J
Ëbauche ciu
piarenia
fcrmé
pai
la fusion
de
plusietis
tei{'ules
Tissus
maternels
Tissus
embryonnaires
Une
étude
de la fonction
du gène
codant
la syncytine. 0n
introduit
dans
des cellules
en culture
incapables
de
fusionner
entre
elles, soit
le
gène
codant
la syncytine,
soit
un
gène
témoin
sans
effet
sur
la fusion
des cellules.
Les cellules
sont ensuite
observées
au
M0. Chez
la femme enceinte,
la syncytine
est fortement
e4primée
dans
le tissu
placentaire
qui
résulte de
la fusion
des cellules
embryonnaires.
I I ! | I ! Ë I I | ! t {'I I t t !,! | I.{,t'r | | !: -i
rlt**rrr*ir*****i:rrç*ji
Le{RraelàuaruarLeuGlnRsnnrgRrgRrùLeufispLeuLeuThrfira6tuargGI]l6ryThrcysLeuphel
I
ÊIu- - GIU- ÊIft- r IIe- - fiIa
Gomparaison d'une
portion
de
séquence
de la syncytine
humaine
et de la protéine
d'enveloppe
du virus
MPMV.
La syncytine est
exprimée chez tous
les
grands primates,
mais chez aucun
autre
mammifère.
Le virus
MpMV infecte
les
primates.
Les régions
des
protéines
comparées
ici
(appelées
Fu
pour
la
protéine
virale et
F6
pour
la
protéine
humaine)
sontidentiquesà800/0.(<..ret(:))=acidesaminésauxpropriétéschimiquesidentiques;(::j>:acidesaminésidentiques.)
Fixalion
de
la
protéine
d'enveloppe
sui
pfoletne
fe(epiflce Fusion de l'envelopDe du
virus
et de la
membrane
piasmique
de la cellule
ææ
Ë
,i
Paroi
cie
i'utérus â&
4i$ La mise
en place
du placenta
chez
I'Homme.
Lors de l'implantation
de l'embryon
dans la
paroi
de
l'utérus,
cettaines
cellules
de l'embryon
fusionnent
entre
elles,
formant ainsi
des
cellules
<
géantes
>r
à
plusieurs
noyaux qui
constitueront
le
placenta
(structure
permettant
les échanges
de
nutriments
et
de dioxygène
entre
la
mère
et
l'embryon).
sur
la
protéine
réceptrice de la cellule
cible. Sa
structure spatlale
est
identique à celle de la région Fn de
la syncytine humaine
Comprendre
l'cpparif ion
du
plccentc
et dcnc l'opparitian de la ligné,e des
mammifàres
plccenta;res
*g_çg{æggf*'f*-.
3**
pf*ec*Ée,
{.rnË sr$û*e r&rrirË#r?
** ds st*æhr#qJsesi *spécæs
:
Les
<<
ptccentaires
> forment
un graupe
de mammif
ères
(3400 espèces)
qui
comme
leur
nom
f
indique,
ont en commun d'ëtre dotés d'un
plccento.
On suppose
que
tous les mammifàres
plocentcires ont hérité cet oTtribut d'un encëtre commun,
premier
ëIre vivsnt oyont
bénéficié d'un
plocento.
Cette innovation
évolutive
permet
lo viviparité., le développernent
embryonnaire
pouvant
oinsi
se dérouler
au sein
même
de l'orgonisme
moternel.
tqcumeftt 2 : t-es Syncytrnes
L'embryon
humoin
juste ovant so nidotion dans lo paroi
utérine
est constitué
por un
massif
ceffuloire,
à pcrtir duquel se formero
l'orgonisrne,
et d'une couche cefluloire externe,
le
lrophoblcste.
L'embryon s'implonte dans lo poroi grâce
à son trophoblaste
qui prolifàre.
Surtout,
les
membrones
des cellules
du trophoblasTe
fusionnent,
ce
qui
en
foit une couche
multinucléée,
le syncytiotrophobloste,
à I'origine
ou plocento por lo suite. Dans ce
trophobfoste,
les chercheurs ont identifié deux protéines,
les Syncytines
I et 2 dont ifs
pensent
qu'elles
sont
impliquées
dqns
ls fusion
cellulqire
conduisont ou syncytiotrophobloste.
Ces
protéines
sont codées
respectivernent
por deux gènes
z le gène
HERWEI,
situé sur le
chromosome7, et le gène
ERV-FRDI situé sur le chromosome
6.
ffi3-ffi
rig. 3
êla:tocgste libre
{aprè: rupture de l:
zone pellucide] au
dêbut de san
adhésiar' à la parei
utérine {6 à ?jaurs),
Les ce{lules
trophobl:stiques du
pôfe embrycnnaire
se différencient et
prclifêrent pour
farn-,er le
s
yncytiotrephsbla:te
in*asif, Le pôle
abembrgonnaire est
quanÈ :i lui forrrÉ p*r
le: cellule: du
cytc.tropho!,la:te,
I épithéliurn de la nruqueuse
utèriie
2 hyp.-'blaste
3 sgnrjtiatrophabl;rte
4 cytotr.,phot'laste
ffi'Ê?iIT?*'I*
Fig. a, Fig.8
UôÉtirité lt't que du
l'er,domèbe, Le Eànq
roeierne[ :'engo,rifre
darr ler laaur,êa. LE
ST ençeloFpe le.
ùsFillairè5 môternè|',
étend:nt scn ré:ea,:
Étàbliiser.t un
rÉsÉrtùir àaériÈl Èt
un st3tèr,e de
drainage rearreua,
t hlpct,l:ste en !çie de
prÉiiférstion
2 érosioft dêr iàFillâifes 4 memt'rafie d€ Heuser
5 cârité àmhiatigs€
6 cytûtrûFhabirste
t sy trrgtiqtroFh6blàrte
8 là! etRguin
Comprendre I'appcri?ian du
plccente
e? dcne I'opparition de la lignâe des
rnams5
if
ères p tacentcires
fes deux
gànes
s'expriment uniquernent
dans le plocento,
en particufier
ou début de sc
farmation:
ils possèdent
effecfivement la capcciTé. de faire fusionner
des cellules entre
elles, dans des tests réolîsé.s
sur
des
cellule,s en
culture.
Ces
phénomànas
de
fusion
celluloire
conduisent
à lo forrnation
de sfructures géontes
appelé,es
<<
syncytia
>>,
constituées
por la
réunion de cellules
individuelles
en une seule
<<
nûppe
>>
celluloire
multinucléée.
Cette
propriâté
s conduit è nommer
les deux gènes
en
questiongènes
de
<<syncytine>.
et ù fsire
I'hypothàse
que
les
protéines
cadé,es
por
ces
fomeux
gènes
pourroient
être responsobles de
la formaTion
d'un constituont essentiel du plccento
appelé syncytiotrophoblcste. Cette
structure cellulsire constitue
une
interfoce
conTinue et une zone
d'échonge entre le song
moTernel
et le scng
fætol. Elle joue un rôle crucial
pour lo survie du fætus et sersif
nécessoire
pour l'étoblissement de fo tolérance
immuniTaire
moterno
-f ætale peul-àtre par
une diminution
de
la réponse immunitsir
e
à ce nivecu.
Lo
production
de
syncytines
n'est
pos propre
oux
primotes.
On o mis
en âvidence l'expression
de deux Syncytines dites A et B dons le plocento
de rongeurs
(souris.
rats) et des
expérrences
d'involidotion du gàne
de lo syncytine A ont montré
qu'en
son obsence les
embryons
meurent
à mi-gestation.
L'orchitecture
placentoire
de ces
embryons est perturbée
entroînant une diminution des ,échanges
fæto-moternels,
un retard de craissance,
et
finqfement
lo morT
de l'embryon. Ces
syncytines A et B de souris sont oussi codées
por des
gènes
Env
viroux et s'avèrenT
donc
indispensobles
à lo
reproduction
de l'espèce.Les
gànes
des
syncytines de lo souris
montrent
peu
de similitudes ovec
les gènes
humains,
ce qui indique
qu'ils
ont une origine
indépendonte.
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