Organiser sa réponse de façon cohérente Question : Comment l'intervention de l'Etat limite-elle les fluctuations économiques ? L'intervention de l'Etat va limiter les fluctuations économiques grâce à la politique de stabilisation qui consiste à éviter ou à limiter la crise économique. La crise économique est un déséquilibre entre l'offre de travail et sa demande. En effet l'offre d'emploi est inférieure à sa demande ce qui va augmenter le chômage. De plus comme les gens ne travaillent pas, la demande va diminuer et l'offre va augmenter ce qui va faire augmenter les prix, donc il y aura inflation. Pour éviter une baisse de production due à l'augmentation du chômage et de l'inflation, l'Etat va augmenter les impôts pour les entreprises puissent produire plus et donc employer des salariés et refaire baisser les courbes de chômage et d'inflation. Questions : 1. Que faudrait-il dire à la place du passage souligné ? 2. Est-ce qu'une augmentation de l'offre fait fait augmenter les prix ? 3. Selon la loi de l'offre et de la demande que se passe-t-il lorsque l'offre est supérieure à la demande ? 4. Est ce qu'une hausse des impôts peut inciter les entreprises à produire plus ? 5. Comment une hausse des impôts peut-elle faire baisser l'inflation ? 6. Ré-écrire le paragraphe en utilisant les termes en gras et en ajoutant les termes suivants : Politique budgétaire, recettes de l'Etat, dépenses de l'Etat S'exprimer clairement à l'écrit et à l'oral « Les crédit subprimes présentent plusieurs spécificités : les remboursements sont faibles les premières années puis s'alourdissent parce que les établissement de crédit utilisent pour séduire une clientèle fragile un système de taux d'intérêt promotionnels pendant quelques années, qui se transforment en un taux beaucoup plus élevés (et souvent variable) à la fin de la période de grâce. Le marché immobilier américain se retourne au second semestre 2006, et les conséquences de l'explosion de la bulle se font sentir sur les emprunteurs ce qui fait augmenter le défaut de paiement dans le secteur des subprimes : le taux moyen de défaut passe ainsi d'environ 11 % au début 2006, à environ 14 au début 2007, pour dépasser 20 % en 2008. Dans le doute, les banques arrêtent de se prêter entre elles, ce qui entraine une crise de liquidités ce qui constitue une menace importante pour le secteur bancaire (quelques banques font faillite) et plus largement l'économie : les banques ont en effet besoin de s'approvisionner quotidiennement en liquidités. Pour cela, elles vendent des actifs, ce qui implique que certains acteurs soient prêts à les acheter. Si personne n'en veut, les banques risquent de se retrouver à cours de liquidités et de faire faillite ; les banques sont ainsi prises dans une spirale infernale de perte, dont l'annonce régulière alimente la méfiance et contribue à la dévalorisation des actifs. Consigne : Ré-écrire le texte en n'utilisant exclusivement des formulations de phrase de type sujet-verbecomplément.