Sommaire
1. Introduction
2. Partie commune
3. Les cas n = 2 et 4 du théorème de Fermat
4. Conclusion.
1.Introduction
Un théorème sur la théorie des nombres... quelle idée étrange! C’est ce que je me suis
souvent répété durant ces neuf mois de travail. Sous ses airs de facilité, c’est un sujet difficile
à apprivoiser. En effet, sa particularité est d’utiliser les propriétés des nombres entiers ou
naturels, donc de retourner dans un monde sans décimales, comme au tout début de notre
apprentissage des mathématiques, dans notre enfance... De plus, les énoncés paraissent
souvent plutôt simples et peuvent être compris par des non mathématiciens. Or, retourner
utiliser des nombres entiers est très déstabilisant. C’est une habitude à prendre, qui au début
fait défaut.
Les principaux sujets sont les critères de divisibilité, l’étude des nombres premiers, des
diviseurs, des équations à coefficients entiers... On y trouve même des applications dans la
cryptographie ou pour la création d’un calendrier perpétuel par exemple.
Quand à mon travail, il fut de s’intéresser à des cas particuliers du dernier théorème de
Fermat, ce théorème fameux, qui a tenu les mathématiciens en haleine pendant plus de 300
ans. Ce travail se divise en deux parties : une première partie, commune avec les autres
étudiants ayant choisi la théorie des nombres, qui pose les bases de ce thèmes. On y verra
par exemple la relation de Bezout, l’indicateur d’Euler ou encore le petit théorème de Fermat.
Puis il y aura une partie personnelle sur l’étude du dernier théorème de Fermat.
Mais pour ne pas se trouver devant une impasse, cette partie est basée et totalement
inspirée d’un article sur ce théorème, paru dans le 22ème numéro de la revue “Quadratur”
paru en été 1995. L’article en question [ 1 ] est écrit par Robert Ferréol. Donc le défi majeur
de ce travail fut la traduction en langage simple de cet article adressé à un public compétent.
J’espère que cet effet est réussi!
2