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VITAL’ BASE
COMPLÉMENT ALIMENTAIRE I BASE MAGNÉSIENNE
1 -DEFINITION ET PROPRIÉTÉS DES CONSTITUANTS DE VITAL
BASE
COMPOSITION
-CHLORURE DE MAGNESIUM
-Teintures mères élaborées à partir de plantes fraîches.
Verge d’Or Passiflore
Fumeterre Olivier
Hydrocotyle Bugrane
Marron d’Inde Prêle
Cassis
1 -1 CHLORURE DE MAGNESIUM
-Le Magnésium est un métal Alcalino-terreux,
il représente environ 0,05 % du poids du corps.
A- GÉNÉRALITÉS :
Sa répartition est très irrégulière dans les proportions suivantes
:
- Squelette : 60 %
- Tissus et organes : 30 %
- Liquide extracellulaire : plasma sanguin,
sa concentration est faible et variable : 1%
- Les valeurs en magnésium du sang : de 1,8 à 2,2 mg/100ml
- Le métabolisme du magnésium est caractérisé par le fait de
la faible disponibilité des réserves de l’organisme et donc
de pouvoir disposer d’un apport alimentaire régulier.
- Excretion elle se fait principalement par voie
urinaire et fécale.
B -ROLE DU MAGNESIUM
Pour un apport supérieur à 15 % de l’AJR, le magnésium
est reconnu pour :
• aider à atténuer la fatigue et l’asthénie
• contribuer à l’équilibre électrolytique
• contribuer à un métabolisme énergétique
normal
• contribuer au fonctionnement normal du
système nerveux
• contribuer à une fonction musculaire normale
• contribuer à une synthèse protéique normale
• contribuer à une fonction psychique normale
• contribuer au maintien d’une ossature normale
• contribuer au maintien d’une dentition normale
• jouer un rôle dans le processus de division
cellulaire
C-BESOINS EN MAGNESIUM
ADULTES : Besoins accrus par le
stress : 375 mg en apport
à l’alimentation (100 % AJR)
- vieillards : mauvaise assimilation du Magnésium
alimentaire
- femme enceinte : besoins multipliés par 3
ENFANTS : 200 à 250 mg Magnésium en apport à l’alimentation
-comportement irritable
-sommeil agité
1 -2 Teintures mères
-Élaborées par macération à partir de végétaux frais (10%)
1 -21 SOLIDAGO VIRGA-AUREA L
VERGE D’OR
Description :
- Plante souvent vigoureuse (1m) à
feuilles ovales allongées, velues,
rudes sur les bords, plus ou moins
dentées. Grappes feuillées de
capitules (diamètre 2 cm env.).
Bractées membraneuses, fleurs
jaunes ligulées à la périphérie,
tubuleuses au centre.
Akènes jaune pâle à aigrette, cylin-
driques et côtelés. La Verge d’Or
fréquemment cultivée est commune
dans les lieux silicieux
d’Europe, dans le Nord de l’Asie, de
l’Afrique, de l’Amérique.
Parties utilisées. - Sommités fleuries
^

Usages et propriétés : allégation évaluée par l’AESA :
La verge d’or aide à maintenir la santé des voies urinaires, et
augmente la résistance physiologique de l'organisme en cas de
conditions sévères. Contribue au cours du cycle prémenstruel.
Contribue pour soulager les symptômes de la ménopause. Aide à
maintenir la mobilité et la flexibilité des articulations. Elle
présente des propriétés d’antioxydants qui peuvent protéger
contre les
radicaux libres. Contribue à des fonctions d'élimination
urinaire normale.
La Verge d’Or contient des saponides, des flavonoïdes et autres
composés polyphénoliques (acides-phénols, coumarines) (1).
C’est à ces constituants qu’elle doit ses propriétés sur l’élimina-
tion urinaire.
BIBLIOGRAPHIE
1 -GERLACH (H.) - Herba pol. 1972, 18, 155-159
1 -22 FUMARIA OFFICINALIS L.
FUMETERRE
Description
- Plante herbacée, verte ou glaupe, très commune dans les
champs, les endroits incultes, au bord des chemins dans toute
l’Europe sauf dans l’extrême nord, dans les régions tempérées
de l’Asie, en Afrique du Nord. La tige, souvent couchée, peut at-
teindre 70 cm de long; elle porte des feuilles profondément di-
visées. Les fleurs, rose violacé, très irrégulières, assez petites,
sont réunies en grappes. le fruit est une silicule globuleuse ne
dépassant pas 2 mm.
Parties utilisées; - Les parties aériennes.
Usages et Propriétés : allégation évaluée par l’AESA :
- Contribue au maintien d'un foie sain, traditionnellement utilisé
pour aider à l'élimination par les reins et pour supporter l'élimi-
nation hydrique par les voies urinaires - Utilisé traditionnelle-
ment pour aider aux fonctions d'élimination de l'organisme .
L’utilisation populaire de nos régions considère la plante comme
un bon dépuratif et diurétique. Ces propriétés sont dues
vraisemblablement aux sels de potassium. Quant à la
thérapeutique occidentale, elle met à profit l’action régulatrice
du flux biliaire, peut-être due en partie à la présence d’assez
nombreux flavonoïdes (1).
La Fumeterre officinale est un constituant de plusieurs spécial-
ités commercialisées en Italie, Belgique, France et Allemagne
Fédérale.
BIBLIOGRAPHIE
1 -TOCK (m)., PINKAS (M.) et BEZANGER-BEAUQUESNE
(L.) - ann. pharm.fr., 1971, 29, 591 -596.
1-23 CENTELLA ASIATICA (L.) URHAM HYDROCOTYLE
Asiactica 1.
Description :
Petite herbacée vivace assez polymorphe, à nombreux stolons
qui assurent l’extension de la plante, formant des touffes denses.
Feuilles insérées en rosettes serrées sur des tiges courtes ;
limbe réniforme au sommet de 2 à 4 cm de diamètre ; pétiole 5 à
10 fois plus long que le limbe à sa grande dimension. Le nom hy-
drocotyle indique l’habitat humide, voire aquatique du genre et la
forme en écuelle du limbe. Une couleur rouge apparaît en expo-
sition ensoleillée. Fleurs petites (2 mm), typiques des Ombelli-
formes peu fournies, Fruit : diakène orbiculaire disciforme, très
comprimé, à 7 côtés visibles. Bref une Ombellifère atypique,
classée comme quelques autres genres dans la tribu des San-
iculées, à feuilles non divisées.
La plante avait été observée d’abord en Inde, ou du moins dans
«les Indes». Elle est en effet répartie dans les pays qui entourent
l’Océan indien, donc aussi à Sri Lanka, Sumatra, Java... et
Madagascar, les Mascareignes. On ne manque jamais à cette
occasion de rappeler l’hypothèse d’un continent, le Gondwana,
qui aurait réuni ces pays avant la migration de ce qui devait de-
venir le sous-continent indien vers le Nord. Rien d’étonnant alors
que de mêmes espèces se retrouvent dans les îles du Sud et en
Inde.
Pourtant la composition chimique ne paraît pas identique partout.
On a donc distingué les variétés indienne, cinghalaise et malgache.
Parties utilisées :
C’est la plante entière qui est utilisée et les études chimiques
portent sur les seules parties aériennes ou sur la totalité de la
plante.

COMPOSITION CHIMIQUE :
Tout d’abord des substances banales telles que sucres,
mucilages, tanins, acides aminés libres, acides gras, B-
sitostérol... La teneur en éléments minéraux, vitamines, pro-
téines, lipides, libres dites alimentaires de la feuille a été étudiée
par des auteurs pakistanais en vue de l’utilisation alimentaire, ce
qui suppose l’absence de toxicité de cet organe. L’originalité de la
composition de la plante provient de la nature des saponosides
triterpéniques esters qu’elle contient. Il s’agit toujours de
dérivés de l’ursane, mais portant plusieurs fonctions hydroxyle
en particulier une en 3 dans le cas de l’acide asiatique, deux en 2
et 3 dans celui de l’acide madécassique en trois en 2, 3, 6 dans le
cas de l’acide madasiatique, si l’on envisage la variété malgache.
Celle-ci contient finalement les deux saponosides suivants : asi-
aticoside, madécassoside, chez lesquels la chaîne glucidique
comporte des restes rhamnosyle et glucosyle. Le nom chimique
de l’asiaticoside est donc : ester de l’adide trihydrowy-2 les deux
saponosides
suivants : asiaticoside, madécassoside, chez lesquels la chaîne
glucidique comporte des restes rhamnosyle et glucosyle. De son
côté la variété cinghalaise contient du centelloside et d’autres
saponosides de structures chimiques voisines de celle de la
variété malgache, encore qu’elles soit imparfaitement connues.
La variété indienne fournit du brahmoside, qui part hydrolise,
donne l’acide brahmique voisin de l’acide Asiatique, avec 1 seule
double liaison toutefois. Autres saponosides : thankuniside,
isothankuniside, indocentelloside (et peut être aussi asiatico-
side).
Usages et Propriétés : allégation évaluée par l’AESA
- Aide à maintenir une bonne performance cognitive,
- Aide à maintenir la circulation veineuse / supporte la
circulation
périphérique / jambes fatiguées / jambes lourdes
- Stimule et favorise la cicatrisation des plaies
- Harmonise les fonctions cardio-vasculaires et contribue à leur
bon fonctionnement.
- Favorise le confort digestif, soulage les plaies de l'estomac
- Apaise les douleurs d'estomac.
La plante bénéficie d’une longue tradition dans les pays bordant
l’Océan Indien pour le traitement cutané. Dès la fin du XIXe s. des
auteurs français, dans les Comptoirs en Inde, dégagent des ef-
fets cicatrisants. On inscrit l’Hydrocotyle au Codex de 1884. De
nouvelles observations à Madagascar relancent l’intérêt de cette
plante dont le jus est absorbé par la bouche et appliqué sur les
lésions. Sur les plaies, poudre, infusé, extraits provoquent
l’apparition d’un tissu de granulation. Les extraits purifiés que
l’on a décrits sont de l’Asiaticoside plus ou moins pur. Chez
l’Homme comme chez l’animal, on obtient un effet cicatrisant
passant par une stimulation du système réticulo-endothélial et
par une modification du collagène en place. Les indications en
topique sont assez larges : traitement cutané, aide à la
cicatrisation des lésions de brûlure et des escarres.
BIBLIOGRAPHIE
1- FRAUNKEL (F.) ZELLNER (G.) - Manalsh. Chem. 1933, 62,
206-208
2- SPÄTH (E.) SCHMID (H.) - Ber. deustch. chem. Ges. 1941, 74B,
595-598
3- SPÄTH (E.) BASCHKA (S.) - Ber. deustch. chem. Ges. 1934,
67B, 62-63
4- HILDITCH (T,P), JONES (E.E.) - Biochem. J., 1928, 22, 326-330
5 -PARIS (R.). - action sur le système circulatoire de diverses
essences et de quelques uns de
leurs constituants. Th. pharm. doct. unir., Paris, 1936
6 -CHEVALIER (A.) - C ; R ; Acad. Agric. Fr., 1942, 28, 106 -113
7 -JASTRZEBSKI (M.) - Acta polon. pharm. 1959, 18, 215 - 223
8 -BOITEAU (P.), RATSIMAMANGA (A.) - Thérapie, 1956, 11,
125 - 149
9 -RATSIMAMANGA (A.) - C.R. Soc. Biol.1958, 152, 1110, 1114

1-24 AESCULUS HIPPOCASTANUM L.
MARRON D’INDE
Description
- Originaire d’Asie Mineure, ou peut être d’Asie Centrale, le
Marronnier d’Inde croît à l’état spontané dans les gorges
montagneuses de la péninsule balkanique, au Caucase, dans la
partie nord de l’Iran et dans l’Himalaya. Introduit en France au
début du XVIIe siècle, il est très souvent cultivé dans les parcs et
les promenades. Il en est de même dans toute l’Europe
Occidentale et Centrale. Il s’agit d’un très bel arbre pouvant
atteindre 25 m de haut. Au début du printemps apparaissent de
gros bourgeons visqueux, formés d’écailles rougeâtres, d’où
sortiront les feuilles, grandes opposées, composées - palmées
avec 5 ou 7 folioles. La floraison a lieu en Avril -Mai : les fleurs,
blanches ou roses, sont réunies en des sortes de grappes
composées dressées. Le fruit est une grosse capsule verte,
épineuse, renfermant une ou deux graines, les marrons d’Inde,
bruns et luisants, avec un large hile blanchâtre.
Parties utilisées. - surtout les marrons, parfois l’écorce, plus
rarement les fleurs et les feuilles.
Usages et Propriétés : allégations évaluées par l’AESA
Elle présente des propriétés antioxydantes et peut protéger con
tre les radicaux libres.
- Utile pour protéger la peau contre les dommages oxydatifs des
UV ou à des conditions sévères protection contre l'action des
radicaux libres à cause du stress, alcool, exposition aux rayons
UV ou des conditions polluées.
- Augmente la résistance physiologique de l'organisme .
- Aide à maintenir la mobilité et la flexibilité des articulations. -
Contribue à la résistance au cours du cycle prémenstruel.
- Contribue à soulager les symptômes de ménopause.
- Complément alimentaire, soutient l'activité physiologique des
tissus de la peau, des cheveux, des ongles.
- Contribue aux activités physiologiques de purification de la
peau.
- Aide à l'équilibre du pH physiologique de l'estomac.
Traditionnellement utilisé pour la bonne circulation du sang dans
les microvaisseaux/ Traditionnellement utilisé pour diminuer les
sensations de jambes lourdes
- Contribue à entretenir la circulation du sang sain / promotion
de la santé circulatoire
- Aide à maintenir la santé veineuse et la circulation dans les
jambes
L’écorce doit son importante action vitaminique P grâce à la
présence d’hétérosides coumariniques dont le principal est l’
esculoside, glucoside de l’esculétol. Signalons que les fleurs
sont employées comme tonique, astringent et antihémorroïdaire
en Pologne et que l’on fait appel aux flavonoïdes des feuilles
dans l’appareil circulatoire en Autriche. La Belgique, l’Italie et,
surtout, la France et l’Allemagne Fédérale commercialisent de
nombreuses spécialités contenant du marron d’Inde ou l’un des
principes vus précédemment. Par contre, la plante paraît peu
utilisée dans les pays-saxons (Etats-Unis, Grande-Bretagne).
BIBLIOGRAPHIE
1 -ARNOLD (H.) et PRZERWA (M.) - Arzneim Forsch. 1976, 26,
402-409
2 -WAGNER (J.) - Arzneim, Forsch. 1967, 17, 546-551
3 -RIMPLER (H.) - Dtche Apoth. Zrg. 1970, 110, 1657-1658
4 -MIKHAILOVA (L.Y.) NIKOLOVA (M.P.) et STOYANOV
(D.P. - Surremenna Med; 1965, 16, 667-673.
1 -25 RIBES NIGRUM L.
CASSIS
Description
- Arbrisseau touffu atteignant 1,50 m de haut. Les rameaux
portent des feuilles odorantes, lobées. Les fleurs, rougeâtres à
l’intérieur et verdâtres à l’extérieur, sont disposées
en grappes pendantes. Le fruit est une petite baie, noire et
globuleuse, surmontée des restes du calice. Originaire des
régions nordiques, le Cassis est rare à l’état spontané. Il est
cultivé essentiellement pour ses fruits, en France, surtout en
Bourgogne.
Parties utilisées. - Les feuilles et les fruits.

Usages et Propriétés : allégation évaluée par l’AESA
- Contribue au bon fonctionnement des muscles et des
articulations / articulations souples le cassis est riche en
antioxydants les anthocyanines "Utilisé pour améliorer
l'élimination rénale de l'eau"/ "Utilisé pour faciliter les fonctions
d'élimination de l'organisme"/ "Utilisé pour le drainage de
l'organisme"/ "Stimule la fonction d'élimination de l'organisme"/
"Contribue au bon fonctionnement de la voie urinaire" / "Utilisé
pour faciliter la perte de poids en plus des mesures diététiques"/
- Aide à maintenir le poids" Apaisante pour la bouche et la gorge/
Utile dans le cas de chatouillement dans la gorge et du pharynx/
- Apaisante et agréable, effet sur les cordons de la gorge, du
pharynx et vocal
- Augmente la résistance contre le stress et les conditions
environnementales défavorables
- Les fruits, très riches en vitamine C, sont intéressants en
diététique et peuvent servir à l’obtention de boissons chaudes
utiles dans les refroidissements. Le Cassis est utilisé en occident
dans plusieurs spécialités commercialisées en Allemagne
Fédérale, en Grande-Bretagne et en France.
BIBLIOGRAPHIE
1 -THIERS (H.) et JOSEPH (J.Y.). - Lyon méd., 1973; 251-253
2 -LE LOUS (J.), MAJOIE (B.), MORINIERE (J.L.) et WULFERT(E;).
- Ann. pharm. fr. 1975, 33 393-399
3 -DEMINA (T.C.). - Biol. Akticv. Soedn. Rast. Sib. Flory, 1974,
23-26
4 -RACZ-KOTILLA (E.) et RACZ (G.). - Planta med., 1977, 32,
110-114
1 -26 PASSIFLORA INCARNATA L.
PASSIFLORE OCCIDENTALE
FLEUR DE LA PASSION
Description
- Plante grimpante de 6 à 9 m de long, portant des vrilles in-
sérées à l’aiselle des feuilles ; celles-ci sont divisées en 3 lobes
aigus ; les fleurs sont très grandes (4 à 5 cm de diamètre), soli-
taires, pourvues d’un long pédoncule ; la corolle comprend des
pétales blancs ornés en dedans d’une curieuse couronne de fila-
ments pourpres. Le fruit est charnu, de couleur orangée et de la
grosseur d’une petite pomme. La Passiflore est originaire du sud
des Etats-Unis et acclimatée en France.
Parties utilisées. - Les parties aériennes.
Usages et Propriétés : allégation évaluée par l’AESA
- Contribue à induire du repos et le sommeil
- aide à se calmer après l’excitation/recommandé aux personnes
fatiguées de la semaine et contribue à induire la relaxation
On l’emploie seule, ou plus souvent, associée à la Valériane, au
Saule blanc, à l’Aubépine. L’action tranquillisante, comme celle
d’une espèce voisine, P. édulis Sims (1), est due : aux alcaloïdes
du groupe de l’harmane (2) - harmane, harmine, harmol - dont la
présence est confirmée (3) (4).Au maltol et à l’éthylmaltol (8),
aux flavonoïdes (2), parmi lesquels ont été identifiés quercérol,
kaempférol, apigénol, lutéol (5) ainsi que des C-hétérosides tels
que saponarol, vitexol, isovitexol, orientol, et isoorientol (6) (7).
L’occident fait souvent appel à la Passiflore : il existe dans les
divers pays européens et aux Etats-Unis de nombreuses
spécialités en contiennent.
BIBLIOGRAPHIE
1 -LUTOMSKI (J.), MALEK (B.) et RYBACKA (L.). - Planta med.,
1975, 27, 112-121
2 -LUTOMSKI (J.) et WROCINSKI (T.). Biul. Inst. Roslin. Leczn.
1960, 6, 176-184.
3 -BENNATI (E.) et FEDELI (E.). - Boll. chim. farm. 1968, 107,
716-720.
4 -LÖHDEFINK (J.) et KATING (M.). - Planta med., 1974, 25,
101-104
5 -GAVASHELI (N.M.), MONIAVA (I.I.) et ERISTAVI (L.I.). - Khim.
Prir. Soedin., 1974, 10, 95-96
6 -SCHILCHER (H.). - Z. Naturforsch., 1968, 23, 1393
7 -LÖHDEFINK (J.). - Dtsche Apoth. Ztg., 1976, 116, 557-560
8 -AYOAGI (N.), KIMURA (R.) et MURATA (T.). - Chem. Pharm.
Bull., 1974, 22, 1008-1013
1 -27 OLEA EUROPEA L.
OLIVIER
Description
- L’olivier cultivé, dont la taille avoisine 10 m, se
reconnaît facilement à l’aspect tortueux de son tronc gris,
crevassé, et de ses nombreux rameaux portant des feuilles
persistantes, lancéolées, vert grisâtre, coriaces, à bord révoluté.
A leur aisselle, de petites grappes dressées de fleurs blanches
du type
4. le fruit (Olive) est une drupe ovoïde, verte puis noire, à noyau
dur fusiforme. L’arbre est abondamment cultivé dans tout le
bassin méditerranéen. On le trouve aussi en Amérique du Nord
(Californie).
Parties utilisées. - Feuille, fruit.