La chirurgie orthopédique est un pole
d’excellence de La Clinique du Parc.
Le groupe d’orthopédistes présents
(au nombre de 23), leur expertise et
leur spécialisation (par articulations)
permettent à l’établissement lyonnais
de proposer une prise en charge
hyperspécialisée des traumatismes
orthopédiques et, désormais, un service
novateur : une consultation de trauma-
tologie sans rendez-vous et 7 jours/7.
Pour toujours mieux répondre aux
attentes des patients, l’important volume
d’activité de la Clinique du Parc en la
matière (6 700 interventions) a permis la
mise en place de plateaux techniques à
la hauteur du savoir-faire de chirurgiens
qui n’hésitent pas à œuvrer en commun,
confronter leurs expériences et addition-
ner leurs compétences chaque fois que
le besoin s’en fait sentir.
Toujours désireux d’étoffer leur offre et,
surtout, de répondre aux attentes clai-
rement exprimées de leurs patients, les
orthopédistes de la Clinique du Parc font
tout leur possible pour satisfaire leurs
attentes. Sachant que celles-ci sont tou-
jours de plus en plus pressantes. Dans
ce but, ils viennent de créer un process
d’une grande originalité : une consulta-
tion de traumatologie sans rendez-vous,
ouverte 7 jours/7. À une époque où
beaucoup de patients, et de médecins
généralistes, ne supportent plus devoir
attendre et remettre à plus tard les soins,
souvent urgents, qu’ils doivent rece-
voir, cette initiative constitue en elle-
même une réponse pragmatique à leurs
espoirs. Il est essentiel de savoir que
dans le cadre de cette consultation
spécialisée, tout patient est pris en
charge par un chirurgien dans un délai
ne dépassant en aucun cas une heure.
Mieux, comme il n’est pas question de
le faire patienter dans des conditions,
comme pratiqué en d’autres lieux,
très inconfortables, il est, si son état le
nécessite, dûment hospitalisé.
Comment fonctionne-t-elle ? Cette
consultation traumatologique sans ren-
dez-vous 7 jours/7 (de 9h à 19h, accès
« Hospitalisation » au 155, boulevard
Stalingrad) prendra en charge toute la
traumatologie des membres inférieurs
et supérieurs et du rachis. À noter
qu’elle exclut les urgences immédiates
telles que les plaies, la traumatologie
rachidienne ou les fractures ouvertes.
Dans un délai inférieur à une heure,
tout patient sera reçu par un praticien
senior et pourra, si son cas le nécessite,
subir une intervention chirurgicale en
urgence grâce au système d’astreintes
déjà opérationnel aujourd’hui. À noter,
et c’est essentiel, que cette consultation
se fait dans le cadre d’un tarif unique de
consultation quels que soient le prati-
cien concerné et le jour et l’heure de la
consultation.
Compagnie
Stéphanoise
de Santé
LA LETTRE
Septembre 2013 / NUMÉRO 17
ÉDITO
Les sages appuient
où ça fait mal !
La Cour des Comptes, chargée de
contrôler la régularité des comptes
publics, vient de publier un rapport
dans lequel elle insiste sur la nécessité
absolue d’enrayer la spirale de la dette
sociale (cf. page 2). Son 1er Président
Didier Migaud, ancien membre du PS,
se félicite de l‘apport du secteur privé
dans la maîtrise des dépenses et insiste
sur le retard pris en la matière par les
établissements publics de santé et les
établissements de santé privés d’intérêt
collectif (ESPIC) (Retard chiffré à plus de
15 milliards d’euros. Source : FHP).
Ce sur quoi, le docteur Gérard Bapt,
cardiologue et député socialiste de
Haute-Garonne, audité par Les Sages,
en a remis une couche, à propos des
établissements publics, en relevant
l’existence de « gisements de ressources
inexploités » et de « crédits qui se
perdent dans la mauvaise organisation ».
Mais ce n’est pas tout : Si elle revient
sur une ordonnance déjà maintes fois
délivrées comme la suppression de lits
au profit de la chirurgie ambulatoire,
une amplification des efforts de gestion
et de réorganisation et suggère un rôle
accru des ARS, la Cour des Comptes
attire l’attention sur le caractère
trompeur du bilan 2012 des hôpitaux
publics laissant apparaître une amorce
d’équilibre financier. Ce résultat hétéro-
gène et circonstanciel, selon elle,
puisque généré par une hausse des
cessions d’actifs et des aides d’urgence,
cache (mal !) un endettement et des
charges en forte progression. Mais ce
n’est pas tout. La docte assemblée inflige
un carton jaune aux établissements de
type ESPIC. Il insiste sur la fragilisation
de leur situation financière amorcée en
2011 et leur suggère de s’engager dans
le même processus que celui préconisé
pour les hôpitaux publics.
Quelles sont les chances pour que
ces préconisations édictées soient
suivies d’effets ? 13% ! Depuis 3 ans,
la Cour des Comptes a édicté 239 recom-
mandations : 28 ont été intégralement
suivies d’effets. Les autres ? Elles l’ont été
un peu, moyennement ou pas du tout.
Dr Bruno Limonne
Président du Conseil Médical o
FOCUS
o
Une consulation
de traumatologie
sans rendez-vous et 7 jours/7
9h -19h
7 jrs / 7
155, boulevard de Stalingrad - 69006 Lyon
www.cliniqueduparclyon.com
Radiologie et avis de spécialiste immédiat
04 78 94 57 86
Affiche de la nouvelle
consultation de traumatologie