ANATOMIE PATHOLOGIQUE 13 PARTIE II

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14/12/2011
Revêtement cutané n°13
Groupe n°1 – Estelle & Anissa
13
ANATOMIE
PATHOLOGIQUE
PARTIE II
I. INTRODUCTION
II. HISTORIQUE MICROSCOPIE MULTIPHOTONIQUE
III. FLUORESCENCE
IV. MICROSCOPIE CONFOCALE
V. MICROSCOPIE BIPHOTONIQUE
1. COMPARAISON FLUORESCENCE MICROSCOPIE CONFOCALE ET BIPHOTONIQUE
2. DÉVELOPPEMENT MÉTHODOLOGIQUES ET DOMAINES D'APPLICATION
3.
RAPPEL
: MICROSCOPE CONFOCAL (1-PHOTON)
4. MICROSCOPIE 3D DANS UN TISSU BIOLOGIQUE ?
5. ORGANISATION D'UN MICROSCOPE MULTI-PHOTONIQUE
6. RÉSOLUTION TRIDIMENSIONNELLE DU MICROSCOPE 2PEF
7. FENÊTRE OPTIQUE DANS L'IR
8. MOLÉCULES FLUORESCENTES ENDOGÈNES DANS LA PEAU
9. APPLICATIONS MICROSCOPIE MULTI-PHOTONIQUE
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I. INTRODUCTION
Premier microscope confocal en 1995
–
Marvin MINSKY
–
Sans laser, sans mémoire électroniques, ni beaucoup d’électronique ni dispositifs
piézoélectriques performants
Microscopie multiphoton 1989
–
WEBB W.W à la Cornell university
–
DENK Wilfrid Max Planck institue
–
STRICKLER
Cette microscopie met à profit la fluorescence naturelle, l'autofluorescence.
On utilise des rayonnements peu destructeurs, possibilité de biopsies optiques par
endoscopie et laparoscopie.
Mme Goeppert-Mayer. Américaine.Théoricienne physicienne
Elle a envisagé l'existence de l'absorption biphotonique dès 1929.
Prix Nobel de physique en 1963
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II. MICROSCOPIE MULTIPHOTON : Historique
Thèse STRUPLER
La microscopie multiphoton utilise les interactions non linéaires entre la lumière et la matière
(« Vous pouvez retenir ça… ») comme source de contraste.
Le processus non-linéaire à l’origine du développement de la microscopie multiphoton est
l’absorption à 2 photons et la fluorecence qui en découle.
(2PEF) démontré théoriquement par Maria Goeppert-Mayer en 1929 dans sa thèse.
Il a fallu ensuite 30 années et le développement des lasers pour le mettre en évidence
expérimentalement puis attendre 1990 pour que Winfried Denk, Jim Strickler et Watt W.Webb
l'appliquent à la microscopie. Par la suite, la microscopie multiphotonique s'est enrichie en utilisant
de nouveaux modes de contraste. Tout d'abord, la génération de second harmonique (SHG) mise
en évidence par P.A Franken et appliquée à la microscopie par Samuel Roth et Isaac Freud. Ce
n'est qu'une dizaine d'années plus tard que le groupe de Yaron Silberberg a mis en œuvre la
génération de troisième harmonique (THG).
III.
FLUORESCENCE
FORMULE GENERALE
Propriété de quelques atomes et molécules d’absorber une lumière (des photons) de longueur
d’onde donnée pour peu après émettre une lumière (des photons) de moindre énergie (λ >)
1. Absorption monophotonique
–
Un photon pousse un électron vers une orbitale supérieure
–
Quand il revient au repos : Emission d'un photon qui ne récupère pas toute l'énergie du
photon incident (donc de plus faible et énergie et de plus grande longueur d'onde).
2. Absorption biphotonique
« Comme au volleyball un joueur ne passe pas la balle directement de l'autre côté tout seul, 2
joueurs donnent des impulions coordonnées à une balle pour qu'elle passe le filet ».
–
Ici c'est le même phénomène, il y a besoin de 2 photons rouges pour pousser l'électron sur
une orbitale
–
Cet électron va émettre en émission de fluorecence, par exemple un photon vert.
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Il y a donc besoin de la coopération de 2 photons qui agissent,dans un espace temporel et
tridimensionnel extrêmement réduit.
Provoquer une absorption biphotonique suppose donc de mettre en jeu des intensités
lumineuses considérables pour que l'évènement est lieu.
Schéma Absorption et émission
Il existe aussi une courbe pour l'absorption biphotonique.
Ce n'est pas parce qu'il y a 2 photons qui doivent agir de
concert qu'il n'y a pas la plage des énergies nécessaires
pour que ces photons soientefficaces.
Ici : Coopération de 2 photons rouges ou infrarouges.
Rappel de la construction de ces
microscopes modernes = Microscope
biphotonique (Microscope à fluorecence et
épillumination)
Trajet des rayons lumineux incidents par l'objectif
(comme système par réflexion).
Excitation → La lumière passe au travers de l'objectif
→ Vient sur la substance fluorescente → La lumière
fluoresente ici en vert restraverse un miroir dichroïque.
Filtre d'excitation : Traversé par la lumière blanche de 450 <λ < 490 nm
Miroir dichroïque : Réfléchit les λ < 510 nm et transmet les λ > 510 nm
2ème filtre d'arrêt : Ne laisse passer que les λ de 520 à 560 nm
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IV.
MICROSCOPIE CONFOCALE
La source et le détecteur sont focalisés simultanément sur le même point par un jeu adapté de
trous d’épingles.
→ Le point focal d'illumination est le même que le point focal de détection.
1. EXCITATION
–
Un laser continu envoie un jet continu de lumière en 1 point (très bien focalisé)
–
Mais si on agrandit le point éclairé et excité on s'aperçoit que au foyer, dans le plan z
adéquat, on voit que l'intensité de l'excitation est considérable et que en avant et en arrière
de ce foyer, dans la direction de ce point, une lumière d'excitation apparaît.
Ici : Absoption monophotonique : Un photon bleu pousse un photon sur une orbitale S1 et au
retour de l'électron à sont orbitale de repos S0 il y a émission d'un photon de moindre énergie et
de plus grande longueur d'onde.
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2. EMISSION
–
La lumière de fluorescence qui jaillit du foyer où l'intensité était considérable, est une
intensité qui se fait dans toutes les directions
–
Une partie de ce rayonnement se dirige au travers de l'objectif (ayant une focale donnée)
–
Il se focalise dans ce point, appartenant à ce plan focal , plan focal conjugué au plan où se
trouve l'objet
–
La lumière focalisée dans le point de ce plan là va passer par le trou d'aiguille (En rouge :
diaphragme à trou d'aiguille)
–
Sur le détecteur en bas : Lumière en provenance principalement de ce point là dans ce
plan là
Microscope confocal à balayage laser (CLSM)
Le point focal d'illumination est le même que le point focal d'émission
Ce schéma représente à peu près les mêmes éléments.
Souvent utilisé avec épi-illumination en fluorecence (épi-fluorescence)
–
Excitation : bleu
–
Emission : vert
Si on excite fort au foyer, on a une émission forte en provenance du foyer qui va traverser en
direction du détecteur.
Les émissions parasites résultant d'une excitation parasite (en dessus ou dessous) vont exsister à
des intensités plus faibles et vont aller s'écraser sur le pin hole.
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Dans ces conditions, on réalise une section, une tomographie cellulaire.
Exemple
Classique
Confocale à balayage laser
On utilisait ce matériel des années 1990/2000.
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V.MICROSCOPIE BIPHOTONIQUE
1. Comparaison fluorescence excitée à 2 photons (2 PEF) & microscopie
confocale
Cuve remplie de fluroscéine
A gauche
Orifice par lequel le laser d’argon jaillit. Cette lumière, quand elle arrive dans la cuve suscite une
fluorescence.
→ Trainée de fluorescence sur toute l’épaisseur avec une tâche au centre fortement fluorescente
A droite
La source de droite envoie des pulses, des impulsions extrêmement courtes de lumière dont
l'intensité n'arrive à générer un événement biphotonique que dans le point central.
Point central : Point lumineux d’où émerge la lumière de fluorecence résultant d'une absorption
biphotonique.
On considère qu'il n'y a pas besoin de système comme le pin hole et de système comme dans les
microscopes confocaux.
On considère qu'il y a un confinement au plan focal et dans le point focal de l'excitation (et de
l'émission bien sûr ...!).
Laser titane safir : Coopération de 2 photons rouges pour arriver à déplacer l'électron, lequel,
quand il va revenir au repos, va émettre un photon vert.
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Pourquoi fait-on ça ? (Bonne question -_-)
Si on compare les 2
–
Gauche : Monophotonique
–
Droite : Biphotonique
–
Avec la lumière du soleil, un événement monophotonique intervient toutes les secondes
(schéma en bas à droite).
–
Probabilité biphotonique : Toutes les 10 millions d'années
–
Probabilité triphotonique (Tant qu'on y est!) : Il faudrait attendre l'âge de l'univers pour qu'un
seul événement triphotonique puisse se produire.
→ Avec le laser gaz Argon : Jet continu, flux continu de lumière
→ Avec le laser solide Titane safir : Pulses
Il faudrait des usines d'énergie considérable pour alimenter en continu de tels lasers.
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On peut soutenir une émission aussi intense si et seulement si elle est ponctuelle,
hachée dans le temps par petits pulse.
→ Cela consomme moins
→ Abime moins les tissus
Avantage de l'utilisation de l'infrarouge : Moins dangereux, inoffensif
2. Développement méthodologiques et domaines d'application
Courbe : Exponentielle (1990 → 2004) de l'augmentation du nombre d’application en microscopie
photonique
Développement méthodologiques importants
–
Nouveaux contrastes
–
Miniaturisation, endoscopie
–
Systèmes fibrés
–
acquisition rapide (multipoint, scan rapide)
–
Pulse shaping, optique adaptative
Quelques domaines d'application
–
Neurosciences
–
Biologie du développement
–
Physiologie
– Dermatologie
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3. Rappel : Microscope confocal (1-photon)
Résolution en rapport
–
En latéral, en xy, avec λ/NA
–
En z, en profondeur avec λ/NA²
•
En microscopie confocale classique on utilise plutôt des rayonnements visibles et
énergétiques donc de forte énergie et de courte longueur d'onde : Bonne résolution.
•
En infrarouge, de longueur d'onde plus grande, on pert de la résolution.
La microscopie multi-photonique ne va donc pas nous donner de grandes
performances en termes de résolution.
Par ailleurs, elle a des qualités d'aptitude, de par l'utilisation des infrarouges, à être
assez pénétrante.
4. Microscopie 3D dans un tissu biologique ?
Haute résolution → Repose sur la lumière non diffusée. Mais la lumière visible est fortement
diffusée dans les tissus.
Emission de la lumière dans un tissu biologique Des photons balistiques traversent, d’autres
diffusent. Passée une certaine épaisseur, on a plus assez de lumière pour faire une image
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a) Microscopie (confocale) en milieu diffusant
On a un fort signal mais c'est un bruit de fond : Très brouillé.
–
Diffusion de la fluorescence → Bruit de fond
–
Diffusion de la lumière excitatrice → Signal atténué
Pénétration limitée par la diffusion.
b) Microscopie 2PEF en milieu diffusant : Infrarouge
–
Meilleure pénétration
–
L'infrarouge diffusé ne produit pas de fluorecence
→ Bruit de fond réduit
c) Conclusion
La lumière bleue qui se diffuse dans un tissu qu'on excite, va aller exciter des molécules à côté
(Microscopie confocale). Alors que la lumière infrarouge n'est, elle, pas en quantité suffisante pour
exciter.
–
Notion de seuil
Toute la lumière infrarouge qui diffuse est sans conséquence.
Seul l'infrarouge qui pénètre et se focalise dans la zone focale est susceptible d'avoir des
conséquences et générer un signal de fluorecence.
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Mise en évidence de la différence entre un flux continu et un flux de pulse
→ Dépense d'énergie moindre
→ Pas d'effet chauffant permanent sur les tissus
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5. Organisation d'un microscope multi-photonique
–
Source avec un laser pulsé
–
Scanner pour diriger le faisceau point par point (microscope à balayage)
–
On envoie la lumière au travers d'un miroir dichroïque, au travers d'un objectif
–
Arrive sur une préparation
–
La fluorecence qui en émane part dans toutes les directions
–
Elle est collectée
–
Elle est renvoyée vers des détecteurs
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6. Résolution tridimensionnelle du microscope 2PEF
–
En latéral : λ/2NA → Pas extraordinaire
–
En axial, en z : 1,3 nλ/NA² → Pas extraordinaire
Car λ est assez grand comme on prend de l'infrarouge (Plus du double du violet).
On peut dire que c'est une résolution comparable à celle du microscope confocal.
Typiquement 2µm * 0,4µm (ouverture numérique NA = 0,9)
Quand on travaille en mode fluorecence biphotonique on est un peu mieux qu'en mode réflexion
–
Un peu mieux que RCLSM : 0,5 et 1,2µm en latéral et axial
7. Fenêtre optique dans l'IR
IMPORTANT ♥
Il y a une fenêtre optique dans l’infrarouge
–
Mis en évidence par Anderson et Parish en 1981
–
« On le devine. Quand on éclaire notre main avec une lumière blanche, de l'autre côté on
voit ressortir du rouge, si on avait des yeux qui voyait l'infrarouge, on verrait encore mieux
l'infrarouge qui ressort. »
–
L'infrarouge traverse nos tissus
–
La peau humaine est trouble, diffusante et absorbante pour la lumière visible : finesse du
specimen requise
Cette fenêtre optique de l'infrarouge a permis 2 modalités :
–
Reflectance mode cofocal laser scanning microscopy RCLSM
–
Multiphoton laser scaning microscopy MPLSM
Profondeur de pénétration : 200µm (« C’est ce qui nous intéresse ce soir… »)
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8. Molécules fluorescentes endogènes dans la peau
–
NAD nicotanamide adénine dinucléotide réduit
–
NADPH
–
Collagène
–
Kératine
–
Elastine
–
Flavine
–
Lipofuscine
Gros avantage de microscopie multi-photonique à fluorecence : Elle excite des molécules qui sont
déjà présentes dans notre corps cad qu'on a pas besoin d'apporter de produits (souvent toxiques).
On a simplement à illuminer des molécules qui sont présentes dans notre peau.
Ces molécules sont généralement excitables avec un photon énergétique, elles le sont aussi avec
2 photons IR moins destructeurs pour la peau.
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9. APPLICATIONS microscopie multi-photonique
–
Cellule mitrale
–
Imagerie calcique
–
Dermatologie
a) Application à la dermatologie
Ces images résultent de l'imagerie avec absorption biphotonique de fluorescence sur des
prélèvements nouveaux à côté de lésions plus ou moins cancéreuses.
–
Exérèse
–
Mise à plat des morceaux
–
On met le microscope de telle sorte à ce qu'on puisse acquérir l'image sur la surface, puis
un peu sous la surface, et de plus en plus en profondeur
–
Plage de réglage à 2ooµm
–
Obtention de ces images à différentes profondeurs, sans même à avoir à couper la
peau !
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Par la suite, des Allemands ont proposé une machine, un microscope, que l'on met dans la salle
de dermatologie.
→ « Le patient met son bras, son nez, enfin met ce qu'il veut … sous le microscope ».
Microscopie multi-photonique : En face MPLSM (Multi photon laser scanning microscope)
“En face” : On a une pile de sections possibles à acquérir dans le plan même de la peau quand
elle est présentée face à nous : Tranches virtuelles.
–
Marche avec un microscope 40 * Na (grossit 40 fois) = 0.8 Immersion à l'eau (Donc pas
toxique)
→ « Il suffit de mettre de l'eau sur la peau du 'client' pardon 'patient' et de poser l'objectif
dessus » ^^
–
Profondeur de 135 µm : Accès à l'épiderme et derme supérieur
–
Emission à 450 530 : Fluorescence du NADPH, nicotonamide dinucléotide (NAD) kératine
élastine collagène et mélanine
Photos (page 17)
–
Ligne supérieure (A): Normal périlésionnel
–
Ligne intermédiaire (B): Cellules squameuses d'un carcinome in situ
–
En bas (C): Carcinome à cellules superficielles
On observe donc la peau à différentes profondeurs.
Travail des nouveaux dermatologues : Bien interpréter ces images, cela va être un nouveau
métier.
Jusqu'à présent pour avoir ce type d'images on faisait unebiopsie qu'on envoyait chez les
anapath'. Alors que là tout se fait dans le cabinet du dermatologie, on peut avoir les résultats plus
rapidement.
Pour les curieux et motivés : www.jenlab.de/fileadmin/user/DermaInspect.pdf
Machines très couteuses
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b) Autres applications en dermato
–
Vieillissement de la peau
–
Contrôle de la cicatrisation
–
Contrôle du pH cutané
–
Contrôle de la pénétration ou de la délivrance de médicaments
Au delà de la possibilité de mettre en avant des fluorescences endogène, on peut aussi faire des
études complémentaires avec :
– Ac marqués
– Polarisation
– Secondes harmoniques : Le collagène est générateur de secondes harmoniques
Image : Neurone avec émission de secondes harmoniques
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