’exploitation ....................................................................... 64 7.4. Mesures relatives aux chiroptères ............................................. 65 7.5. Mesures relatives aux autres taxons faunistiques ........................... 65 7.6. Finalité et Coût des mesures ................................................... 65 Chapitre 8. Annexes ......................................................... 67 1 Projet de parc éolien sur la commune de Baâlon (55) Etude écologique 8.1. Annexe 1 : Statut des espèces observées ..................................... 8.2. Annexe 2 : Rappels sur la biologie des Chiroptères ......................... 8.3. Annexe 3 : Réglementation nationale et internationale concernant faune et la flore ......................................................................... 8.4. Annexe 4 : Références bibliographiques ...................................... 2 Rapport final – Version 01 – OCTOBRE 2013 68 71 la 74 75 Projet de parc éolien sur la commune de Baâlon (55) Etude écologique PREAMBULE Dans le cadre d’un projet d’implantation d’un parc éolien sur la commune de Baâlon (55), la société VALOREM a missionné la société AIRELE afin de réaliser un diagnostic écologique sur un cycle biologique complet. L’expertise de terrain, débutée en août 2011 s’est étalée sur un cycle biologique complet pour se terminer en juillet 2012. Rapport final– Version 01 – OCTOBRE 2013 3 Projet de parc éolien sur la commune de Baâlon (55) Etude écologique 4 Rapport final – Version 00 – AOUT 2013 Projet de parc éolien sur la commune de Baâlon (55) Etude écologique Chapitre 1. LOCALISATION DU PERIMETRE D’ETUDE ET PRESENTATION DU CONTEXTE ENVIRONNEMENTAL Rapport final– Version 01 – OCTOBRE 2013 5 Projet de parc éolien sur la commune de Baâlon (55) Etude écologique 1.1. PRESENTATION GENERALE DU SECTEUR La zone d’étude se trouve dans le nord du département de la Meuse (55) à 40 km au Nord de Verdun. La zone d’étude est fractionnée sur un plateau dominé par les grandes cultures. Les haies et bosquets en sont quasiment absents et le secteur est traversé par une ligne très haute tension. Des boisements sont présents sur les pourtours de la zone et des prairies pâturées entourent la commune de Baâlon. Arrêté Préfectoral de Protection de Biotope : L’Arrêté Préfectoral de Protection de Biotope (APPB) permet la préservation de biotopes nécessaires à la survie d’espèces protégées. Il est créé à l’initiative de l’Etat, en la personne du préfet et n’est pas soumis à enquête publique. L’arrêté fixe les mesures qui doivent permettre la conservation des biotopes. La réglementation édictée vise le milieu lui-même et non les espèces qui y vivent. Ce classement ne comporte pas d’obligation de surveillance et de gestion. 1.2. ZONAGE PATRIMONIAL Six types de zones naturelles d’intérêt reconnu ont été recensés dans les environs du projet : Zones Naturelles d’Intérêt Ecologique, Faunistique et Floristique (type I et II) : Le programme ZNIEFF a été initié par le ministère de l'Environnement en 1982, il a pour objectif de se doter d'un outil de connaissance permanente, aussi exhaustive que possible, des espaces naturels, terrestres et marins, dont l'intérêt repose soit sur l'équilibre et la richesse de l'écosystème soit sur la présence d'espèces de plantes ou d'animaux rares et menacées. Deux types de zones sont définis, les zones de type I, secteurs de superficie en général limitée, caractérisés par leur intérêt biologique remarquable et les zones de type II, grands ensembles naturels riches et peu modifiés, ou qui offrent des potentialités biologiques importantes. 1.2.1.1. AIRE D’ETUDE ELOIGNEE (PERIMETRE DE 20 KILOMETRES) Cinquante-quatre zones naturelles d’intérêt reconnu sont concernées par l’aire d’étude éloignée : Zone naturelle Zone Importante pour la Conservation des Oiseaux (ZICO) : Les Zones Importantes pour la Conservation des Oiseaux (ZICO) résultent de la mise en œuvre de la Directive « Oiseaux » 79/409/CEE du 2 avril 1979. Cet inventaire, publié en 1994, est basé sur la présence d'espèces d'intérêt communautaire répondant à des critères numériques précis. Il regroupe 285 zones pour une superficie totale d'environ 4,7 millions d'hectares et constitue l’inventaire scientifique préliminaire à la désignation des Zones de Protection Spéciale (ZPS). Site d’Importance Communautaire (SIC) et Zone de Protection Spéciale (ZPS) La Directive 92/43 du 21 mai 1992 dite « Directive Habitats » prévoit la création d'un réseau écologique européen, dénommé « Réseau Natura 2000 », et constitué de Zones Spéciales de Conservation (ZSC) et de Zones de Protection Spéciale (ZPS). Les ZSC concernent les habitats naturels et les espèces animales et végétales d’intérêt communautaire (hors avifaune). Elles sont désignées à partir des Sites d’Importance Communautaire (SIC) proposés par les Etats membres et adoptés par la Commission européenne, tandis que les ZPS sont désignées, en application de la Directive « Oiseaux », sur la base des Zones Importantes pour la Conservation des Oiseaux (ZICO). 6 Rapport final – Version 00 – AOUT 2013 39 Zones Naturelles d’Intérêt Ecologique Faunistique et Floristique (ZNIEFF) de type I ; 2 Zones Naturelles d’Intérêt Faunistique et Floristique de type II ; 3 Zones d’Importance pour la conservation des oiseaux ; 4 Zones Spéciales de Conservation (ZSC) ; 5 Zones de protection spéciale (ZPS) ; 1 Arrêté Préfectoral de protection de Biotope (APPB). ZNIEFF I Distance par rapport à Description Désignation la zone d’implantation (en m) ZONES OUVERTES ENTRE LUSY-SAINT-MARTIN ET LANEUVILLESUR-MEUSE 21 5900 BOCAGE ET PRAIRIES HUMIDES DU LOISON A JAMETZ 22 6500 GITES A CHIROPTERES DE BRANDEVILLE ET MURVAUX 29 6900 MILIEUX OUVERTS A BRANDEVILLE ET BREHEVILLE 30 7700 PELOUSES VERS LES BASSES PLANTES A INOR 6 7800 GITES A CHIROPTERES DE THONNE-LE-THIL 17 8000 GITES A CHIROPTERES DE VELOSNES ET BAZEILLES-SUROTHAIN 12 8400 BOIS DE JAMETZ ET DE LISSEY 23 8500 GITES A CHIROPTERES DE THONNELLE 28 9000 PELOUSES VERS LE MONT A VILLECLOYE 10 9200 SOUTERRAINS DE MONTLIBERT 44 9300 VALLEE DE LA MARCHE ET DU PAQUIS A AUFLANCE, MOIRY ET SAPOGNE-SUR-MARCHE 46 9800 MARAIS D'AVIOTH 2 10000 GITES A CHIROPTERES DE HALLES-SOUS-LES-COTES 27 10000 PRAIRIES AU NORD-EST DE NOUART ET DE TAILLY 1 10243 PARTIE FORESTIERE DU RUISSEAU DE MONT A MONT-DEVANTSASSEY 24 10600 GITES A CHIROPTERES DE BREHEVILLE ET LISSEY 31 11400 RIVIERE L'OTHAIN 33 11400 PRAIRIES HUMIDES DE LA VALLEE DE LA MEUSE, BOIS ET PELOUSES DES COTEAUX ENTRE LETANNE ET VILLEMONTRY 36 11600 Projet de parc éolien sur la commune de Baâlon (55) Etude écologique Zone naturelle Distance par rapport à Description ZICO ZSC ZPS la zone d’implantation (en m) PELOUSES DE WARINVAUX A DUN-SUR-MEUSE ZNIEFF II Désignation 4 Distance par rapport à Zone Description naturelle Désignation la zone d’implantation (en m) 12400 FORËT ET ZONES HUMIDES DU PAYS DE SPINCOURT FR4112001 18900 PORTIONS DE LA RIVIERE DE LA MARCHE ET DU RUISSEAU DES PAQUIS FR3800474 9700 MORTES DE LA MEUSE A LINY-DEVANT-DUN ET CLERY-LE-PETIT 5 12700 LA CHIERS EN AVAL DE LONGUYON 14 13900 GITE A CHIROPTERES D'AINCREVILLE 16 15200 PRAIRIES DES PETITS CLAIRS CHENES A L'OUEST DE BEAUMONT-EN-ARGONNE 42 15300 TALUS ROUTIERS BOISES DE BELVAL-BOIS-DES-DAMES 37 15500 GITES A CHIROPTERES D'ETRAYE 3 15800 RUISSEAU DU DORLON 35 16600 PRAIRIES, PELOUSES ET BOIS AU SUD DE YONCQ 38 16600 COTE DE LA VIERGE A FAILLY 26 16700 PELOUSE DE LA COTE D'URBUL A CHARENCY-VEZIN 11 16800 SAVARTS, PRAIRIES ET BOIS ASSOCIES A VAUX-EN-DIEULET ET BAR-LES-BUZANCY 45 16800 VALLONS BOISES DU FOND DE NANTY ET DU BOIS DE PUILLY A WILLIERS ET PUILLY-ET-CHARBEAUX 41 FORET DOMANIALE DE BELVAL, BOIS ET MARDELLES DE SAINTPIERREMONT APPB Tableau 1. Zones naturelles d’intérêt reconnu dans l’aire d’étude éloignée 1.2.1.2. AIRE D’ETUDE INTERMEDIAIRE (PERIMETRE DE 5 KILOMETRES) Dix zones naturelles d’intérêt reconnu sont concernées par l’aire d’étude intermédiaire : • 8 Zones Naturelles d’Intérêt Ecologique Faunistique et Floristique (ZNIEFF) de type I • 2 Zones Naturelles d’Intérêt Ecologique, Faunistique et Floristique (ZNIEFF) de type II. Distance par rapport à la Description Désignation 17100 FORET DE WOEVRE ET GITE A CHIROPTERES DE MOUZAY 15 240 43 17400 GITES A CHIROPTERES DE HAN-LES-JUVIGNY ET JUVIGNY-SURLOISON 13 1700 PRAIRIES AU SUD-EST DU BOIS DE LA FOLIE A BAYONVILLE 47 17600 PRAIRIES ET GRAVIERES DE MILLY A MOUZAY 32 3800 PELOUSES A SAINT-LAURENT-SUR-OTHAIN ET SORBEY 9 17700 GITE A CHIROPTERES A ALLONDRELLE-LA-MALMAISON 19 17800 BOIS DU BELLOY, DE CHAMPEL, DU BOCHET ET DE BERTRIMONT ENTRE BIEVRES ET CHAUVENCY-SAINT-HUBERT 39 3800 LES VALLONS BOISES DE MATTON ET DE BANEL A MATTON-ETCLEMENCY 4100 17900 VALLEE DE LA MEUSE EN AMONT DE STENAY 7 40 4300 20 18400 VALLEE DE LA MEUSE DE POUILLY-SUR-MEUSE A STENAY 8 GITES A CHIROPTERES A COLMEY PELOUSE DE VIGNENBOIS 34 18900 GITE A CHIROPTERES D'OLISY-SUR-CHIERS 25 4400 VALLEE DE LA CHIERS ET DELA CRUSNES / 14000 GITES A CHIROPTERES DE MONTMEDY 18 4600 COTES DE MEUSE / 7300 PAYS DE MONTMEDY / 200 FORET DE DIEULET, DE JAULNAY ET BOIS DE LA VACHE ENTRE BEAUMONT-EN-ARGONNE ET LANEUVILLE-SUR-MEUSE / 6500 VALLEE DE LA MEUSE A STENAY / 3700 VALLEE DE LA MEUSE LE04 3900 PLAINE DE LA WOEVRE NORD / 200 CONFLUENCE DE LA VALLEE DE LA MEUSE ET DE LA CHIERS CA09 8200 PLATEAU ARDENNAIS CA01 14500 VALLEE DE LA MEUSE (secteur de Stenay) FR4100234 3900 PELOUSES ET MILIEUX CAVERNICOLES DE LA VALLEE DE LA CHIERS ET DE L’OTHAIN, BUXAIE DE MONTMEDY FR4100155 4100 FORET DE DIEULET FR4100186 8900 SOUTERRAINS DE MONTLIBERT FR2100342 9000 VALLEE DE LA MEUSE (secteur de Stenay) FR4112005 3900 CONFLUENCE DE LA VALLEE DE LA MEUSE ET DE LA CHIERS FR2112004 8200 PLATEAU ARDENNAIS FR2112013 14500 VALLEE DE LA MEUSE FR4112008 16300 Rapport final– Version 01 – OCTOBRE 2013 Zone naturelle ZNIEFF I ZNIEFF II Tableau 2. zone d’implantation (en m) Zones naturelles d’intérêt reconnu dans l’aire d’étude intermédiaire Les informations concernant ces entités sont peu nombreuses. Les habitats déterminants sont les forêts (principalement caducifoliées), les landes, fruticées et prairies, les prairies humides et mégaphorbiaies ainsi que les eaux courantes. Peu d’espèces sont mentionnées comme déterminantes. Notons toutefois la présence du Grand murin (Myotis myotis) et du Murin de Daubenton (Myotis daubentoni) au niveau du canal de la vieille forge au Sud de Stenay à 4,5 kilomètres de l’aire d’étude ainsi que du Grand murin dans les combles de l’hôpital à 4 kilomètres. 1.2.1.3. AIRE D’ETUDE IMMEDIATE ET EMPRISE DU PROJET Aucune zone naturelle d’intérêt reconnu n’est concernée par l’aire d’étude immédiate ou l’emprise du projet. 7 Projet de parc éolien sur la commune de Baâlon (55) Etude écologique 8 Rapport final – Version 00 – AOUT 2013