Merci !
Ce travail aura été l’occasion de contacter et de travailler avec de nombreuses personnes,
sans qui ce travail n’aurait pas pu aboutir. Il m’est agréable de remercier :
Richard Bœuf, qui est à l’origine de ce travail et l’a encadré à l’ONF Alsace. Ses conseils, ses
compétences et son œil critique auront été indispensables au déroulement de ce stage. Je me dois
donc de le remercier à cet égard, ainsi que pour les multiples relectures du présent rapport qu’il aura
faites. Ces six mois à ses côtés ont été riches d’enseignements.
Michel Hoff, gardien des bases de données botaniques alsaciennes, qui a accepté de
coencadrer ce stage.
Jonathan Lenoir, qui a l’a encadré côté ENGREF et m’a aidé jusqu’à terme malgré son emploi
du temps chargé de fin de thèse. Je le remercie chaleureusement, en particulier pour sa disponibilité
et son aide même lors du remaniement du présent rapport au dela de la soutenance. Enfin, ses
conseils m’ont été très précieux en particulier lors de l’élaboration de la méthodologie.
Serge Muller, qui a accepté de juger ce travail lors de la soutenance. Ses observations
naturalistes m’ont été précieuses pour dégager des pistes de recherche lors des débuts de mon
stage.
Un grand merci à Patrice de Ruffray, grand chef d’orchestre de la base Sophy, qui a mis à ma
disposition les relevés d’Issler extraits de la base. Ses indications m’ont permis d’en relocaliser un
certain nombre.
L’ensemble des personnes qui m’ont fait part de leurs conseils, observations, à de multiples
moments lors de mon travail. En particulier :
Jean-Pierre Berchtold et Hugues Tinguy qui m’a fait part d’un certain nombre d’observations
botaniques personnelles. Je tiens particulièrement à les remercier pour leur excellent accueil et les
riches discussions que nous pu avoir. Alain Untereiner dont l’œil critique (euphémisme !) a mis le doigt
sur certains points litigieux lors du développement du travail. Je garde également un excellent
souvenir de son chaleureux accueil à Linthal. Roland Carbiener qui a accepté d’avoir une longue
discussion sur le sujet de mon travail. Ses connaissances botaniques et naturalistes en général ont
été appréciables et m’ont apporté beaucoup. Jean-Pierre Reduron qui a accepté de me recevoir à
Mulhouse, m’a fait part d’indications très précises et précieuses, remarquablement bien organisées et
d’une solidité naturaliste et méthodologique très appréciable. Fabien Dupont, Gaëlle Grandet, Hans-
Gerd Michiels, Albert Reif, Jean-Christophe Ragué, Annik Schnitzler, Michèle Trémolières, que j’ai pu
rencontrer et ont apporté leur pierre à l’édifice.
Pour les considérations climatologiques et paléoenvironnementales, j’ai pu bénéficier de l’aide
de Stéphanie Goepp, Dominique Schwartz et Jean-Luc Mercier à la faculté de Géographie de
Strasbourg, qui ont tous trois accepté de me recevoir, m’ont apporté d’utiles informations et un regard
critique sur la reconstitution de la végétation lors du réchauffement post-glaciaire. J’ai également pu
avoir une fructueuse discussion avec Pascale Ruffaldi, de l’université de Franche-Comté. À Météo
France, Yves Hauss, m’a fait part de ses observations sur l’évolution du climat en Alsace. Eric
Duchêne de l’INRA m’a envoyé très rapidement une copie de son travail sur les impacts du
réchauffement climatique sur la vigne en Alsace. Enfin, Pierre-Marie David m’a fait part d’un certain
nombre d’observations personnelles quant à l’évolution de la nivologie des Vosges.
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