UNIVERSITE de NICE-SOPHIA ANTIPOLIS
FACULTE des SCIENCES
D.lll COMPTE RENDU
du
CONSEIL DE LA FACULTE DES SCIENCES
du 2l septembre 2016
Séance n" L7L
Etaient présents ou représentés : M. AZOULAY Stéphane, Mme BIANCO Elisa, Mme BILLAUD Mélanie, M. CAGLIONI
Matteo, M. CONSTANT Régis, M. CRESCENZO Pierre, M. CRISTINI Olivier, M.
DESCOMBES Stéphane, M. DESCHAUX Olivier, Mme DUHALDE-GUIGNARD Françoise,
M. FERRARI André, M. FOLLETTE Peter, M. FORMENTI Enrico, M. FERNANDEZXaviaT,
Mme FURLA Paola, M. GAFFE Daniel, M. GARCIA René, Mme GRECHEZ-CASSIAU
Aline, M. HEBERT Frédéric, M. HASSANI Riad, Mme IVANOVICI Oana, M. LLORCA
Gilles, M. MAISONOBE Philippe, Mme MARECHAL Florence, M. MARTIN Bruno, Mme
MIGLIACCIO Claire, M. NICOLAS Jean-Baptiste, M. SCALABRE Grégory, Mme PAQUIS
Véronique, M. TOUIL MickaëI, Mme SABOURAULT Cécile, Mme VOIRON-CANICIO
Christine, Mme VERATY Chrystèle
Etaient excusés :M. CESARO Joseph, Mme DE MARIA Elisabetta, Mme DESCHAINTRES Sophie, M.
FIORUCCI Sébastien, M. GUINGNE Franck, Mme LEBOUCHER Laura, Mme MEGE
Karine, Mme MIRBEL lsabelle, Mme PATINO Nadia, Mme RENAUDAT Françoise, Mme
TISSONI Giovanna, M. TEDESCO Serge
Absents M. ABOU lsmaë|, M. ANDRADE VIEIRA-SASSI Sammy, Mme ASSIOUA Yasmine, M.
BOUTERFES llyes, Mme BOUDGHENE-STAMBOULI Fadia, M. CACCIA Jean-Luc, Mme
Cerezo Delphine, Mme DIENER Francine, M. FERRARI Serge, M. FOURRE Jason, M.
GARCIN Thomas, Mme HARIKI Maryam, M. KABDANI Bilal, Mme MENAY Celia, Mme
LASSERRE Anouck, Mme TOUATI Chloé, Mme TOURNIER Clémence, M. TRIGO Pierre-
Emmanuel, M.ZIAD Aziz
Mme Capron ouvre la séance à th40.
1 - Approbation du PV du conse¡l du 8 iuillet 2016
Le Conseil approuve le PV ù I'unonimité.
2 - Campagne Enseignant-Chercheurs 2017
Mme Capron s'excuse de ne pas avoir pu mettre le tableau en ligne compte tenu des délais très contraints : les fiches
pouvaient être mises sur le serveur jusqu'au 9 septembre, la réunion avec les CPRH, directeurs d'unité et directeurs
de département s'est déroulée la veille.
Mme Capron rappelle en préambule que lors du dernier Conseil d'administration le débat d'orientation budgétaire a
mis en exergue un besoin d'économies de 2,5 à 4 millions d'euros qui ne peuvent être prises sur les budgets campus
ou composante, ni sur la recherche nisur les crédits CFVU. La principale cible serait donc la masse salariale : les heures
complémentaires (en Sciences, le volume n'est pas énorme mais il existe), des économies au niveau Biatss
(contractuels au lieu des fonctionnaires, primes) et au niveau EC (recrutement ATER à la place des EC, gel de postes).
La lettre de cadrage (qui devrait être diffusée vers novembre) donnera quelques indícations sur les choix qui seront
pris par la gouvernance pour équilibrer le budget 2Ot7 de l'Université.
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Pour la campagne de postes, cela signifie que la logique reste celle de redéploiements possibles, probablement sans
création. De même, les rehaussements doivent s'inscrire dans une stratégie prioritaire pour l'établissement, car ils
augmentent la masse salariale. Même les maintiens ne sont pas garantís (l'an dernier l'UFR a subi deux gels de postes).
Dans le cadre de la campagne 2OL7 , il est donc nécessaire d'argumenter les maintiens.
Mme Capron rappelle qu'en sciences la campagne est principalement guidée par des arguments recherche, car la
composante est mieux encadrée que les autres en moyenne. Elle passe ensuite à l'examen du tableau récapitulatif :
Sections ß-2a @éographie) : le poste n'a pas été pourvu l'an dernier au concours, le profil a été revu et élargi
pour pouvoir espérer un recrutement. Ce recrutement s'inscrit dans un projet novateur avec l'installation du
laboratoire ESPACES à l'IMREDD en 20L8. Mme Voiron précise que ce recrutement vise au remplacement de
M. Carrega en tant que responsable du master climatologie, mais qu'il est en effet également positionné sur
le volet risque dans le cadre de la création d'un DU IDEX Smart cities. Le poste est donc demandé sur un axe
plus porteur, des risques, et le vivier de recrutement est plus important que lors de la précédente campagne.
Sections 25-26 (mathématiques) : M. Descombes présente les demandes :
- un MCF en remplacement d'un départ à la retraite (M. Eyssette)
- un PR en remplacement d'un départ à la retraite (M. Blum)
- un MCF en remplacement du départ d'un PR (M. Diener) dans le cadre d'un échange de supports avec
Polytech
Sur l'ensemble du CPRH, une demande à l'ESPE semble plus compliquée à justifier. Mme Capron soutient donc
ces demandes de maintien très bien argumentées, notamment côté recherche.
Section 27 (informatíque) : Bruno Martin présente les demandes, principalement deux maintiens :
- un PR en remplacement d'un départ (M. Fedou)
- un MCF en remplacement d'un PR partant à Polytech (M. Collet), pour un profil enseignement qui
correspond à un besoin de recherche.
- une création est demandée pour la recherche sur machine learning, deep learning.
Mme Capron rappelle qu'il y a cinq demandes sur le CPRH et que la seule création est demandée sur I'UFR
Sciences. Mme Capron insiste sur le fait que les autres composantes sont plus déficitaires que l'UFR Sciences.
Une création avait été obtenue il y a quelques années, mais assortie de conditions : aucune autre créatíon ne
serait accordée, íl fallait travailler sur l'offre de formation, ce qui a été fait. La demande de création ne paraît
donc pas prioritaire.
Mme Capron constate que les thématiques appliquées semblent s'orienter vers l'EPU et les problémat¡ques
fondamentales rester à l'UFR Sciences. Elle exprime son souhait de maintenir un équilibre au sein de l'UFR
Sciences.
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Sections 28-29-30 (physique) : M. Hébert présente les 5 demandes en précisant que certaines sont ciblées
pour les années suivantes. Les demandes prioritaires sont les suivantes :
- un échange de postes avec I'UPMC (MCF géophysicien remplacerait PR du laboratoire Lagrange qui
souhaite partir), chaque université ouvrant un concours
- un PR en remplacement d'un départ à la retraite (M. Coullet), dans le cadre de la fusion INLN/LPMC, ouvert
sur une thématique large, soit ouvert à la promotion soit en attirant quelqu'un sur un profil de recherche
attractif
Les autres demandes (deux créations sur des profils recherche, et une demande de 46-3 orientée sur
l'ensemble des laboratoires liées au département de physique : INLN, LPMC, UAD, CHREA, Artemis)sont moins
prioritaires. Mme Capron estime qu'effectivement l'échange de poste avec l'UPMC sera un plus d'un point de
vue recherche.
M. Hébert précise qu'il y a un autre support de poste correspondant à un autre départ en retra¡te mais que le
CPRH souhaite temporiser une autre demande de recrutement afin de le faire correspondre à la politique du
futur directeur de laboratoire.
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Sections 31-32-33 (chimie) : M. Azoulay présente la demande de la transformation d'un poste de MCF en PR
pour préparer le départ d'Elisabet Dunach, directeur de recherche CNRS, chef d'équipe, dans une équipe sans
PR. Mme Capron demande s'il y a des possibílités de transformation dans l'autre sens avec des départs
prochains de professeurs. La chimie ayant bénéficié d'un 46-3 il y a deux ans, Mme Capron propose donc de
temporiser pour la campagne 2018 plutôt que2OL7. De plus, il serait peut-être plus prudent d'attendre le
nouveau directeur pour voir s'il soutient aussi cette demande. Mme Capron estime que c'est difficile pour
I'UFR de soutenir ce poste à ce stade. M. Ferrari ajoute que le biseau d'un an sur un surclassement est un peu
délicat. M. Azoulay en prend note. C'est l'aspect prioritaire dans la politique d'établissement qui devra
permettre de statuer sur la nécessité de cette demande de surclassement pour 2OI7.
Sectíon 34 (astrophysique): en l'absence de M.Ziad,M. Hébert présente lestrois postesdemandés. Le premier
poste demandé pour Lagrange concerne un poste gelé (Mme Capron rappelle que c'est une création car la
masse salariale a été utilisée et qu'il n'y a pas eu de poste ATER en compensation), de plus la priorité plasmas
semble être retombée explique M. Ferrari. La deuxième demande concerne aussi une création pour Artemis
sur un axe extrêmement porteur actuellement (ondes gravitationnelles). La dernière demande est une
demande de promotion en 46-3 sur Lagrange afin de compenser le départ de Richard Monier en termes
d'encadrement. ll y a cinq candidats possibles, mais le profil semble cibler seulement deux candidats.
Section 36 (Sciences de la terre) : M. Hassani présente une demande de maintien sur un poste de MCF gelé en
2016. C'est une demande justifiée à la fois en enseignement et en recherche (équipe géomatériaux). Mme
Capron soutient cette demande de dégel et rappelle qu'il y a eu un soutien ATER sur ce poste gelé.
Section 61 (automatique, traitement du signal) : aucun poste n'est demandé sur Sciences. ll y a une demande
de 46-3 à Polytech ouverte à toutes les composantes mais sans cascade derrière. Si quelqu'un est promu d'une
autre composante, il n'est pas possible d'accepter que la personne parte sans être remplacée : la fiche devrait
être reformulée afin qu'une composante ne soit pas susceptible de gagner du potentiel enseignant aux
dépends d'une autre.
Section 63 (génie électrique) : pas de maintien, des demandes de création demandées au LEAT, au LPMC, au
CHREA, à Polytech Lab.
64-69 (sciences de la vie) : M. Garcia présente les 3 demandes que le CPRH n'a pas priorisées :
- Demande de 46-3 pour poursuivre ce qui a été initié l'an dernier compte tenu du vívier
- Deux demandes de MCF justifiées par la charge d'enseignement : un dégel de poste en 66 et un poste en
création en 65 en biologie cellulaire, qui est centrale dans toutes les formations et la licence pro. En
2015/1,6, chacune des sections disposait d'un ATER. Cette année, il y a moins d'ATER et de DCCE.
Mme Capron rappelle que la charge d'enseignement n'est pas le meilleur critère pour obtenir des postes, s'il
n'y a pas un autre argument fort.
Mme Capron note que certains laboratoires ne dépendent pas de I'UFR Sciences et que ce n'est pas à I'UFR
de prioriser le besoin de recrutement sur ces laboratoires et que ISA et Ecomers ont obtenu des postes l'an
dernier.
Mme Capron estime qu'ilva falloir argumenter le dégel de manière plus pointue sur l'aspect recherche tandis
que M. Ferrari s'étonne que pour un dégel, une création et un 46-3 le CPRH ait mis une priorité L sur chacun.
Suite à cette présentation section par section, Mme Capron propose de prioriser d'abord les dégels : sur l'UFR,
l'argumentaire est plus convaincant en 35-36. Elle propose donc une priorité 1 sur le poste en 35-36. Suite à une
intervention de M. Garcia demandant de reporter le vote pour reprendre l'argumentaire, Mme Capron rappelle que
le Conseil d'UFR donne un avis pour soutenir certaines demandes, mais que les conseils centraux vont de nouveau
statuer et qu'il faut préparer les arguments pour ces conseils.
En ce qui concerne les rehaussements, elle juge la demande de 46-3 pertinente sur le 64-69 car le vivier (HDR, plus de
10 ans) est important, celles en physique (46-3) et en chimíe semblant moins pertinentes. Sur Lagrange peu de
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supports vont se libérer à court terme, le 46-3 peut être considéré prioritaire. De plus avec le départ de Richard Monier,
le laboratoire perd en potentiel recherche.
Mme Furla estime qu'en sciences de la vie il est sévère de considérer le dégel comme non prioritaire, compte tenu des
besoins et du fait qu'au fond il s'agit d'un maintien.
Mme Capron propose de soutenir une publication sur les deux sections 65 et 66 selon les priorités des laboratoires
relevant de sciences. Ce sera à l'établissement de se positionner sur l'un des deux postes.
Le tableau joint est mis au vote avec les priorités indiquées.
Le Conseil vote ces priorítés à I'unanîmité.
3 - Point sur la rentrée
Mme Capron rappelle que c'est une rentrée sous pression avec des problématiques diverses : sécurité, mise en place
de la procédure dématérialisée pour les inscriptions, nombreux recours. llfaudra suivre collectivement les procédures
et que les enseignants passent aussi le même message.
Les effectifs sont à peu près stables. Un étudiant peut légalement demander une réorientation à l'Université, mais on
essaie de le dissuader si on estime que l'étudiant sera en échec.
Depuis la clôture des ínscriptions au L9 août, les inscriptions en Licence ont été centralisées et examinées en fonction
des dossiers et des filières en tension. Une cinquantaine de dossiers hors délai ont été acceptés, notamment pour nos
étudiants retardataires. Des avís défavorables ont été donnés quand le dossier reste incomplet, trop faible ou pas en
adéquation avec le choix formulé. ll faut que les étudiants soient mieux renseignés et mieux orientés.
A une demande de M. Hassani, Mme Capron répond que les avis donnés par les coordonnateurs ont été suivis en ce
qui concerne les étudiants étrangers passant par Campus France. ll peut arriver ensuite que les visas soient refusés,
comme le note M. Martin.
Mme Capron donne ensuite quelques points marquants sur les inscriptions :
- Les doubles licences ont connu des sorts contrastés : Chimie bío accueillera une trentaine d'étudiants ;
c'est un créneau porteur; Maths info n'a pas fait le plein. Quelques étudiants pourraient encore s'inscrire
en réorientation.
- On constate une baisse d'effectifs en licence 1 physique chimie dont il faudra déterminer s'il s'agit d'une
tendance lourde dès le lycée, et une petite hausse en mathématiques.
- Pour SV, la stabilité est obtenue au prix d'un gros travail sur les réorientations, même si nous avons
accepter un bon nombre d'étud¡ants en réorientation depuis la PACES avec un dossier très faible.
L'augmentatíon en L3 SV vient en partie d'un afflux de dossiers extérieurs, les UE avancées pouvant être
refusées afin de ne pas surcharger les groupes.
Mme Capron insiste sur le fait que les procédures de recours étudiantes seront de plus en plus nombreuses. La
problématique a déjà été abordée sur les masters: la sélection est autorisée entre ML et M2, on essaye de faire de
l'orientation active sur certains masters (SV avec master très orienté recherche et stage long) mais la sélection n'est
pas autorisée en M1.
Mme Migliaccio demande si on peut refuser qu'un étudiant fasse les TP s'il n'a pas les bases nécessaires car il n'a pas
suivi les cours. M. Deschaux a les mêmes problèmes. Mme Capron répond négativement et rappelle que si un étud¡ant
est hors délai, il faut d'abord régularíser sa situation avant de l'accepter en TP car il n'est pas assuré.
Mme Capron rappelle aussi que les coordonnateurs doivent passer le bon message sur les dates d'inscription. Elle
annonce un bilan et des pistes d'amélioration pour l'an prochain.
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4 -Bilan coût offre de formation 2015-2016
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Mme Capron rappelle que les départements ont bien travaillé et que le coût est sous contrôle. ll faut mettre en regard
le potentiel enseignant théorique (y compris ATER, DCCE) et le nombre d'heures effectuées (le potentiel réel tient
compte des détachements et délégations compensées en heures).
Généralement, département par département la comparaison est correcte, la plupart des heures complémentaires
est financée. Mme Capron cite les principaux chiffres. Le département le moins bien encadré, par exemple, présente
des chiffres finalement encourageants, puisqu'en informatique le potentiel théorique est de 8800h (770Oh en réel) et
le nombre d'heures données au sein de I'UFR (7800h). Des heures sont données aussi à l'extérieur et des vacataires
interviennent pour 1800h (dont 760h pour l'offre propre non professionnelle). ll y a donc un petít déficit. En sciences
de la vie, le potentielthéorique (I3L84 h)est à comparer à l'offre de formation en sciences (9600h sur I'UFR).
En effet, un élément essentiel de la future offre de formation sera la soutenabilíté. A une intervention de Philippe
Maisonobe, Mme Capron répond qu'effectivement la bonne situation en sciences provient d'un travail acharné des
départements de formation pour laisser les enseignants-chercheurs consacrer du temps à la recherche, et que le bon
taux d'encadrement vient d'une discipline et d'un gros travail.
5- Discussion future offre de formation (cadraees L & M. référents de champs BSS et S I T El
Mme Capron rappelle qu'il y a deux champs principaux pour Sciences, auxquels s'ajoutent le champ enseignement oir
la problémat¡que est ouverte, et un champ LASH pour la géographie.
Ont été diffusés le cadrage licence voté en CA et le cadrage master non encore voté.
Le premier point à faire remonter à la gouvernance sera l'architecture des licences. La commission pédagogique a
écarté l'hypothèse d'un seul portail ou une seule mention car cela impose 8O% de tronc commun.
Ce qui est proposé c'est :
Un portail sciences de la vie avec STAPS et santé (il faudrait travailler sur un parcours chimie biologie à
l'interface entre deux porta¡ls en cohérence avec la double licence et les réorientations de PACES ou CPGE
notamment)
Un portail maths info (majeures) auquelse greffent Physique Electronique (peut-être en mineures)
Un portail Chimie / Physique / ST
Un portail MIASHS qui est une mention nationale (MASS + MIAGE) qui accueille des étudiants moíns
scientifiques (ES) mais qui resterait en sciences
Mme Capron donne la parole aux deux référents, M. Azoulay pour le champ Sciences lngénierie Technologies
Envíronnement (SITE) et Mme Sabourault pour le champ Biologie Santé Sport.
M. Azoulay présente alors le cadre général. L'accréditation remplace l'habilitation et comprend d'abord une évaluation
de nos formations existantes (dossier qui sera déposé le 13 octobre).
Le dossier description de l'offre doit présenter la stratégie de l'établissement et la mise en æuvre de la politique de
formations et l'architecture de l'offre de formation présentée par domaine et par niveau et un quatrième point sur la
capacité de l'établissement à mobiliser les moyens correspondants à son offre de formation.
ll faut donc avoir une offre de formation soutenable et qui ne génère pas d'heures complémentaires. Par ailleurs,
l'offre doit être cohérente sur l'ensemble des composantes pour tout l'établissement.
Le document sera bientôt diffusé sur les recommandations déjà faites par les évaluateurs, I'AERES, la Cour des
comptes, I'IGAENR, les éléments de cadrage dont les plus importants sont les suivants :
- lien entre UE et compétences RNCP (approche compétences)
- nécessité d'une spécialisation progressive jusque fin L2
- intégrer les pédagogies actives à hauteur de 75% minimum avec une cible d'au moins 25% à mi-contrat -
journée le 29 septembre organisée par le SUPI
- simplifier l'architecture des formations
- mentions en fonction de la politíque du champ et plutôt mentions larges
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