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• Conventions et engagements précédemment autorisés par votre Assemblée et qui
se sont poursuivis au cours de l'exercice clos le 31 décembre 2014 (quatrième
résolution)
Le rapport spécial des Commissaires aux comptes de votre Société sur les conventions et
engagements visés aux articles L.225-38 et suivants du Code de commerce fait état des
conventions et engagements précédemment autorisés par votre Assemblée et qui se sont
poursuivis au cours de l'exercice clos le 31 décembre 2014. Ces conventions et engagements ont
été précédemment autorisés par votre Assemblée et ne requièrent donc pas de nouvelle
autorisation de votre part. Il vous est en fait demandé, au titre de la quatrième résolution, de
prendre acte qu'aucune nouvelle convention soumise aux dispositions des articles L.225-38 et
suivants n'a été autorisée ou conclue au titre de l'exercice clos le 31 décembre 2014.
Les conventions et engagements qui se sont poursuivis sont les suivants :
(a) l'octroi au Directeur Général, Jacques Aschenbroich, autorisé par le Conseil
d'administration lors de sa réunion du 9 avril 2009, du bénéfice d'une assurance-vie
intervenant en cas de décès, incapacité ou toute conséquence d'accident survenu à
l'occasion d'un déplacement professionnel ;
(b) l'octroi au Directeur Général, Jacques Aschenbroich, autorisé par le Conseil
d'administration lors de sa réunion du 20 octobre 2009, du bénéfice du nouveau régime de
retraite additif à prestations définies applicable aux Cadres Supérieurs du Groupe à
compter du 1
er
janvier 2010 et dont les principales caractéristiques sont les suivantes :
- plafonnement de par la nature du régime : complément de retraite de 1 % du salaire
de référence par année d’ancienneté, dans la limite d’un plafond maximal de 20 % ;
- plafonnement dans l’assiette de détermination des droits : le montant total des
retraites acquises au départ à la retraite, toutes activités professionnelles confondues
résultant de l’ensemble des régimes (régimes obligatoires en France et leur équivalent
obligatoire et collectif hors de France), y compris ceux issus d’autres régimes
supplémentaires Valeo, acquis au titre de la totalité de l’activité par le bénéficiaire tant
en France qu’à l’étranger, ne pourra en aucun cas dépasser 55 % du salaire de
référence ;
- le salaire de référence est le salaire de fin de carrière, qui est égal à la moyenne des
36 derniers mois de rémunération fixe, augmentée pour les périodes postérieures au
1
er
février 2014, de la rémunération variable, ces rémunérations étant perçues au titre
de l’activité à temps plein au sein du Groupe Valeo.
Conformément à la décision de principe prise par le Conseil d'administration du 9 avril 2009,
il a été décidé de reconnaître à la prise de fonction de Jacques Aschenbroich une
ancienneté de cinq ans tenant compte de l'âge de Jacques Aschenbroich et sachant qu'il ne
bénéficiait d'aucun autre régime de retraite complémentaire ;
(c) les conventions, autorisées par le Conseil d'administration du 24 février 2010, visant à faire
bénéficier Jacques Aschenbroich d'une indemnité de départ susceptible de lui être versée
dans l'hypothèse d'un départ contraint lié à un changement de contrôle ou de stratégie
(démission provoquée ou révocation du mandat social de Directeur Général, sauf faute
grave commise lors de l'exécution de ses fonctions) et conférant au Conseil
d'administration l'option de soumettre Jacques Aschenbroich à une clause de non-
concurrence. Le Conseil d’administration du 24 février 2011 a autorisé, à l’occasion du
renouvellement des mandats d’administrateur et de Directeur Général de Jacques
Aschenbroich, le renouvellement de la convention visant à faire bénéficier Jacques
Aschenbroich de l’indemnité de départ autorisée par le Conseil d'administration du 24
février 2010, en la pérennisant à 24 mois de rémunération (fixe et variable) à partir de
2013. Il est précisé que la convention portant sur la clause de non-concurrence à laquelle
le Conseil d'administration peut décider de soumettre Jacques Aschenbroich, et qui a été
autorisée par le Conseil d'administration du 24 février 2010 et l'Assemblée générale du 3
juin 2010, s'est poursuivie. Il est rappelé qu'en cas d'exercice de la clause de non