Déterminants sociaux de la fertilité des sols // Post

Actes de la recherche en
sciences sociales
Déterminants sociaux de la fertilité des sols // Post-scriptum: fertilité
agronomique et fertilité économique
Monsieur Claude Reboul
Citer ce document / Cite this document :
Reboul Claude. Déterminants sociaux de la fertilité des sols // Post-scriptum: fertilité agronomique et fertilité économique. In:
Actes de la recherche en sciences sociales. Vol. 17-18, novembre 1977. La paysannerie, une classe objet. pp. 85-112;
doi : 10.3406/arss.1977.2578
http://www.persee.fr/doc/arss_0335-5322_1977_num_17_1_2578
Document généré le 12/05/2016
Zusammenfassung
Die Sozialen Bedingungen der Bodenfruchtbarkeit // Post-scriptum — Agronomische und ökonomische
Fruchtbarkeit .
Der Fortschritt der landwirtschaftlichen und genetischen Techniken hat zu einer wesentlichen
Verminderung der ökologischen Zwänge gefiihrt, die das Pflanzenwachstum belasten. Eine sich
ändernde regionale Spezialisierung begleitete diesen Fortschritt ; in dem Ausmasse, in dem sich die
Landwirtschaft von natürlichen Zwängen befreite, erzeugte die Entwicklung sozialer Zwänge neue
Spezialisierungsformen. So war der nach Produkten ungleiche technische Fortschritt von Phänomenen
der Differenzierung der Anbau- und Zuchtsysteme nach den Betriebsgrössen begleitet. Die weniger
mechanisierten Kleinbetriebe beschränken sich auf Viehzucht, während der Getreideanbau
hauptsächlich Sache von Grossbetrieben ist. Die regionale Spezialisierung, die sich so herausbildet,
spiegelt weniger ôkologische Fakten wider, als die Art, in der das Wirtschafts- und Sozialsystem zum
Aus-druck kommt.
Diese Trennung von Vieh - und Pflanzen - zucht hat die Bodenfruchtbarkeit verändert. Das Stroh fehlt
in den spezialisierten Viehzuchtgebieten, während in den grossen Anbaugebieten kaum noch Tiere
sind ; das Verscharren des Stallmistes hat aufgehört, ein allgemeines Mittel der Humu- serneuerung zu
sein. Während diese Praxis in den Viehzuchtgebieten mit weiten Weiden und Wiesen weiterhin zur
Aufrechterhaltung des Humusgrades beiträgt, erreicht man dièses Resultat in den grossen
Anbaugebieten durch Verscharrung von Stroh, Blättern, Rüben, Pflanzendünger, Kompost, usw.
In der Humuserneuerung, die sich bisher hauptsächlich ausserhalb von Austauschbeziehungen
abspielte, war die Selbstversorgung der Regelfall, das Getreidestroh spielte dabei die Hauptrole. Sind
die Projekte der Vermarktung des Strohs fur den landwirtschaftlichen Gebrauch (Viehfütterung) oder
den industriellen Gebrauch (als Energiequelle) keine Gefahr fur die Bodenfruchtbarkeit und das
Gleichgewicht der nationalen Humusbilanz ?
Da die Anhäufung von Humus ein sehr langsamer Prozess ist, steht sie notwendigerweise in
Widerspruch zu einer wirtschaftlichen und sozialen Entwicklung, die kurzfristige Lösungen anstrebt.
Heute vermehren sich in Frankreich die Zeichen dieses Widerspruchs in armen Böden, aber auch in
solchen, die als reich gelten. (Picard und Soissonnais Plateaus z.B.) Diese Zeichen sind gerade in
jenen Ländern sichtbar, die die Kolonialherrschaft kannten und wo organische Materie im Tagebau
abgebaut wurde.
Post-scriptum — Agronomische und ökonomische Fruchtbarkeit.
Der Pachtzins, den ein Bauer dem Besitzer einer landwirtschaftlichen Nutzfläche fur deren Bearbeitung
zahlen muss, trägt dazu bei, gewisse Kulturen und Vieharten fur die Zucht aufzuzwingen, um die
Zahlungen sicherzustellen. In dem Ausmasse, in dem die Bodenfruchtbarkeit gleichzeitig Ursache und
Folge der Kultur- und Zuchtsysterne ist, trägt die Bodenrente, von der der Pachtzins nur der sozial
sichtbarste Ausdrucht ist, tendenziell zur Bestimmung der Bodenfruchtbarkeit, von der sie wiederum
abhängt, bei.
Die Frage nach der Beziehung zwischen Bodenrente und Bodenfruchtbarkeit läuft auf die Frage nach
den Beziehungen zu den Kultur- und Zuchtsystemen, und so zu den Sozialsystem, das diese
hervobringt, hinaus. Die wirtschaftliche Analyse dieser Beziehungen kann von einer Theorie der
langfristigen Wirtschaftsentwicklung des Sozialsystems geleistet werden. Da es sich hier um das
kapitalistiche System handelt, muss man notwendigerweise überprüfen, ob die Schriften von Marx jene
theoretischen Instrumente beinhalten, die zur Lösung dieses Problems führen.
Résumé
Le progrès des techniques agraires et des techniques génétiques a entraîné un assouplissement
considérable des contraintes écologiques de production des plantes. Il s'est accompagné d'un
renforcement de la spécialisation régionale qui a changé de caractère : au fur et à mesure que
l'agriculture s'affranchissait des contraintes «naturelles», l'évolution des contraintes sociales lui
imposait de nouvelles formes de spécialisation. Ainsi, l'inégal progrès des techniques selon les
productions s'est accompagné d'un phénomène de différenciation des systèmes de culture et
d'élevage selon les dimensions des exploitations, les petites exploitations moins mécanisées se
cantonnant dans les productions animales, les productions végétales étant surtout le fait des grandes
exploitations. Le phénomène de spécialisation régionale qui se trouve ainsi induit, reflète moins des
Cette dissociation des productions animales et des productions végétales de rente a eu pour effet de
modifier les données de la fertilisation des sols. La paille tendant à manquer dans les régions d'élevage les
plus spécialisées, alors que les régions de grande culture n'ont plus guère d'animaux, l'enfouissement du
fumier a cessé d'être un moyen général de reproduction de l'humus. Si cette pratique reste importante dans
les régions d'élevage l'étendue des prairies permanentes et temporaires contribue de toute façon au
maintien du taux d'humus, ce dernier résultat est obtenu dans les régions de grande culture par
l'enfouissement de pailles, feuilles et collets de betteraves, engrais verts, compost, etc.
Dans la reproduction de l'humus qui s'effectuait jusqu'ici massivement en dehors de la sphère des
échanges marchands, l'auto-fourniture était la règle générale, et dans cette auto-fourniture, les pailles de
céréales jouaient un rôle fondamental. Les projets qui tendent à développer la commercialisation de la
paille à des fins agricoles (alimentation du bétail) ou industrielles (sources d'énergie notamment), ne
constituent-ils pas de ce fait une menace pour la fertilité des sols et l'équilibre du bilan humique national ?
Dans la mesure l'accumulation humique est par nature une opération à long terme, elle entre
nécessairement en contradiction avec une évolution du système économique et social qui tend à privilégier
le court terme. Aujourd'hui se multiplient en France des témoignages de cette contradiction -témoignages
particulièrement visibles dans des pays ayant connu la domination coloniale où la matière organique a été
exploitée de façon minière- dans les sols pauvres mais aussi dans ceux réputés les plus riches (plateau
Picard ou plateau du Soissonnais par exemple).
Post-scriptum : fertilité agronomique et fertilité économique
La redevance que doit verser un agriculteur au propriétaire d'un terrain en échange du droit d'exploitation,
contribue à imposer le système de culture et d'élevage qui permet d'en assurer le paiement. Dans la
mesure la fertilité des sols est à la fois cause et conséquence des systèmes de culture et d'élevage
pratiqués, la rente foncière, dont le fermage n'est jamais que la manifestation socialement la plus
apparente, tend ainsi à déterminer la fertilité du sol tout autant que celle-ci la détermine.
Poser la question des relations de la rente foncière avec la fertilité des sols, c'est par conséquent poser
celle de ses relations avec les systèmes de culture et d'élevage, et par là-même avec le système social
dans lequel ils s'inscrivent.
L'analyse économique de ces relations relève d'une théorie de l'évolution économique à long terme du
système social. S'agissant du système capitaliste, on est amené nécessairement à étudier si les écrits de
Marx contiennent les instruments théoriques nécessaires à la résolution de ce problème.
Abstract
The Social Determinants of Soil Fertility // Postscript : Agronomic Fertility and Economic Fertility
Progress in agricultural and genetic techniques has brought about a considerable relaxation in the
ecological constraints on the production of crops. This progress has been accompanied by an increase in
regional specialization which has gone so far that the very character of the latter has undergone a change.
As agricultural steadily became liberated from «natural» constraints, the development of social constraints
imposed new forms of specialization upon it. Thus, uneven technical progress in the various productive
sectors has been accompanied by a phenomenon of differentiation among the Systems of crop and cattle
raising governed by the size of the enterprises involved : the smaller, less mechanized farms have confined
themselves to raising animais, while the cultivation of fruits and vegetables has corne to be dominated by
the larger farms. The regional specialization which has thereby resulted is less the reflection of ecological
factors than the expression of the economic and social System in which it is embedded. This divorce of
animal breeding from the production of cash crops has led to changes in the way in which the soil is
fertilized. Since straw tends to be lacking in regions where cattles raising is most highly specialized, while
scarcely any animais remain in the regions of large-scale farming, the burying of manure has ceased to be
a major means of producing humus. This practice is still important in cattle-raising regions where the
extensive permanent and temporary grasslands contribute, in any case, to maintaining the humus level ; but
in regions of large-scale farming the latter resuit is obtained by burying straws, the leaves and collars and
beets, manure crops, compost, etc.
Until recently, humus was procured in large quantities without resort to the marketplace. Self-sufficiency
was the rule, and it was based in large part on the ready availability of cereal straws. Hence one is led to
ask whether projects which promote the commercialization of straw for agricultural ends (feeding of cattle)
or indus trial ends (notably as an energy source) do not constitute a threat to the fertility of the soil and the
equilibrium of the national humus balance.
To the degree that the accumulation of humus is by nature a long-term operation, it necessarily comes into
conflict with the rhythms of the economic and social System, which tend to favor the short term. Evidence of
this contradiction is becoming increasingly abundant in France today, and not just in areas of poor soil but
also in those which are considered to be the richest (the Picardy plateau and the Soissonnais plateau, for
example). The gravity of this kind of problem is particularly evident, moreover, in countries which have
experienced colonial domination and whose organic resources were exploited in a way similar to their
mineral resources.
Postscript : Agronomic Fertility and Economic Fertility
The rent that a farmer must pay to the proprietor of a piece of land in exchange for the right to exploit it
contributes to imposing that particular system of crop and cattle raising which ensures that he will be able to
make the payment. To the degree, therefore, that soil fertility is both a cause and an effect of the prevailing
systems of crop and cattle raising, the ground rent -of which tenant farming is only the most evident social
manifestation- tends to determine the fertility of the soil just as rhuch as it itself is determined by this factor.
Consequently, to study the relationships between ground rent and soil fertility, one must, at the same time,
study the relationships of the former with the systems of crop and cattle raising and, for this very reason,
with the overall social System in which these latter occur.
The economic analysis of these relationships must be conducted with the aid of a theory of the long-term
economie evolution of social Systems. In the case of capitalism, one is necessarily led to inquire whether
the writings of Marx contain the theoretical instruments needed to deal with this problem.
«De
progrès
en
progrès,
on
arrive
à
construire
la
terre
arable,
absolument
comme
on
construirait
un
haut
fourneau»
E.
Lecouteux,
1855.
Claude
reboul
i
Est-ce
par
hasard
que
les
historiens
qui
veulent
s'évader
de
l'histoire
trouvent
dans
1'
«histoire
immobile»
du
sol
et
du
climat,
histoire
biologique,
histoire
naturalisée,
la
substance
dont
les
mouvements
historiques
apparents,
à
commencer
par
les
luttes
de
classes,
ne
sont
que
les
accidents
?
La
terre
offre
sans
doute
son
meilleur
support
à
l'intention
de
naturalisation,
comme
en
témoignent
les
rêveries
de
l'imagination
agrarienne
:
stables,
solides,
lourds
et
passifs,
comme
le
sol
dont
ils
participent,
les^uls-terreux^attachés
au
terroir
sont
le
symbole
de
la
soumission
sociale,
qui
fait
le
dominé
de
rêve,
courbé
vers
la
terre
et
le
chapeau
à
la
main,
comme
dans
Y
Angélus.
Cette
nature,
en
effet,
n'a
pas
d'histoire.
On
ne
se
débarrasse
pas
complètement
du
mode
de
pensée
substantialiste
en
faisant
de
la
terre
(comme
Mauss
du
corps,
cette
autre
nature)
un
produit
social,
un
artefact
culturel,
hérité
des
générations
passées
:
c'est
pourquoi
il
est
bon
que
soit
démontré,
dans
un
cas
particulier
mais
exemplaire,
que
la
terre,
la
substance
par
excellence,
et
le
plus
naturel
en
apparence
des
phénomènes
naturels,
la
sécheresse,
sont
le
produit
d'une
configuration
historique
des
rapports
de
production.
Actes
de
la
recherche
Une
plante
s'alimente
en
eau,
au
moyen
de
ses
racines,
par
l'intermédiaire
du
sol,
de
sorte
que
le
«profil»
(1)
de
celui-ci
influe
sur
l'aptitude
de
la
plante
à
tirer
partie
d'une
quantité
d'eau
déterminée.
Si
les
précipitations
sont
anormalement
faibles,
la
sécheresse
sera
plus
ou
moins
forte
selon
la
capacité
de
stockage
et
de
restitution
en
eau
du
sol.
Les
agronomes
définissent
la
«réserve
en
eau
utile»
du
sol
comme
la
différence
entre
les
Cette
étude
a
été
réalisée
dans
le
cadre
de
la
Station
d'économie
et
sociologie
rurales
de
l'Institut
National
de
la
Recherche
Agronomique
à
Paris.
Elle
s'appuie,
outre
les
ouvrages
mentionnés
en
bibliographie
et
nos
recherches
précédentes
sur
les
déterminants
économiques
et
sociaux
des
systèmes
de
culture
et
d'élevage,
sur
une
série
d'entretiens
réalisés
avec
MM.
G.
Barbier,
ancien
chercheur
à
la
Station
d'agronomie
de
FI.N.R.A.
à
Versailles
;
S.
Henin
et
J.
Keilling,
professeurs
à
l'Institut
national
agronomique
Paris-Grignon
;
Y.
Lindemann
et
Mme
Chabouis,
enseignants
à
l'I.N.A.
Paris-Grignon
;
A.
Guckert,
enseignant
à
l'Ecole
nationale
supérieure
d'agronomie
et
des
industries
alimentaires
à
Nancy
;
P.
Dutil,
directeur
de
la
Station
agronomique
à
Châlons-sur-Marne
;
J.
Hébert,
directeur,
et
A.
Marin-Laflèche,
Station
agronomique
de
l'Aisne
;
G.
Lefèvre,
directeur
de
la
Station
d'agronomie
à
Amiens
;
M.
Libois,
Station
de
sciences
du
sol
à
Dijon
;
G.
Redlich,
directeur,
M.
Lépine
et
G.
Thévenet,
Syndicat
pour
l'amélioration
des
sols
et
des
cultures
;
T.
Havas
et
J.C.
Sourie,
chercheurs
au
Département
d'économie
et
sociologie
rurales
de
l'I.N.R.A.
quantités
maximum
qu'il
peut
absorber
(point
de
saturation)
et
minimum
qu'il
ne
peut
restituer
aux
plantes
(point
de
flétrissement).
La
réserve
en
eau
utile
dépend
de
la
profondeur
d'enracinement
et
du
pouvoir
de
rétention
du
sol,
lui-même
lié
à
la
composition
physique
(texture)
et
chimique
des
particules
et
à
leur
agencement
(structure).
Elle
est
ainsi
fonction
indissociablement
du
milieu
naturel,
roche-mère,
relief,
climat
et
des
pratiques
culturales,
travail
du
sol,
fertilisation
minérale
et
organique,
rotations,
etc.
dans
leur
ensemble,
autrement
dit
des
systèmes
de
culture
pratiqués.
Les
effets
sur
une
même
plante
d'un
même
déficit
de
pluie
sont
par
conséquent
nécessairement
différents
selon
les
systèmes
de
culture.
Plus
généralement,
la
fertilité
du
sol
-dont
la
mesure
la
plus
simple
et
la
plus
usuelle
est
donnée
par
la
quantité
de
matière
végétale
produite
par
unité
de
surface
(2)-
est
à
la
fois
déterminant
des
systèmes
de
culture
et
déterminée
par
eux.
Objet
de
l'activité
humaine,
le
sol
en
est
en
même
temps
le
produit.
Cette
conception
du
sol
qu'exprimait
si
fortement
Lecouteux,
il
y
a
plus
d'un
siècle,
a
souvent
été
plus
ou
moins
oubliée
depuis.
Nombre
d'agronomes
attribuent
à
la
nature
un
rôle
privilégié
dans
la
genèse
des
sols.
A
commencer
par
A.
Demolon,
l'un
des
fondateurs
de
la
pédologie
française
:
«Le
sol
est
la
formation
naturelle
de
surface,
à
structure
meuble,
d'épaisseur
variable,
résultant
de
la
transformation
de
la
roche-
mère
sous-jacente
sous
l'influence
de
divers
processus
physiques,
chimiques
et
biologiques»
(3).
De
cette
conception
naturaliste
du
sol,
ou
du
climat,
1
«II
faut
entendre
par
'profil
cultural'
l'ensemble
constitué
par
la
succession
des
couches
de
terre,
individualisées
par
l'intervention
des
instruments
de
culture,
les
racines
de
végétaux
et
les
facteurs
naturels
réagissant
à
ces
actions».
S.
Hénin,
R.
Gras,
G.
Monnier,Ze
profil
cultural,
2ème
éd.,
Paris,
Masson
et
Cie,
1969,
p.
9.
2—
Ou
rendement
de
la
culture.
Pour
une
évaluation
plus
précise
de
la
fertilité,
il
faudrait
aussi
mesurer
le
rendement
du
sol
dans
sa
fonction
d'approvisionnement
des
plantes
en
eau
et
sels
minéraux.
3—
A.
Demolon,
Principes
d'agronomie,
I,
Dynamique
du
sol,
Paris,
Dunod,
5ème
éd.,
1960,
p.
X.
Cette
définition
est
citée
notamment
par
A.
Gros,
Engrais.
Guide
pratique
de
la
fertilisation,
Paris,
La
Maison
rustique,
1960,
2ème
éd.,
p.
27.
R.
Chaminade
qui
le
cite
aussi
dans
le
chapitre
du
Nouveau
Larousse
Agricole,
qu'il
consacre
à
la
pédologie
(Larousse,
1952,
Annexe,
p.
35)
note
que
«la
pédologie
n'est
qu'une
partie
de
la
science
du
sol,
celle
qui
a
pour
objet
l'étude
de
la
formation
des
sols
aux
dépens
des
roches
géologiques».
1 / 32 100%

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