Société Française de Radiologie FMC - EPP EN PRATIQUE 2 MISSION D'EXPERTISE ET

Société Française de Radiologie
FMC - EPP EN PRATIQUE 2
MISSION D'EXPERTISE ET 4
D'AUDIT HOSPITALIERS ET IMAGERIE
PROJET ADPIM 5
QUELLES SONT LES ACTIONS 7
DU GROUPE DE TRAVAIL SFR 4I ?
QUELLE DÉSINFECTION POUR LES 9
EXAMENS ÉCHOGRAPHIQUES PAR VOIE ENDOCAVITAIRE ?
POURQUOI UNE FÉDÉRATION DE 11
RADIOLOGIE INTERVENTIONNELLE (FRI) ?
MAMMOGRAPHIE NUMÉRIQUE ET 13
PROGRAMME DE DÉPISTAGE DU CANCER DU SEIN
RECHERCHE EN IMAGERIE 14
FIBROSE SYSTÉMIQUE 16
NÉPHROGÉNIQUE : IL FAUT RAISON GARDER
COLLABORATION SFR-SFC : 18
AUJOURD'HUI ET DEMAIN
IMAGERIE CARDIAQUE NON 20
INVASIVE : LA TDM ET L'IRM SONT-ELLES ENNEMIES ?
STIC "COLOSCOPIE VIRTUELLE" : 22
LE POINT SUR UN ESSAI MULTICENTRIQUE
ISSN 0761-0874
Mai 2008 - N° 27
Le de la Société Française de Radiologie Avril 2008 - N° 27
2
Le de la Société Française de Radiologie Mai 2008 - N° 27
JN Dacher
Président
de la FEPUR
B
ien que distinctes, la formation médi-
cale continue (FMC) et l’évaluation des
pratiques professionnelles (EPP) sont com-
plémentaires ; elles concourent à l’améliora-
tion de la compétence. Lévaluation décèle
des pratiques peu ou non adaptées et la for-
mation apporte les données nécessaires à
leur amélioration. Chaque médecin doit
d’ailleurs, dans un même dossier, obtenir des
crédits de FMC et d’EPP, 250 pendant une
période de 5 ans.
SFR ORGANISME AGRÉÉ DE FMC
Depuis novembre 2007, notre société est
devenue organisme agréé de FMC
(n° 100 132). Comment, par son intermédiaire,
acquérir des crédits ?
Par des formations présentielles. Tout inscrit
aux Journées Françaises de Radiologie
obtient des crédits de groupe 1 en assistant
aux cours, aux ateliers, aux séances scienti-
fiques et thématiques et en consultant les
posters électroniques. Ces crédits lui sont
attribués à la condition quil remplisse une
fiche personnalisée d’évaluation à l’issue de
chaque séance. La participation aux réunions
des sociétés d’organe, affiliées à la SFR, à celles
des délégations régionales, aux congrès pla-
cés sous l’égide de la SFR (congrès des asso-
ciations franco-étrangères, International
Congress of Radio-
logy) apporte elle
aussi des crédits
selon les mêmes
conditions. Pour
être reconnues, ces
réunions doivent d’une part être déclarées
à la SFR et d’autre part répondre à des règles
définies dans la charte « FMC » de notre
société. La SFR ne peut, en revanche, attri-
buer de crédits pour les formations diplô-
mantes (DU et DIU) ... Rappelons que la FEPUR
(Fédération de l’Enseignement Post Univer-
sitaire en Radiologie) labellise le programme
des formations ; elle assure un contrôle qua-
lité de celles-ci mais elle ne délivre pas les
crédits.
Notre société propose également des for-
mations à distance (groupe 2) ; il sagit de
publications (syllabus, livre de FMC, guides
et référentiels, Journal de Radiologie et ses
cahiers de FMC, CD-Rom) et de l’e-learning
(consultation de cours et posters électro-
niques en ligne).
Diverses actions permettent d’obtenir des
crédits de groupe 3 : une contribution aux
comités d’organisation des congrès et
réunions scienti-
fiques de la SFR,
des activités de
formation telles
que des commu-
nications lors de
ces congrès, la rédaction d’articles et des
fonctions dites d’intérêt général. Le barème
de l’ensemble de ces crédits de FMC est rap-
pelé sur le site de la SFR (www.sfrnet.org -
Rubrique Informations pour les profession-
nels / FMC-EPP).
Tous les cinq ans, les médecins devront
apporter la preuve de leur participation à des
activités de formation. La tâche des membres
de la SFR est considérablement simplifiée
puisque la société leur offre un service très
utile, la gestion de leur compte de crédits ;
celui-ci, alimenté après chaque action de for-
mation sous l’égide de la SFR, peut être
consulté à tout moment sur le site
(http://www.sfrnet.org) à l’aide du numéro
identifiant indiqué sur la carte de membre.
EPP ET SFR
L’EPP concerne l’ensemble des profession-
nels de santé, médecins en exercice mais
aussi manipulateurs. Pour être efficace et
pour apporter des résultats rapidement, une
démarche d’évaluation doit être simple, pra-
FMC – EPP EN PRATIQUE
J Niney
Président
du CEPPIM
JF Méder
Secrétaire Général
Adjoint de la SFR,
Secrétaire Général
du CERF
*quels que soient les groupes 1 - 2 - 3
La SFR met à la disposition de ses membres un compte accessible en ligne qui centralise
automatiquement tous les crédits obtenus dans les formations organisées sous son égide,
avec l’abonnement au Journal de Radiologie et ses 6 cahiers de FMC ou à la suite d'achats
d'ouvrages édités par la SFR (voir page 23).
Pour les autres formations, chaque médecin doit garder précieusement les attestations
délivrées.
Formation sous l’égide de la SFR Formation non placée sous
l’égide de la SFR
Membres Compte FMC crédité
automatiquement* Certificat à conserver*
Non membres Certificat délivré par la SFR à
conserver* Certificat à conserver*
Seules les formations organisées par la SFR ou
placées sous son égide peuvent bénéficier de
l'accréditation par la SFR.
L'accréditation par la SFR
Simple, automatique et facile, la FMC pour les radiologues membres
Numéro d'identifiant
membre SFR
3
Le de la Société Française de Radiologie Mai 2008 - N° 27 Le de la Société Française de Radiologie Avril 2008 - N° 27
tique et intégrée à l’exercice médical. Il est
important qu’elle engage l’ensemble des
membres de l’équipe et que des patients
soient consultés.
S’évaluer c’est tout d’abord analyser ses pra-
tiques professionnelles en les comparant à
des références, selon une méthode validée
par la Haute Autorité de Santé
(http://www.has-sante.fr). La SFR propose des
recommandations et référentiels tels que le
Guide du bon usage des examens d’image-
rie, en cours d’actualisation, et les pro-
grammes d’EPP du Collège d’Evaluation des
Pratiques Professionnelles (CEPPIM), dont la
SFR est une des organisations fondatrices.
S’évaluer c’est aussi suivre les actions d’amé-
lioration ; une réflexion sest engagée sur l’uti-
lisation du site de notre société pour assurer
le suivi des actions d’EPP et sur la place de
celle-ci pour favoriser la constitution de
groupes de pairs.
La radiologie interventionnelle, comme
l’échographie obstétricale, constitue une acti-
vité dite « à risque ». L’accréditation des méde-
cins travaillant dans ce domaine tient lieu
d’EPP. Il s’agit d’une démarche individuelle
et volontaire ; chaque médecin sengage à
déclarer tous les ans au moins six événements
potentiellement à risque. Le programme
EPRx, exposé lors des dernières JFR, va être
proposé aux radiologues qui ont une acti-
vité, exclusive ou non, de radiologie inter-
ventionnelle.
COMPLÉMENTARITÉ ENTRE FMC ET EPP
Lenseignement académique, purement théo-
rique, na qu’un faible intérêt lorsquil
s’adresse à des médecins engagés dans la vie
professionnelle. En effet, la FMC na de sens
que si elle contribue aux modifications de la
pratique clinique ; un lien fort entre les for-
mations et l’activité professionnelle est donc
nécessaire. La SFR intensifie l’aspect pratique
donné à ses enseignements en proposant
des formations spécialisées, orientées vers
les nouvelles technologies et en éditant pour
les JFR 2008 un « Guide du savoir faire ». Une
nouvelle offre de formation sera proposée
lors des JFR 2008 : un parcours de «FMC–EPP»
élaboré en collaboration avec les sociétés
d’organe. La pertinence de la demande d’exa-
men, en particulier des actes fréquents, la
valeur du protocole choisi et la structuration
du compte rendu en seront les thèmes.
En collaborant avec l’ensemble des compo-
santes de la discipline et en s’appuyant sur
les systèmes mis en place pour le contrôle
qualité des formations (FEPUR) et l’élabora-
tion de démarches d’évaluation (CEPPIM), la
SFR répond aujourd’hui à l’attente des pro-
fessionnels de l’imagerie en tenant compte
des besoins mais aussi des évolutions per-
manentes de notre discipline.
Ce compte ne prend en compte que les crédits obtenus lors de formations (présentielles
ou à distance) organisées par la SFR ou placées sous son égide, par les publications édi-
tées et diffusées par la SFR et par l'abonnement au Journal de radiologie.
Le compte FMC géré par la SFR pour ses membres
Journées Françaises
de Radiologie 2008
Obtenez jusqu’à 40 crédits FMC
5 jours pleins, du 24 au 28 octobre,
Palais des congrès - Porte Maillot
à Paris.
Pour un accès au scanner et à l'IRM généralisé,
pour les patients et pour toutes les pathologies.
zAvant programme
zInscription au Congrès et à l’Exposition technique
Mai 2008
www.sfrnet.org
Palais des Congrès - Paris, porte Maillot
24-28 octobre
4
Le de la Société Française de Radiologie Mai 2008 - N° 27
D
epuis 2003, la MeaH travaille sur l’amé-
lioration de l’organisation des centres
d’imagerie privés et publics en renforçant le
management et en mettant en place des indi-
cateurs de pilotage.
La SFR a apporté son expertise afin de trou-
ver les méthodes et zones d’action où la MeaH
pouvait avoir le plus d’utilité. Lévaluation des
travaux en 2007 a montré que 74 % des plans
d’action étaient maintenant suivis d’effets
concrets dans les organisations. Il est possible
aujourd’hui pour tout site d’imagerie de repro-
duire les bonnes pratiques organisationnelles
(BPO) mises en évidence par ces travaux.
Retour rapide sur les activités de la MeaH et
les résultats de ces études.
QU’EST CE QUE LA MeaH ?
La Mission d’Expertise et d’Audit Hospitalier
a été créée dans le cadre du plan Hôpital 2007
avec la Mission T2A et la Mission d’Appui à
l’Investissement Hospitalier.
Le rôle de la MeaH est de travailler avec tous
les établissements à une approche concrète
de résolution des problèmes d’organisation
et de management. Lobjectif est de pro-
mouvoir l’efficience dans les établissements
hospitaliers publics et privés. Ces travaux pro-
longent de fait les conclusions de la Haute
Autorité de Santé qui, après avoir réalisé la
première vague d’accréditation, s’était rendu
compte que le management était le premier
facteur lié à la qualité et aux bonnes pratiques.
La MeaH mène actuellement deux grands
types de programmes :
- des programmes « pilotes » : après avoir
audité, la MeaH a établi un guide de
bonnes pratiques, réalisé parfois avec le
soutien des sociétés savantes. La SFR a
contribué au choix des indications et le
chantier pilote a démarré en 2003 et sest
achevé en 2005.
- des programmes de déploiement : à par-
tir du guide des bonnes pratiques, la
MeaH met à disposition ses travaux pour
des établissements qui candidatent et
souhaitent travailler sur ce thème. L’ac-
compagnement étant payé par la MeaH.
Vingt centres dimagerie sont choisis
chaque année pour bénéficier des kits
proposés par la MeaH et bénéficient de
l’apport de consultants dans la conduite
du changement.
LES ÉTUDES IMAGERIE DE LA MeaH
Limagerie doit maintenant faire face à des
défis qui ne sont pas uniquement médicaux
ou technologiques. Exigence accrue des
patients et des demandeurs d’imagerie
concernant toutes les dimensions de la qua-
lité (information, délais de rendez-vous, délais
de comptes rendus …), exigence de radio-
protection, exigence économique … impo-
sent aux responsables des sites d’imagerie un
réel savoir faire de management et un pilo-
tage très précis de leur unité. Tout respon-
sable de site convient quil est nécessaire d’ou-
tiller ces démarches pour les pérenniser au
delà de la personnalité des responsables.
En 2007, après 5 ans de travail, la MeaH
montre que les attentes les plus fortes sont
aujourd’hui à trois niveaux :
- réduire les délais d’examens,
- réduire les délais de comptes rendus,
- réduire l’irradiation.
Concilier efficience et qualité, dans la pro-
grammation des actes, dans la réduction des
délais de réalisation des comptes rendus, dans
la sécurité de l’activité et dans la mise en cohé-
rence de l’évolution technologique avec les
programmes organisationnels a été le fil
conducteur de l’action menée par les diffé-
rentes équipes concernées. Certes, tous les
problèmes organisationnels d’un service de
radiologie nont pu être abordés : l’impact des
réseaux d’images, l’analyse fine de la charge
de travail des médecins et, surtout, l’évalua-
tion qualitative du service rendu, sont les prin-
cipaux domaines qui restent à envisager.
Ce travail est aujourd’hui présenté dans un
guide de retours d’expériences. Les outils
d’analyse (indicateurs, référentiels) ont été
élaborés et testés sur le terrain en collabora-
tion avec les professionnels et paraissent per-
tinents pour les domaines traités. Les solu-
tions proposées, les méthodologies d’action
devraient être accessibles à la majorité des
structures radiologiques.
Chaque service de radiologie peut, à partir
de ce document, entreprendre une démarche
d’auto analyse, initier des réflexions sur ses
propres insuffisances et proposer des solu-
tions pour les résoudre, adaptées à la struc-
ture concernée.
La communauté radiologique est pleinement
entrée dans le processus d’évaluation de ses
pratiques. Le travail effectué avec le soutien
de la MeaH et des sociétés de conseil, qu’il
faut remercier, constitue un outil indispen-
sable à l’amélioration de la qualité de notre
activité.
Cette expérience nous conduit à encourager
très vivement les responsables médicaux,
paramédicaux et administratifs des plateaux
d’imagerie à utiliser les services de la MeaH
pour toutes actions d’ordre organisationnel.
Il est enfin essentiel que la MeaH et la Société
Française de Radiologie poursuivent leur col-
laboration pour aborder les thématiques qui
nont pas pu être traitées à ce jour.
MISSION D’EXPERTISE ET DAUDIT
HOSPITALIERS (MeaH) ET IMAGERIE JP Piermé
Consultant SFR
A Rahmouni
Secrétaire Général
Adjoint de la SFR
5
Le de la Société Française de Radiologie Mai 2008 - N° 27
PROJET ADPIM
Association pour un Dossier Partagé
d’Imagerie Médicale
D
epuis 2006 et grâce à l’action de la SFR,
la radiologie fait partie intégrante du
DMP.
Le groupe SFR 4i en avait alors précisé les
contours : le compte rendu est la clef de
voûte de l’examen et sera accompagné
d’images illustratives.
Le GIP DMP a réalisé à la mi 2007 des appels
à projets, régionaux et par spécialités ; la phar-
macie, la biologie et la radiologie y ont
répondu.
Consciente de l’importance de participer aux
évolutions de l’organisation de la santé, sur-
tout pour une spécialité pour qui la distri-
bution de l’information est essentielle, la pro-
fession a vu une opportunité de bâtir un
projet « imagerie médicale » à travers la
constitution de l’ADPIM, association regrou-
pant la SFR, la FNMR et le SRH.
Ceci est fait dans un souci de pragmatisme
et d’apprentissage : il existe déjà de nom-
breuses et riches expériences locales de par-
tage d’images mais l’approche est très diffé-
rente quand il s’agit de porter un projet
national.
Lors de la réunion organisée le 22 janvier
2007 par le GIP-DMP, permettant de faire le
point sur le déploiement du DMP et de pro-
jets spécialisés, des informations complé-
mentaires essentielles ont été apportées par
le GIP DMP :
- malgré les péripéties récentes, le projet
DMP est poursuivi, mais avec un calen-
drier rééchelonné, qui sera communi-
qué en détail en fin de premier tri-
mestre 2008,
- une convergence avec le DCC (dossier
commun en cancérologie) a été actée,
ce qui renforce l’intérêt d’intégrer l’ima-
gerie au DMP,
- un Identifiant National de Santé sera mis
en place, disponible dans 18 à 24 mois.
LA PLATEFORME « PREMIER HEALTH »
« Premier Health » est l’acronyme de :
Portable, Reliable, Ethical, Medical Imaging
Electronic Record.
Lobjectif est de bâtir une plateforme per-
mettant le routage de comptes rendus et
d’images illustratives depuis les SIR (Systèmes
d’Information Radiologiques) vers le DMP.
La sénologie a été choisie pour démarrer le
projet. Pourquoi la sénologie ?
- cest l’activité la plus normalisée de l’ima-
gerie : matériel, hommes, compte rendu
et classification,
- le contact systématique entre médecin
et patient permet la gestion du consen-
tement,
- activité de santé publique (dépistage
organisé du cancer du sein), elle se prête
bien à la reconnaissance de l’utilité d’un
DMP,
- l’expérience réussie d’interfaçage avec
les RIS par l’observatoire de la sénologie
(Sénolog) est un atout important.
A souligner que 70 % des radiologues prati-
quent la sénologie.
La plupart de l’activité se fait encore en ana-
logique, mais la migration vers le numérique
en cours permet déjà de travailler sur
quelques centres pilotes à une articulation
SIR-PACS sur l’indexation et le transfert
d’images.
S’il s’agit d’une activité essentiellement libé-
rale, de plus en plus de centres hospitaliers
et de PSPH pratiquent la sénologie. Elle
constitue donc un point d’appui certain, y
compris à l’hôpital. Mais, la sénologie nest
qu’une étape sur la courbe d’apprentissage
des radiologues !
Calendrier : la durée du projet est de
36 mois, avec 2 phases :
- Phase « pilote » de 15 mois : mise en
route de 50 sites,
- Phase « dindustrialisation » : mise en
œuvre d’environ 1000 sites .
LE CHOIX DES ÉDITEURS DE RIS
Cinq éditeurs de RIS devront être sélection-
nés : en effet, une coopération étroite avec
eux est indispensable pour assurer l’intégra-
tion technique et fonctionnelle des connec-
teurs en respectant l’ergonomie et l’organi-
sation des cabinets et des services.
Les conditions pratiques du déploiement
futur doivent être discutées afin d’en mini-
miser le coût. La relative concentration du
marché des RIS devrait permettre de toucher
une majorité de sites radiologiques avec peu
d’éditeurs.
Un appel à candidature est lancé début mars
sur ce thème.
LA PLATEFORME DE ROUTAGE
La fonction de routage vers le DMP est assez
simple à mettre en place sur le plan tech-
nique.
Si la qualité des composants fournis aux édi-
teurs de RIS est déterminante, compte tenu
des retards pris par le DMP, une solution d’hé-
bergement transitoire devra être proposée
par l’éditeur.
Un appel d’offres européen sera lancé fin mars
pour une sélection du prestataire cet été.
M Claudon
SFR 4i, CHU Nancy
G Frija
Président de l’ADPIM
A Khélifa
Stercis, Paris
JP Masson
Trésorier de l’ADPIM
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