Encyclopédie : Le Garçon aux Bâtons d`Encens 1 APHRODITE

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Encyclopédie : Le Garçon aux Bâtons d’Encens
Extraits de l’Ouvrage encyclopédique – à Thème portant sur la Mythologie hellénique ancienne
APHRODITE
PUBLIE SUR LE SITE DE MG : www.mythesgrecs.com
Article : Encyclopédie de TitiLatulipe
31. 01. 2008 15 : 19
La Vénus de Milo (Aphrodite)
Aphrodite, la déesse de la Beauté et de l’Amour
•Naissance et filiation
•Attributs
•Généralité
•Amour
Aphrodite, l’Amour et la divine beauté
APHRODITE, la déesse du Pommier
La déesse Aphrodite
APHRODITE, la Beauté et l'Amour parfait
Déesse de la Beauté et de l'Amour. Née dans un tourbillon marin, elle est l'épouse infidèle
d'Héphaïstos et la mère d'Éros. Elle fut assimilée par les Romains à Vénus. - Son effigie est
connue grâce aux répliques romaines (l'Aphrodite de Cnide et celle d'Arles d'après
Praxitèle [Vatican et Louvre] ainsi que la Vénus de Milo).
Réf.: Encyclopédie 2005
Déesse grecque de la Beauté, de l’Amour et de la Fécondité. Fille de Zeus et de Dioné, ou
bien née de l’écume de la mer arrosée du sang d’Ouranos, elle est l’épouse infidèle
d’Héphaïstos. Pour avoir aidé Pâris à enlever Hélène, elle est à l’origine de la guerre de
Troie. Elle est assimilée à la Vénus romaine. [quand Aphrodite est confondue et prise : pour
Éris la déesse de la discorde].
Réf. : Encyclopédie et Robert 2012
NAISSANCE ET FILIATION
Lire sous la définition générale du dieu Éros. La déesse de l'Amour est une déesse issue
du ‘Ciel’ (l’Air), ainsi que de ‘la Terre’, de même que de ‘l'Amour’ et de ‘la Compassion’
enfin issus de ‘l'Horizon de l'Océan’ (lire sous Éros). Chez les Romains dans l’Antiquité,
elle était assimilée avec leur déesse Vénus. Parfois en Égypte, Aphrodite correspondait
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Chapitre : XXXXII – APHRODITE
DANS LE GARÇON AUX BÂTONS D’ENCENS - Mythes / auteur : TitiLatulipe
Proposition de fiche descriptive complémentaire :
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aussi avec la déesse Isis (lire sous tout ce qui concerne « Artémis », cependant). Chez les
nordiques, Aphrodite était associée dans la mythologie, ce cependant, dès le IXème
siècle après Jésus – Christ, avec la déesse Frigg ou Frigga : une ‘déesse nord –
germanique de l’Érotisme et du Mariage, ainsi que de la Terre habitée’.
ATTRIBUTS
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le mois d'Avril
la Nudité dans sa pureté la plus absolue, comme pour Arès et Héphaïstos.
la Myrrhe (lire sous Myrrha, lire sous Perséphone) [qui est également un arbre
d'Arabie qui fournit une « gomme – résine » très odorante]
le Myrte, [qui est un arbuste aromatique originaire d'Amérique tropicale,
toujours vert, très abondant sur le littoral méditerranéen]
la Rose, le Rosier (l’arbuste qui défend sa douceur par des épines écorcheuses)
la Coccinelle, symbole de chance, comme pour Hermès
la Ceinture magique, [qui est un cadeau de mariage qui lui avait été offert par
Zeus, et qu'elle prêtait parfois à la déesse Héra pour ravir l'Amour de son époux
volage et infidèle, car telles étaient les propriétés de la ceinture miraculeuse qui
favorisait et provoquait l'amour sincère au bénéfice de toute personne qui la
portait]
la Pomme, le Pommier (« l'Arbre de l'Amour »)
la Grenade, le Grenadier (« l'Arbre du Péché »)
le Bélier (comme Déméter),
le Bouc (comme Pan ou Hermès),
le Lièvre, et/ou le Lapin, symbole de la Fertilité et de la Reproduction
le Cygne, symbole de la beauté pure
la Tourterelle, symbole de la Paix, de même que pour la Colombe
la Colombe
l’Abeille et le Miel, ici symbole de la Santé, de la Richesse, et de l’Immortalité (en
ce qui concerne notamment le miel)
le Chat (culte égyptien)
la Fourmi, comme même symbole pour Éos et pour Hermès
etc.
La déesse Aphrodite arrivant sur le dos d'un Cygne
GÉNÉRALITÉS
Dans la Mythologie grecque, généralement, tous les dieux olympiens et toutes les
créatures mortelles ou immortelles protégeaient la déesse Aphrodite : l'Amour parfait.
La déesse Aphrodite est une déesse reconnue et vénérée par les Grecs anciens et classée
parmi les divinités principales de leur puissant Panthéon.
Son culte religieux comprenait l'offrande d'encens et le sacrifice de colombes ou le lâché
de vol aérien de ces dernières. Notamment lors des journées consacrées aux jeux
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La déesse Aphrodite possède les attributs suivants :
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La déesse Aphrodite était la déesse grecque de la Germination, de l'Amour, de la Paix,
des Plaisirs sains et de la Beauté harmonieuse parfaite et irrésistible. Elle avait
prétendument pour équivalent chez les Romains : la nouvelle déesse Vénus. Mais il est
permis de penser aujourd’hui en réalité qu’il s’agissait, en la personnification d’une
Vénus romaine capricieuse : plutôt de la déesse d’Éris - le visage trompeur de la
Discorde (lire sous Éris). Et du fait, dans la mythologie grecque récente et d'aujourd'hui,
il est actuellement distinguer deux conceptions différentes portant sur la déesse
Aphrodite : celle du plaisir de la chair, et donc plus proche des «terriennes», d'une
part (ce serait dès lors : Éris la fille de Zeus et Dioné, ou de Zeus et d’Héra plus
traditionnellement) ; Et d'autre part, celle de l'amour spirituel, pure et chaste dans sa
beauté extrême et sensible (Aphrodite). Le quatrième mois du calendrier grégorien
aurait été nommé mois d' « avril » en son honneur, ce par les Romains. Cependant,
parmi les défauts de la déesse Aphrodite, il faut compter avec la vengeance, mais quand
elle est supposée en Éris – Aphroditê ; car la véritable déesse Aphrodite de l’ancien
temps représentait généralement - contradictoirement à son rôle dans la mythologie
romaine - la perfection des belles émotions et des sentiments louables. La vengeance de
la déesse de Discorde prise pour l'Amour étant quant à elle connue dans la mythologie
grecque pour être parmi les plus terribles du genre. En effet, la vengeance d'Aphrodite celle d’Éris au détail moderne - restait toujours terrible. Dans ce sens, la déesse
Aphrodite ne le cédait en rien à Héra. Mais si Héra ne poursuivait généralement les
autres femmes que par jalousie ; Aphrodite, elle, ne les frappait de ses malédictions que
lorsque celles - ci la servaient mal ou si elles se refusaient à la servir ... mais beaucoup
plus rarement par jalousie en réalité. Les grecs anciens nous évoquent et nous
rappellent la supercherie entre les deux déesses Aphrodite et Éris, ce, avec la puissante
symbolique associant « le mythe des Myrmidons », ‘le peuple fourmi’ » (lire sous Éaque).
Sous l’imposture mythologique à situer
Toutefois, il est vrai que la déesse Aphrodite pouvait inspirer parfois des amours
difficiles, dans la mythologie grecque : Ainsi punira-t-elle sévèrement le prince
Hippolyte, fils de Thésée. Qui ne respectait que la déesse Artémis et nulle autre déesse
prétendument. Éris – en lieu et place d’Aphrodite (lire plus bas) - prendra des mesures,
ce, en déclenchant contre Hippolyte, et en provoquant notamment à son égard : la
célèbre passion amoureuse destructrice de la princesse Phèdre jadis pourtant mariée à
Thésée en premier lieu. C’est ce qui vaudra à la mort à Hippolyte (lire sous Phèdre, lire
sous Thésée). À la demande du dieu Poséidon, la déesse Aphrodite – Éris pour elle - se
rendra-t-elle également la complice d’une vengeance « poséidonnienne » en suscitant le
désir monstrueux de la respectable Reine Pasiphaé pour un taureau sauvage jadis
envoyé en cadeau par le dieu des Mers (lire sous Poséidon). Lorsque les filles du roi de
Chypre (la terre sainte qui lui était consacrée en Grèce) : se refusèrent à l'honorer en sa
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olympiques antiques. Le premier lieu de culte consacré à faveur de la déesse Aphrodite
est indiqué en la cité de Paphos, située sur l'île de Chypre, que le récit de « L’Odyssée »
écrit par Homère : mentionnait généralement comme le lieu de séjour de la déesse. Par
ailleurs, sur l'Acropole de la Ville de Corinthe consacrée au dieu Apollon (lire sous
Sisyphe), se trouvait également construit un temple dédié en l'honneur de la déesse
Aphrodite.
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qualité de déesse olympienne. C’est ainsi que la déesse Aphrodite les réduisit au point
qu'elles soient toutes obligées de se prostituer. Pour la même faute que celle commise
par les femmes de Chypre : la déesse Aphrodite affligera à leur tour « les femmes de
Lemnos » d'une odeur corporelle effroyable, et cette punition eut pour conséquence de
faire fuir tous les hommes de ces femmes. Toute la peuplade en fut préjudiciée. Devant la
beauté extraordinaire de la jeune Psyché (qui on le sut plus tard pourrait être la
deuxième fille cachée d’Aphrodite – lire sous Psyché) : Éris – déguisée en Aphrodite - sera
décrite comme celle qui tentera également de condamner Psyché à l’obligation de
tomber amoureuse d'un homme mauvais qui ne puisse que la rendre malheureuse en
amour. Mais la méchante déesse Éris (prise pour Aphrodite) n'aurait pas dû lui envoyer
le véritable fils de sa rivale : Éros, le dieu de l’amour qui resplendit son image divine à
travers « le beau verdage » de chaque feuille verte (l’un de ses symboles) de la Nature et
des Bois, par exemple : réveillonnait l’amour même de celui qui dispose pourtant
divinement et embellit toute forme de vie de la flore. Engendrant irrésistiblement à sa
suite l’amour - même et l’affection spontanée de toute forme de vie de la faune tout
autant. Car le dieu Éros – qui résidait autant dans la beauté et la force de vie même de
chaque plante de chaque animal, ce que rappellera bien volontiers « le grand mythe
d’Orphée » - opta plutôt pour épouser lui – même la belle princesse Psyché. Plutôt que de
la condamner à aimer un homme ingrat et mauvais, comme l’exigeait la déesse de la
Discorde … Préféra donc que cet homme soit plutôt un dieu en sa propre personne. Et
c’est de cette manière que le dieu la sauva ainsi de la menace dont sa grande beauté
faisait injustement l’objet pour cause de la jalousie de la fille d’Héra (lire sous Éros, lire
sous Psyché). Sont autant d’exemple de la sévérité de la déesse grecque de « l’Amour qui
génère la Discorde », à savoir : Éris, fille d’Héra. Par opposition avec la déesse grecque de
« l’Amour qui génère l’Amour », à savoir : Aphrodite [parfois donnée pour fille d’Hypérion
fils du grand Éros, frère d’Ouranos (version isolée), mais lire les nombreuses explications
généalogiques portant sur la naissance d’Aphrodite].
Aphrodite, est aussi la déesse des Abeilles, tandis qu’Éris était la déesse aux guêpes
La pire des conséquences tragiques aux implications de la douce déesse de l’Amour :
Aphrodite. Étant peut - être bien malgré elle, celle de « la Guerre de Troie ». Qui fut
déclenchée par sa victoire à l'occasion du « Concours de Beauté » (ou « Concours de la
Pomme d’or », lire sous Thémis, lire sous Éros, lire sous Hermès, lire sous Arès), etc.
quand il fut déclenché sournoisement par la vindicative déesse de la discorde, fille
d’Héra (lire sous Thémis).
Titre : La Vénus au miroir, de Diego Rodriguez da Silva Velasquez
Thème : Illustration de la déesse Aphrodite se reposant sur le voile de l'Aurore, face au voile de la Guerre
Une autre Description d'Aphrodite – selon TitiLatulipe
Pourtant, nul ne saurait ne pas honorer ses qualités – quand il s’agit de la vraie déesse de
l’Émoi. En effet, dans la mythologie grecque, la déesse de l'Amour parfait est celle qui
intensifie le sentiment qui pousse à l'attachement des êtres les uns pour les autres. Elle
régit de son pouvoir l'attraction physique des personnes et des personnages, dans la
mythologie grecque. C'est la déesse de la Tendresse. Elle permettait que les créatures
éprouvent de l'Amour (lire sous Éos). Ainsi donc, permettait-elle les belles histoires
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Dès lors, la déesse Aphrodite privilégiait le goût marqué pour les bonnes choses, et les
passions, selon l'élan nécessaire à toute production issue des activités humaines. Elle
protégeait les êtres charmants et adorables, tels que l'étaient considérés de nombreux
héros grecs, parfois, dans la mythologie (mais pas tous). Par exemple, la déesse
Aphrodite sera dans « la Guerre de Troie » : la protectrice « d'Hélène et Pâris ». Dans
ce sens de l'Amour, Aphrodite en étant sa représentation, … la radieuse déesse de la
Beauté permettait aux êtres d'éprouver et de ressentir l'heureux sentiment soudain
présent et inattendu, que suscite l'amour qu'elle inspirait. C'est la déesse de
l'Épanouissement. Elle rendait tous les êtres amoureux et dans la justesse de leur place
respective. Par ailleurs, elle régissait le caractère de tout ce qui est beau, dans le sens
que l'on croyait jadis que "toute beauté" découlait d' « Aphrodite, la bienheureuse ».
Elle propageait donc l'harmonie. La déesse Aphrodite symbolise l'Amour dans toute sa
beauté et son juste équilibre. Elle représente : Le bonheur, ainsi que toutes les choses
agréables qui l'accompagnent. La déesse Aphrodite sous sa véritable symbolique restait
considérée comme l’une des puissantes déesses de la Justice, au côté de la déesse
universelle Thémis. Tout bienfait était dû et supposé être reçu grâce à l'influence divine
positive de la déesse Aphrodite. Ce, dans le cadre de la mythologie originelle, puis dans
celui de la mythologie grecque classique et traditionnelle. Cependant, elle est souvent
confondue usurpée avec la déesse Éris de la Discorde, sa rivale qui lui est contraire et
qui la combat sans cesse. Car Éris, le Mal, la Discorde : était également doté d'une
certaine beauté, mais pas du pouvoir de l'Amour sincère, responsable et harmonieux.
Dès lors, la déesse Aphrodite faisait don de toute qualité, à chaque personne (ainsi le
croyaient et le pensaient les grecs), et elle développait en chaque être les qualités
attribuées aux personnes belles humainement. Bien entendu, la déesse Aphrodite était
de toute beauté, inégalable de par ses divines vertus nombreuses. Pour ce motif,
Aphrodite est aussi malgré elle, la source de la jalousie de la déesse Éris fille d’Héra qui
lui envie tout le pouvoir merveilleux de ce qu’elle n’est pas. La déesse Aphrodite restait
la déesse du cœur. Or, la déesse Éris n’en n’a pas. Ceci ayant toujours été le grand
problème de la fille d’Héra. La véritable déesse Aphrodite permettait aux femmes d'être
justement : « en équilibre et en beauté ». La douce déesse pouvait apprendre également
aux femmes par exemple à apprivoiser la timidité de leur époux. Notamment dans
l'intimité. Ou au contraire, la déesse Aphrodite pouvait les priver d'amour, de
bonheur sous le courroux si elle accepte de le propager : « La déesse de l'Amour agissant
toujours inspirée avec la grande justesse du cœur ». Mais également déesse de la
Séduction, Aphrodite apprenait aux femmes qui le souhaitaient : « l'Art de séduire » (et
c'est tout un art.....). Les Grecs anciens disaient et pensaient de manière générale que
l'homme qui était guidé par, ou aidé de la déesse Aphrodite, ... était alors le plus
chanceux des hommes tant il n’aurait plus rien { craindre. À quelques exceptions de
mythes près (pour exemple : Adonis, le dieu de la beauté masculine), ceci fut relativement
vrai et estimé à raison. Notamment avec « le mythe de Pâris ». La déesse Aphrodite était
également considérée comme la bonne déesse de la compréhension, vu qu'elle avait le
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d'amour. Elle favorisait les ébats amoureux physiques, comme Déméter, bien
évidemment. Elle portait les êtres au dévouement, défendant « l'Idéal » de manière
générale. Car en effet, Aphrodite défendait aussi curieux que cela puisse paraître :
« l'Amour de la vérité » (« L'amour – vérité » ou « la vérité sous forme d'amour ») ; ce, tout
comme le dieu Hermès également, par exemple.
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pouvoir de comprendre tout ce qui se passe en chaque cœur. Défendant le caractère de
tout ce qui est intellectuellement ou moralement digne d'admiration, la déesse
Aphrodite, comme les Muses davantage, pouvait inspirer les artistes les plus divers,
ainsi que les poètes et les écrivains. Elle-même, dans l’Antiquité, étant considérée
généralement comme étant une divine protectrice des ballets et de la danse classique,
par exemple. Et grâce à son immense pouvoir divin d'empathie. C'est pourquoi la déesse
Aphrodite était au bénéfice d'un redoutable pouvoir d'anticipation, autant redoutable et
similaire à la capacité de divination propre à la Titan Phoebe. En général, la déesse
Aphrodite préférait défendre la Beauté du geste désintéressé d'une personne (ex.: dans
« le mythe de Pygmalion »). Mais elle pouvait remettre en place ses rivales d'une manière
magistrale. C'est l'une des plus puissantes déesses « magiciennes » de l'Olympe. Ainsi,
s'en souviennent, celles qui succombèrent à la vengeance de la déesse Aphrodite.
Parfois évoquée comme une déesse de la Nature « qui jamais ne hausse le ton », mais
surtout comme une déesse de la Fécondité, .... la déesse Aphrodite pouvait aussi
permettre la mise en évidence de tout ce qui faisait l'attrait, soit d'une région, d'une
personne, d'un objet.... De nombreux temples anciens lui furent consacrés dans toute la
Grèce hellénistique. Elle s'associait souvent avec les déesses Grâces, les déesses Muses,
les déesses Pléiades, les nymphes Dryades, etc. puisque la déesse de l'Amour est
également la déesse de la Danse, par excellence. Pourtant, et par ailleurs, la déesse
Aphrodite savait protéger plutôt efficacement les habitants de la Grèce antique, quand
ils décidaient de se placer sous sa protection. Elle intervient contre la Malfaisance : la
déesse Hybris dans la mythologie grecque. D'après les contes antiques, enfin, Aphrodite
est la déesse de la Douceur. Du moins, ainsi était-elle décrite jadis. Apollon trônait sur la
Beauté et la Lumière. Tandis que dans ce domaine, la déesse Aphrodite a ceci de
privilégié qu'elle siège sur la Lumière, la Beauté et l'Amour. Aphrodite surpasse donc le
pouvoir du dieu Apollon. De plus, elle disposait jadis du même pouvoir que le dieu
Apollon sur la Divination. Comme la majeure partie des dieux grecs anciens.
Vénus dans la forge de Vulcain, François Boucher, 1757
Dans la mythologie grecque ancienne. La déesse Aphrodite est la mère de l'Amour (lire
sous Éros). C'est pourquoi, Aphrodite ne s'entend pas toujours avec le dieu Apollon
justement (le Soleil). Les jugements d'Aphrodite étant réputés souvent plus juste que
ceux « du dieu des Arts » (Apollon). Aussi Aphrodite ne le rata-t-elle pas lors de la
dénonciation par le Soleil (Apollon), de la trahison d'Aphrodite envers l'époux trompé :
Héphaïstos (lire sous Héphaïstos, lire sous Hélios). Aphrodite lança une monstrueuse
malédiction divine sur toute la descendance du pauvre Apollon, ou parfois en lieu et
place d’Aphrodite, à ce rôle, intervient plutôt son fils Anthéros (lire sous Hélios, lire sous
Anthéros). Par ailleurs, Aphrodite, la déesse de Cœur, faisait partie du Culte des Grandes
déesses, ce, au côté de la déesse Déméter (lire sous Déméter), de la déesse Hestia (lire
sous Hestia), Athéna (lire sous Athéna), Artémis (lire sous Artémis), Hébé (lire sous
Hébé), Héra (lire sous Héra), etc.... Généralement, Aphrodite n'est pas réputée ou
connue pour agir délibérément : par tromperie. Elle n'aime pas la fausseté. Il ne faut
donc pas uniquement la juger selon les récits habituellement référés. Notamment en
référence de ceux liés à « la Guerre de Troie » par exemple (lire sous Éros, Zeus, Pâris). Vu
que la déesse Aphrodite est une déesse qui propageait le bonheur, certes, ce, autant que
possible, et dont la présence apportait également la Paix des ménages, des Cités, etc. En
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Elle permettait et influençait par exemple aux chefs des Cités d'agir avec humanité. Elle
donne un caractère plus humain aux êtres et aux choses. En effet, Aphrodite pouvait
même émouvoir les pierres pourtant sans vie. Sa compassion atteignait tout cœur, même
meurtri ou impur. Elle rendait les civilisations de l'époque plus sociables. Pour ce motif,
elle fut considérée comme une déesse de la Conciliation. Influençant sur l'humeur des
êtres, elle resta sacrée. D'autre part, Aphrodite avait la capacité de pouvoir rendre plus
supportable la souffrance, de quelque nature qu'elle soit. C'est la déesse de la
Compassion par excellence. Dans ce sens, la déesse Aphrodite sait mieux que nulle autre
déesse grecque agir sans éclat et sans prétention, ni importance. Mais son efficacité était
quasi infaillible. Aucun dieu ne pouvait s'y soustraire. Ainsi l'invoquait-on jadis pour
obtenir des résolutions, des faveurs, des réalisations. Elle protégeait naturellement les
amants et de manière générale les gens qui s'aiment. Son culte religieux était très
pratiqué dans l'ancien temps. C'est pourquoi, elle a souvent été une déesse olympienne
très respectée dans toute la civilisation grecque et romaine. Tout resplendit à son
approche. Elle sait « apprivoiser » tous les cœurs en chaque cœur. Il est possible de dire
d'autres choses bien sûr sur cette divinité, mais voici pour une présentation peu
singulière de la déesse Aphrodite, la présentation qui en est plutôt faite dans cette
encyclopédie simplifiée.
Aphrodite, La Fête de Vénus, de Pierre Paul Rubens, entre 1636 et 1637, exposé à Vienne
Remarque
Bon à savoir :
Dans la mythologie grecque ancienne, il faut peut - être aussi rappeler de mémoire que
la déesse Aphrodite était également assimilée comme étant une puissante fille de Gaea
et du grand Éros plutôt. C'est-à-dire concernant Éros : le troisième fils de Gaea,
également un frère d'Ouranos (Le tout premier Univers) et de Pontos (La toute première
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raison de la confusion qui survint systématiquement, ultérieurement dans les esprits, ce,
au sujet d'Éris la Discorde et les Intérêts et d’Aphrodite l'Amour pur ; ce, notamment
dans l'ensemble des définitions de la mythologie grecque les plus courantes : il lui fut
attribué peut - être et sans doute à tort, deux personnalités divines (« l'Ourania » et
l'autre : « Romaine »). Elle favorisera néanmoins l'essor de l'art, tant sur le plan de la
poésie, que sur le plan de l'architecture, par exemple. C'est une déesse qui a totalement
sa place parmi les dieux olympiens. Enfin, il ne faut pas oublier que le pouvoir de la
déesse Aphrodite était universel, dans ce sens, que nul être, nul dieu, ne pouvait se
soustraire à son influence ou à son attraction. Elle protège l’Univers (L’Amour qui
protège l’Univers ouranien), comme la déesse Athéna (La Sagesse qui protège l’Univers
ouranien et la Galaxie d’Hestia). Elle pouvait inspirer n'importe lequel des sentiments
humains. C'est la déesse de l'humain et de la personne humble et sincère. Aphrodite
comprend tout ce qui a le caractère, la nature de l'Homme (= la race humaine). Plus que
nulle autre, elle reste la divinité grecque la plus proche de l'espèce humaine, dans la
mythologie hellénistique. Il est assez difficile de la tromper. Dans ce sens, elle inspire la
confiance dans la nature humaine de chaque être qu'elle dispose et expose au sentiment
d'amour, selon son bon vouloir.
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Eau élémentaire originelle), et le grand Éros : l’un des trois dieux masculins originels
d’après les Grecs anciens originels. Puis différemment dans la mythologie grecque
classico - moderne, la déesse de l'Amour, Aphrodite, sera reconnue comme étant une
fille de la déesse Gaea et du dieu originel Ouranos (l'Univers). La déesse Gaea y restait
également considérée comme étant une autre déesse de l'Amour, puisque Gaea y était la
première des déesses apparues dans le monde mythologique ancien. C'est à dire d'après
la tradition mythologique de la Grèce ancienne. C'est la première des déesses originelles
en fait : la déesse Nyx étant la seconde, de coutume. Puis dans les versions plus proches
de la mythologie classico - moderne tardive : Aphrodite, la déesse de la Beauté, y sera
généralement considérée comme y étant une resplendissante déesse. Mais
simultanément fille d'Ouranos (la Semence), du Grand Éros (l'Amour universel, et la
fécondation divine), de Pontos la Mer, soit ici : « l'environnement natal, qui devint lors
de la Guerre des dieux quant à lui un « gigantissime » désert puni par Zeus de son
audace » ; Et de la première mère divine : Gaea la première des déesses de l'Univers
issue du Chaos : et autrement citée pour « la Terre – Mère ». Gaea est la première des
Sources de l'Amour (d'après la tradition mythologique originelle des Hellènes). Le grand
Éros le dieu originel étant la deuxième des sources de l'Amour dans la mythologie
grecque. La déesse Aphrodite sera donc la troisième de ces sources. Enfin, ses propres
enfants : la déesse Harmonie et ses frères, seront l'ensemble constitutif de la quatrième
des sources de l'Amour dans la tradition grecque. Etc. Puis des historiens précisèrent
également, à qui « mieux » - « mieux », que cette naissance d'Aphrodite s'était
simplement accomplie en ne la faisant naître supposément que de principes divins
mâles. Excluant donc de sa naissance le principe divin femelle, ces principes divins
mâles étant divisés selon « les quatre partis divins » suivants : 1) le dieu Pontos (le
Réceptacle), 2) le dieu Ouranos mutilé (le Fécondateur), 3) le Grand dieu Éros
(l'Alchimie), et 4) le dieu Chronos (l'Acte libérateur, mais autant parfois : l’Acte assassin,
l'Acte mutilateur). Elle - même (Aphrodite) devenant ainsi de même : un nouveau
principe divin féminin : « L'Amour pur », « la Beauté absolue », et « la Grâce universelle »
dispensés au cinquième sens du terme, et soit : 'donnés ou prodigués généreusement'.
Dans ce cas, la naissance d'Aphrodite n'y est pas forcément souhaitée de Gaïa occupée à
conspirer avec Chronos : la perte d'Ouranos son premier fils. Il en résulte au final un
merveilleux don vital pour le salut de l’Univers : Aphrodite. La déesse Aphrodite
patronna le monde antique, néanmoins. Du moins, jusqu'à l'avènement mythologique de
Dionysos l'Olympien (lire sous Éros concernant Aphrodite, cependant). Il est bon de
savoir aussi que dans l'ancien temps, la déesse de l'Amour absolu, Aphrodite, était
devenue le haut symbole de « l'Amour du Peuple » (« des Peuples »). La déesse Aphrodite
régissait tout l'Amour des peuples dont elle était reconnue pour être l'heureuse
protectrice, à l'instar par exemple du dieu Pan. Dans ce sens, Aphrodite la déesse de
l'Amour symbolisait sur le plan mythologique : l'Image de 'Tout Peuple aimant'. Tandis
que le dieu Arès, représentait l’Image de : « Tout Peuple en Guerre ». Héphaïstos, avait
celle de : « Tout Peuple travailleur ». La déesse Athéna, était celle de 'Tout Peuple Sage'.
Etc. Ainsi, les divinités olympiennes étaient-elles très vénérées pour ce motif par les
hommes de cette époque antique, en leur Temps. Jadis, Aphrodite, la déesse de la
beauté, fut quelques fois considérée, mais certainement avec tort, comme étant une
noble fille d'Hypérion (le Ciel et la Gloire du Ciel, ainsi que la Grandeur céleste), la situant
de même comme la sœur directe de Séléné (la Lune), d’Éos (l'Aurore) et d'Hélios (le
Grand Soleil). Mais cette affiliation logique indépendamment du fait qu'elle fut rare en
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Chapitre : XXXXII – APHRODITE
DANS LE GARÇON AUX BÂTONS D’ENCENS - Mythes / auteur : TitiLatulipe
Extraits de l’Ouvrage encyclopédique – à Thème portant sur la Mythologie hellénique ancienne
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son temps, est peut – être fausse et sa véracité fut le plus souvent remise en doute par
les auteurs modernes qui ne sont toujours pas d’accord sur ce point (lire sous Éros).
Aphrodite fut désignée comme fille d'Ouranos le dieu originel, parfois comme celle de
son frère (le Grand Éros universel). On la dit en définitive « née issue de l'écume des eaux
de la mer ou de l'océan » (lire sous Éros).
Quelques mots sur les Titans :
Le Rôle des Oracles :
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Océan : le dieu Titan qui trône sur le Siège qui gouverne les eaux du monde des
premiers Océans
Hypérion : le dieu Titan qui trône sur le Siège qui gouverne le Ciel universel et
l’Espace divin qui conduit la Gloire et la Réussite
Japet : le dieu Titan qui trône sur le Siège qui gouverne la Destruction positive
puis négative, sur le principe universel de la Mort et de sa sagesse
Crios : « celui qui hurle afin de cacher sa bêtise », demeure le dieu Titan qui trône
sur le Siège qui gouverne le Futur
Coeos : le dieu Titan qui trône sur le Siège qui gouverne la Réparation, la
Médecine et de l’Intelligence universelles
Chronos : le puissant dieu Titan qui trône sur le Siège qui gouverne le Temps, la
Temporalité et de tous ses espaces temps, et sur le dôme de chaque vie
Théia : la déesse Titan qui siège sur le Trône du Présent
Thétys : la déesse Titan qui siège sur le Trône des Eaux
Phoebe : la déesse Titan qui siège sur le Trône de la Divination
Mnémosyne : la déesse Titan qui siège sur le Trône de la Mémoire universelle
Rhéa : la déesse Titan qui siège sur le Trône de la Terre nourricière universelle
Thémis : la déesse Titan qui siège sur le Trône de l’Ordre absolu et de la Justice
Sont les divinités grecques ancestrales qui furent retenues parmi les dieux Titans en
effet les plus puissants. Mais les Titans globalement étaient jadis bien plus nombreux et
ils étaient plus généralement la représentation symbolique des éléments, dont les quatre
principaux éléments pour l’Homme que sont : l’Eau, l’Air, la Terre et le Feu. Ainsi, jadis,
étaient-ils classés par catégories de dieux ancestraux, et vivaient habituellement dans
des régions et sur des territoires divins qui leur étaient consacrés « dissocièrement » de
leur nature. Un peu comme le décrivent dans la structure de la mythologie norvégienne
et/ou nordique, les royaumes d’Asgard similairement, par exemple. Il existait semble-til : les titans des eaux, les titans du feu, les titans des airs, et les titans des terres. Mais
également, parfois, des titans qui régissaient les minéraux, les pierres, ou encore les
autres éléments de la Nature principale universelle, et inconnus de l’Homme. Il faut
savoir que les titans de manière générale détenaient le pouvoir de l’harmonie
universelle originelle. Dans l’ancien Temps, les titans étaient plutôt contradictoirement
réputés pour leur immense Sagesse et leur capacité à épanouir le monde. Ils se
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Les dieux Titans, avant la venue des dieux olympiens étaient inombrables. Si bien que
seuls les douze plus puissants d’entre eux reçurent un trône { siéger dans l’Univers de
leur père : le dieu Ouranos (lire sous Ouranos). Parmi eux :
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Cet acte sacrilège du dieu Chronos contre Ouranos ouvrant la porte aux nouveaux dieux
Olympiens fils de Chronos d’asseoir { leur tour un nouvel Ordre de Justice et de Paix, qui
deviendra une Démocratie, également prisonnière d’un nouvel Oracle dont « l’épée de
Damoclès » s’apposa directement sur Zeus l’Olympien. Pourtant, Zeus s’érigera contre
Chronos. Cependant, la Grèce antique n’en fut pas moins détruite par les Romains
nouveaux. Du fait, et sans vouloir bâtir des ponts déraisonnés, il est peut – être bien
utile de se souvenir au détail, que Rome n’a de cesse de vouloir rappeler, de par son
histoire, les conséquences tragiques du « syndrome d’Ouranos » dont fut notamment
atteint le plus célèbre des empereurs romains : le mortel Jules César, en son histoire, et
ce en l’exemple singulier de la mort de ce dernier. Accomplie elle – aussi, similairement à
celle qui frappa dans la mythologie le dieu Titan Ouranos symboliquement. Ouranos
avait été mutilés par tous les Titans révoltés de sa cruauté. L’empereur César, de se
croire l’égal des dieux, est mort encerclé puis poignardé par tout le sénat politique, pour
les mêmes raisons : « la folie des grandeurs » et « le monopole du pouvoir » que Jules
César souhaitait conserver au terme de ses nombreuses conquêtes. Ainsi, l’Homme
reproduit exactement ici l’exemple de ce que les dieux de la Grèce avaient { leur époque
mal commis selon le légendaire et symbolique récit de leur mythologie. Le règne des
Titans s’acheva dans la Galaxie avec celui des nouveaux Olympiens qui en reprirent la
défense. Ces derniers asservirent tous les Titans secondaires, en les condamnant pour
certains à séjourner dans les Royaumes du Tartare infernal, et les Olympiens
combattirent les douze dieux Titans les plus puissants qui demeuraient en règne. Selon
une « Guerre des dieux » qui eut lieu afin d’imposer aux mondes des Titans : leur propre
vision du monde universel, d’après la mythologie d’époque. Dès, et parfois plus
précisément, après la création de première la Flore par le dieu Titan Épiméthée, et après
la Naissance des premiers hommes primitifs, et après la révolution du Feu pour
l’Homme, qui fut déclenchée par la faute et par l’intermédiaire du dieu Titan Prométhée
opposé à Zeus (lire sous Prométhée) : une nouvelle conception, la démocratie, se
politisera. La société des dieux ne fonctionnant pas bien différemment finalement de la
société des Hommes (lire sous Thémis, lire sous Arès, lire sous Hadès).
AMOURS DES DIEUX - APHRODITE
Les Amours de la déesse de la Beauté se dirigèrent jadis vers les divinités grecques
suivantes :
→
Le dieu Héphaïstos (le Feu)
→
Le dieu Arès (la Guerre)
→
Le dieu Dionysos (la Folie)
→
Le dieu Poséidon (la Mer)(parfois amant d’Aphrodite, mais ceci n’est pas toujours
corroboré)
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réunissaient jadis selon les légendes nombreuses mais qui divergent cependant, afin de
juger de l’Équilibre du monde universel. C’est ainsi justement le premier meurtre
universel commis par le dieu Titan Chronos qui bouleversa cet Ordre établi en imposant
et en remplaçant la dictature peu à peu instaurée par un dieu Ouranos craintif d’une
nouvelle dictature menée par le dieu Titan Chronos dont l’esprit à son tour fut
empoisonné sous le pouvoir d’un Oracle néfaste { l’origine de sa menace.
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→
Le dieu Hermès (l'Intelligence)
[--> lire également sous le chapitre des ‘amours des dieux’]
Sont ses principaux amants divins connus dans les histoires croustillantes de la
mythologie grecque classique (lire sous chaque chapitre indiqué, cependant). La déesse
Aphrodite connaît quelques amants humains, tels que le mortel Anchise, par exemple.
Du quel, la déesse aura un fils nommé : Énée. Ce dernier sera rescapé de la Guerre de
Troie (la cité du haut symbole de la puissance grecque), échappant à Achille ; le roi
Agamemnon l’épargnera ; à suite de quoi, Énée lui – même fils d’Aphrodite deviendra
« le Père fondateur de la cité de Rome, ennemie de la Grèce ». Pour sa part, la déesse
Aphrodite est la mère de nombreuses autres divinités, comme celle du dieu Hymen
(« Hyménée » le dieu du chant nuptial et des premiers amours), de la déesse Pitho, des
dieux Pathos, Éros, Himéros, Anthéros, de la déesse Harmonie, du dieu
Hermaphrodite, ou encore du dieu Priape, etc.
Dans la mythologie très ancienne, la déesse Héra reprenait particulièrement dans
certaines régions le nom d’Hybris sous la désignation d’une déesse « Héra – Hybris »
caractérisant la nature jalouse de l’épouse officielle de Zeus. Car quand elle est jalouse, la
déesse faisait le mal. Ce qui se retrouve exactement dans la nature de sa fille Éris. Ici, une
indication soulève la naissance du dieu Pan le désignant comme un fils d’Aphrodite. Ce
qui est fort curieux.
La déesse de la Volupté : Edonê
Dans la mythologie grecque, la déesse de la volupté serait représentée par la déesse
Edonê (en compagnie de l'Amour), laquelle était une divinité grecque très belle, du reste
très souvent confondue avec celle qu'elle sert : soit, la déesse Aphrodite, sa patronne.
Cependant, « Edonê aux regards languissants » traduit la mollesse et le manque de
modestie. Elle sera souvent représentée dans les illustrations, allongée et étendue sur un
lit de fleurs (symbole d’Éros), et tenant une boule de verre munie d'ailes (symbole
d’Hermès).
Aphrodite, La beauté de la femme, dans la Grèce ancienne
Autres données de lectures :
Bon à savoir :
Trois anciens romans d'Amour célèbres et peut - être utiles à connaître, pour
commencer à comprendre un peu, ce qu'est la force et le pouvoir de l'Amour :
1. 'Roméo et Juliette' : L'Amour à l'italienne, repris par l'auteur anglais Shakespeare.
Elle raconte l'histoire de Roméo Montaigu (Romeo Montecchi) et de Juliette Capulet
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Remarque :
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2. 'Merlin l'Enchanteur' : Une histoire d'amour courtois du Moyen - Âge, dans le
cadre des chevaliers de la table ronde de l'époque médiévale, dont les personnages
principaux sont Viviane, Merlin, Morgan, Arthur et Lancelot. Merlin est un personnage
légendaire généralement vu comme un magicien et un druide bénéfique, commandant
aux éléments naturels et aux animaux. Il est surtout mentionné dans la mythologie
brittonique qui couvrait la Bretagne continentale et l’actuelle Grande-Bretagne, jusqu'au
sud de l’Écosse, et en particulier dans le cycle arthurien dont il est l'un des personnages
principaux. Dans tous les textes où il est mentionné, c'est Merlin qui permet la naissance
du Roi Arthur en usant de ses sortilèges, mais aussi l'accession de ce dernier au pouvoir.
Il est le conseiller du roi et de ses chevaliers, prédit le cours des batailles et influe sur le
déroulement de celles-ci, avant de se retirer dans la forêt à laquelle il est étroitement
associé. Le roi Arthur est, d'après les romances médiévales, un seigneur breton qui
aurait organisé la défense de la Grande-Bretagne face aux envahisseurs saxons à la fin du
Ve siècle ou au début du VIe siècle. La légende d'Arthur est principalement inspirée par
le folklore et l'invention littéraire, et son existence historique n'est pas attestée. Les
sources historiques d'Arthur sont recueillies sur de rares textes, tels les Annales
Cambriae, l'Historia Brittonum et les écrits de Gildas le sage. Le nom d'Arthur apparait
également dans d'anciens poèmes tel que le Gododdin. Son histoire se situe à une
époque où le terme « Bretagne » désignait la grande moitié sud de l'actuelle GrandeBretagne.
3. 'Tristan et Iseut' : Une histoire d'amour germano - celtique. Originellement :
'Tristan and Iseult'. L’histoire de Tristan et Iseut (ou Iseult, Yseut, Yseult) a traversé les
siècles pour intégrer la littérature. D’origine celtique, ce sont les poètes normands qui en
ont fait les premières rédactions qui nous sont conservées. Dans ce roman, le roi Marc
souhaite que son neveu lui succède à la tête de la Cornouaille, mais des seigneurs s’y
opposent, préférant une succession directe. Le roi décrète qu'il épousera celle à qui
appartient le cheveu d'or, déposé le matin même par un oiseau. Tristan se souvient
d’Iseut et suggère une ambassade auprès du roi d’Irlande. À peine débarqué, surgit un
terrible dragon qu’il doit combattre et occire non sans avoir été blessé. Pour la seconde
fois, il est soigné par la fille du roi. Iseut voit que l’épée du chevalier porte une marque
qui correspond à un morceau de fer, retrouvé dans le crâne de Morholt ; elle comprend
que c’est Tristan qui a tué son oncle, mais renonce { toute idée de vengeance. Il
s’acquitte de sa mission et le père accepte que sa fille épouse le roi de Cornouaille, ce qui
est une manière d'effacer les différends entre les deux royaumes. Iseut éprouve quelque
ressentiment du peu d’intérêt que lui manifeste Tristan, mais s’embarque pour la
Bretagne.
4. 'Les Quatre Mousquetaires' : Une histoire d'amour entre Constance et
Dartagnan, opposé au Cardinal de Richelieu. Les Trois Mousquetaires est un roman
d'Alexandre Dumas, initialement publié en feuilleton dans le journal 'Le Siècle', ce, de
mars à juillet 1844. Il a été ensuite édité en volume dès 1844 aux éditions Baudry et
réédité en 1846 chez J. B. Fellens et L. P. Dufour avec des illustrations de Vivant Beaucé.
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(Giulietta Capuleti), deux jeunes gens vivant un amour tragique en raison de l'inimitié
qui oppose leurs deux maisons familiales.
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Le roman raconte les aventures d'un Gascon désargenté de 18 ans, d'Artagnan. Monté à
Paris pour faire carrière afin de devenir un mousquetaire du Roi de France. Il se lie
d'amitié avec ses pairs Athos, Porthos et Aramis, tous trois des mousquetaires du roi
Louis XIII. Ces quatre hommes vont s'opposer au premier ministre, le Cardinal de
Richelieu et à ses agents, dont la belle et mystérieuse Milady de Winter. Pour sauver
l'honneur de la reine de France, soit : Anne d'Autriche. Dartagnan tombe amoureux
réciproquement de Constance, une servante de la Reine et du Roi.
IMAGE DE LA REPRÉSENTATION D’APHRODITE
Source : LE GARÇON AUX BÂTONS D’ENCENS - CHAPITRE XXXXII – APHRODITE
05. 02. 2008 20 : 30
Description :
La déesse Aphrodite dispose du pouvoir de désarmer toutes les créatures, les mortels y
compris. Dans la mythologie grecque, elle met les êtres en face de leur nudité dans tous
les sens du terme. Elle les dégarnit ou les dépouille ...de toutes mauvaises intentions. La
déesse de l'Amour, en effet, les confrontait dans la mythologie à sa simplicité. Face à la
déesse Aphrodite, les êtres et les dieux pouvaient se retrouver subitement aussi nus, que
lorsqu'ils se trouvaient devant leur miroir. C’est pourquoi l’Amour faisait généralement
peur. Ainsi, la déesse Aphrodite confrontait les personnages mythologiques à leur
réalité. Tous les déguisements et tous les masques tombaient, dans la mythologie, ce,
devant Aphrodite, qui dit, par ailleurs, la vérité aussi « nûment » [de manière aussi nue]
que pouvaient le faire les nombreux oracles divins, célébrés et connus dans les récits
d'époque. Mais somme toute, Aphrodite retira-t-elle momentanément à la vie de certains
humains et de certains dieux, le bonheur sincère, qu'elle accordait jadis à l'harmonie de
la Nature dont elle était l'heureuse source. Ainsi, les hommes se mirent-ils à souffrir de
plus en plus de son absence divine, sur Terre, aux temps anciens. La vraie Aphrodite
chargea toutefois le dieu Éros de combler cette absence (lire sous Psychê). Le mois
d'avril lui étant consacré, on offrait des lapins en l'honneur de la déesse de la Beauté et
de l'Amour, d'après l'ancien culte. Le dieu Symplerotikos est le moins célèbre des
enfants d’Aphrodite, auquel elle donna noble naissance ce, de son universelle union avec
le dieu de l’Intelligence divine : Hermès, que l’on donnait autant pour père d’Éros,
Pathos, Himéros, Hermaphrodite et Harmonie, et généralement également par la
même déesse (lire sous Hermès, lire sous Arès, lire sous Aphrodite, et lire sous Éros).
Non moins le plus fondamental des jeunes dieux de la troisième génération olympienne
{ l’époque ancienne, le dieu Symplerotikos était jadis cité pour être le dieu de la
complémentarité. Il permettait soit – disant l’apport de tout complément, aux nécessités.
Dans l’imaginaire ancien, ce dieu extrêmement beau réalisait divinement tout ce qui
s’ajoute ou doit s’ajouter { une chose pour quelle soit complète. Inspirant les
propositions ou les mots aux humains (son père Hermès étant le dieu de l’Éloquence)
qui leur permettaient de compléter ou de préciser le sens d’un serment, par exemple. Ce
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Remarque sur Aphrodite
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fils d’Aphrodite inspirait donc tous les serments solennels, ainsi que l’élan de l’Amour.
Puisqu’il est l’une des personnifications de l’inspiration céleste. Il rendait complète toute
chose. Symbole d’amour et de paix, Symplerotikos était un jeune dieu auquel il ne
manque jamais rien, d’après sa définition d’origine : c'est-à-dire la divinité à laquelle il
ne manque aucun des éléments qui doivent la constituer, réunissant tous les éléments
nécessaires { l’organisme. Celui qui a un ensemble achevé de qualités, et de caractères,
un dieu complet et sans lacunes. Il est celui qui disposait le don des héros
complémentaires aux dieux, quand il leur offre tous les caractères de leur genre afin
qu’ils soient naturellement des hommes accomplis. Il est celui qui porte et permet que
toute action soit tout à fait réalisée. Il avait naturellement à la naissance le don et la
connaissance de tous les éléments qui doivent constituer et composer toute chose pour
quelle soit parfaite et entière. D’après sa légende, il fut jalousé. Par le dieu Pan
notamment. Car il était l’un des dieux de la Beauté, par opposition { Pan dont l’aspect
était moins attirant, voire repoussant. De sa grand-mère Maea - Maïa, le tout jeune
Symplerotikos connaissait tout élément qui favorise la complémentarité nécessaire à
l’heureuse croissance sous le grand secret de la Nature. Et Aphrodite sa mère, n’était pas
peu fier de ses vertus. Ainsi, toujours le protégeait-elle des jalousies des autres dieux,
tels que de Phoibos ou de Demios des fils d’Arès (lire sous Arès). Aussi, la déesse le
plaça sous bonne garde de la déesse Soprosyne dans l’enfance, laquelle se chargea ainsi
de son heureuse éducation, de même que le Sage Chiron.
Quelques entités divines grecques, au service de la déesse Aphrodite
Pitho, la déesse de la Persuasion
Dans la mythologie grecque, la déesse Pitho est la déesse de la persuasion. La déesse
grecque Pitho est assimilée avec la déesse Suada chez les romains et les latins. Dans la
mythologie, elle est indiquée comme fille de la déesse Aphrodite (L'Amour, la Beauté
parfaits). Mais il arrive à la déesse Pitho également de se retrouver dans le camp de la
déesse Éris (la Discorde), fille d'Héra qui se plait à user de sa beauté pour semer sa
discorde. Éris s'opposant en tout point au culte d'Aphrodite. Ce qui donna lieu bien
souvent dans l'histoire indiquée, à des frictions, l'une étant souvent confondue avec
l'autre. Pourtant Aphrodite ne peut être méprise pour Éris. Mais bien souvent, la déesse
Éris est confondue avec Aphrodite, car la beauté trompeuse d'Éris (la Discorde) ne lui
est pas défavorable auprès des mortels yeux des êtres humains, sur la Terre. La déesse
Pitho, fille d'Aphrodite, rend des services à la déesse des Intérêts : Éris, ainsi qu'à la
déesse de l'Amour, la divine Aphrodite. Ce qui est une erreur. Car il ne fau jamais blesser
l’Amour en Aphrodite.
Soprosyne, la déesse de la Vertu
Dans la mythologie grecque, il semblerait que l'une des déesses présidant à la vertu,
comme « les déesses Grâces », à leur côté, serait la déesse Soprosyne. En effet, la déesse
Soprosyne est la déesse qui attribue toute qualité aux humains, ainsi même qu'aux
nouveaux - nés des dieux de l'Olympe. Dans la mythologie grecque, la déesse Soprosyne
serait connue pour être la fille légitime de la déesse de la Vérité (soit ici : Aletheia). En
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effet, la déesse Aletheia (la Vérité) avait un frère qui se nommait : Alethès. Comme pour
le dieu Nérée le dieu des Mers et de la Vérité - fils de Gaïa, et de la lignée de Pontos frère
d'Ouranos, c'est-à-dire quand ils sont issus du couple Gaïa - Pontos (lire sous Poséidon) :
la déesse Aletheia et son frère Alethès connaissaient toutes les vérités. Cependant, les
divinités Aletheia et Alethès sont les enfants du dieu Chronos (la Temporalité - lire sous
Chronos), qui les aurait conçus avec la déesse Dikaiosyné (soit autrement : Dikê, la
déesse de la Justice humaine). L'expression suivante : « dire la vérité nue », proviendrait
en réalité de la représentation mythologique de la déesse Aletheia, avec un visage
souriant et empreint de modestie, soutenant un soleil de sa main droite et un livre
ouvert de sa main gauche, et avec une palme ; tandis que sous ses pieds trônerait le
globe du monde grec (en allusion peut - être au dieu Atlas - le soutien du monde pour les
peuples helléniques de l'Antiquité jadis). Détentrice d'un miroir magique, orné de fleurs,
Aletheia était aussi décrite, dans la mythologie grecque, comme étant d'une beauté
extraordinaire dans sa nudité, alors que les peintres l'illustrent en la montrant sortant
d'un puits. Sa vérité sert les desseins d'Aphrodite bien aspectée, et on la disait
impérissable. C'est-à-dire : perdurant dans le temps. En signe de bienveillance, certaines
légendes établissaient qu’Aletheia allouait au service de la déesse de l'Amour et de la
Beauté parfaite, l'aide de sa propre fille : Soprosyne, qui veille à toute distribution des
vertus et des qualités. Les déesse Grâces, quant à elles ses alliées, ou Soprosyne restant
l'alliée des déesses Grâces : entretenaient chacune, la beauté éternelle de la déesse de
l’Amour et de la Beauté parfaite la douce Aphrodite. Réunissant ainsi pour les grecs, et
par ailleurs, toute qualité physique et humaine parfaites, que les poètes de l'époque
puissent souhaiter et attribuer à faveur de la déesse Aphrodite (lire sous Aphrodite
pour comprendre). Ainsi, subjugua-t-elle le Prince Pâris, et remporta-t-elle de manière
tout à fait méritée : le célèbre Coucours de Beauté (lire sous Thémis, lire sous Hermès,
lire sous Arès, lire sous Zeus, lire sous Héra, lire sous Athéna). Pour en revenir à cette
servante de la déesse Aphrodite : la déesse Soprosyne (la Vertu), dans la mythologie
grecque, est quant à elle, la mère du dieu Timê (le Respect). Le meilleur camarade de jeu
du dieu Timê serait dans son enfance, le fils de la déesse Aidos la Pudeur, autre servante
d'Aphrodite ; et qui se nommait jadis quant à lui : Aidéomaioymai. Il serait l'autre dieu
du Respect, dans la tradition de la mythologie grecque.
Edonê, la déesse de la Volupté
Dans la mythologie grecque, la déesse de la Volupté serait désignée comme étant la
déesse Edonê. En effet, Edonê (la puissante Volupté), est une très belle déesse, femme
souvent confondue par sa grande beauté, avec sa patronne même, la déesse Aphrodite.
Cependant, la déesse de la Volupté qui est au service d'Aphrodite (Edonê), était
généralement dite comme étant : « celle qui est la déesse aux regards languissants [...] ».
Elle traduisait, semble-t-il, pour les Grecs anciens tout ce qui désigne une forme de
mollesse, et un manque de modestie sincère. Les sculpteurs, les poètes et les peintres la
représentaient le plus souvent, dans une position étendue, sur un lit de fleurs, et tenant
une boule de verre munie d'ailes de colombe, avec une chevelure voluptueuse et éparse.
Voici, quelles étaient celles parmi ses quelques attributions propres, dans la mythologie.
Peut - être, est-elle également connue sous d'autres appellations, comme cela se vérifie
pour la déesse Harmonie (lire sous Harmonie, lire ci – bas), souvent confondue avec
Hermione (lire sous Harmonie). La question se pose : Les grecs relatent l'existence de
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deux personnages mythologiques, connus sous le même nom de : « Harmonie ». Ainsi, il
aurait existé et il aurait été identifié : Harmonie (fille d'Aphrodite et d'Hermès) et
Hermione (fille d'Aphrodite et d'Arès). Pour en revenir aux informations concernant la
déesse Edonê (la Volupté). Il semblerait que son époux, dans la mythologie grecque ait
été désigné sous le nom du dieu Anthos (le dieu des fleurs). Anthos est le dieu des
Fleurs, il préside, ce, avec la déesse Chloris la déesse des Fleurs : à l'ouvrage de la Nature
et de la Flore, pour les grecs. Toutefois, en raison du rapt de sa fille Perséphone enlevée
par Hadès alors qu'elle cueillait un Narcisse blanc.... : la déesse Déméter décida de
bannir du royaume des champs - quand il est relié à celui de l'Agriculture, que Déméter
régit dans la mythologie grecque ... - le monde des fleurs, qu'elle n'autorisa à évoluer,
mais qu'en dehors des cultures des champs. Cela en rappel de ce qui s'était produit avec
sa fille Perséphone en Sicile. C'est peut - être pourquoi, de nos jours, les céréales ne
produisent pas de fleurs colorées et remarquables. Hormis le Tournesol dont la couleur
jaune rappelait l’hypocrite Hadès. Et cependant pour seconde exception, il peut être
rappelé, que la déesse Déméter fit toutefois une parenthèse à cette règle ; en
n'autorisant que « la Fleur de pavot », à venir orner ses champs de céréales, rappelant
ainsi à tous par la couleur rouge de cette fleur, qui symbolise par ailleurs, également le
danger : qu'il était toujours risqué dans l'Antiquité de laisser aller se promener à la
cueillette des fleurs, les jeunes filles vierges et sans défense. Ce qui renvoie, bien
évidemment, au célèbre mythe de « Perséphone et Hadès » dans la mythologie grecque
ancienne (lire sous Hadès). Par ailleurs, laisser pousser des fleurs dans un champ
destiné à l’agriculture, pouvait être considéré par les dieux anciens comme un grave
outrage à la déesse Déméter. Le dieu Anthos (le dieu des fleurs) est l'époux de la déesse
Edonê (la Volupté). Il semblerait que la déesse Chloris (l'autre déesse des Fleurs), aurait
eu une aventure avec le dieu Zéphyr le vent de l'Ouest, époux de la déesse Arc - en Ciel
nommée Iris (lire sous Iris) qui pour la récompenser, lui aurait attribué tout un domaine
terrestre localisé dans « les îles fortunées ». Chloris avait dès lors pour tâche de
conserver ces îles dans l'éclat de leur jeunesse et de leur beauté. L'aventure passagère
de Zéphyr et Chloris se serait déroulée durant le mois de Mai, ce, en l'honneur du
Printemps. Chloris et Anthos garnissent les lieux selon les désirs de Soprosyne (la
Vertu), pour et en faveur d’Aphrodite l'Amour, la Beauté absolue. La soeur de
Soprosyne (la Vertu) serait la déesse Akmê, et elle présidait, tout comme sa sœur : « le
plus haut degré de la Beauté et de la Force (spirituelle et physique) ». Ainsi, Soprosyne (la
Vertu), Edonê (la Volupté) et Akmê (la Providence), font parties du cortège de la grande
déesse Aphrodite, cela tout comme le dieu Anthos et la déesse Chloris. La déesse
Aphrodite étant associée sous le Panthéon grec des dieux majeurs les plus importants,
dans la mythologie, jadis (lire sous Aphrodite).
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Entre parenthèse :
Citation concernant Hermione, confondue avec Harmonie :
« [...] Les poètes donnent à Mars (Arès chez les Grecs) plusieurs femmes et plusieurs enfants.
Il eut de Vénus deux fils, Deimos et Phobos (la Terreur et la Crainte), et une fille Hermione,
qui épousa Cadmos. Il eut de Rhéa Romulus et Rémus ; de Théné, Évadné, femme de
Capanée, un des sept chefs thébains ; et de Pirène, Cycnus qui, monté sur le cheval Arion,
combattit contre Hercule et fut tué par ce héros. Les anciens habitants de l'Italie donnaient
à Mars, pour épouse, Néréine (Romaine) [....]. »
- Fin de citation –
Source : M.G.E.R: - Commelin --> Encyclopédia Wikipédia (web)
Les divinités de l'Heureuse Inspiration
On disait souvent que l'Amour est la source d'inspiration des plus grands artistes. Sur ce
plan, les déesses Muses, tout comme les déesses Grâces, présidaient aux divers arts,
dans la mythologie (lire sous Mnémosyne). Il existait cependant des divinités mineures
qui orientaient sous leur impulsion, l'inspiration artistique, et toutes les autres formes
d'inspirations connues. Ce sont bel et bien les dieux et déesses de l'inspiration et de
l'intuition. Certains d'entre eux furent connus sous le nom des entités suivantes : le dieu
Enthéon, la déesse Epinoïa et ses sœurs, ainsi que les dieux Enthousiadzo, Eispnon et
Peithomaï. Parfois, sont-ils réunis sous le fait d'une seule et même famille de divinités.
Les divinités du Pardon et de la Paix
Parmi les dieux du pardon, figurent dans la mythologie grecque, les dieux Syggnemên
(le Pardon obtenu), et la déesse Syggigneskê (le Pardon donné). Généralement, ils
permettaient pour les grecs, « l'acceptation ». Ils sont associés au dieu grec Diallattomai
qui symbolisait jadis : la Paix entre les personnes. Le dieu paisible Eirenikos permettait
de rester en paix avec sa conscience, pour peu que les prières de ceux qui croyaient en
lui, lui soient destinées. Dans la mythologie grecque, par ailleurs, les nobles déesses
Eirenê (la Paix) et Esukia (le Calme) contribuaient au maintien de la Paix sur Terre.
Envoyés par la déesse de la Haute Sagesse : Athéna, toutes ces entités mineures avaient
pour mission de permettre aux humains de se bonifier. Ainsi, avaient-elles par exemple
pour rôle de maintenir les temps de « non guerre », les guerres étant généralement
déclenchées par Arès et ses affiliés (lire sous Arès). Grâce à ces divinités ci - dessus
évoquées, les grecs apprenaient-ils à savoir pardonner et vivre avec le moins de conflit
possible, entre les cités, et entre les familles. Mais le camp adverse, toujours prompt à
déclencher les querelles les plus diverses et pour les raisons les plus futiles : ne se
lassaient jamais de prodiguer aux humains, malheurs et déceptions (lire sous Arès, Éris,
ou Bellone). Ainsi, la destruction et les guerres ne furent-elles jamais éradiquées de la
Terre. Nombreux furent les récits épiques qui l'attestent, dans la période hellénistique,
par exemple. Heureusement peut - être, que les dieux de la Paix et du Pardon finissent
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Les autres divinités mineures au service d'Aphrodite
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toujours, et le plus souvent par reprendre le dessus dans les innombrables conflits de
l'Histoire antique, par exemple. Ainsi, Zeus leur créa-t-il, les déesses Apomothê et
Sullégê, qui sont, semble-t-il, indiquées comme les déesses de la Réconciliation et de la
Réunion pacifique. Ainsi, Héra obtempérait – elle toujours son pardon à Zeus.
Divinités mineures, en comparaison des dieux majeurs, les dieux Apoban, Antos, Prattê,
Kalès, Eutykia, contribuaient à la réussite des mortels. Envoyés par les dieux principaux
pour leur porter secours. Bien sûr, leurs rivaux sont les dieux qui les entravent, soit les
dieux Kakès (l'échec) et Apobainê (la défaite). Chacune de ces entités divines mineures,
dans la mythologie grecque, obéissaient à leur patronne : la déesse Nikê (la Victoire).
Elle seule pouvait régir sans faillir les dénouements et l'issue des événements. Son
influence se portait également envers les dieux les plus puissants de la mythologie
grecque. Zeus, respectaient Nikê, laquelle était par ailleurs soutenue par la déesse
Athéna (la Sagesse). Souvent, des temples religieux, jadis, leur furent attribués
communément dans la tradition mythologique grecque. Les dieux de la réussite
s'alliaient infailliblement aux dieux de la Justesse, lesquels correspondaient avec la
déesse Akribeia (la Justesse) et la déesse Summetria (la Justesse proportionnée).
Laquelle Akribeia donna naissance à un fils plus puissant qu'elle, d’après la mythologie
ancienne. Il s'agit d'Orthotès. Parfois, la déesse Empeiria la déesse qui accorde la
Protection (fille d'Aurore - rare) se joignait à leur office. Tous deux permettaient aux
mortels de découvrir la juste vérité des choses cachées et ils avaient bonne influence
afin de les guider dans la réalisation de leur bonne action sur Terre. Les grecs qui s'en
préoccupaient pensaient que plus ils accomplissaient la bonne action, plus le séjour des
bienheureux leur serait accessible dans le paradis des Champs - Élysées.
Parousia, la déesse de l'Emoi
Dans la mythologie grecque, il semblerait qu'il exista parfois, une autre servante
secondaire de la déesse Aphrodite, très appréciée de cette dernière. Il s'agit de la déesse
Parousia (rare). La déesse Parousia serait, dans la mythologie, celle qui régit l'émoi et
les présences. Elle n'est pas à confondre avec la servante d'Éris, qui se nommait jadis :
Kidoimos la déesse de la Confusion des émotions (lire sous Éris). La déesse Parousia,
était la déesse de l'Émoi, et elle patronnait le hasard heureux. C'est-à-dire celui qui
permet d'être présent au bon moment et au bon endroit. Elle régit les présences en un
lieu donné. La déesse Parousia patronne l'existence réelle des êtres vivants. Elle
développe « l'Aura de vie » des êtres et l'attrait des choses qui disposerait d'un don
mystérieux, d'un talent, d'un pouvoir et d'une personnalité propre extraordinaire.
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Les dieux grecs de la Réussite
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Les trois dieux des envies, dans la mythologie grecque, sont : Phthonos, Epi et
Aphthonos. Le dieu de l'envie est à proprement parler : Phthonos. Il serait assimilé avec
la déesse Invidia, de la mythologie latine (rare). On différencierait ainsi plusieurs de ces
divinités parfois influentes sur les humains et les dieux. Le dieu des envies superficielles
est le dieu Epi. Il aspire au comportement artificiel de l’Humain. Mais le dieu Aphtonos
serait celui qui la chassait, écartant l’Homme de toutes les envies, notamment les envies
coupables (rare). Ces dieux mineurs, assez peu connus, sont pourtant au service du dieu
Anthéros (ou Antéros - lire sous Éros, lire sous Anthéros), qui symbolise parfois la
haine, le désamour ou la vengeance amoureuse, contraire d'Éros le dieu de l'Amour (lire
sous Éros) qui était l'un de ses frères, et chacun connus pour être les fils d'Aphrodite.
Les dieux de l'Amour étant dénombrés sous un minimum de quatre généralement,
Phthonos est quant à lui le frère d'Aphthonos et celui de Phthonepos le dieu de la
Jalousie. Ils obéissent en dernier lieu et en tous les cas à Éros (et Anthéros y compris).
Mais le plus souvent, ils exécutent les desseins et les ordres d'Anthéros. Par exemple, le
dieu Antérès est le dieu mineur de l'amour désintéressé. Il fut difficile de définir si son
attribution fut confondue avec celle d'Anthéros. Dans ce sens que les attributions
d'Anthéros sont complexes et mal définies dans la mythologie grecque. Antérès
représente de manière sûre « l'Amour désintéressé ». Et les dieux des Envies sont
parfois à sa suite.
Les dieux grecs de la Haine
Dans la mythologie grecque, le dieu Prôs, mais surtout la déesse « Êkthra » et la déesse
« Misanthrepia » sont généralement les trois divinités mineures de la haine humaine.
Ces divinités sont représentées aux côtés de la déesse Némésis (la Vengeance), au
service de laquelle elles se retrouvent assignées, ce, par l'ordre du Roi des dieux : Zeus
(rare). Elles sèment { la haine dans le cœur des mortels et des créatures terrestres. Les
divinités de la Haine sont alliées au dieu de la mauvaise foi, soit pour lui : le dieu Apistos
(la Mauvaise foi). Le dieu Apistos est pourtant un dieu à la physionomie agréable, mais
néanmoins trompeuse sur ses bonnes intensions que le dieu simulait avec art et génie.
Les poètes racontaient dans l'ancien temps que ce dieu de la mauvaise foi était ainsi
illustré « comme pour rappeler et montrer que les trompeurs offrent toujours de belles
apparences et cachent pourtant avec soins néanmoins les pièges qu'ils tendent
insidieusement ». Généralement, Apistos, tel que défini sous l'explication qui précède,
sert la déesse de la Discorde connue sous le nom d'Éris : grande ennemie d’Aphrodite
qu’Éris jalousait sans cesse ; ainsi qu’Apistos servait également Némésis (la Vengeance),
tel que cela est décrit dans la mythologie grecque classique et ancienne.
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Les dieux grecs des Envies
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Pistis, la déesse de la Confiance
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Heureusement, que la déesse Pistis (la Confiance inspirée), autre servante d'Aphrodite,
dont le premier sanctuaire (de Pistis) se serait retrouvé sur le Mont Palatin : veille sur
la Bonne foi, qu'elle a pour tâche de récompenser. Elle n'est pas seule pour contrer les
déesses malveillantes. Les divinités mineures Eraios, Teleia et Phronesis, qui sont les
trois divinités de la Maturité, sont également présentes afin de déjouer les pièges de ce
dieu trompeur, c'est-à-dire : Apistos, la Mauvaise foi. Le dieu grec Emphronès, est celui
qui met sur la voie de la maturité. Dans la mythologie grecque originelle, on l'associait
parfois avec le cortège des serviteurs de la déesse Éos (l'Aurore) jadis. Quant à elle
généralement, la déesse Pistis (la Confiance) était assimilée chez les romains avec le
dieu Fidius. D'ailleurs, dans la tradition mythologique grecque, deux mains jointes
ensemble signifiaient à tous : le symbole de la Bonne foi. Et la poignée de main
échangée entre deux personnes était le haut constat et la haute acceptation
reconnaissante d’une marque de confiance réciproque.
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