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Une certaine idée de la France
L'euro c'est la vie chère : ce n’est plus à démon-
trer, chacun sait que les prix ont explosé avec l’en-
trée en vigueur de l'euro. La baguette à 7 francs. Le
ticket de métro à plus de 11 francs ! Le caddie de
supermarché à 700 francs !
En sortant de l’euro, les français retrou-
veront enfin un pouvoir d’achat à la
hauteur du travail qu’ils fournissent au
quotidien.
L'euro détruit nos emplois : l'euro trop cher
favorise mécaniquement les délocalisations par mil-
lions. Ainsi, l'industrie automobile française a déloca-
lisé 50% de sa production en 4 ans ! Airbus, la plus
belle réalisation européenne est obligé aujourd'hui de
délocaliser en zone dollar !
En sortant de l’euro, nos entreprises
pourront de nouveau exporter, les compa-
gnies étrangères auront de nouveau envie
d’investir en France et notre économie
repartira sur un bon pied.
L'euro est une monnaie de banquiers : quand
il s'agit de sauver les banques, les Etats membres
débloquent en urgence des milliards. Mais quand il
faut payer les fonctionnaires ou les retraites, on nous
dit que les caisses sont vides !
Avec la sortie de l’euro, les banques
retrouveront leur fonction d’origine :
financer l’économie réelle au service de
l’emploi et des épargnants.
L'arnaque de la dette : le traité de Lisbonne
grave dans le marbre l'interdiction pour un Etat d'em-
prunter à taux zéro auprès de sa banque centrale.
Résultat : les Etats se font racketter sur les marchés
financiers, la dette explose et il est devenu impossible
de financer les dépenses d'avenir !
Avec la sortie de l’euro, l’Etat retrou-
vera sa souveraineté monétaire et pourra
investir dans les chantiers d’avenir, dans
la recherche et l’éducation.
“Tout cela est bien la preuve que l’euro est avant tout
un instrument au service de la finance. Nous
souhaitons que la monnaie redevienne ce qu’elle
n’aurait jamais dû cesser d’être : un instrument
d’échange aux services de l’économie réelle, des
emplois et des citoyens.”
Nicolas Dupont-Aignan
En pratique, il sera aussi facile de sortir
de l’euro que nous y sommes entrés :
il suffira de réimprimer les billets et de frapper des
pièces de monnaie, sous le contrôle d’une Banque de
France restaurée dans ses prérogatives.
Tous les acteurs économiques et finan-
ciers sont déjà prêts et ont déjà intégré dans
leurs calculs l'éventualité d'une sortie rapide de la
France de l'euro.
La Suède, la Norvège, la Pologne et le Danemark ne
sont d'ailleurs pas dans la zone euro.
Ils ne sont pourtant pas moins européens
que nous !
En fait, l'Union Européenne des technocrates de
Bruxelles a un siècle de retard : le temps des struc-
tures supranationales qui veulent tout unifier, tout
aplanir et tout uniformiser est bel et bien terminé.
Cette mauvaise construction européenne
de commissaires non élus va s’écrouler
tout naturellement car elle n’est pas fon-
dée sur la démocratie et car elle méprise
les peuples.
L'avenir, c'est tout au contraire la liberté retrouvée.
Les différences, c'est notre plus grande
richesse !
Le futur appartient aux nations libres, à l'entraide, à
la coopération entre les peuples au service du pro-
grès social et de la paix.
Ne ratons pas le virage historique du
retour à la liberté.
L’euro, c’est le passé. N’ayons pas peur de
l’avenir.
Vive le franc !
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