Support :
Analogique
Numérique
Ecrans Photoluminescences
Ampli de Brillance
Détecteur plans-matriciels
Tambour de Sélénium
Contraste : 4 densités fondamentales (4 niveaux d’absorption) visible à l’oeil. Très pauvre
comme information.
Ces coefficients d'absorption sont différents d'un tissu à l'autre, on établit alors une échelle
de gris mais seulement à 4 niveaux : on les classe du plus blanc au plus noir, + intense au –
intense donc du + absorbant au – absorbant. Ci-dessous les 4 niveaux densités :
1) Densité Calcique ou Osseuse, calcifications : apparaît très blanc sur le cliché, son coef
d’absorption et sa densité sont très élevés.
2) Densité Hydrique : il ne faut pas qu'il y ait d'ambiguïté , cette densité hydrique recouvre à
la fois les tissus mous non graisseux (tout ce qui est homogène ,organes pleins , graisse , foie,
muscle vésical , rein , cerveau , rate , poumons) et les liquides (vessie , vésicule biliaire , …).
Difficulté de distinguer un tissu non graisseux par rapport à des liquides.
Exemple : le foie contenu dans une grande poche liquidienne ne pourra pas être visualisé
car on aura la même densité pour les deux.
3) Densité Graisseuse (plus sombre que la densité hydrique) : seul tissu que l’on peut
vraiment caractériser grâce à plusieurs techniques. La graisse apparaît gris foncé, l’eau (ce
qui est hydrique) apparaît gris clair.
4) Aérique : très NOIR sur les clichés car l'air n’absorbe pas les rayons x.
Nous allons voir ces différents exemples de techniques d'imagerie avec plusieurs clichés.
Ce qui est le plus réalisé : le cliché pulmonaire et les clichés osseux.
Pourquoi le cliché pulmonaire ? Le poumon étant plein d'air, il apparaît très sombre par
rapport aux autres structures que ce soit la densité graisseuse, calcique, ...
C'est pour cela que c'est très utilisé, ces clichés sont toujours réalisés debout quand c'est
possible.