TUTORAT UE3 UE 2010-2011 – Physique Correction séance de révisions Etats de la matière –optique- RMN- Rayonnement et matière QCM n°1 : B ∆ L’incertitude relative sur le rayon est = = 2% La surface latérale du cylindre est égale à la surface liant les 2 disques du haut et du bas :S = 2πrh ∆ ∆ ∆ = + = 2+4 = 6% QCM n°2 : C L’écran recoit 150 J en 15s ce qui équivaut à une puissance P = 150/15=10W. . Cette puissance est reçue par un angle solide ² sr -5 On a donc 10W sur 4.10 sr et on veut savoir la puissance globale donc pour 4π 4 sr. . Après un produit en croix, on obtient : P = . =3,14 MW . QCM n°3 : A-B a) VRAI : P = h.ρ .g = 0,15.800.9,81 = 1177Pa b) VRAI : 1atm=1,013.105 Pa donc P = 1177 = 0,012atm . 1,013.10 5 c) FAUX : 1bar=100 000Pa donc P=0,012bar. d) FAUX Attention, la pression exercée par la colonne de liquide n’est pas dépendante de son rayon !! e) FAUX: cf item précédent. f) FAUX QCM n°4 : B-E a) FAUX : un dipôle électrique est défini par l’association de 2 charges ponctuelles égales en valeur absolue et opposées en signe. Le champ électrique crée par celui-ci celui ci est la somme vectorielle des champs électrique de chaque charge pris séparément. On définit aussi le moment dipolaire qui est un vecteur orienté selon la droite qui joint les 2 charges, du négatif vers le positif, d’origine le milieu des 2 points et de norme q.d. Ici, les 2 charges n’ont pas la même valeur donc on ne rentre pas dans le cadre du dipôle. b) VRAI : il suffit d’appliquer la loi de Coulomb qui donne la valeur de la force d’attraction ou de répulsion électrique : . 9. 10 . , . !. ".# $ 1,44. 10& ' c) FAUX : le principe des interactions réciproques récipro (3ème loi de Newton) énonce bien F1 = F2 mais la valeur de la force n’est pas bonne → cf b) d) FAUX : la charge q1 étant positive, le champ électrique E1 est orienté vers l’extérieur et si on considère la droite reliant les 2 points, il est dirigé diri vers q2. ( e) VRAI : on calcule le rapport ( = , . !. ; la simplification est possible car les constantes K et la distance au carré s’annulent par division. f) FAUX 2010-2011 Tutorat UE 3 _ Physique – Correction séance de révisions 1 / 14 QCM n°5 : B-E a) FAUX: /!\ une charge positive se déplace spontanément dans le sens des potentiels décroissants. Dans cet énoncé, on a une charge négative qui se déplace donc dans le sens des potentiels croissants. )* b) VRAI : E = où dr est un petit déplacement dans la direction de E et par convention, E ) > 0 donc si dr > 0 (on suit le sens de E), dV < 0, c'est-à-dire le potentiel diminue. c) FAUX : la constante diélectrique du milieu intervient, elle est notée ε et vaut 1 dans le vide (on a donc la permittivité électrique du vide), 80 dans l’eau (ne pas connaitre la valeur, elle sera donnée dans l’énoncé). Elle représente les attractions intermoléculaire du milieu qui gênent les interactions électrique. Ainsi, dans l’eau, tous les phénomènes étudiés seront diminués d’un facteur 80 par rapport au vide. )* )* d) FAUX : la loi de Coulomb énonce que E = . et E = ↔ . = .) .) /. . ) ) . ) ↔ dV = -. ↔ + ,- = + − . = + ↔ V = . . . e) VRAI : c’est la définition donnée dans le cours, elles représentent la trajectoire suivie par une charge électrique qui serait soumise à la seule action de ce champs, ce qui est logique étant donné qu’une charge se déplace spontanément soit dans le même sens soit en sens contraire de E selon son signe. f) FAUX QCM n°6 : C-D-E ∆Q + δSi où δSi est « chaleur non compensée ». Dans un système isolé, δSi =0 et T ∆Q=0 donc ∆S=0 : la variation d’entropie d’une réaction réversible est nulle. a) FAUX : ∆S = b) FAUX : c’est la variation d’entropie qui est nulle ! c) VRAI : ex du pH : avec un pHmètre ce n’est pas réellement le log[H+] que l’on utilise mais en fait le log de l’activité (dans ce cas assimilables). d) VRAI : plus une solution est diluée, plus elle se comporte comme une solution réelle idéale (interactions négligeables entre les particules de soluté). ex du potentiel chimique : pour une solution réelle on a pour le soluté: donc si γ1, logγ0 donc µp µp°+RTlog xp. e) VRAI :cf cours. f) FAUX QCM n°7: A-B-E a) VRAI :on sait que : ∆T = K ' '.cP ⇔ cP = b) VRAI : c P = c massique M ∆T 0,86 = = 0,465mol.kg −1 . K 1,85 or on a une solution à 4% c'est-à-dire 4g de soluté pour 100g de solvant ce qui donne cmassique=40g.kg-1. Donc : M = c massique CP = 40 = 87 g .mol −1 0,46 c) FAUX d) FAUX e) VRAI :De m p = cp (1000d − M p c p ) , on tire: c p = d × mp avec d = 1,031 et Mp = 87 g.mol-1 mp M p ( + 1) 1000 1,031× 0,465 = 0,46mol ⋅ L−1 0,465 × 87 ( + 1) 1000 La solution est suffisamment diluée pour que l'on puisse confondre mp et cp cp = 2010-2011 Tutorat UE 3 _ Physique – Correction séance de révisions 2 / 14 FAUX f) QCM 8 : B, D ( ( a) FAUX : P = RI2 et P=E/dt donc 0² = )1. ↔ 0 = 3)1. = 3&.&.& = 4,356 b) c) d) e) f) VRAI : U = R.I=(0,0043).(600) = 2,58V FAUX :cf item prcédent. VRAI : P = U.I= 2,28.0,043=11,1mW FAUX : cf item précédent. FAUX QCM 9 : B et C-E a) FAUX : Pour savoir s’il y a un risque vital, il faut calculer l’intensité qui traverse le corps de l’individu La résistance R d’une peau mouillée est de 1000 Ω. Donc en appliquant la loi d’Ohm I=U/R, on trouve I = 0,22A soit 220 mA Le risque vital est atteint pour une intensité supérieure à 50mA Les spasmes musculaires peuvent survenir pour une intensité supérieure à 10mA Donc le début de la phrase est faux mais la fin est vraie b) VRAI : L’intensité maximale tolérable est égale à 5 mA ( cf cours ) c) VRAI : Le seuil d’intensité pour lequel les sujets électrisés ont tendance à tétaniser est de 10 mA. d) FAUX : Un individu est « protégé » si il a touché un fil neutre Ce sont les fils de phases qui sont dangereux car possédant une puissance électrique qu’ils peuvent transmettre à un individu touchant le fil e) VRAI : si l’individu avait la peau sèche, la résistance aurait environ une valeur de 106Ω. Donc d’après la loi d’Ohm, on aurait eu I=220µA<50mA. f) FAUX QCM n°10 : A-C-D a) VRAI : R = R1 + R 2 = 100 + 100 = 200 Ω 1 1 1 1 = + = .2 = 0,02 ⇔ R = 50Ω R R1 R2 100 b) FAUX: c) VRAI : cf item précédent. d) VRAI : d’après la loi d’ohm on a : I = e) f) FAUX: cf item précédent FAUX U 12 = = 240 mA R 50 QCM n°11 : F D E F x a) 2010-2011 G y Ce schéma représente soit : - Une dépolarisation qui repart. - Une repolarisation qui arrive. Tutorat UE 3 _ Physique – Correction séance de révisions 3 / 14 - = Dépolarisation allant de x vers y, perçue en D Repolarisation allant de x vers y, perçue en G Dépolarisation allant de y vers x, perçue en G Repolarisation allant de y vers x, perçue en D b) Ce schéma représente soit : - une dépolarisation qui arrive - une repolarisation qui repart - - Dépolarisation allant de x vers y, perçue en G Repolarisation allant de x vers y, perçue en D Dépolarisation allant de y vers x, perçue en D Repolarisation allant de y vers x, perçue en G c) Ce schéma représente forcément une DÉPOLARISATION qui arrive, puis qui repart, perçue au niveau d’un point central par rapport au dipôle. Dépolarisation perçue en E allant de x vers y Dépolarisation perçue en E allant de y vers x d) Ce schéma représente forcément une REPOLARISATION qui arrive, puis qui repart, perçue au niveau d’un point central par rapport au dipôle. Repolarisation allant de x versy, perçue en E Repolarisation allant de y vers x, perçue en E. F) VRAI 1b-2a- 3a-4b-5a-6b-7b-8a-9c-10c QCM 12 : B,D, E On considère donc que l’ECG précédent est celui-ci : VR VF Pour traduire cette ECG en différentes dérivations : Il faut tout d’abord choisir sa dérivation. Sur le schéma précédent, D2. On trace la perpendiculaire à cet axe. Ensuite, tout ce qui se trouve à l’inverse de D2 est négatif, ce qui se trouve du même côté est positif. Le point de départ est la réunion des 2 courbes. 2010-2011 Tutorat UE 3 _ Physique – Correction séance de révisions 4 / 14 Dérivation D1 : La perpendiculaire est l’axe de VF. Tout ce qui est est à gauche de VF ( inverse à D1) est négatif. Tout ce qui est à droite ( côté de D1) est positif. On commence donc par un moyen négatif, suivi d’un très grand positif . a) FAUX b) VRAI c) FAUX En ce qui concerne la dérivation en VF, on prend la perpendiculaire : axe de D1. Ce qui est au dessus de D1 est négatif ( opposé à VF) . Ce qui est sous D1 ( sens de VF) est positif. Pour VF : début= petit pic négatif Ensuite : grand positif Enfin, : moyen négatif. d) VRAI Même méthode. e) VRAI f) FAUX QCM 13 : A,C,E a) VRAI : f = 300 300 = = 100bpm k 3 b) FAUX c) VRAI : le complexe QRS est précédé d’une onde P positive en DII et négative en aVR ayant un aspect normal et constant. d) FAUX : On remarque que au niveau de DI, l’aire sous la courbe du tracé du complexe QRS est presque nulle donc on peut dire qu’à ce niveau la projection du moment est nulle. Puis on voit qu’en aVF on a un pic positif du complexe QRS qui est par ailleurs négatif en aVR et aVL. Donc on peut dire que l’axe du cœur se situe environ à +90°. e) VRAI f) FAUX QCM n°14 : A, D A) VRAI : si l’énergie thermique prédomine elle a pour conséquence l’orientation aléatoire des spins et une aimantation macroscopique résultante nulle, d’où le terme de dégénérescence énergétique. B) FAUX : le module est des spins est constant quelque soit le champ magnétique utilisé, c’est la direction des spins qui est variable en présence d’un faible champ magnétique (par rapport à la température). C) FAUX : la résultante énergétique est nulle car l’ensemble des énergies des spins se compense (l’énergie de chaque spin n’est à aucun moment nulle). D) VRAI : d’où l’orientation aléatoire des spins (forme d’oursin). E) FAUX : cela dépend de la température, si la température est extrêmement élevée il faudra un champ magnétique d’autant plus fort. QCM n°15 : C A) FAUX : naturellement l’état d’entropie minimale est favorisé, mais pas sur l’axe car il existe un angle limite entre les deux vecteurs. B) FAUX : l’énergie à chaque niveau est 7 = −58ħ9 donc la différence énergétique entre deux niveaux successifs est ∆7 = 8ħ9 (m évoluant par pas de 1). C) VRAI : puisque dans le cas de s=1/2 les spins se séparent sur deux niveaux d’énergie. D) FAUX : la formation de l’état bicône est progressive et rythmée par la constante de temps T1. E) FAUX : au contraire, elle est très peu sensible car la différence de spins entre les états α et β est très faible (de l’ordre de 10-5). QCM n°16 : A,C ,D s=5/2 donc m a 6 valeurs : -5/2, -3/2, -1/2, 1/2, 3/2, 5/2 µz=µ.cos(θ) µz=γ.ħ.m donc µ.cos(θ)= γ.ħ.m r B 32° 2010-2011 Tutorat UE 3 _ Physique – Correction séance de révisions 5 / 14 60° 80° r µ cos θ = Pour m=5/2 : cos θ = Donc D = 32° @ >A(AB) = , > ,( ,B) m >s(s + 1) = 0,84 Pour m=3/2 : θ=60° Pour m=1/2 : θ=80° Pour les spins antiparallèles on remarque que c’est le même angle : Pour m=-5/2 : θ=147° donc 180-147=32° (pour avoir l’angle minimum) Pour m=-3/2 : θ=120° donc 180-120=60° Pour m=-1/2 : θ=100° donc 180-100=80° QCM n°17 : B, D a) FAUX: La polarisation des matériaux diamagnétiques se fait par distorsion des doublets électroniques. b) VRAI : Définition d’un matériau ferromagnétique. c) FAUX : La susceptibilité magnétique est une constante propre au matériau et ne varie donc pas en fonction du champ appliqué. d) VRAI: µ = µ 0 (1 + χ m ) . e) FAUX : Elle dépend aussi de sa « capacité à réagir », c'est-à-dire de sa susceptibilité magnétique χm . f) FAUX QCM n°18 : A a) VRAI : En l’absence de champ magnétique B0, on a kT (agitation thermique)>EB (énergie magnétique). b) FAUX : C’est l’inverse pour que EB soit supérieur à kT il faut diminuer la température ou augmenter c) d) e) f) GH) le champ magnétique (EB=-µ GH.9 FAUX : L’agitation thermique étant prédominante, les spins ont une direction aléatoire dans tout GH=J GH alors EB=0 on parle alors de GGH or EB=-J GGH.9 GH de ce fait si J GGH=0 l’espace. De ce fait ΣµI GGGH=0 dégénérescence énergétique car tous les spins ont une énergie nulle. FAUX : Cf. item c FAUX : Il y a 3 conditions : un spin non nul, existence d’un intense champ magnétique statique, excitation par des ondes RF d’énergie appropriée. FAUX. QCM n°19 : D a) FAUX : On a 8 protons et 8 neutrons ce qui par association deux par deux dans une même famille b) c) d) e) (protons avec protons / neutrons avec neutrons) donne un spin nul. Par conséquent, la RMN est impossible. FAUX : C’est l’inverse, après l’application d’un champ magnétique intense les spins se repartissent en deux niveaux d’énergie. Les spins up (dominants) sont à l’état fondamental et les spins down sont à l’état excité. FAUX : C’est m qui permet de quantifier l’énergie à travers µz. En effet, E=- µzB0=-µB*m* B0. VRAI : L’énergie d’un photon excitateur du système de spins doit obéir à la relation générale donnée par la loi d’Einstein : h Ʋ0≥∆E. En RMN la fréquence est tellement faible que h Ʋ0=∆E. Ceci permet de retrouver la relation de Larmor : ∆E= 8 пB0= h Ʋ0 soit après simplification 2π Ʋ0=8B0 ce qui signifie que la RF doit être appliquée à la résonnance. GGH est basculé, il se décompose en deux composantes : une longitudinale GGGGGGH FAUX : Lorsque J JL et GGGGGGH qui repousse le long de B0 au rythme de T1 et JM GGGGGGH qui décroît GGGGGGH. C’est alors JL une transversale JM au rythme de T2. 2010-2011 Tutorat UE 3 _ Physique – Correction séance de révisions 6 / 14 f) FAUX. QCM n°20 : D Les tissus A et B sont en isosignal lors d’une pondération en M0. Etant donné que le temps tr est suffisamment long, nous pouvons en déduire que les aimantations transverses à la fin de la bascule sont égales, soit MOP() = MOQ() =.MO() UV Nous savons que MO(RS) = MO().T W . Donc, Calculons le Donc : bf bg = b rapport bf . g UV eYi(Z[) lm( ) eY(\) UV eYk(Z[) lm( ) eY(\) = XY(Z[) XY(\) UV XY(Z[) = T W ; d’où ln _ D’après la relation précédente, M h = cd( 1a eYi(Z[) eY(\) ) . cd( eYk(Z[) eY(\) 1a ) = cd( eYk(Z[) cd( eY(\) eYi(Z[) eY(\) cd( XY(\) 1a eYi(Z[) eY(\) `= ) 1a . b et M j = Ainsi, = n cd( ) n cd( ) cd( 1a eYk(Z[) eY(\) ) cd( 1a eY(Z[) eY(\) . ) . ) ) Or, d’après l’énoncé, MOP(RS) = . MO() et MOQ(RS) = 2. MOP(RS) = . MO() . Donc bf bg Ainsi M = XYk(Z[) = 2,71 ; soit M h = 2,71. M j . QCM n°21 : A-E XY(\) = et XYi(Z[) XY(\) = . .# a)VRAI et b)FAUX : Nous savons que p q = pnr . donc pnr = = 10,5Jtu/M. Or, d’après la relation de Larmor, w = 2x. p = 8. 9 , p q > pnr → ω( q) > ω(nr) . Ainsi, l’aimantation transverse du carbone « prend du retard » sur celle de l’hydrogène. L’angle z balayé par l’aimantation transverse durant t est tel que z = w . {. Dans notre problème, le déphasage est tel que ∆z = z q – z nr = ω( q) . { − ω( nr) . { = (ω( q) − ω( nr) ). { = |8 q − 8nr ). 9 . { = |p q − pnr } . 2x. 9 . {. De plus, ∆z = x Ainsi, { = ∆~ _ n `. .h\ = ( ,).# . . = 8. 10 ≈ 8 . c)FAUX : Par définition, la fréquence correspond au nombre de tours effectués par unité de temps. Ainsi, pendant 16 ns, l’aimantation transverse qui tourne autour de B0 à la fréquence p 0 parcourt N = p0.t = 10,5.106*2*8.10-9 = 0,17 tours d) FAUX et e)VRAI : Sous l’influence de 9 , M bascule autour de celui-ci, à la vitesse angulaire w = 8nr . 9 . Ici, w = . Donc η = w . = 8nr . 9 . = f) FAUX. ,.# . 30. 10& . 0,2. 10 = 0,1 , = 5,73°. QCM n°22 : F a)FAUX et b) FAUX : La relation de Larmor nous permet d’écrire = 2x. p = 8. 9, avec p : fréquence de .h résonnance. Ainsi, nous pouvons écrire p = . Selon les données de l’énoncé, p = p q . Cela équivaut à .h\ = .h\ , soit 8 . 9 = 8 q . 9 ′. Donc 8 = .h\ .h h\ = .# . . = 158. 10& rad.s-1.T-1. !,&.# . c)FAUX : Nous avons vu dans l’item précédent que p = . Donc, dans ce cas-ci, p = = 25,2 Jtu. d) FAUX et e)FAUX : Attention, la précession de l’aimantation transverse autour de 9 s’effectue à la vitesse w = 8 . 90 (et non w = 8 . 91 !). Ainsi, z = w . { = 8 . 9 . { = 25,2. 10& ∗ 2x. 5 ∗ 15. 10 = 11,9 = 681° ce qui correspond à 1 tour et 321°. f)VRAI. QCM n°23 : CDE 2010-2011 Tutorat UE 3 _ Physique – Correction séance de révisions 7 / 14 a)FAUX: La RMN concerne le magnétisme des seuls noyaux atomiques. Remarque : la Résonnance Paramagnétique Electronique peut être utilisée en imagerie. b)FAUX : C’est l’inverse ! Le système de spins SS subit l’expérience tandis que le réseau SR représente le reste de l’univers. c)VRAI : Ces interactions sont de nature entropique. Par contre, elles ne modifient pas le bilan énergétique tel que perçu à l’extérieur du SS. d)VRAI. e)VRAI. f)FAUX. QCM n°24: B On a :J = J (1 − T 1/b ), nous voulons que J = 0,75J U 0,75 = 1 − T W 0,25 = T 1/b t = ln 0,25 × (−M ) t = 0,55 QCM n°25 : A-B-E a) VRAI : Une onde progressive correspond à la propagation dans un milieu infini d’une ou des caractéristiques de ce milieu. b) VRAI : Cf. cours c) FAUX : Une onde progressive mécanique correspond à la mise en vibration de particules autour d’une position d’équilibre à une vitesse de vibration v. La vitesse de propagation est caractérisée par la célérité c. d) FAUX : GH = , le reste de la phrase est vraie. Ainsi, il est perpendiculaire aux surfaces d’onde. e) VRAI : Il s’agit de la transformée de Fourrier où les harmoniques ont des fréquences qui sont des multiples de la fondamentale. f) FAUX. QCM n°26 : A-B-D-E a) VRAI : Le terme de permanent signifie que la distribution des charges est constante dans le temps donc celles-ci sont immobiles et le champ résultant est statique. b) VRAI : Cf. Cours. c) FAUX : Un courant électrique permanent (dont l’intensité est constante au cours du temps) émet un champ magnétique indépendant du temps. donc un champ magnétostatique. d) VRAI : attention au sens du produit vectoriel car il n’est pas commutatif. GH est égale à la somme des forces électrostatiques e) VRAI : La force de Laurens [ H1¡1 =¢. 7GH + ¢. £H ∧ 9 et magnétostatique principe de la spectrométrie de masse (permet de séparer les particules en fonction de leur charge) ] attire les e- cf sens du produit vectoriel. f) FAUX. QCM n°27 : C a) b) c) d) e) f) ¥¥ FAUX : le coefficient de réflexion s’écrit r=(¥B¥ )²=0.02 FAUX : t=1-r=1-0.02=0.98 donc 98% de l’intensité de l’onde est transmise. VRAI : Cf.item b FAUX : La transmission est de 98% tandis que la réflexion est de 2%. FAUX : Il y a 98% qui est transmise donc l’interface s’oppose très peu. FAUX. QCM n°28 : A-C-D-E a) b) c) d) VRAI : Cf.cours c’est une modélisation FAUX : C’est l’inverse il faut que la largeur b soit inférieure à λ. VRAI : Cf.cours. VRAI : Cf.cours. 2010-2011 Tutorat UE 3 _ Physique – Correction séance de révisions 8 / 14 e) VRAI : Cf. cours. c’est par la somme des ondes déphasées (du fait du chemin optique parcouru) selon un même angle D. f) FAUX. QCM n°29 : C-D a) FAUX : Dans un milieu de coefficient d’atténuation k, l’intensité lumineuse diminue selon la loi 0(¦) = 0 T § où x est la distance parcourue par le rayonnement dans le milieu et I0 l’intensité du faisceau à l’entrée. Cette diminution suit donc une loi de décroissance exponentielle et non linéaire. b) FAUX : La variation d’intensité du faisceau par rapport à la distance est proportionnelle à l’intensité )¨ par le coefficient k. On a donc ) = . 0, c’est une relation linéaire d’ordre 1. Une analyse dimensionnelle nous donne [k] = m-1. c) VRAI : D’après la loi de Beer, k = σ.c avec σ la section efficace molaire, il y a donc une relation de proportionnalité avec la concentration. d) VRAI : La diffusion Thompson également appelée diffusion élastique est une interaction entre un photon et la matière dans laquelle le photon change de direction et de trajectoire sans perdre d’énergie. Elle se fait uniformément dans toutes les directions de l’espace, c’est pourquoi elle est dite non sélective ou isotrope. Elle est relativement négligeable. e) FAUX : Dans le transfert de l’énergie lumineuse E d’un faisceau à des électrons des molécules constitutives du milieu, les effets sur les molécules dépendent de E. Ainsi, par ordre d’énergie croissante, on a d’abord des transitions entre bande de valence et conduction, puis rotation moléculaire, vibration moléculaire et enfin transition électronique. Cet ordre n’est pas à connaitre par cœur, l’essentiel à retenir est que l’énergie d’ionisation est supérieure à toute les autres. f) FAUX QCM n°30 : A-D-E a) VRAI : on sait que la valeur de l’angle limite est de 60° car à partir de cet angle, il n’y a plus de passage de rayon à travers le dioptre, on est dans le cas de la réflexion totale. Pour un angle incident i1 = 60, la loi de Snell-Descartes s’écrit donc n1.sin(i1) = ns.sin(i2) = ns.sin(90) = ns ↔ ns = 1,5.sin(60) = 1,3 b) FAUX : cf a) c) FAUX : on se trouve dans le cas où l’angle incident est inférieur à l’angle limite, la loi de Snell¥ .ª«¥« ,.ª«¥ Descartes s’applique donc : n1.sin(i1) = ns.sin(i2) ↔ © = © | ¥ } = © | , } = 47,9° ¬ d) VRAI e) VRAI : il existe toujours une part réfléchie dont l’angle par rapport à la normale esr le même que le rayon incident. f) FAUX QCM n°31 : B-E Pour faire diminuer l’intensité du rayon atteignant les yeux, il y a plusieurs techniques : - augmenter la distance à la source. Si on multiplie cette distance par un facteur λ, pour une source émettant de manière isotrope dans l’espace, l’intensité est divisé par λ2. Dans notre exemple, doubler la distance revient à diviser par 4 l’exposition. - interposer un milieu entre la source et les yeux du sujet. Pour cela, analysons la formule d’atténuation de l’intensité lumineuse dans un milieu quelconque : 0(¦) = 0 T § avec x la distance parcourue, k le coefficient d’atténuation et I0 l’intensité incidente. Ici, l’épaisseur des lunettes est de 2 mm et k = 700 m-1 donc on a I = I0.e-700.0,002 = 0,25I0 = I0 / 4. a) FAUX b) VRAI : les 2 méthodes permettent d’atténuer le faisceau d’un facteur 4. c) FAUX d) FAUX e) VRAI f) FAUX 2010-2011 Tutorat UE 3 _ Physique – Correction séance de révisions 9 / 14 QCM n°32 : A-C-D-E a) VRAI : les ondes incohérentes, à la différence des ondes cohérentes, sont déphasées entre elles b) c) d) e) f) mais ce déphasage n’est pas constant au cours du temps ce qui ne leur permet pas de subir le phénomène d’interférence mais les intensités peuvent s’additionner de manière algébrique. FAUX : les ondes cohérentes résultent de la diffraction à travers une fente : elles présentent la même direction de propagation sous un angle θ mais comme les sources secondaires sont éloignées d’une distance x, une des onde effectue un chemin optique supplémentaire d = x.sin(θ) ­. qui se traduit au niveau temporel par un déphasage constant. Par contre, elles présentent bien la même célérité et la même longueur d’onde. VRAI : il suffit de visualiser la figure de diffraction : considérons 2 points séparés d’une distance x. Après diffraction, on peut considérer qu’ils se comportent tout deux comme une source émettrice d’onde. Prenons une direction de propagation donnée que l’on souhaite étudier θ. Le deuxième x rayon effectue un trajet optique supplémentaire noté dL sur le θ schéma et dans le triangle rectangle : dL )¯ sin(D) = ↔ dL = x.sin(θ) le chemin optique est donc proportionnel à la distance séparant les sources. VRAI : si l’orifice est circulaire, lors du passage de l’onde plane à travers cet obstacle (à condition qu’il soit de dimension de l’ordre de grandeur de la longueur d’onde λ), il va se comporter comme une source secondaire à l’origine d’onde diffractée circulaire. VRAI : la diffraction à travers un obstacle nous donne l’ordre de grandeur de la taille de cet obstacle, à condition bien sur de choisir la longueur d’onde λ adaptée (elles doivent être environ égale). Ainsi, pour visualiser des structures moléculaires, il faut prendre un λ = ° très petit (de l’ordre de l’angtröm) donc une très haute fréquence. FAUX QCM n°33 : A-B-C a) VRAI : les ondes qui s’additionnent et l’’onde stationnaire ont la même pulsation propre donc la même fréquence ± = b = !. ≈ 1,2. 10 tu = 1,2 ²tu b) VRAI: une onde stationnaire peut exister entre 2 obstacles si la distance les séparant est égale à un ³ multiple de la longueur d’onde divisée par 2 donc le rapport ´ doit être entier. µ Calculons d’abord la longueur d’onde ¶ = ·. M = 3. 10! . 830. 10 , Application : , n’est pas entier. c) d) e) f) g) µ = 0,249 5. VRAI FAUX FAUX : il faut des dimensions de multiple de ¶/2. FAUX QCM n°34 : A-C a) VRAI : la période temporelle correspond aux temps mis pas l’onde pour parcourrir très précisément une longueur d’onde λ, les 2 points sont alors en phase. Ici, on prend l’origine et on regarde à quel moment l’onde repasse par l’origine et dans le même sens. On trouve un peu plus de 6 donc 2π est une réponse valable. b) FAUX : l’amplitude est l’écart maximal entre l’onde et la position d’origine, soit la distance en valeur absolue entre le 0 et un extrémum. On a A = 1 c) VRAI : la relation entre la pulsation propre, la période et la fréquence (absolument à connaitre !) est w = 2x± = b ↔ ω0 = = 1 rad.s-1. \ ´ d) FAUX : on sait que £ = b ↔ ¶ = £. M = . 2x = x m e) FAUX : on remarque que la forme de cette onde est parfaitement sinusoïdale ; on peut donc f) conclure que l’on a affaire à une onde pure ou monochromatique. FAUX 2010-2011 Tutorat UE 3 _ Physique – Correction séance de révisions 10 / 14 QCM n°35 : B-D-E a) FAUX: L’onde progressive doit être périodique (et intégrable). b) VRAI : Le signal possède les harmoniques de fréquence f,2f,4f et 5f et le signal constant de c) d) e) f) fréquence 0 Hz, ce qui fait au total 5 harmoniques. FAUX: Dans les harmonique représentées, les numéros 2,3,4 sont des multiples de 200 donc la fréquence fondamentale est de 200Hz. VRAI : Cf. item C. VRAI : Ce signal est composé de plusieurs harmoniques donc il s’agit d’une onde polychromatique. FAUX. QCM n°36 : B-D a) FAUX: Attention aux unités ce sont des électrons-volt et non des joules. ¸² ,& E(eV)=-13,6× avec Z=1 et n=3 donc E= eV. ¥² b) VRAI : L’énergie dépend du nombre quantique principal n et secondaire l (¸¹)² c) d) e) f) (0≤l≥n-1) et E (eV)=-13 ,6× ¥² avec Z le numéro atomique de l’atome. Et en effet cette énergie ne peut prendre que certaines valeurs bien précises : elle est quantifiée. NB : la constante d’écran dépend de n et de l. FAUX : Au niveau subatomique, on utilise la probabilité de présence d’une particule à un moment t en un lieu donné p=|» = (¦, ¼, u, {)²|,- . Et comme on l’a vu avec les incertitudes d’Heisenberg, la notion de trajectoire à l’échelle microscopique est impossible car on ne peut pas avoir en même temps une grande précision sur la vitesse et la position d’une particule. VRAI : ∆x.∆p≥ ℏ £T· ℏ = . ¾ FAUX : pour que les manifestations ondulatoires aient lieu, il faut que la longueur d’onde ne soit pas négligeable par rapport à l’environnement (ex : la diffraction) FAUX QCM n°37 : C-D a) FAUX : Lorsque un électron passe sur une couche moins périphérique l’énergie est moins importante (plus négative), un photon X possédant la différence d’énergie entre les deux couches est émis, ce phénomène est appelé la fluorescence. A l’inverse pour passer d’une couche plus interne à une couche plus périphérique, de l’énergie doit être absorbée. b) FAUX: Pour un électron de la deuxième couche de l’atome d’hydrogène on ² c) d) e) f) 2010-2011 sait que ELi =-13,6× ²=3,4 eV et donc l’énergie cinétique est l’énergie qui reste après ionisation : Ec=Eapportée-ELi= 4-3,4 =0,6 eV. VRAI: les électrons peuvent être ralentis de manière continue et donc leur énergie prendre toutes les valeurs entre 0 (ralentissement maximum) et une maximale (ralentissment minimum) : on a donc un aspect de spectre continu. VRAI: cf cours. FAUX: Si l’énergie cinétique du faisceau d’électron est suffisante on peut exciter ou ioniser l’atome. Le spectre de rayonnement est donc continu (freinage des électrons par les protons du noyau de l’atome, et transformation de l’énergie cinétique des électrons en photon ayant un continuum d’énergie), avec des raies greffées caractéristiques de l’atome (correspondant aux excitations et aux ionisations de l’atome). FAUX Tutorat UE 3 _ Physique – Correction séance de révisions 11 / 14 QCM n° 38: A-B-D 6 a) VRAI: ∆E=∆M×c² ou (9mp+ 9mn-M(F))×931,5×10 =(9×1,00727+9×1,008666 17,99600)×931,5×10 =137,3 MeV. b) VRAI: c) d) e) f) ¿( À,×# = =7,6 Mev/nucléon. ! FAUX: Si la masse du fluor avait été plus important alors le défaut de masse aurait été moins important donc l’énergie de liaison totale et par nucléon aurait été moins importante. VRAI : cf item a). FAUX: Tous les noyaux possèdent un défaut de masse c’est ce qui assure leur cohésion. FAUX j QCM n°39 : A-B-D a) VRAI : En effet un noyau père riche en neutrons se désintègre en un noyau fils, et émet un électron et un anti-neutrino. ( b) VRAI : On a l’énergie disponible 7³ = ÁJ ∗ ·² , Âù ÁJ = ²Ä , si l’on met la formule en eV, on , a ÁJ = or ÁJ = J(0) − ÅJ(Æ) + 5T Ç , Âù J(Æ) = J(0) − 5T − ÁJ =130.905 u . c) FAUX : Ici pour X, A=131 et Z=54. A et X ont donc un numéro atomique différent et correspondent à des éléments différents. En revanche A et X ont le même nombre de masse A, ce sont donc des isobares. d) VRAI : cf cours. QCM n°40 : B-D-E a) FAUX : Soit El l’énergie de liaison du noyau de 36Cl. On pense bien à convertir les masses en kg. El=[(Z*mp+(A-Z)mn)-mCl36]*c² =[17*1.67262+19*1.67492-59,71128]*10-27 * (2.998*108)² = 4.914*10-11J. b) VRAI : El=4.914*10-11/1,6*10-19=307MeV c) FAUX : L’énergie de liaison du 36Cl est bien inférieure à celle du 238U, mais, ramené au nombre de nucléons, celle du 36Cl est supérieure à celle du 238U. La courbe d’Aston n’est pas à apprendre par cœur mais vous devez au moins retenir sa forme générale et sa signification. d) VRAI : cf courbe d’Aston. Les petits et gros noyaux sont instables ∆E/A faible comparé à ceux se trouvant dans la « zone de stabilité ». e) VRAI : C’est sa définition. f) FAUX QCM n°3 : B-C-D a) FAUX : La dose absorbée par l’araignée est de 3,64.10-17 Gy. Or, 1 Gy= 1J.kg-1. De plus, cet arachnide absorbe toute l’énergie du faisceau ayant traversé. Donc, l’énergie correspondante est de 3,64.10-17.3.10-6 = 1,092.10-22 J = 682,5 ÐeV. cd ( ) cd ( ) b) VRAI : ÐÑ = r³j = ,.n = 6931 m-1. Ò c) VRAI : Soit If l’intensité du faisceau ayant traversé et I0 l’intensité du faisceau pénétrant dans la cloison. If = I0.T Ò .ÓÒ fÓf ; avec LÑ et Lh les épaisseurs respectives de plomb et de béton de la cloison. → If = I0.T Ò .ÓÒ f . lm () Ägf ¨ cd ( ) → Ô | ¨Õ} = −LÑ . ÐÑ − Lh . r³j \ f → Ö×6h = f .cd ( ) ØÕ ¯¥_ `BÒ .ÓÒ Ø\ . De plus, étant donné la composition de la cloison, nous pouvons en déduire que Lh = 0,95.5 = 4,75 cm ; et que LÙ = 2,5 mm. 2010-2011 Tutorat UE 3 _ Physique – Correction séance de révisions 12 / 14 Ainsi, Ö×6h = ,À. .cd ( ) #,ÚÛ.\Ü ¯¥_ `B ,.n .& \\.\n =2,23.10-2 m ≈ 2 cm . d) VRAI : Considérons tout d’abord l’atténuation du faisceau à travers toute la cloison : Ò .ÓÒ f . lm() Ägf I − IÞ = I − I . T Ò .ÓÒ f Óf = I (1 − T ). Intéressons nous à présent à l’atténuation due à l’épaisseur de plomb, sachant qu’auparavant, le ,À faisceau a déjà traversé une couche de béton Lh = = 2,375 cm. I − IÞ = I − I . T Ò .ÓÒ = I (1 − T Ò .ÓÒ ) = I . T lm() Ägf ßf . (1 − T Ò .ÓÒ ). Voyons à présent la part du plomb dans l’atténuation totale : ß . cd( ) ß . cd( ) cd( ) I − IÞ I . T f r³jf (1 − T Ò.ÓÒ ) T f r³jf (1 − T Ò .ÓÒ ) T ,À. 1 − T ,. .& = = = cd( ) cd( ) cd( ) n I − IÞ Ò .ÓÒ f . Ò .ÓÒ f . r³j r³j 1 − T ,. .&,À. fá f I à1 − T 1−T n âß âß → â\ âã = 0,439 = 44%. \ ã e) FAUX : Même si la part du plomb dans l’atténuation est inférieure à celle du béton dans cet exercice (du fait de sa faible épaisseur), nous avons pu voir que sa CDA était largement inférieure à celle du béton. Le plomb est donc un matériau plus atténuant que le béton. f) FAUX. QCM n°42 : A-D a) b) c) d) e) f) Vrai Faux : c’est l’action sur la molécule d’ADN. Faux : c’est sur les électrons qu’ils agissent dans ce cas. Vrai Faux : ils peuvent induire des cancers. Faux QCM n°43 : A - E a) Vrai : l’altération de l’adn est plus probable par l’effet indirect : (il y’a d’abord formation de radicaux libres de l’eau qui auront par la suite une action sur la molécule d’adn) b) Faux : (rappel : effet direct action direct du rayonnement sur la molécule d’adn). c) Faux : plus une cellule est différenciée moins elle est sensible aux radiations d) Faux : (cf C) e) Vrai : (cf C) f) Faux QCM n°44 : A-C-D-E a) Vrai (rappel : pathologie déterministe = pathologie dont la dose équivalente de radiation est telle que les facteurs de susceptibilité individuelle ne sont pas « valables ». b) Faux : elle est de 200 mSv (cf cours) c) Vrai : pour le traitement des tumeurs, focalisation en un point précis du tissu. d) Vrai : plus il y’a de cellules blastiques (en proportion) plus les effets seront importants car les cellules souches sont les plus sensibles aux rayonnements. e) Vrai : le fœtus est en plein développement il a donc des cellules plus sensibles aux rayonnements. f) Faux QCM n°45 : C-D-E a) Faux : la mort cellulaire se produit dès 100 Sv. b) Faux : Le type de rayonnement à bien une importance dans la sensibilité aux radiations. Par exemple, les rayonnements béta ont moins d’effet que les particules lourdes. c) Vrai 2010-2011 Tutorat UE 3 _ Physique – Correction séance de révisions 13 / 14 d) Vrai e) Vrai 2010-2011 Tutorat UE 3 _ Physique – Correction séance de révisions 14 / 14