DOSSIER PSE BAC wILLIAM HAGUE TPG

DOSSIER
PSE BAC
wILLIAM HAGUE
TPG
SESSION 2014-2015
MADAME GRUSS
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SOMMAIRE
-Page de guarde / page 1
-Sommaire / 2
- Introduction / page 3,
- 1ère partie / page 4,
- 2ème partie / page 5 à 7,
-3e partie / page 8 à 10,
-Conclusion /page 11.
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INTRODUCTION
Au cour de ma période de formation en entreprise effectuée chez MC TEX à Monaco, j’ai principalement façonné des stickers. Et j’ai fais de la création de logotype sur les logiciels addéquat.
J’ai fais beaucoup de pose adhésive sur différents véhiculs d’entreprise.
Ça m’a permi de découvrir les contraites des postures prises lors des mission données.
Pendant ces 6 semaines de stage, j’ai occupé le poste de graphiste ainsi que poseur adhésif.
Ils m’ont apportés plus de facilité au niveau des geste tec hniques et des fonction sur les logiciels.
Ça a été bénéfique à tous niveaux, surtout aux niveau des demandes et des relations avec les
clients.
De grandes responsabilités m’ont été confiées. Une vrai confiance entre moi et l’entreprise s’est
établie suite à cette deuxieme période de fomation.
Au local de l’’entreprise, un rythme constant et productif déclenge la bonne humeur au travail.
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1 ère partie
DÉCRIRE UNE SITUATION PROFESSIONNELLE PRÉSENTANT UN PROBLÈME:
1.1 Situation vécue en PFMP:
Lors de mon stage, j’ai pu observé deux situations avec des risques physiques. Le premier étant un
trouble musculo-squelettique, et l’autre un trouble occulaire.
Pendant de longues périodes, des gestes répétitifs et une concentration intellectuelle sont éxécutés
à longeur de journées. À long terme, il se peut que ça nuise à la personne.
Un position innadaptée face à l’ordinateur sur son poste de travail peut rapidement devenir une habitude.
Il faut faire en sorte de se protéger.
On peut meme constater des troubles musculo-squelettiques : contractures musculaires et douleurs
au niveau de la nuque, du dos, des épaules, des mains.
Je choisi le risque lié aux troubles musculo-squelettiques car bien évidement il fait pleinement parti
du risque primaire du métier de graphiste pouvant causer de graves séquelles irréparables.
1.2 Formulation du problème:
Le matériel utilisé et l’aménagement spatial du poste doivent répondre à des critères ergonomiques
précis et doivent être adaptés à la tache à réaliser.
Le graphiste de la société ou j’ai effectué la dernière PFMP est touché par de gros problèmes liés à
sa posture habituelle à son poste. Problèmes de dos, chevilles et autre...
Mais faute d’argent à mettre la dedans il ne fait rien.
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2 ème partie
Analyser la situation:
2.1 Démarche ergonomique:
DETERMINANTS HOMME
DETERMINANTS ENTREPRISE
Opérateur : William Hague (stagiaire)
Outils : 1 Macintosh, 3 PC, 2 scanners, souris, claviers, massicot.
Taille : 1m80
Machines :
Imprimantes jet d’encre CMJN,
Plotteur de découpe de vinyl adhésif.
Formation : Stage graphisme
Diplome :
Bac Professionnel Production
Graphique
Ambiance physique :
Musique, lumière.
TRAVAIL PRESCRIT
Création et réalisation de projet graphique
TACHES REELLES
ACTIVITEES REELLES
- Scanner les fichiers imformatique
- Réaliser deses maquettes
- Répondre au telephone
- Modifier des travaux réalisés
- Imprimer des B.A.T
- Ecouter, et trouver des solutions liés
à la clientelle.
- Se déplacer dans un petit local
- Être assis d’une mauvaise façon
- Répétitions des clics de la souris
- Fixer l’écran
- Ecouter les bruits au alentours
- Position inadaptée des bras, du dos
et des jambes.
EFFETS SUR L’HOMME
EFFETS SUR L’ENTREPRISE
Troubles Musculo-squelettiques
Instabilité de la qualité du travail
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2 ème partie
2.2 Identifier les facteurs à l’origine de ce risque:
Les facteurs résponsables de l’apparition des troubles
musculo-squelettiques sont :
Les positions articulaires inconfortables,
Les postures contraignantes longuement maintenues,
Les mouvements répétitifs habituels,
Le stress lié au travail.
2.3 Identifier et justifier les effets possible de ce risque :
En étant mal positionné sur sa chaise et face à son poste, le mal de dos ou des douleurs variées
peuvent vite devenir une habitude. Ça mène à une mauvaise productivité au sein de l’entreprise.
Ça engendre aussi beaucoup de fatigue car le corps subit une sorte de fatigue permanente lié au
positionnement de la colonne.
L’arrivée de soucis tel que ceux ci-dessous qui sont liés risque du métier.
Scoliose : La scoliose est une déviation sinueuse de la colonne vertébrale dans les
trois plans de l’espace : inclinaison dans le plan frontal, rotation des vertèbres dans le plan
horizontal et inversion des courbures dans le plan sagittal. Il s’agit d’une déformation non
réductible, contrairement à l’attitude scoliotique.
La cyphose : La cyphose est une déformation de la colonne vertébrale, plus précisément une
convexité au niveau de la colonne dorsale.
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2 ème partie
2.3 Quelques exemple de postures à adapter :
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3 ème partie
Proposer des solutions:
3.1 Les mesures de prévention contre ce risque :
S’installer confortablement ergonomiquement :
Les douleurs de la nuque, des épaules et du bas du dos sont les plus fréquentes.
Le clavier est posé à plat, de façon à ce que la barre d’espace se trouve à 10-15 cm du bord de
la table. La souris est à proximité, sur le côté. Le siège possède un dossier, haut de 45-55 cm,
maintenant en permanence l’ensemble du dos, ainsi que des accoudoirs, idéalement réglables.
Si la hauteur de l’assise ne permet pas de poser les pieds à plat, il convient d’ajouter un repose-pied.» Les documents papiers nécessaires à l’activité du salarié peuvent être placés sur
un porte-document ou un pupitre.
Organisation du travail : changer régulierement sa position
adaptée :
Pour éviter les TMS, mais aussi rester concentré, sans fatigue visuelle, il est conseillé d’alterner
les tâches informatiques avec d’autres activités (courrier, classement de dossiers, réunions...).
Si l’ensemble de ces tâches se déroulent sur ordinateur, il faut trouver des astuces pour changer
de position et solliciter différemment le poignet et le coude. Les spécialistes conseillent de modifier l’inclinaison du dossier, d’appuyer de temps à autre ses poignets sur la table, de déplacer
les documents auxquels on se réfère...
L’hyperconcentration et le stress favorisant les TMS.
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3 ème partie
3.2 Les acteurs de preventions contre ce risque :
L’employeur fait parti intégrante des riques et conditons de ses employés. Lui décide tout.
L’employeur doit prendre toutes les dispositions nécessaires pour assurer la sécurité et protéger la
santé des travailleurs de l’établissement, tel que :
Planifier la prévention de son entreprise,
Donner les instructions appropriées aux travailleurs,
Prendre des mesures de protection collective.
Remplacer ce qui est dangereux par ce qui n’est pas dangereux ou par ce qui est moins dangereux,
Se tenir au courant des tecnhique ou nouveauté qui pourrait etre un plus pour son entreprise.
Le Comité d’hygiène, de sécurité et des conditions de travail
(CHSCT)
C’est une instance représentative du personnel qui réunit l’employeur et les délégués représentant
les salariés et discute sur des thèmes relatifs à la santé des salariés, à la sécurité et aux conditions
de travail. La création du CHSCT est obligatoire dans les établissements de plus de 50 salariés ainsi que - sous ce seuil - sur décision de l’inspection du travail, en cas de risques particuliers.
Le comité contribue à la protection de la santé, à l’amélioration de la sécurité et des conditions de
travail des salariés travaillant dans l’établissement (y compris les travailleurs temporaires et les salariés d’entreprises extérieures).
Le comité est associé à la recherche de solutions concernant :
- L’aménagement des postes de travail ;
- L’environnement physique du travail (température, éclairage, aération, poussières,
substances, vibrations) ;
- L’aménagement des lieux de travail et de leurs annexes ;
- L’organisation du travail (charge, rythme et pénibilité du travail, élargissement et
enrichissement des tâches) ;
- La durée et l’aménagement du temps de travail (et leurs conséquences sur l’intensité du travail) ;
- Les conséquences des investissements sur les conditions de travail notamment en
matière de nouvelles technologies.
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3 ème partie
3.3 Relation entre le risque et la réglementation :
Une norme internationale existe, ISO 9241-4: Elle a des exigences ergonomiques
pour travail de bureau avec terminaux à écrans de visualisation. Exigences relatives
au clavier.
Cette norme s’applique aux types de clavier destinés à être utilisés en position
immobile, elle fournit des orientations sur la conception des claviers utilisés pour
des tâches de bureau spécifiques en se penchant sur les limites et les capacités
des utilisateurs. Elle concerne des aspects de la conception générale du clavier qui
peuvent entraîner des TMS, tels que l’inclinaison du clavier, son profil de surface et
les propriétés du matériau ainsi que le placement des touches.
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CONCLUSION
Graçe à ce dossier de pse sur ma derniere PFMP, j’ai pu
constater que mon métier est succeptible d’etre dangereux pour
toutes personnes le pratiquant.
Il est maintenant plus clair pour moi à adapter au mieux mes
dispositions à prendre lorsque j’occupe mon poste.
C’est une leçon de plus ajouté à mon cursus de formation au
sein de mon lycée.
De vrai risques sont en jeu.
Merci.
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