4 QUAND CROCHETER ?
On libérera les adhérences liées à un traumatisme sportif ou à une
intervention chirurgicale.
Il s’agira aussi de lever les algies de type inflammatoire ou
névralgique de l’appareil locomoteur.
L’incontestable relâchement musculaire lié à la mobilisation
transversale des fibres et l’effet produit par l’inhibition des points
réflexes, représente déjà un traitement appréciable.
Les contre- indications majeures sont intimement liées à l’état cutané
et circulatoire du patient.
Il est évident que le crochetage évite le système circulatoire
(carotides…).
Le patient émotif semble très sensible au crochetage.
Voici une proposition non restrictive d’indications de crochetage :
Epicondylite, épitrochléite, tendinite achilléenne, pubalgie, périostite,
contracture musculaire, déchirure musculaire, tenosynovite, cicatrice
fibreuse cutanée et musculaire, Dupuytren post-opératoire,
canal carpien, canal de Guyon, occipitalgie, sciatalgie,
lombalgie, torticolis, kyste synovial, PSH, algodystrophie.