
AVANT-PROPOS
Ce travail de recherche est l’aboutissement de quatre années d’étude en économique. Par
le fait même, il met fin à une aventure merveilleuse avec l’Université de Sherbrooke et ses
professeurs du département d’économie de la Faculté d’administration. À maintes reprises, il a
testé les limites de mon autodiscipline et de ma motivation. Ces deux éléments, à mon avis
cruciaux dans l’accomplissement d’un tel travail, ont été alimentés par le soutien des personnes
suivantes :
Mario Fortin et Jie He, directeurs de mémoire et professeurs au département
d’économie, merci pour votre disponibilité et votre patience;
Gérald Roy, membre du comité de lecture et directeur du département d’économie,
merci de m’avoir encouragé dans mes travaux en économétrie;
Sylvain Dufresne, économiste au sein de l’Unité de la prévision de la demande et des
revenus d’électricité chez Hydro-Québec Distribution et superviseur de stage, merci
pour les données;
Marie-Claude Bernard, économiste au Conference Board, merci pour les données;
Frédéric, mon conjoint, merci pour ton support moral durant la rédaction;
Luc et Louise, mes parents, merci pour votre patience et vos encouragements;
Mes amis (es), étudiants en économie, avec lesquels j’ai partagé mes craintes et mes
joies, merci pour votre écoute.
C’est avec fierté que je dépose ce document qui reste la plus grande réalisation
académique que j’aie accomplie. Il traite d’une problématique majeure bien ancrée dans
l’économie canadienne et québécoise. Dans un contexte de prix du pétrole et du gaz naturel
élevés, les contrastes persisteront entre le Québec et le Canada et même, l’Alberta. En effet, un
gouverneur de la Banque du Canada, David Dodge, a prévenu, en mai 2007, que tant que le
prix des matières premières demeurera élevé, le secteur manufacturier continuera à perdre des
emplois. Voilà un élément intéressant qui a manifestement motivé mes recherches en ce sens.