Trimestriel - N°79 – Juin 2006 Ed. resp. : Association des médecins exerçant aux Cliniques Saint-Joseph
blueprint
79
Port payé
tarif postal
préférentiel
Editorial
Chaque trimestre, blueprint vous ap-
porte l’information sur ce qui se passe
au CHC, sur ce qui bouge. Ouverture
d’un nouveau service, mise en place
d’une nouvelle technique de pointe ou
d’un nouveau traitement, nous nous
efforçons de répondre à vos attentes
et d’apporter la réponse adéquate pour
vos patients.
Ce périodique est le vôtre, il doit consti-
tuer une réponse aux questions que
vous vous posez sur le terrain. Mais,
pour cela, nous avons besoin de vous.
Je vous invite dès lors à contacter
Marianne Lebrun (tél. 04.224.85.62 -
[email protected]) pour lui faire
part des thèmes que vous souhaitez voir
développer dans nos pages.
Dès que nous le pouvons, en commis-
sion de contacts ou par notre tradi-
tionnelle journée médicale notamment,
nous sollicitons vos suggestions, mais
n’hésitez pas à venir vers nous. Ce n’est
qu’ainsi que nous pourrons rencontrer
au mieux votre intérêt.
En attendant d’autres contacts, je vous
souhaite une agréable lecture et de
bonnes vacances.
Dr Toàn Khúc
|
DANS CE NUMÉRO
Le point sur…
Le virus de la grippe et ses variations
pages 2-3
Comment je traite,
comment j’explore
La viscosupplémentation
page 4
Nouvelle tête
page 4
Clinique et thérapeutique
La radiologie interventionnelle
au service de vos patients
page 5
Vie des cliniques
Hôpitaux de jour gériatriques aux
cliniques Saint-Joseph
et Notre-Dame Waremme
page 6
Un service de revalidation locomotrice
et neurologique à la clinique
Notre-Dame à Hermalle
page 7
Une consultation d’acupuncture à
l’Espérance
page 7
Ouverture d’une école du dos à la
clinique Notre-Dame à Waremme
page 8
blueprint est le périodique de l’association des
médecins exerçant aux Cliniques Saint-Joseph,
membre du Centre Hospitalier Chrétien (CHC)
Directeur de publication : Dr Toàn Khúc
Comité de rédaction : Dr Boris Bastens, Dr Denis
Brisbois Dr Toàn Khúc, Dr Jean-Pierre Lambert,
Marianne Lebrun, Dr Christian Mossay, Dr Alain
Nchimi, Dr Philippe Olivier, Dr Jean-Marie Sente, Dr
Martine Smeekens
Secrétariat : Anne-Marie Mandic 04.224.80.98
Contact rédaction : Marianne Lebrun
tél. 04.224.85.62 - fax. 04.224.80.93
Rue de Hesbaye 75, 4000 Liège
Graphisme : visible.be
L’édition 2006 de la Journée mé-
dicale des Cliniques Saint-Joseph
aura lieu le samedi 7 octobre.
Notez d’ores et déjà cette date
dans votre agenda.
Au programme: 5 ateliers
- Guidelines et actualités thérapeutiques
Modérateur : Dr J.-P. Lambert
- Les urgences pédiatriques
Modérateur : Dr M. Smeekens
- Variabilité de la libido et de l’activité
sexuelle en fonction de l’âge
Modérateurs : Dr M. Motquin et Dr A.
Wuyard
- Gériatrie
Modérateurs : Dr J. Benfante et
Dr J. Tyberghein
- Soins palliatifs et fin de vie
Modérateur : Dr H. Triffaux
Un programme détaillé vous sera
envoyé sous peu.
Renseignements:
Marianne Lebrun,
Service communication
04.224.85.62
Journée médicale 2006
Clinique Saint-Joseph
Rue de Hesbaye 75
4000 Liège
tél. 04.224.81.11
fax. 04.224.87.70
Clinique de l’Esrance
Rue Saint-Nicolas
447- 449
4420 Montegnée
tél. 04.224.91.11
fax. 04.224.90.02
Clinique Notre-Dame
Rue Sélys-Long-
champs 47
4300 Waremme
tél. 019.33.94.11
fax. 019.33.96.55
Clinique Notre-Dame
Rue Basse Hermalle 4
4681 Hermalle /s
Argenteau
tél. 04.374.70.00
fax. 04.374.70.02
a
2
Souches pandémiques d’influenza A :
1889 H2
1898 H3
1918 H1N1
1957 H2N2
1968 H3N2
1977 + H1N1
La transmission de l’animal vers l’homme est
rare, il existe une barrière d’espèce assurée
par le récepteur pour l’hémagglutinine. Le site
de fixation de l’hémagglutinine diffère entre
souches aviaires et souches de mammifères
et il y a une spécificité d’espèce des gènes
de nucléoprotéine et protéine non structu-
rale. Mais l’introduction du virus influenza
animale chez l’homme existe:
1976: porc H1N1
1994: porc H3N2
1997: poulet H5N1
1999: poulet H9N2
2003: poulet H7N7
Actuellement: poulet H5N1
Le virus de la grippe et ses variations
Fiche signalétique du
virus de la grippe
• Famille:
Orthomyxoviridae
• Genres:
Influenzavirus A, B, C
• Sous-types de virus A:
15 hémagglutinines (H)
9 neuraminidases (N)
• Acide nucléique:
ARN monocaténaire
linéaire segmenté
(7-8 fragments)
• Capside: hélicoïdale
• Enveloppe: oui
• Diamètre du virion:
100 nm en moyenne
Les orthomyxovirus sont
capables de provoquer
chaque année des infec-
tions subites et rapides
évoluant sous forme
d’épidémies plus ou
moins importantes dans
tous les groupes d’âge et
dans toutes les régions du
globe.
Mécanismes de transmission
La transmission de la grippe se fait essentiellement par des gouttelettes de salive émises par
une personne contaminée, notamment lorsqu’elle éternue. Les sujets en contact s’infectent
en inhalant l’aérosol produit par les personnes infectées. Plus rarement, la contamination peut
aussi être indirecte par les mains ou les objets souillés.
Au cours du passage dans les voies aériennes supérieures, les virus infectent les cellules
épithéliales de la muqueuse respiratoire. Cette étape représente la première phase de l’infec-
tion grippale. Le virus se multiplie alors silencieusement dans l’oropharynx pendant 24 à 48
heures pour atteindre un titre entre 104 et 108 virus par ml de sécrétion nasopharyngée.
Le patient asymptomatique au début de la maladie est donc extrêmement contagieux. La période
de contagiosité maximale est de 1 à 2 jours avant les premiers signes jusqu’à 3 jours après.
Diagnostic virologique
Il se fait soit par les techniques de diagnostic direct (détection d’antigènes par immunocapture
ELISA, immunofluorescence ou culture de virus sur lignées cellulaires), soit par les techniques
moléculaires telles que PCR ou par sérodiagnostic.
Le diagnostic direct par mise en évidence d’antigènes viraux sur un écouvillon nasopharyngé
ou sur un liquide de lavage nasal par immunocapture ELISA est une technique rapide, sensible
et bon marché, applicable aux prélèvements frais conservés jusqu’à 3 jours à température
ambiante ou bien congelés.
L’immunocapture ELISA permet l’identification A ou B avec un délai de 4 heures. L’amplifi-
cation génique (PCR) a un délai de 1 à 2 jours, mais permet l’identification typique (A, B) et
sous-typique (H1, H3, etc.) (réalisation dans des laboratoires spécialisés).
Variations du virus grippal
Elles ont été mises en évidence par la comparaison de virus grippaux isolés au cours d’épidé-
mies successives de type A ou B.
La variation de type ”dérive” ou ”glissement” antigénique permet au variant d’échapper
partiellement à la protection obtenue vis-à-vis des souches précédentes. Cette dérive est due
à l’accumulation de mutations ponctuelles portant sur les différents domaines antigéniques de
l’hémagglutinine et de la neuraminidase des types A et B. La caractérisation précise de ces
variations est indispensable pour connaître les souches circulant et mettre à jour la composi-
tion du vaccin.
La comparaison de souches de pandémies a mis en évidence des variations majeures de type
”cassure” antigénique, seulement chez les types A. Ces cassures sont dues à un échange
génétique entre souches animales et humaines, portant sur le gène de l’hémagglutinine seul
ou associé au gène de la neuraminidase. Cette cassure entraîne un changement de sous-
type, donc de numéro. Comme, par exemple, la pandémie, en 1957, de grippe asiatique
(H2N2) et, en 1968, de grippe de Hong-Kong (H3N2).
lepointsur...
H2N2
1957
H3N2
1968
Homme
Cochon
Homme
Canard
Réassortiment
3
Vaccination
La prévention des infections grippales repose essentiellement sur la
vaccination. Elle doit être effectuée durant l’automne et renouvelée
chaque année, afin de protéger efficacement contre les nouveaux
variants émergeant chaque hiver. La production d’anticorps protec-
teurs nécessite 7 à 10 jours après l’injection. Les anticorps persistent à
un titre protecteur 6 mois à 2 ans (selon l’âge).
La protection conférée par la vaccination n’est pas de 100% mais
plusieurs études ont démontré qu’elle entraîne une diminution signifi-
cative de la mortalité et de la morbidité liées à l’infection grippale, tant
chez les personnes âgées et les personnes à risques que chez les
adultes en bonne santé. Chez ces derniers, la protection est de 90%.
Chez les personnes âgées, la réduction de la mortalité liée à la grippe
dans une population âgée vaccinée est de 67%, bien que la protection
ne soit que de 30%.
Les formes cliniques de la grippe chez les populations vaccinées sont
atténuées par comparaison aux populations non vaccinées. Dans les
unités de soins, il a aussi été démontré que la vaccination du personnel
médical et paramédical diminuait la morbidité grippale chez les sujets
âgés et/ou à risques.
Traitement
Bloqueurs du canal ionique (M2): actifs sur influenza A, apparition
rapide de résistances
• Amantadine
• Rimantadine
Inhibiteurs de la neuraminidase: actifs sur influenza A et B
• Relenza (Zanamivir®): par inhalation
• Oseltamivir (Tamiflu®)
Ces antiviraux permettent de diminuer significativement la durée de la
maladie et réduisent l’intensité des symptômes de l’infection grippale
lorsqu’ils sont administrés dans les 36 heures qui suivent l’apparition
des symptômes.
Influenza, problèmes actuels
Epidémie annuelle: 1000 à 2000 morts/an en Belgique
Les types rencontrés:
Influenza A H3N2
Influenza A H1N1
Influenza B
Grippe aviaire chez le poulet: est un problème vétérinaire, type A H5N1,
non contrôlé en Asie, extension européenne.
Infections sporadiques chez l’homme par A H5N1, 186 cas avec 105
morts en 3 ans.
Clinique des humains infectés par H5N1
Incubation: 2 à 5 jours
Fièvre, état grippal , signes respiratoires profonds, diarrhée (17 à 70%),
pas de conjonctivite.
Evolution vers pneumonie et dyspnée, ARDS, mort (risque de 50% et
90% avant 15 ans)
Particularités de H5N1 en 2005
Changements antigéniques par rapport à 1997
Extension du nombre d’hôtes aviaires
Infections de mammifères (chat, tigre)
Pathogénicité accrue pour le furet et la souris
Plus grande stabilité environnementale
Conclusions
• La grippe aviaire est pour l’instant un problème vétérinaire et il est
urgent de contrôler le foyer dans les élevages de poulets.
• La Belgique n’est pas (encore) touchée par la grippe aviaire.
• Personne ne sait quand et d’où viendra la prochaine pandémie.
• La Belgique travaille depuis plusieurs années à un plan pandémie.
• Les efforts immédiats doivent être axés sur l’épidémie annuelle.
Dr Victoria Diaz,
Hygiène hospitalière
|
Genèse d’un virus pandémique
Homme
Oiseau aquatique Poulet
Cochon Homme
Réassortiment
Homme
Poulet
Homme Homme
Réassortiment
Poulet ou oiseau aquatique Homme Homme
Mutation
Mutation
Contacts
Clinique Saint-Joseph
Tél. 04.224.86.68
Fax 04.224.86.10
La viscosupplémentation
comment jetraite comment jexplore
L’acide hyaluronique que l’on retrouve dans l’articulation du genou a un poids moléculaire de l’ordre
de 4 à 5 millions de Dalton et remplit plusieurs fonctions: lubrifier l’articulation, garantir la viscoélas-
ticité et assurer un rôle global de filtre.
Au cours de l’arthrose, les caractéristiques du liquide articulaire changent et plus précisément celles
de l’acide hyaluronique; en effet, on constate une diminution du poids moléculaire, une diminution
de la concentration, une destruction progressive du réseau tridimensionnel, une production accrue
d’un acide hyaluronique de très bas poids moléculaire.
Le but de la viscosupplémentation est de rendre au liquide articulaire ses propriétés par apport
exogène d’acide hyaluronique.
En pratique, on prescrit de 3 à 5 injections,
au rythme d’une infiltration par semaine,
avec un maximum de 10 jours d’écart.
L’indication principale est la gonarthrose
douloureuse bien que d’autres articulations
arthrosiques puissent aussi être traitées.
Différentes préparations d’acide hyaluro-
nique sont disponibles. Elles diffèrent sur
base du poids moléculaire, du mode de
production et du prix, qui varie de 100 à
+/- 300 pour 3 injections, sans rembour-
sement.
Selon les études publiées, il ressort que
la diminution de la douleur et de la limi-
tation fonctionnelle apparaît de manière
progressive dès la deuxième injection, un
plateau d’efficacité maximale est atteint la
4e semaine après la dernière injection.
Les néfices que les patients retirent du
traitement se prolongent entre 6 mois et
1 an, voire jusqu’à 2 ans pour certains
patients.
Les effets secondaires sont rares et essen-
tiellement locaux: gonflement de l’articula-
tion, inflammation, allergie.
Docteur Marie-Anne Fontaine
Rhumatologie
|
La viscosupplémentation
est une nouvelle approche
dans le traitement de
l’arthrose.
Elle se base sur des
injections intra-articulaires
d’acide hyaluronique. Il
s’agit d’un polysaccha-
ride, dont le monomère
résulte de l’association du
N-acétylglucosamine et
d’acide glucuronique. La
polymérisation peut varier
à l’inni.
nouvelletête
4
Dr Xavier Nelissen
Chirurgie plastique, esthétique et réparatrice
Diplôde la Faculté de médecine de l’Université de Liège
en 2005 (chirurgie plastique, esthétique et reconstructrice),
le docteur Xavier Nelissen a rejoint le service de chirurgie
plastique, esthétique et réparatrice du CHC, il opère aux
cliniques Saint-Joseph, Notre-Dame Hermalle et Rocourt.
Ses centres d’intérêt se partagent entre la chirurgie de reconstruction et la
chirurgie esthétique.
Grâce à la microchirurgie et aux techniques de lambeaux libres, il réalise des
reconstructions tant cervico-faciales, que mammaires et orthopédiques.
La chirurgie de la silhouette représente son deuxième le d’intérêt avec
l’introduction au CHC des torsoplasties (abdominoplastie circulaire) et des
abdominoplasties à tension
supérieure. Toutes ces tech-
niques sont souvent complé-
es par liposuccion.
Xavier Nelissen est égale-
ment consultant au CHU de
Liège pour la reconstruction
cervico-faciale.
Horaire
Clinique Saint-Joseph
Les mardi, jeudi et vendredi toute la journée
1 semaine sur 2: le mercredi toute la journée
04.224.89.27
Clinique Notre-Dame Hermalle
Le vendredi après-midi
04.374.70.70
Contacts
Clinique Saint-Joseph
04.224.88.91
comment jetraite comment jexplore
Le jeudi 23 février 2006,
le comité scientique des
cliniques Saint-Joseph
a organisé une réunion
exceptionnelle sur le
thème ”La radiologie
interventionnelle au service
de votre patient”.
cliniqueetthérapeutique
La radiologie interventionnelle au service de vos patients
Devant une salle noire de monde se sont succédés deux orateurs de renom, le Pr Marc Sapoval,
responsable de la radiologie vasculaire et interventionnelle à l’hôpital européen Georges Pompidou
à Paris et le Dr Tarik Bouziane de la clinique Notre-Dame à Tournai.
Cette soirée était divisée en 3 parties:
- Angioplastie sous le genou et ischémie critique
- Embolisation et hémostase
- La radiologie interventionnelle non vasculaire (sous scanner)
• Les possibilités de l’angioplastie dans l’ischémie critique des membres inférieurs, lors
de laquelle le Pr Marc Sapoval a présenté les possibilités de l’angioplastie simple, du stenting et
de la recanalisation, y compris sous-intimale dans le contexte difficile du sauvetage de membre.
Chez le patient âgé, plus fréquemment chez le diabétique, on peut être confronté à des situations
difficiles où des plaies restent quiescentes pendant de longues périodes, voire lorsque le spectre
de l’amputation d’orteil ou de membre se profile. Le Pr Sapoval a bien détaillé dans ce type de
circonstances les possibilités de recanalisation, dont le but n’est clairement pas la perméabilité
à long terme, mais bien le rétablissement d’un flux distal (même pour quelques semaines seule-
ment dans certains cas) qui permet une guérison des plaies de ces patients âgés, ceci ayant
pour effet une nette amélioration de leur qualité de vie. C’est en effet la guérison des plaies qui
demande un apport sanguin important, la stabilisation cutanée est nettement moins consomma-
trice et se contente donc d’un apport plus modeste en cas de perte de perméabilité secondaire
des axes jambiers recanalisés.
L’hémostase en condition d’urgence est une situation classique en traumatologie et en
post-partum (hémorragie irréductible du post-partum).
Fort de sa grande expérience dans ce domaine, dans le cadre de l’Assistance Publique de la
Ville de Paris, le Pr Marc Sapoval a montré avec force exemples concrets les possibilités offertes
à l’heure actuelle par la radiologie interventionnelle: embolisation lors d’une rupture traumatique
d’organes pleins (foie, rate,…), fracture de bassin, complications postopératoires ou après
accouchement, pour citer les plus fréquentes.
Le Dr Tarik Bouzian a, quant à lui, fait un brillant exposé sur les différentes manoeuvres
d’infiltration, alcoolisation et autres techniques réalisables en radiologie intervention-
nelle non vasculaire sous contrôle scanner, grâce aux développements récents de cette
technique.
Il nous a démontré avec de nombreux exemples concrets à quel point et avec quelle facilité il
est possible de soulager nombre de pathologies douloureuses invalidantes, de la cervicalgie
ou lombalgie à la douleur périnéale en passant par les douleurs splanchniques. Il a clairement
démontré comment le radiologue interventionnel peut améliorer la qualité de vie des patients en
luttant efficacement contre des douleurs chroniques ou invalidantes.
Les orateurs de renommée internationale ont apparem-
ment captivé l’auditoire qui n’a pas manqué de poser
des questions. Cet auditoire a ensuite été rassuré par les
orateurs: la majorité de ces techniques sont déjà disponi-
bles dans notre institution.
Pour le comité scientifique,
Dr Denis Brisbois,
Président
|
5
Contacts
Clinique Saint-Joseph
Radiologie
interventionnelle
vasculaire: Dr D. Brisbois,
Dr P. Magotteaux
Radiologie
interventionnelle non-
vasculaire et antalgique:
Dr B. Daenen,
Dr G. Houben
04.224.88.00
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