« En 5 ans, la Fondation
Cœur& Recherche a soutenu
pour 1,9 million d’euros
21projets de recherche visant
à prévenir, dépister et traiter
les maladies cardiovasculaires. »
LES MALADIES
CARDIOVASCULAIRES :
UN ENJEU MAJEUR
DE SANTÉ PUBLIQUE
Véritable fléau silencieux, les maladies cardio–
vasculaires constituent la première cause de mortalité
dans le monde. En France, si ces pathologies
demeurent, avec le cancer, la première cause de
décès, la mortalité cardiovasculaire a chuté de moitié
en vingt ans.
Mais loin d’avoir été éradiquées, devenues des
maladies chroniques, elles représentent aujourd’hui
la première cause d’hospitalisation. Pour les malades,
les conséquences sont lourdes sur leur bien-être, leur
vie familiale et professionnelle. Évalué à 11 milliards
d’euros – soit 8 % des dépenses de santé, le coût
économique est considérable.
Mieux prévenir, soigner et guérir les pathologies
cardiovasculaires impliquent une meilleure
compréhension des mécanismes de ces maladies et
le développement de traitements novateurs. Une
seule solution: poursuivre et amplier nos efforts de
recherche.
« Grâce à
la recherche
et à ceux qui
la soutiennent,
les maladies
cardiovasculaires
ne sont pas
une fatalité.
Ensemble, faisons
de la recherche
le cœur de notre
engagement. »
PROJET PORTÉ PAR LE PROFESSEUR THIERRY LE TOURNEAU,
INSTITUT DU THORAX, INSERM UMR 1087, CHU DE NANTES
—
DOMAINE DE RECHERCHE
PVM-FED : épidémiologie et physiopathologie du prolapsus
valvulaire mitral par dégénérescence fibro-élastique.
Le prolapsus valvulaire mitral (PVM) dégénératif (FED)
est une cause fréquente d’insufsance de la valve
mitrale chez le sujet âgé. Le programme de recherche
translationnelle mené par les CHU de Nantes, d’Angers
et de Rennes a permis de modier la compréhension
de cette pathologie, qui bien que s’aggravant avec
l’âge, possède une origine génétique. L’identication
d’un nouveau gène de PVM, la description précise
des anomalies de la valve et la compréhension des
mécanismes moléculaires impliqués ouvrent la voie
à une amélioration de la prise en charge des patients.
PROJET PORTÉ PAR LE DOCTEUR MÉLÈZE HOCINI,
INSTITUT LYRIC, BORDEAUX
—
DOMAINE DE RECHERCHE
Identification par cartographie des facteurs qui déclenchent les
troubles du rythme cardiaque dans l’oreillette gauche.
Les arythmies cardiaques prenant leur origine dans les
oreillettes affectent plus de 500000Français. Elles
sont associées à une augmentation de la mortalité et du
risque de démence, et constituent l’une des principales
causes d’accident vasculaire cérébral. Des cartographies
minutieuses réalisées par les équipes de Bordeaux ont
permis de comprendre comment ces arythmies naissent
à partir des veines pulmonaires et comment elles
s’auto-entretiennent, ainsi que d’instaurer un traitement
révolutionnaire basé sur l’exclusion ou la destruction par
thermoablation des zones responsables.
PROJET PORTÉ PAR LE DOCTEUR ZIAD MALLAT,
INSERM UMR_S970, PARIS
—
DOMAINE DE RECHERCHE
B Cell Activating Factor (BAFF) et risque cardiovasculaire
après infarctus du myocarde.
Cette étude, réalisée à partir d’une cohorte de
3670 patients hospitalisés pour infarctus aigu
dans 223 unités de soins intensifs en France, tend à
prouver que la mort des cellules cardiaques, du fait
du manque d’oxygène induit par l’occlusion d’un
vaisseau coronaire, stimule le système immunitaire,
contribuant à aggraver les dommages tissulaires.
Le blocage de ce processus pourrait constituer une
cible thérapeutique nouvelle dans l’infarctus du
myocarde. Les résultats de l’étude ont été publiés
dans la prestigieuse revue
Nature Medicine.
DEVENEZ PARTENAIRE
DE LA FONDATION
CŒUR & RECHERCHE
Pourquoi ? Parce que les chercheurs
français sont parmi les plus créatifs dans le
domaine cardiovasculaire, à l’origine
d’innovations majeures : stents coronaires,
substituts valvulaires d’origine animale,
traitement électrique de l’insuffisance
cardiaque, traitement interventionnel de
la brillation atriale…
Mais ils manquent de moyens, humains
et nanciers, pour développer des projets
d’envergure.
VOUS ÊTES UN PARTICULIER
Votre don est déductible de l’impôt sur le
revenu à hauteur de 66 %, dans la limite de 20 %
du revenu imposable*.
— Exemple : un don de 100 euros donne droit à
une réduction d’impôt de 66 euros. Coût du
don:34 euros.
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fortune à hauteur de 75 % dans la limite de
50000 euros de réduction.
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à une réduction d’impôt de 750euros. Coût du
don : 250 euros.
Faire un don à la Fondation Cœur
&Recherche, c’est apporter un soutien
concret et indispensable aux équipes de
recherche. C’est permettre aux meilleurs
experts de conduire des projets innovants
et performants, couvrant tous les aspects
de la lutte contre les maladies cardio-
vasculaires. C’est participer à la production
d’une recherche cardiovasculaire plus efcace
et compétitive à l’échelle internationale.
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Votre don est déductible de l’impôt sur les
sociétés à hauteur de 60 % dans la limite de
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à une réduction d’impôt de 600 euros. Coût du
don : 400 euros.
En cas de don en nature (matériels, compétences),
le don bénécie des mêmes avantages et sera
évalué au prix de revient.
Reconnue d’utilité publique, la Fondation est habilitée à recevoir
des dons, legs, donations, donations temporaires d’usufruit en
numéraire, titres mobiliers ou biens immeubles, et à être
bénéciaire de contrats d’assurance vie.
* Article 200 du Code général des impôts.
rticle 3 du Code général des impôts.
PROJET PORTÉ PAR LE PROFESSEUR NICOLAS LAMBLIN,
CHRU LILLE, INSERM UMR 1167
—
DOMAINE DE RECHERCHE
Étude CARDIONOR - Épidémiologie comparative des
3 principales pathologies cardiovasculaires liées à l’âge :
insuffisance cardiaque, maladie coronaire et fibrillation atriale.
Il s’agit de la première grande étude visant à explorer
la fréquence et la relation qui unissent ces 3 maladies
cardiovasculaires. 10 548 patients ont été recrutés
par 83 cardiologues dans la région Nord pour un suivi
d’un an. Il s’agit d’un exemple remarquable de réseau
de recherche épidémiologique associant cardiologues
libéraux (56 %) et hospitaliers (44 %). Résultat attendu:
des informations précieuses sur l’épidémiologie
comparative des 3 pathologies et leur prise en charge
lorsqu’elles sont associées chez un même patient.