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LE CONTEXTE
• L’adhésion de l’Algérie à l’organisation mondiale du commerce prévue pour
l’année 2005 et la signature des accords de partenariat avec l’UE sont deux
aspects du processus de l’insertion du pays dans l’économie de marché
mondialisée et globalisée.
• Cette option implique une refondation complète des structures économiques de
production et de service, installées depuis 1962, et notamment celles de son
système d’enseignement supérieur scientifique et technique. Nos universités
scientifiques et technologiques doivent fournir les chercheurs, les ingénieurs et
les techniciens supérieurs, en qualité et en quantité requises, pour garantir, à
terme, la compétitivité de nos opérateurs économiques privés et publics.
• Dans cette perspective, il est de notre devoir d’universitaire de nous interroger
sur l’évolution de notre système de formation des ingénieurs et des chercheurs
qui se trouve au centre des enjeux économiques et sociaux de l’économie des
savoirs et de l’innovation.
1er Forum International sur la formation et la recherche dans le secteur de l’énergie et des mines