Mes remerciements au Pr Bruno Falissard et au Dr Isabelle Romieu de m’avoir fait
l’honneur d’accepter de lire et de rapporter ma thèse. Merci Isabelle, éminente chercheuse du CIRC,
pour votre implication dans ma recherche de financement de post-doctorat, pour le temps que vous
y avez consacré et la rigueur que vous avez apportée. Merci Bruno pour votre pensée libre, votre
hauteur de vue et les nouveaux horizons de réflexion que vous m’avez ouvert.
A Cyrille Delpierre, merci pour ta disponibilité, ta réactivité, tes réflexions, ton intérêt
renouvelé et tes conseils judicieux qui m’ont fait grandement progresser et avancer. Un grand merci
Cyrille d’avoir toujours cru à l’aboutissement de cette thèse et d’avoir mis en œuvre les moyens de
cet aboutissement. Merci enfin pour ton soutien dans ma recherche de post-doctorat qui a contribué,
j’en suis sûre, à son succès.
A Grégory Ninot, merci pour la confiance que tu m’as accordée en me donnant l’opportunité
de participer activement à la recherche de financements, à la conception, à la mise en œuvre et à
réalisation de l’analyse des données de l’étude APAD1, c’est grâce à toi que ma thèse est née.
Merci de m’avoir ouvert la voie.
Mes remerciements tout particuliers au Dr Gilles Romieu et à toute l’équipe APAD de
l’ICM, Dr Jean-Pierre Bleuse, Sophie Gourgou, Dr Chakib Sari, Silène Launay, Chloé Janiszewski,
Dr William Jacot, Pr Hélène Sancho-Garnier, Marina Chenot, Marta Jarlier, pour avoir cru dans ce
projet, surmonté les obstacles liés à la mise en place de cette nouvelle recherche et développé
l’énergie nécessaire à sa réalisation.
Merci à Thierry Lang et Pascale Grosclaude qui ont cru en mes qualités pour la recherche
depuis le Master et m’ont toujours soutenue.
Merci à Marc L., les mots manquent pour dire ma reconnaissance et ma gratitude à votre
égard. La beauté de votre savoir est un émerveillement. A votre contact, du verbe coulent des
fondations et de l’interruption jaillit le flot. De cette expérience j’apprends beaucoup, en-deçà du
savoir du Maître et ces pages en portent l’empreinte.
Mes pensées les plus douces vont à ma sœur de cœur, Amélie, sans bigoudis mais bigou-si.
Mes amitiés complices s’adressent à Jacques et Anne-Cécile et s’immiscent jusqu’aux années
lycéennes au pied de la basilique Saint-Sernin, Céline, Delphine, Bruno, le rendez-vous dans dix
ans a bien eu lieu et n’attendra plus si longtemps, complicité intacte, bonheur intense. Mon sourire
glisse sur PS qui m’a aidé à garder le Cap, plus malin que marin, prochain débordage en 2040 !
Aux compagnons de thèse montpelliérains, à Paquito, Ahmed, Julie, François, Mathieu,
merci pour les heureux moments aux bières colorées, les soirées Kwakées, votre chaleur sportive et
votre tolérance épidémiologique (même sans jogging) ! Merci Emmanuelle pour la dialectique
transdisciplinaire !
Mes sympathies vont aux collègues d’Epidaure, à Florence, Anne, Olivier et à tous les
stagiaires d’APAD, Samuel, Marjorie, Camille et les autres, qui ont apporté leur dynamisme et fait
partagé leur passion pour l’APA aux patientes de l’étude. Je garde un excellent souvenir de cette
belle expérience de travail collectif !
Un grand merci également aux toulousains, Laurence, Michelle, Catherine, Sandra, Mélanie,
Elsa, Chloé, Sébastien, Momory, Benoȋt, Romain, Christina, Marjolaine, Aouicha, Vélizara, pour leur
accueil chaleureux de fin de thèse !
Merci enfin à mes parents, Jean-Marie et Sabine, pour m’avoir donné les moyens d’étudier et de
réaliser mes ambitions !
Une toute dernière pensée pour les compagnons de route, les voyageurs sans noms, les
partenaires de l’obscurité, les amis de la pensée qui m’ont tenu compagnie dans les chemins les plus
escarpés et qui à l’ombre des ténèbres, m’ont fait entrevoir la lumière.