Encyclopédie : Le Garçon aux Bâtons d’Encens
Extraits de l’Ouvrage encyclopédique – à Thème portant sur la Mythologie hellénique ancienne
ENCYCLOPÉDIE DE TITILATULIPE : Edition 2012 © Tous droits réservés
Chapitre : XXXXII – APHRODITE
DANS LE GARÇON AUX BÂTONS D’ENCENS - Mythes / auteur : TitiLatulipe
d'amour. Elle favorisait les ébats amoureux physiques, comme Déméter, bien
évidemment. Elle portait les êtres au dévouement, défendant « l'Idéal » de manière
générale. Car en effet, Aphrodite défendait aussi curieux que cela puisse paraître :
« l'Amour de la vérité » (« L'amour – vérité » ou « la vérité sous forme d'amour ») ; ce, tout
comme le dieu Hermès également, par exemple.
Dès lors, la déesse Aphrodite privilégiait le goût marqué pour les bonnes choses, et les
passions, selon l'élan nécessaire à toute production issue des activités humaines. Elle
protégeait les êtres charmants et adorables, tels que l'étaient considérés de nombreux
héros grecs, parfois, dans la mythologie (mais pas tous). Par exemple, la déesse
Aphrodite sera dans « la Guerre de Troie » : la protectrice « d'Hélène et Pâris ». Dans
ce sens de l'Amour, Aphrodite en étant sa représentation, … la radieuse déesse de la
Beauté permettait aux êtres d'éprouver et de ressentir l'heureux sentiment soudain
présent et inattendu, que suscite l'amour qu'elle inspirait. C'est la déesse de
l'Épanouissement. Elle rendait tous les êtres amoureux et dans la justesse de leur place
respective. Par ailleurs, elle régissait le caractère de tout ce qui est beau, dans le sens
que l'on croyait jadis que "toute beauté" découlait d' « Aphrodite, la bienheureuse ».
Elle propageait donc l'harmonie. La déesse Aphrodite symbolise l'Amour dans toute sa
beauté et son juste équilibre. Elle représente : Le bonheur, ainsi que toutes les choses
agréables qui l'accompagnent. La déesse Aphrodite sous sa véritable symbolique restait
considérée comme l’une des puissantes déesses de la Justice, au côté de la déesse
universelle Thémis. Tout bienfait était dû et supposé être reçu grâce à l'influence divine
positive de la déesse Aphrodite. Ce, dans le cadre de la mythologie originelle, puis dans
celui de la mythologie grecque classique et traditionnelle. Cependant, elle est souvent
confondue usurpée avec la déesse Éris de la Discorde, sa rivale qui lui est contraire et
qui la combat sans cesse. Car Éris, le Mal, la Discorde : était également doté d'une
certaine beauté, mais pas du pouvoir de l'Amour sincère, responsable et harmonieux.
Dès lors, la déesse Aphrodite faisait don de toute qualité, à chaque personne (ainsi le
croyaient et le pensaient les grecs), et elle développait en chaque être les qualités
attribuées aux personnes belles humainement. Bien entendu, la déesse Aphrodite était
de toute beauté, inégalable de par ses divines vertus nombreuses. Pour ce motif,
Aphrodite est aussi malgré elle, la source de la jalousie de la déesse Éris fille d’Héra qui
lui envie tout le pouvoir merveilleux de ce qu’elle n’est pas. La déesse Aphrodite restait
la déesse du cœur. Or, la déesse Éris n’en n’a pas. Ceci ayant toujours été le grand
problème de la fille d’Héra. La véritable déesse Aphrodite permettait aux femmes d'être
justement : « en équilibre et en beauté ». La douce déesse pouvait apprendre également
aux femmes par exemple à apprivoiser la timidité de leur époux. Notamment dans
l'intimité. Ou au contraire, la déesse Aphrodite pouvait les priver d'amour, de
bonheur sous le courroux si elle accepte de le propager : « La déesse de l'Amour agissant
toujours inspirée avec la grande justesse du cœur ». Mais également déesse de la
Séduction, Aphrodite apprenait aux femmes qui le souhaitaient : « l'Art de séduire » (et
c'est tout un art.....). Les Grecs anciens disaient et pensaient de manière générale que
l'homme qui était guidé par, ou aidé de la déesse Aphrodite, ... était alors le plus
chanceux des hommes tant il n’aurait plus rien { craindre. À quelques exceptions de
mythes près (pour exemple : Adonis, le dieu de la beauté masculine), ceci fut relativement
vrai et estimé à raison. Notamment avec « le mythe de Pâris ». La déesse Aphrodite était
également considérée comme la bonne déesse de la compréhension, vu qu'elle avait le