MOHSEN N'GAZOU, VICE-PRÉSIDENT DE L'UOIF OU L'ART

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MOHSEN N'GAZOU,
VICE-PRÉSIDENT DE
L'UOIF OU L'ART
D'INFILTRER LA
COMMUNAUTÉ JUIVE
Profil des invités de M. Mohsen N'Gazou
1 - Hassan Iquioussen
Il est responsable de la branche « Jeunesse » de l'UOIF ». Il défend ardemment Hassan Al-Banna et
les Frères Musulmans dans ses vidéos.
En 2003, il donne une conférence publique enregistrée et diffusée sous forme de cassette audio sous
le titre « La Palestine, histoire d'une injustice » où il qualifie les Juifs d’« avares et usuriers » et
d’être « le top de la trahison et de la félonie ». Il les accuse de « comploter contre l'Islam et les
musulmans » ou encore de « [ne pas vouloir] se mélanger aux autres qu'ils considèrent comme des
esclaves ». Il attribue le Schisme « à un juif yéménite converti pour détruire l’islam de l’intérieur »
et présente Mustafa Kemal Atatürk comme « un converti hypocritement à l’islam » pour la même
raison. Il accuse les Sionistes d’avoir poussé « Hitler à faire du mal aux Juifs allemands pour les
forcer à partir ». Hassan Iquioussen y fait également l’éloge de Hassan Al-Banna, le fondateur des
Frères Musulmans..
Après que Dominique de Villepin, à l’époque ministre de l'Intérieur, a condamné ces propos mais en
2004 Hassan Iquioussen propose, au Figaro, de débattre en public du contenu de sa conférence,
déclarant : « Qu'on me prouve que j'ai tort et je changerai d'avis !»
Il s'affiche en 2008 et en 2009 avec Alain Soral. Dans une vidéo postée en décembre 2010, il
déclare : « Alain Soral dit des choses très intéressantes, très intelligentes, pertinentes, et parfois,
on peut très bien ne pas être d'accord avec lui. »
En 2012, une conférence prononcée à
que négationniste du Génocide des Arméniens.
Dunkerque,
le
révèle
également
en
tant
Hassan Al-Banna : une vie, un engagement... - Hassan Iquioussen
https://www.youtube.com/watch?v=KoB4gWEWxDw
2 - Mohamed Bajrafil
Cet imam d'une mosquée d’Ivry-Sur-Seine joue un double jeu. Il revendique publiquement sa non
appartenance à l'UOIF et aux Frères Musulmans mais collabore activement avec ces organisations.
Dans une de ses vidéos, il parle de Hassan Al-Banna et prononce à son égard une formule de
révérence en arable « Que dieu lui fasse miséricorde » (À partir de 50 secondes) :
Mohamed Bajrafil - Les Frères Musulmans (de l'appellation à leurs composantes)
https://www.youtube.com/watch?v=rOn9FhA5RNg
Dans une conférence commune avec Tareq Ramadan, l'imam Mohamed Bajrafil défend bec et ongle
Tareq Ramadan et les Frères Musulmans:
Mohamed Bajrafil - Ce que je pense de Finkielkraut, des Frères Musulmans et de Tariq
Ramadan ?
https://www.youtube.com/watch?v=ms1xvwT3s5s
3 - Moncef Zenati
Ce prédicateur-imam dans une mosquée du Havre est membre de l'UOIF et président de
l'association «Havre de Savoir ». Moncef Zenati est l’auteur de différents ouvrages traduisant bon
nombres de textes du fondateur des Frères Musulmans, Hassan al-Banna, comme 20 principes pour
comprendre l’islam et a diffusé les textes de l’égyptien Youssef Al Qaradawi, mentor actuel de la
confrérie des Frères Musulmans et principal référent pour les responsables de l’IESH de ChâteauChinon, en matière de législation islamique.
Moncef Zenati est titulaire d’une maîtrise en sciences islamiques de l’Institut Européen des
Sciences Humaines (IESH) de Château-Chinon et qui assure la traduction, pour l'IESH, les fatwas
de l'égyptien Youssef Al Qaradawi, le mentor actuel de la confrérie des Frères Musulmans.
Qui sont les Frères Musulmans ?
https://www.youtube.com/watch?v=LUWZdi5VmME
Dans cette vidéo, Moncef Zenati avance des noms de référents religieux
issus des Frères
Musulmans. A partir de 3mn35 secondes, il invite les fidèles de la mosquée « à boire et lire les
livres de Youssef Al-Qardaoui ».
Qui sont les professeurs de cheikh Moncef Zenati ?
https://www.youtube.com/watch?v=YsMKu9_BrMc
4 - Larbi Al Bachri (ou Larbi Becheri)
Ce prédicateur a fait ses études en Arabie Saoudite. Il est directeur scientifique de l’Institut
Européen des Sciences Humaines de Château-Chinon (école de formation des imams de l'UOIF) et
membre du Conseil Européen pour la Fatwa et la Recherche (CEFR) qui a rendu licite les attentatssuicides contre les civils israéliens et membre de l'Union Mondiale des Savants Musulmans
(organisation mondiale des Frères Musulmans).
Ses conférences sont relayées par l'association « Havre du Savoir » et il assure des permanences
téléphoniques pour l'IESH.
5 - Lakhdar Lakhdari
Ce prédicateur est issu des Frères Musulmans du Hamas algérien (MSP), il donne aussi des cours à
l'Institut Européen des Sciences Humaines de Château-Chinon (école de formation des imams de
l'UOIF).
Il est le conseiller spirituel du Mouvement de la Société pour la Paix (MSP) et du Mouvement de la
Société Islamique (MSI). Ces deux mouvements sont des excroissances du HAMAS algérien fondé
en 1990 par Mahfoud Nahnah.
6 - Amar Lasfar
Il est recteur de la mosquée de Lilles et l'actuel président de l'UOIF. Il dirige aussi la « Ligue
islamique du Nord » qui est une filiale locale de l’UOIF, qui est elle-même la filiale française de
l’organisation des Frères Musulmans.
L'homme a provoqué nombre de polémiques. Il s'était notamment opposé, lors d’obsèques, aux
dernières volontés d'un Algérien athée, Amar Bergham, qui voulait se faire incinérer Il a écrit aux
juges lillois que seuls des dignitaires musulmans pour empêcher l'inhumation. Il vient récemment
encore de se distinguer en s'attaquant ouvertement à Élie Dahan, rabbin de Lille.
En février 2016, le président de l'UOIF, Amar Lasfar, a invité en France le Syrien Mohamed Rateb
Al-Nabulsi, le Marocain Abouzaïd Al-Mokri et le Saoudien Abdallah Salah Sana'an à venir porter la
bonne parole aux militants de l'UOIF.
Les trois conférenciers se sont vus interdire le territoire national français par Bernard Cazeneuve en
raison de leurs propos antisémites et leurs soutiens à certains groupes armés issus des Frères
Musulmans.
6 - Nourria Addou
Cette conférencière qui milite à l'UOIF, en tant responsable pédagogique, depuis plusieurs années
est aussi la responsable de l'enseignement au sein de l'institut « Al-Andalous ». Elle s'était faite
remarquer en s'attaquant à la vie privée de François Hollande. Elle représente les femmes au sein de
la confrérie des Frères Musulmans de france.
7 – Mohsen N'Gazou
Ancien vice-président de l'UOIF, il est proviseur du collège privé musulman « Ibn Khaldoun » et
président du RAMS (Rencontres Annuelles des Musulmans du Sud), organisatrice de la conférence
de ce week-end.
En 2007, il est arrêté en Tunisie pour ses anciennes activités jihadistes contre le gouvernement Ben
Ali. Il devra son salut que grâce à l'intervention d'élus marseillais dont Jean-Claude Gaudin.
Depuis des années, Mohsen N'Gazou offre une tribune aux grandes figures des Frères Musulmans,
qu'ils soient français ou étranger.
Mohsen Ngazou - Qu’enseignent les Frères musulmans
à nos jeunes en France ?
1.1. Qu’enseignent les Frères musulmans à nos jeunes en France ? Un Musulman de France, nous
éclaire sur son blog mediapart des agissements de missionnaires de l’UOIF (Union des
organisations islamiques de France), après une plongée dans l’enfer des Frères musulmans.
Mohammed Louizi, ex-membre de l’UOIF de 2002 à 2006 qu’il a quittée en claquant la porte, nous
révèle quelques détails sur l’islam de France sous la coupe des Frères musulmans. Contacté pendant
ses études à Lille par un « recruteur », Louizi raconte sur son blog quelle est la mission cachée de la
Confrérie de l’UOIF sur le sol français et européen. « Il nous disait que le « frère musulman »
devait s’engager, une fois cette allégeance attestée, à observer ces dix piliers, qui sont : La
compréhension (Fahm en arabe) ; la sincérité ; l’action ; le Jihad, y compris le recours aux armes ;
le sacrifice ; l’obéissance totale ; la persistance ; la fidélité à l’engagement ; la fraternité et la
confiance totale placée à l’endroit de la direction et du commandement. Il nous expliquait les vingt
principes de la compréhension et insistait, bizarrement, sur deux piliers en particulier, à savoir : «
l’obéissance » et « la confiance totale en la direction ». Il nous expliquait les trente-huit devoirs que
chaque « frère » devait accomplir, au quotidien, en nom de son allégeance à l’UOIF. Ce sont les
mêmes trente-huit devoirs qu’Hassan Al Banna exigeaient aux membres de son bras armé ».
Un peu plus loin, après une explication très détaillée de l’organisation et des actions de ses
disciples, des règles dictées à tous les missionnaires, qui en apparence inspirent la confiance et
prône un islam « citoyen », il écrit : « Lorsque j’avais intégré l’UOIF, une organisation française
visiblement civile, j’avais prononcé exactement les mêmes mots que prononçaient, jadis,
uniquement les « frères soldats », les « frères moujahidouns » d’ « al-Tanzim al-Khas » ! ». Si la
connaissance de Louizi de ce monde nous éclaire un peu plus sur les méthodes des Frères,
implantés en France via l’UOIF, un petit tour des institutions soutenues par l’Etat français est
nécessaire pour comprendre les menaces qui pèsent sur les musulmans de France, ceux qui ne
prônent pas le jihad, se sentent français, et s’indignent du radicalisme des « autres ». Un « Frère »,
renommé dans le sud de la France, à Marseille, vient de son côté de remporter une petite victoire.
En juin dernier, Mohsen, N’gazou s’est vu remettre une récompense des plus prestigieuses : le
collège-lycée privé musulman qu’il a fondé et fait grandir est passé sous contrat avec l’Etat, après
de longues années d’attente. Si la plupart des fonctionnaires de l’établissement sont des enseignants
et personnels éducatifs tout à fait respectables, le proviseur lui, a un passé sombre. Arrêté en Tunisie
en 2007 et libéré mystérieusement , l’ex-membre de l’UOIF, président du RAMS qui organise
annuellement des conférences sur l’islam, mais aussi imam d’une mosquée très fréquentée par
2.2. les jeunes, président de l’Association islamique Clémence dans la ville de Woippy, Ngazou a
bien intégré le règlement des Frères. Exhortant au bien vivre ensemble, à la tolérance, il incite en
secret à la prise de pouvoir des jeunes musulmans sur la France, tout en faisant circuler, bien
dissimulée, la morale de Hassan al-Banna, père des Frères musulmans en Egypte. Dans une
conférence, après avoir expliqué les conditions difficiles que subit la « Oumma »islamique, « sous
l’ombre d’une mondialisation envahissante et d’un matérialisme tyrannique » il explique comment
trouver dans le Coran et la sunna du Prophète la promesse divine du Tamkine (force et réussite dans
l’application de leur but final, la charia en Europe). N’gazou s’appuie pour ce faire sur ce verset : «
Allah a promis à ceux d’entre vous qui ont cru et fait les bonnes œuvres qu’Il leur donnerait la
succession sur terre comme Il l’a donné à ceux qui les ont précédés. Il donnerait force et suprématie
à leur religion qu’Il a agréé pour eux … » (Coran, 24, 55).
Aujourd’hui encore il bénéficie de postes honorifiques au sein de l’UOIF, et de la fédération des
organisations islamiques d’Europe, dans sa spécialisation, la jeunesse et l’éducation. Fin
démagogue, il sait trouver les mots, pour enrôler sans trop effrayer. Dans un article publié en mai
2006, en arabe, intitulé : « Les défis éducatifs que rencontrent la jeunesse musulmane en Occident
», Ngazou fait référence à Hassan Al-Banna et à son règlement strict à appliquer pour parvenir à un
califat. Les institutions musulmanes doivent être un tremplin pour atteindre le tamkine (la force,
réussite), et vivre selon la guidance de l’islam, imposée au monde. De la même manière, au cours
d’une conférence relayée sur YouTube , il déclare : « je me demande aujourd’hui ce qui empêche les
jeunes, les enfants d’immigrés, à conquérir les sphères de la magistrature, à conquérir les sphères
des grands décideurs. Il faut penser à maîtriser le discours général ». Ngazou, comme tant d’autre,
est dangereux pour les musulmans de France.
Il leur fait prendre une voie, en faisant déraper avec lui l’Etat français et ses institutions, qu’ils n’ont
pas choisie, sans le voir, aveuglé par de beaux pétales. Le danger du djihadisme en France n’est plus
à prouver, mais il en est un qui n’a jamais été évoqué. Par sa popularité, l’État islamique fait de
l’ombre aux autres organisations, qui tout aussi radicales, mais dont la stratégie moins ouvertement
djihadiste est de conquérir le peuple « par en bas », par l’éducation, la contamination de la politique,
et de toutes les sphères de la société, avant de, lentement, imposer la charia sur la société.
http://fr.slideshare.net/mohsenngazou/mohsen-ngazou-pdf
Les différents invités de Mohsen NAGAZOU au parc Chanot
Hasan Iquioussen
Tariq Ramadan
L'association humanitaire « Baraka City » qui a défrayée l'actualité
était aussi de la partie au Parce Chanot
Sur le site de la RAMS, le webmaster fait allusion à Hassan Al-Banna
fondateur des Frères Musulmans
Le programme
Les logos sur l'affiche
L'affiche annonçant la 12ème rencontre annuelle des Musulmans du Sud est estampillée des logos
de plusieurs organisations : « Al-Wakf France » a été crée par l'ancien président de l'UOIF, Elhaj
Thami Breze, le « Comité de Bienfaisance et de Secours aux Palestiniens » (CBSP), le « Secours
Islamique », la branche humanitaire de l'UOIF. Il se trouve que le Secours Islamique et le CBSP
lèvent des fonds pour le HAMAS.
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