Prérequis :

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Titre de la séance : TP1/ Chapitre 1B2. Les témoins d’une ancienne subduction de lithosphère océanique.
Prérequis :
Travail de réflexion : on pense que dans l’histoire des chaînes de montagnes, (ex. les Alpes), un ancien océan a
précédé la naissance de la chaîne. Élaborer une stratégie pour repérer des traces de cette ancienne subduction.
Matériel à votre disposition :
- Roches et lames minces : métagabbro à glaucophane, éclogite (« anciens gabbros » de la CO)
- Fiche de reconnaissance des minéraux au microscope polarisant (PC ou non)
Travail à faire : étudier les roches présentées (macro- et microscopie) et repérer des minéraux formés dans des
conditions particulières de P et/ou T.
Communication des résultats. Prévoir la phase de rangement :
- Stratégie et conséquence(s) vérifiable(s) – étape 1 ECE.
- Dessin/ photo légendés d’une portion de deux de ces roches confirmant la subduction. Etape 3 ECE.
- Placement des roches dans le diagramme pression-température. Etape 4 ECE.
- Bilan répondant à la problématique. Etape 4 ECE.
Documents annexes.
• Les minéraux des roches (macroscopie) :
Feldspaths (blanc sale voire autre si altérés) ; amphibole et pyroxène (brun-noir) ; jadéite (vert mais variable) ;
glaucophane (bleu noir) ; grenat (rouge ou rosé).
• Les réactions de métamorphisme.
Les transformations minéralogiques liées au métamorphisme sont très lentes et parfois incomplètes. Les
minéraux néoformés sont alors disposés en couronnes réactionnelles présentant un minéral qualifié de relique en
leur centre. Ces réactions ainsi figées sont la « mémoire » de la roche métamorphique.
Si la réaction est complète, la relique disparaît.
Schématisation d’une transformation minéralogique incomplète (A et B sont les minéraux initiaux, C est
le minéral néoformé). © SVT TaleS Nathan 2012
-la pression et la température augmentent avec la
profondeur dans le globe.
-La trace de la plaque plongeante se repère grâce aux foyers
sismiques : plan de Wadati-Benioff.
-La vitesse de réchauffement de la plaque plongeante est
moindre que sa vitesse de pénétration dans
l’asthénosphère.
A droite, un modèle des isothermes des zones de subduction.
© SVT TaleS Bordas 2012
Diagramme de stabilité de quelques
minéraux. © SVT TaleS Nathan 2012
(à rendre complété avec le travail)