Ë TESTEZ VOS CONNAISSANCES
1. Quelle est la maladie à déclaration obligatoire (MADO)
la plus fréquemment rapportée tant au Saguenay–Lac-
Saint-Jean qu’au Québec?
A) Salmonellose
B) Chlamydiose
C) Rage
D) Bérylliose
2. Le nombre de cas de syphilis infectieuse au Québec en
2005 :
A) A augmenté de façon constante depuis 1994
B) S’est stabilisé depuis 1998
C) A augmenté de 80 fois depuis 1998
D) Est moindre qu’il y a 20 ans
3. Dans votre secteur, il existe un service intégré de dépis-
tage et de prévention contre les ITSS (SIDEP-ITSS) :
A) Vrai
B) Faux
4. Suite à l’application de la Loi 90, laquelle des affirma-
tions suivantes est vraie?
A) Selon la Loi 90, chaque infirmière peut réaliser des
activités de dépistage des ITSS
B) Les populations dites vulnérables ne sont pas priori-
sées pour les activités de dépistage des ITSS
C) Un SIDEP-ITSS regroupe obligatoirement une infir-
mière et un médecin
D) L’infirmière peut effectuer des prélèvements chez les
personnes symptomatiques d’une ITSS
* Réponses : au bas de la dernière page.
Ë LES ITSS SONT EN HAUSSE TANT AU SA-
GUENAY–LAC-SAINT-JEAN QUAU QUÉBEC
Importance des ITSS
Au Saguenay–Lac-Saint-Jean, 279 cas déclarés de
Chlamydioses génitales en 1998 et 390 cas en 2005
1 seul cas de syphilis entre 1990 et 2001 et 6 cas en 2005
Une ITSS, ce n’est pas banal!
Complications :
Transmission à d’autres personnes :
– partenaire sexuel
bébé (herpès, condylome (VPH), syphilis,
hépatites B, C et VIH…)
• Infections bactériennes :
– douleurs abdominales
– grossesse ectopique
– infertilité…
Infections virales :
– VPH : cancer du col, de l’anus
hépatites virales B et C : infection chronique au foie,
cancer du foie et décès
– VIH/SIDA : une infection à vie chronique
¯ SIDA ¯ décès
Voici le % pour certaines ITSS qui sont asympto-
matiques chez l’adulte :
TABLEAU 1
ITSS
Asymptomatiques (adulte en phase aiguë)
Chlamydia 70% 50%
Gonorrhée 50% 50%
Syphilis 40% 40%
VHB 50 à 80%
VHC 80 à 90%
VIH 50%
Chancre mou Inconnu
Lymphogranulomatose vénérienne Inconnu
Granulome inguinal Inconnu
À rien!!
Ë D’OÙ LIMPORTANCE DU DÉPISTAGE.
EN MÉDECINE : ON NE TROUVE QUE CE QUE
LON CHERCHE
Fréquence
ITSS = 60% de l ’ensemble des MADO
– Sous-estimation
Augmentation de l ’incidence des ITS
Ampleur du problème
Une ITSS ça
ressemble souvent à ça
BULLETIN SUR LES MALADIES À DÉCLARATION OBLIGATOIRE, VOL. 15 NO. 1, JUIN 2006
930, RUE JACQUES-CARTIER EST 412, RUE BRASSARD
CHICOUTIMI (QUÉBEC) G7H 7K9 ROBERVAL (QUÉBEC) G8H 3P7
TÉL. : (418) 545-4980 TÉL. : (418) 275-4980
TÉLÉC. : (418) 549-9710 TÉLÉC. : (418) 275-6670
Ë QUELQUES PRÉCISIONS SUR CERTAINES ITSS
Infections bactériennes
´ Chlamydiose génitale
La plus fréquente des ITS bactériennes
70% asymptomatique chez la femme
50% asymptomatique chez l’homme
Prélèvement après 2 à 4 semaines, soit génital ou urinaire par
PCR (peut être fait après 48 heures)
Complications : environ 20% des femmes avec atteinte inflamma-
toire pelvienne (AIP) dont 25% auront, soit infertilité, grossesse ec-
topique ou AIP chronique ( 5% à chaque épisode)
Traitement d’une infection non compliquée :
´ Azithromycine 1 g en 1 dose
Code K (pour le cas)
Code L (pour le ou les partenaire(s), ils ou elles)
TABLEAU 2
Adultes (à l’exception des femmes enceintes ou qui allaitent) :
infection urétrale, endocervicale, rectale, conjonctivale
Traitement de choix Autres traitements
Doxycycline, 100 mg, par voie
orale, b.i.d., pendant 7 jours [A-I]
OU
Azithromycine, 1 g par voie orale,
dose unique, si la fidélité au trai-
tement n’est pas garantie*
[A-I]
Ofloxacine, 300 mg, par voie orale,
b.i.d., pendant 7 jours [B-II]
OU
Érythromycine, 2 g/jour, par voie
orale, en doses fractionnées, pendant
7 jours [B-II]
OU
Érythromycine, 1 g/jour, par voie
orale, en doses fractionnées, pendant
14 jours [B-I]
Notes :
* Si des vomissements surviennent plus d’une heure après l’administration, ne pas adminis-
trer d’autres doses.
Les posologies de l’érythromycine s’appliquent à l’érythromycine base. On peut la rem-
placer par des doses similaires d’autres préparations (à l’exception de la formulation
d’estolate d’érythromycine qui est contre-indiquée en cas de grossesse). Si
l’érythromycine a été utilisée pour le traitement, il faut effectuer des tests de contrôle de
l’efficacité du traitement trois à quatre semaines après la fin de ce dernier.
Source : Lignes directrices canadiennes sur les ITS - Édition 2006
TABLEAU 3
Femmes enceintes et mères qui allaitent :
infection urétrale, endocervicale, rectale
Amoxicilline, 500 mg, par voie orale, t.i.d., pendant 7 jours [A-I]
OU
Érythromycine, 2 g/jour, par voie orale, en doses fractionnées, pendant
7 jours [B-I]
OU
Érythromycine, 1 g/jour, par voie orale, en doses fractionnées, pendant
14 jours [B-I]
OU
Azithromycine, 1g, par voie orale, dose unique, si la fidélité au traitement
n’est pas garantie [B-I]
Notes :
*Chez toutes les femmes enceintes, les tests de contrôle de l’efficacité du traitement de-
vraient être effectués de trois à quatre semaines après la fin de ce dernier.
Si l’érythromycine ou l’amoxicilline ont été utilisées pour le traitement des mères qui al-
laitent, il faut effectuer des tests de contrôle de l’efficacité du traitement trois à quatre se-
maines après la fin de ce dernier.
La posologie de l’érythromycine s’applique à l’érythromycine base. On peut la remplacer
par des doses similaires d’autres préparations (à l’exception de la formulation d’estolate
d’érythromycine qui est contre-indiquée en cas de grossesse). Les effets secondaires
gastro-intestinaux sont plus graves avec l’érythromycine qu’avec l’amoxicilline.
Si des vomissements surviennent plus d’une heure après l’administration, ne pas adminis-
trer d’autres doses.
Source : Lignes directrices canadiennes sur les ITS - Édition 2006.
´ Gonorrhée
Plus fréquente chez les hommes ayant des relations sexuelles
avec d’autres hommes (HARSAH), 4 cas sur 5
50% asymptomatique chez l’homme et chez la femme
´ Gonorrhée (suite) :
Diagnostic par culture, prélèvement après 2 à 7 jours
Résistance à la ciprofloxacine 7% en 2004, 15,9% en 2005 et
27% en 2006 ; pourtant, 1 cas sur 3 a reçu de la ciprofloxa-
cine en 2006!
Complications : environ 10 à 20% des femmes avec AIP, dont
25% auront soit infertilité, grossesse ectopique ou douleur pel-
vienne chronique ( 4% à chaque épisode)
Traitement d’une infection non compliquée :
Céfixime 400 mg 1 dose
Azithromycine 1 g en 1 dose (même si test négatif)
Code K et Code L
TABLEAU 4
Infection urétrale, endocervicale, rectale, pharyngée
(sauf chez les femmes enceintes ou chez celles qui allaitent)
Traitement de choix*
À utiliser UNIQUEMENT si des
quinolones ne sont pas recommandées
et en cas d’allergie aux céphalospori-
nes OU de réaction allergique immé-
diate/anaphylactique à la pénicilline
Céfixime à 400 mg, par voie
orale, en une seule dose [A-I]
OU
Ciprofloxacine, 500 mg, par
voie orale, dose unique&
moins qu’elle ne soit pas re-
commandée à cause d’une résis-
tance aux quinolones) [A-I]
Au Québec, non recommandé
OU
Ofloxacine, 400 mg, par voie
orale, dose unique& (à moins
qu’elle ne soit pas recomman-
dée à cause d’une résistance aux
quinolones [A-I]
Au Québec, non recommandé
Ceftriaxone à 125 mg, par voie i.m.,
en dose unique [A-I]
OU
Azithromycine à 2 g, par voie orale,
en dose unique [A-I]
OU
Spectinomycine à 2 g, par voie i.m.,
dose unique (offerte uniquement dans
le cadre du Programme d’accès spé-
cial aux médicaments [PAS])
[A-I]
* Tous les traitements doivent être suivis d’un traitement empirique contre les
infections à Chlamydia et les infections non gonococciques :
Consultez les chapitres intitulés Infections à Chlamydia et Urétrite.
Notes :
* Les autres quinolones à large spectre sont efficaces, mais ne sont pas recommandées
comme agents de première ligne à cause de leur coût.
Le céfixime et la ceftriaxone ne doivent pas être administrés aux personnes allergiques
aux céphalosporines ou ayant des antécédents de réactions immédiates ou anaphylactiques
aux pénicillines.
Le diluant de choix de la ceftriaxone est la lidocaïne à 1% sans épinéphrine
(0,9 ml/250 mg; 0,45 ml/125 mg) pour diminuer l’inconfort.
&Ces deux médicaments sont contre-indiqués chez les femmes enceintes ou chez celles qui
allaitent.
Les quinolones ne sont pas recommandées si le patient ou son/sa partenaire provient de
l’un des pays ou l’une des régions suivant(e)s, ou s’ils ont eu un lien épidémiologique
avec l’un de ces pays ou l’une de ces régions du monde :
Toute région où les taux de N. gonorrhoeae résistant aux quinolones dépassent les 3 à 5%.
Source : Lignes directrices canadiennes sur les ITS - Édition 2006.
TABLEAU 5
Infection urétrale, endocervicale, rectale ou pharyngée
chez les femmes enceintes ou chez celles qui allaitent
Traitement de choix Autres traitements
Céfixime à 400 mg, par
voie orale, en une seule
dose [A-I]
Ceftriaxone à 125 mg, par voie i.m., en
dose unique* [A-I]
OU
Spectinomycine à 2 g, par voie i.m., dose
unique (offerte uniquement dans le cadre
du Programme d’accès spécial aux médi-
caments [PAS]) [A-I]
* Tous les traitements doivent être suivis d’un traitement empirique
contre les infections à Chlamydia et les infections non gonococciques :
Consultez les chapitres intitulés Infections à Chlamydia et Urétrite.
Notes :
* Le céfixime et la ceftriaxone ne doivent pas être administrés aux personnes allergiques
aux céphalosporines ou ayant des antécédents de réactions immédiates ou
anaphylactiques aux pénicillines.
Le diluant de choix de la ceftriaxone est la lidocaïne à 1% sans épinéphrine
(0,9 ml/250 mg; 0,45 ml/125 mg) pour diminuer l’inconfort.
Pas efficace en cas d’infection pharyngée. Un test de contrôle de l’efficacité du traitement
est recommandé.
Source : Lignes directrices canadiennes sur les ITS - Édition 2006.
UN RETOUR INATTENDU
´ Syphilis
La grande imitatrice est de retour
Éclosion de syphilis à Montréal début septembre 2000
3 cas de syphilis infectieuse en 1998 au Québec
TABLEAU 6
Québec Saguenay–Lac-Saint-Jean
1998 : 3 0 (1 cas entre 1990 et 2001)
2004 : 239 5
2005 : 252 6
Si la tendance se maintient, ce qui semble être le cas en 2006, plus de
400 cas de syphilis infectieuse seront déclarés au Québec (à la fin de
l’année).
Au Québec :
92% des cas sont des hommes ayant des relations sexuelles avec
d’autres hommes (HARSAH)
40 à 50% ont le VIH
7% de ces HARSAH ont eu des partenaires masculins et féminins au
cours de la dernière année
63% des HARSAH ont eu des relations sexuelles dans un sauna
Aucun cas de syphilis congénitale; heureusement, le VDRL chez
toute femme enceinte est requis
Diagnostic :
Selon le stade
Prélèvement sanguin Microscopie sur
fond noir
VDRL Test de
confirmation
(TP-PA, FTA-ABS)
Traitement :
- selon le stade
- suivi conjoint avec microbiologiste-infectiologue
Ë MAUVAISE NOUVELLE, LA LGV SEST
INSTALLÉE AU QUÉBEC
´ Lymphogranulomatose vénérienne
´ Infection : Chlamydia trachomatis sérotypes L1 - L2 - L3
´ Contrairement aux sérotypes A-K « la LGV affecte les tissus
lymphoïdes
´ Endémique dans certaines parties de l’Afrique, de l’Asie du Sud-
Est, de l’Amérique centrale et du Sud ainsi que des Caraïbes
´ Rare dans les pays industrialisés
´ Janvier 2003 « flambée en Europe de l’Ouest (Pays-Bas, France,
Belgique, Suède, Allemagne, Royaumes-Unis et par la suite aux
États-Unis)
LGV au Canada et au Québec :
´ 66 cas déclarés au Canada depuis janvier 2004 et presque tous
depuis décembre 2004 (en date du 5 avril 2006)
´ 2/3 des cas confirmés
´ Tous des hommes
´ 1 cas déclaré au Québec en 2004, 24 en 2005 et 13 depuis janvier
2006 (en date du 25 mai 2006)
´ Tous des HARSAH
´ 80% sont porteurs du VIH
´ 80% avec rectite parfois hémorragique (diagnostic différentiel à
faire; penser aux comportements à risque)
Tout comme la syphilis, il existe 3 stades :
LGV primaire :
´ Incubation 3-30 jours
´ Petite papule non douleureuse « peut s’ulcérer
´ Guérit spontanément « peut passer inaperçue (comme le chancre
dans la syphilis)
LGV secondaire :
´ 2 à 6 semaines après la lésion primaire
´ Symptômes systémiques (légère fièvre, myalgies, arthralgies,
pneumopathie, hépatite, …)
´ Ganglions lymphatiques : inguinaux, anaux, rectaux
et cervicaux « douleureux « bubons
´ LGV ano-rectale « rectite hémorragique aiguë
´ 1 cas sur 3 présente abcès ou fistule
LGV tertiaire :
´ Non traitée, devient chronique
´ Plus fréquente chez la femme que chez l’homme
´ Lésions chroniques inflammatoires entraînant des cicatrices :
- obstruction lymphatique causant un éléphantiasis génital
- sténoses et fistules anales
´ Possibilités de destruction des parties génitales
Laboratoire :
´ Épreuves de détection :
- culture cellulaire
- test d’amplification des acides nucléiques
- sérologie (fixation du complément,
microimmunofluorescence)
´ Épreuves de confirmation :
- appeler le microbiologiste-infectiologue
TABLEAU 7
Lymphogranulomatose vénérienne
Traitement de choix Alternative
Doxycycline (1) 100 mg per os
b.i.d. pendant 21 jours
Érythromycine(2) 500 mg per os
q.i.d. pendant 21 jours
Source : K.K. HOLMES et autres, Ibid.
(1) Contre-indiqué pour les femmes enceintes et les enfants prépubères.
(2) L’estolate d’érythromycine est contre-indiqué pour les femmes enceintes.
Les adénopathies peuvent nécessiter l’aspiration ou l’incision
et le drainage.
Traitement des contacts sexuels : ceux ayant eu des relations
durant les 60 jours précédant le début des symptômes du
patient.
Azithromycine : 1 g en une dose
ou
Doxycycline : 100 mg b.i.d. pendant 7 jours
Attention : une enquête épidémiologique est systémati-
quement entreprise par la Direction de santé publique
pour tout cas de gonorrhée, syphilis et lymphogranuloma-
tose vénérienne.
Ë DANS VOTRE SECTEUR, IL EXISTE UN
SERVICE INTÉGRÉ DE DÉPISTAGE ET DE
PRÉVENTION CONTRE LES ITSS (SIDEP-
ITSS)
Pour en savoir plus sur les services, vous trouverez en
annexe, la liste de ce que peut offrir un SIDEP-ITSS
VOICI LES 6 SECTEURS DE SIDEP-ITSS ET LEURS
INFIRMIÈRES RESPONSABLES :
CSSS Cléophas-Claveau (CLSC)
Lucie Savard
800, rue Aimé Gravel
Ville de la Baie (Québec) G7B 2M4
Tél. : (418) 544-7316
Téléc. : (418) 544-0292
CSSS de Chicoutimi (CLSC, École Laure-Conan)
Lucie Bellefeuille
École Laure-Conan : (hors les murs)
847, avenue Georges-Vanier
Chicoutimi (Québec) G7H 4M1
Tél. : (418) 698-5170 #2319
Téléav. : (418) 592-2136
Téléc. : (418) 698-5235
Manon Brisebois
CLSC
411, rue Hôtel-Dieu
Chicoutimi (Québec) G7H 7Z5
Tél. : (418) 543-2221 #2106
CSSS de Jonquière (CLSC)
Claudine Brassard
3667, boul. Harvey
Jonquière (Québec) G7X 3A9
Tél. : (418) 695-2572 #320
Téléc. : (418) 695-8282
CSSS de Lac-Saint-Jean Est (CLSC)
Christine Tremblay
100, avenue St-Joseph
Alma (Québec) G8B 7A6
Tél. : (418) 668-4563 #219
Téléc. : (418) 668-8282
CSSS Domaine-du-Roy (CLSC Roberval,
CLSC Saint-Félicien)
Lise Desbiens
Roberval
400, avenue Bergeron, Aile A
Roberval (Québec) G8H 1K8
Tél. : (418) 275-4121 #112
Téléc. : (418) 275-0423
Diane Desrosiers
Saint-Félicien
1228, boul.Sacré-Cœur, C.P. 10
Saint-Félicien (Québec) G8K 2P8
Tél. : (418) 679-5270 #211
Téléc. : (418) 679-1748
CSSS Maria-Chapdelaine (CLSC Dolbeau-Mistassini,
CLSC Normandin)
Louise Hébert
Dolbeau-Mistassini
2000, boul. Sacré-Cœur
Dolbeau-Mistassini (Québec) G8L 2R5
Tél. : (418) 276-1234
Téléc. : (418) 276-8589
Normandin
1205, rue Saint-Cyrille
Normandin (Québec) G8M 4K1
Tél. : (418) 274-1234
Téléc. : (418) 274-6970
QUELLES ITSS DOIT-ON RECHERCHER?
Vous trouverez en annexe, à titre indicatif, un ta-
bleau résumant les ITSS à rechercher selon les fac-
teurs de risque décelés.
Cet INFO-MADO est disponible sur le site de l’Agence
de la santé et des services sociaux du Saguenay–Lac-
Saint-Jean : www.santesaglac.gouv.qc.ca
Et la prévention ça existe toujours…
Réponses au pré-test :
Question 1 : B
Question 2 : C et D
Question 3 : Vrai
Question 4 : C
COMITÉ
DE RÉDACTION
Suzanne Dufour
Médecin-conseil
Anick Bergeron
Infirmière-conseil
(275-4980)
Montage
Françoise Gilbert
1 / 4 100%
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