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Remerciements
Durant ces années de doctorat, marquées par d’importantes satisfactions intellectuelles mais
aussi par des moments de grand doute, j’ai eu la chance d’être très bien entourée. Que soient
remerciées ici toutes les personnes qui ont accompagné ce travail et sans lesquelles il n’aurait
pu aboutir.
Je remercie en premier lieu mon directeur de doctorat, Jérôme Vaillant, qui m’a accordé sa
confiance et a accompagné chaque étape de ce doctorat. Malgré un éloignement géographique
dû à mon activité professionnelle, il a toujours été présent ; son oreille attentive et ses
remarques tout au long de mon doctorat auront été précieuses.
Jamais je ne me serais lancée dans un doctorat sans les encouragements répétés de Claire
Demesmay et Hans Stark du Comité d’études des relations franco-allemandes (Cerfa) ; tous
deux m’ont intégrée à leur équipe de recherche faisant preuve d’une grande sollicitude lors de
mes premiers pas au sein du Cerfa. Mes années passées à leur côté m’ont permis d’affiner mes
connaissances et de confronter ma recherche à d’autres travaux lors des séminaires et des
conférences du Cerfa. Tous deux n’ont pas hésité à me confier de vrais travaux de recherche
et m’ont par là-même permis de prendre confiance en moi.
Sans eux, ce travail n’aurait pas existé : Claire Demesmay, en me mettant en contact avec
Jérôme Vaillant, a lancé ce doctorat ; Hans Stark, par nos discussions, ses encouragements et
son intercession auprès de Jean Klein m’a permis de le terminer sereinement.
Au cours de ces années, j’ai passé de longs séjours aux archives des deux partis politiques
étudiés : à Paris, Frédéric Cépède de l’Office universitaire de recherche socialiste (OURS) et
Thierry Mérel de la Fondation Jean Jaurès m’ont été d’une grande aide ; ils m’ont, non
seulement aidée pour constituer ma bibliographie et fait découvrir des ouvrages sur mon sujet,
mais ils m’ont aussi permis de participer à des cycles de séminaires, dont notamment ceux
dédiés à l’histoire du socialisme (« Les familles socialistes » et « Des projets au pouvoir »), et
ils m’ont tous deux donné l’occasion de publier des articles sur mon sujet. Je leur suis
extrêmement reconnaissante de m’avoir offert ces opportunités.
A Bonn, je remercie l’équipe de la Fondation Friedrich Ebert qui m’a très chaleureusement
accueillie au sein de sa bibliothèque de recherche et m’a très efficacement épaulée au sein des
archives immenses du SPD.
Que soit ici aussi remercié le Centre interdisciplinaire d’études et de recherches sur
l’Allemagne (CIERA) qui m’a fait bénéficier d’une bourse de mobilité pour financer un
séjour de recherche à Bonn.
Je voudrais remercier mon père, Jean-Pierre Barrière, sans lequel jamais cette thèse n’aurait
vu le jour : de la conception du sujet à la toute dernière relecture, il a partagé avec moi ses
lectures nombreuses et ses idées clairvoyantes sur mon sujet. Je le remercie pour toutes ses
remarques pertinentes et pour ses relectures.
J’aimerais remercier le professeur émérite Jean Klein, qui a accepté de relire l’intégralité de
mon texte et de m’apporter ses corrections ; je lui suis très reconnaissante des heures qu’il a
passées à lire mon texte mais aussi à me recevoir pour m’expliquer précisément ses
remarques.