paces – ue1 – examen blanc 3 – vendredi 27 novembre

PACES – UE1 – EXAMEN BLANC 3 – VENDREDI 27 NOVEMBRE 2015
CORRECTION
1. Réponse D :
A. FAUX. Il y a aussi le FAD.
B. FAUX. Il le fait uniquement durant le shunt des pentoses-P.
C. FAUX. Les protons dégagés par la glycolyse sont libérés dans le cytoplasme.
D. VRAI, c’est ce flux qui permet de créer de l’ATP au niveau de l’AP-synthétase localisé dans la
mitochondrie.
2. Réponse A et B :
A. Vrai, alors que la glycolyse se fait dans le cytoplasme
B. Vrai
C. Faux, un seul FADH2 produit par tour de cycle
D. Faux, la première étape du cycle de Krebs est la réaction de l’oxaloacétate l’Acétyl-CoA. Le pyruvate
lui est le substrat de la glycolyse.
3. Réponse B :
A. Faux. Lors de la glycolyse anaérobie, on génère 2 ATP.
B. Vrai.
C. Faux. En anaérobiose, le pyruvate peut être transformé en lactate et en éthanol.
D. Faux. La dégradation de l'acide arachidonique génère 156 ATP.
Acide arachidonique : C20:4, il possède donc 4 insaturations.
- 9 tours d'hélice sachant qu'on ne va pas devoir créer d'insaturation 4 fois (sauter 4 fois la première
étape, donc 4 FADH2 générés en moins au total) : 9 NADH2 (3 ATP produits par molécule de NADH2);
5 FADH2 (2 ATP produits par molécule de FADH2)
- 10 acétylCoa produits au final, qui vont réaliser un cycle de Krebs chacun (12 ATP produits par cycle)
- activation au départ (- 1 ATP)
Ce qui fait 10*12 + 9*3 + 5*2 = 157 - 1 pour l'activation = 156 ATP
4. Réponse C :
L’acide linolénique est le plus long et le plus insaturé des acides gras proposés.

5. Réponses : C et D
A) FAUX. Ils peuvent se faire de 4 manières différentes : Conduction, convection, rayonnement et
évaporation.
B) FAUX. Ce sont les échanges de chaleur par convection qui dépendent de la vitesse de déplacement
de l'air sur la peau. La conduction dépend uniquement de la surface de contact, et de la différence de
température entre le sol et la peau.
C) VRAI.
D) VRAI.
6. Réponse C
A) FAUX. Il s'agit du volume de CO2 rejeté sur le volume d'O2 consommé.
B) FAUX. SI sa valeur est de 0,7 alors le substrat est de nature lipidique.
C) VRAI. VCO2 = VO2 X QR. Le quotient respiratoire protidique est de 0,85. Donc VCO2 = 0,85 X 50 =
42,5L
D) FAUX. Au contraire, s'il est inférieur à 1, il faut tenir compte dans un premier temps de l'oxydation
des matières azotées que l'on peut estimer à partir de la quantité d'azote excrété dans l'urine sous
forme d'urée.
7. Réponses : A et D
A) VRAI. D'après la loi biométrique fondamentale : W = kS (avec k = constante, S = surface corporelle
et W = métabolisme de base.
B) FAUX. C'est l'inverse, il est plus élevé chez l'homme que chez la femme.
C) FAUX. Il diminue avec l'âge.
D) VRAI. Plus une espèce est grande, moins sa masse active produit de la chaleur et donc son
métabolisme de base rapporté au kilogramme sera plus faible.
8. Réponse D :
A. Faux. La cytosine ne possède qu'une fonction cétone, la thymine en possède deux.
B. Faux. C'est l'inverse, on obtient la thymine par méthylation de l'uracile.
C. Faux. La base purique est composée de 4 atomes d'azote en position 1, 3, 7 et 9.
D. Vrai. La guanine possède bien une fonction amine en position 2 du cycle purique, ainsi qu'une
fonction cétone en position 6 (2-amino-6-oxypurine).
9. Réponse B et C :
A. Faux. Les gènes des ARNt sont dispersés dans le génome.
B. Vrai. Les ADN satellites sont de courtes séquences répétées de quelques centaines de nucléotides
qui n'ont aucune fonction connue et ne sont pas transcrits.
C. Vrai. Les gènes codant pour les ARN ribosomiques possèdent une unité de transcription unique
répétée environ 50 fois en tandem.
D. Faux. C'est l'inverse. Les îlots CpG sont dispersés dans le génome et sont méthylés dans les tissus
où le gène est inactif.
10. Réponse B et D
A. Faux : C’est sur l’extrémité 5’.
B. Vrai : La coiffe permet : - la stabilisation de l’extrémité 5’ de l’ARNm en bloquant l’activité des
exonucléases 5’→ 3’. - l’export nucléaire - la traduction en protéine
C. Faux : L’adénine n’est pas rajoutée, c’est le premier nucléotide de l’ARNm
D. Vrai : Elle permet la formation d’une liaison atypique entre l’adénine et la guanine.

11. Réponse B :
A. Faux : Pour induire la transcription il faut décompter l’ADN.
B. Vrai.
C. Faux : La queue polyA n’est pas synthétisée par transcription.
D. Faux : L’α-amanitine est une mycotoxine qui bloque l'élongation de l’ARN polymérase II chez les
eucaryotes.
12. Réponse A et D :
A. Faux, elle rend l’ADN plus accessible au complexe basal de transcription, donc a un effet activateur.
B. Vrai, tout comme les hormones stéroïdes, les protéines RXR, les protéines à homéodomaine, les
protéines « winged-helix », celles à motif HLH ou les protéines « à doigts de zinc ». Par contre, les
facteurs de croissance régulent l’activité transcription en se liant à la membrane cellulaire.
C. Vrai.
D. Faux, l’acétylation des histones active l’activité transcriptionnelle car elle neutralise les charges
positives des lysines, la désacétylation l’inhibe.
13. Réponse A :
A. Vrai.
B. Faux, ils sont, avec les ARN pré-messagers, transcrits par l’ARN polymérase II.
C. Faux, ils inhibent leur traduction.
D. Faux, c’est la fonction des ARNsi.
14. Réponse ABC :
A. Vrai, les mécanismes de réparations sont très anciens et relativement stables dans l’évolution.
B. Vrai, comme les sous unités XPB et XPD du facteur de transcription TF II H, à activité hélicase (NER).
C. Vrai, comme les dépurinations, etc...
D. Faux, C’est la RER qui nécessite la reconnaissance du brin d’ADN néo synthétisé car elle est post-
réplicative. La BER (base excision repair) concerne l’apparition d’une mutation anormale au niveau
d’une seule base de l’ADN, comme la présence d’un uracile (non présent dans l’ADN) par désamination
d’une cytosine.
15. Réponse B et D :
A. Vrai, de plus, les protéines de reconnaissance du site d’initiation vont permettre le recrutement
des protéines nécessaires à la réplication du brin d’ADN matriciel et à l’ouverture de la double hélice.
B. Faux, l’ADN polymérase α catalyse la synthèse de l’amorce d’ADN ou ARN, c’est l’ADN polymérase
δ qui catalyse la synthèse des fragments d’Okazaki (brin tardif), et l’ADN polymérase ε celle du brin
précoce.
C. Vrai, ce qui aboutit à la formation des fragments d’Okazaki.
D. Faux, c’est l’ADN qui se déplace et non les foyers de réplication.