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TFC écrit par Manya Kabalu Sarah
Pour s'en convaincre, il suffit de sillonner la ville de Kinshasa
où on observe au niveau de certaines artères principales de
nombreuses personnes handicapées qui vivent comme des bêtes
sauvages. Ces personnes handicapées vivent majoritairement à la
belle étoile dans des abris de fortune comme. Ceci témoigne
éloquemment que malgré tous les efforts fournis par la communauté
internationale notamment les Nations Unies qui se sont investies les
premières en initiant une série de programmes et des mesures d'ordre
réglementaire dont la dernière en date est la Convention sur les Droits
des Personnes Handicapées adoptée par l'Assemblée Générale des
Nations Unies le 13 décembre 2006 et entrée en vigueur le 3 Mai 2008
; et promulguée au pays en 2012, il demeure évident qu'il reste
beaucoup à faire pour une bonne prise en charge des ces personnes
vulnérables.
A cet effet, plusieurs Ong dans la capitale congolaise
militent pour la prise en charge des ces personnes.
Notre problème général de recherche réside dans
l’ignorance des moyens de communication utilisés par les
organisations non gouvernementales pour la prise en charge des PVH.
Les études portant sur la protection des personnes
vulnérable ont retenu l’attention des plusieurs chercheurs à l’Institut
Facultaire des Sciences de l’information et de Communication. Mais
en ce qui concerne notre étude, deux travaux ont retenu notre
attention.
La toute première étude porte sur l’approche
communicationnelle dans la relation personnelle entre traitant et
personnes vivant avec le VIH/Sida (PVVIH). Cas de la clinique
Ngaliema (
) réalisée par Lokuka Bokunanisa Sandra.
LOKUKA, B, Approche communicationnelle dans les relations personnelles entre traitants et les PVVIH, cas de
la clinique Ngaliema, TFE Inédit, Kinshasa, IFASIC, 2009