EN RÉSUMÉ
I/O est un quotidien gratuit, papier et numérique, d’informations et de critiques sur le spectacle
vivant. C’est un journal collectif, indépendant et éphémère, qui dure le temps des festivals.
Sa première édition, en juillet 2015, est celle du festival d’Avignon.
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D’où vient le nom I/O ?
I/O vient de In/O, les deux volets du festival d’Avignon, que nous souhaitons aborder avec le même
regard, sans distinction ni à priori.
En informatique, I/O c’est aussi l’input et l’output : I/O est un outil de circulation de la richesse théâ-
trale, depuis ceux qui la créent vers ceux qui la reçoivent.
Enfin I/O est un clin d’oeil à la vache mythologique et à toutes les métamorphoses.
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Pourquoi créer I/O ?
À l’heure où les festivals ferment les uns après les autres, nous prenons le contrepied de la morosité
générale. Nous essayons de montrer que ce n’est pas une fatalité, qu’il faut se battre et aller chercher
le public. Qu’il faut lui donner accès au spectacle vivant en l’informant, et en lui apportant
une critique libre et fondée sur diérents points de vue.
I/O est un journal gratuit : son objectif est d’être diusé le plus largement possible, surtout lorsque
les lecteurs se détournent des journaux payants au profit d’Internet.
I/O est un journal éphémère, qui suit de façon organique et quasi symbiotique la vie des festivals.
I/O veut avant tout défendre le spectacle vivant et la création culturelle dans son ensemble.
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Qui sont les rédacteurs d’I/O ?
I/O est un collectif indépendant.
Il est constitué de bénévoles, essentiellement de blogueurs amoureux du spectacle vivant, qui se sont
rencontrés sur les réseaux sociaux et ont mis en commun leur passion.
À ce collectif se joignent des journalistes professionnels (Philippe Chevilley des Echos, Laurence Liban
de L’Express, Martine Silber du Monde, Jean-Pierre Thibaudat de Mediapart...).
Tous les collaborateurs sont invités dès maintenant à acher sur leur page Facebook, leur blog
ou leur profil Twitter le bandeau ociel « Je suis collaborateur I/O » :
I/O LA GAZETTE ÉPHÉMÈRE DES FESTIVALS DOSSIER DE PRESSE - AVRIL 2015