L’alimentation d’une personne qui souffre de troubles cognitifs
est souvent source de conflit.
Le refus de se nourrir est parfois un signal mais peut être aussi
une manifestation d’autonomie.
Le patient qui souffre de troubles cognitifs risque aussi de perdre
le lien logique de manger ou de boire. Il peut subir des épisodes
de boulimie ou de refus de s’alimenter et perdre des repères
sociaux comme la propreté ou manger avec des couverts.
S’il refuse toujours, il faut réessayer quelque temps plus tard
Si une personne âgée refuse de dîner, il reste préférable d’insister
sur l’apport protéique pour tenter de combattre la dénutrition.
N’insistez pas sur le potage car il est faible en calories sauf si du
potage enrichi a été demandé. Attention, le potage enrichi est
riche en lactose et celui-ci est à éviter en cas de diarrhées.
Le dessert apporte plus de sucres que de protéines. Il ne faut
donc pas insister si la personne n’a plus faim.
Ne commencez pas par le dessert car le patient n’aura dès lors
plus faim pour le reste.
Quant au complément nutritionnel, il complète le repas. Évitez
de l’ouvrir à midi.
En guise de goûter, il sera consommé plus facilement car le pa-
tient aura plus faim et il l’acceptera plus facilement à ce mo-
ment là.
À nous de nous adapter pour l’aider au mieux :
Prendre le temps;
Être présent pour le stimuler;
Faire boire de l’eau à la personne pour diminuer l’agita-
tion;
Créer le calme autour des repas;
Inciter à manger : aliments faciles à consommer, com-
potes, jus, compléments alimentaires à sa disposition…
Commencez par insister pour que votre parent mange:
1. Sa viande
2. Sa purée (enrichie en protéines)
3. Ses légumes car ils apportent des vitamines et des fibres
mais aussi une variation gustative. À la demande du per-
sonnel soignant, les légumes peuvent aussi être enrichis
au départ de la cuisine
L’alimentation d’une personne qui souffre de troubles cognitifs
est souvent source de conflit.
Le refus de se nourrir est parfois un signal mais peut être aussi
une manifestation d’autonomie.
Le patient qui souffre de troubles cognitifs risque aussi de perdre
le lien logique de manger ou de boire. Il peut subir des épisodes
de boulimie ou de refus de s’alimenter et perdre des repères
sociaux comme la propreté ou manger avec des couverts.
S’il refuse toujours, il faut réessayer quelque temps plus tard
Si une personne âgée refuse de dîner, il reste préférable d’insister
sur l’apport protéique pour tenter de combattre la dénutrition.
N’insistez pas sur le potage car il est faible en calories sauf si du
potage enrichi a été demandé. Attention, le potage enrichi est
riche en lactose et celui-ci est à éviter en cas de diarrhées.
Le dessert apporte plus de sucres que de protéines. Il ne faut
donc pas insister si la personne n’a plus faim.
Ne commencez pas par le dessert car le patient n’aura dès lors
plus faim pour le reste.
Quant au complément nutritionnel, il complète le repas. Évitez
de l’ouvrir à midi.
En guise de goûter, il sera consommé plus facilement car le pa-
tient aura plus faim et il l’acceptera plus facilement à ce mo-
ment là.
À nous de nous adapter pour l’aider au mieux :
Prendre le temps;
Être présent pour le stimuler;
Faire boire de l’eau à la personne pour diminuer l’agita-
tion;
Créer le calme autour des repas;
Inciter à manger : aliments faciles à consommer, com-
potes, jus, compléments alimentaires à sa disposition…
Commencez par insister pour que votre parent mange:
1. Sa viande
2. Sa purée (enrichie en protéines)
3. Ses légumes car ils apportent des vitamines et des fibres
mais aussi une variation gustative. À la demande du per-
sonnel soignant, les légumes peuvent aussi être enrichis
au départ de la cuisine
L’alimentation d’une personne qui souffre de troubles cognitifs
est souvent source de conflit.
Le refus de se nourrir est parfois un signal mais peut être aussi
une manifestation d’autonomie.
Le patient qui souffre de troubles cognitifs risque aussi de perdre
le lien logique de manger ou de boire. Il peut subir des épisodes
de boulimie ou de refus de s’alimenter et perdre des repères
sociaux comme la propreté ou manger avec des couverts.
S’il refuse toujours, il faut réessayer quelque temps plus tard
Si une personne âgée refuse de dîner, il reste préférable d’insister
sur l’apport protéique pour tenter de combattre la dénutrition.
N’insistez pas sur le potage car il est faible en calories sauf si du
potage enrichi a été demandé. Attention, le potage enrichi est
riche en lactose et celui-ci est à éviter en cas de diarrhées.
Le dessert apporte plus de sucres que de protéines. Il ne faut
donc pas insister si la personne n’a plus faim.
Ne commencez pas par le dessert car le patient n’aura dès lors
plus faim pour le reste.
Quant au complément nutritionnel, il complète le repas. Évitez
de l’ouvrir à midi.
En guise de goûter, il sera consommé plus facilement car le pa-
tient aura plus faim et il l’acceptera plus facilement à ce mo-
ment là.
À nous de nous adapter pour l’aider au mieux :
Prendre le temps;
Être présent pour le stimuler;
Faire boire de l’eau à la personne pour diminuer l’agita-
tion;
Créer le calme autour des repas;
Inciter à manger : aliments faciles à consommer, com-
potes, jus, compléments alimentaires à sa disposition…
Commencez par insister pour que votre parent mange:
1. Sa viande
2. Sa purée (enrichie en protéines)
3. Ses légumes car ils apportent des vitamines et des fibres
mais aussi une variation gustative. À la demande du per-
sonnel soignant, les légumes peuvent aussi être enrichis
au départ de la cuisine
L’alimentation d’une personne qui souffre de troubles cognitifs
est souvent source de conflit.
Le refus de se nourrir est parfois un signal mais peut être aussi
une manifestation d’autonomie.
Le patient qui souffre de troubles cognitifs risque aussi de perdre
le lien logique de manger ou de boire. Il peut subir des épisodes
de boulimie ou de refus de s’alimenter et perdre des repères
sociaux comme la propreté ou manger avec des couverts.
S’il refuse toujours, il faut réessayer quelque temps plus tard
Si une personne âgée refuse de dîner, il reste préférable d’insister
sur l’apport protéique pour tenter de combattre la dénutrition.
N’insistez pas sur le potage car il est faible en calories sauf si du
potage enrichi a été demandé. Attention, le potage enrichi est
riche en lactose et celui-ci est à éviter en cas de diarrhées.
Le dessert apporte plus de sucres que de protéines. Il ne faut
donc pas insister si la personne n’a plus faim.
Ne commencez pas par le dessert car le patient n’aura dès lors
plus faim pour le reste.
Quant au complément nutritionnel, il complète le repas. Évitez
de l’ouvrir à midi.
En guise de goûter, il sera consommé plus facilement car le pa-
tient aura plus faim et il l’acceptera plus facilement à ce mo-
ment là.
À nous de nous adapter pour l’aider au mieux :
Prendre le temps;
Être présent pour le stimuler;
Faire boire de l’eau à la personne pour diminuer l’agita-
tion;
Créer le calme autour des repas;
Inciter à manger : aliments faciles à consommer, com-
potes, jus, compléments alimentaires à sa disposition…
Commencez par insister pour que votre parent mange:
1. Sa viande
2. Sa purée (enrichie en protéines)
3. Ses légumes car ils apportent des vitamines et des fibres
mais aussi une variation gustative. À la demande du per-
sonnel soignant, les légumes peuvent aussi être enrichis
au départ de la cuisine