SALUTATIONS ¡ Fanny et Dali font connaissance Dàlì : FQJQ¯ : Dàlì : FQJQ¯ : NS KQR :U MLào Dàlì. NS VKì nQ JXy UpQ " NS hQR :U MLào FQJQ¯ WU VKì FQJXy UpQ NS GH PtQJ]ì hQ KQRW¯QJ QS GH ]KÀQJZpQ \ bú cuò. Xièxie. 1 dQ ]KRKX saluer 2 3 nS tu, toi 4 5 wU je, moi 7 Dàlì Dali (n.p.) 9 nQ quel ? 10 11 rén personne 13 FQJXy 15 17 19 \ également bú cuò pas mal * 21 nS KQR ! bonjour ! bien 6 hQR jiào 8 shì être ! = guó (s’) appeler JXyML pays 12 )QJQ¯ Fanny (n.p.) France 14 de part. structurale míngzì nom, prénom 16 KQ adv. d’affirmation hQRW¯QJ joli (à entendre) 18 ]KÀQJZpQ chinois (langue) 20 bù ne…pas 22 xièxie merci est une expression figée qui ne connaît pas de forme affirmative. . 8. Le verbe shì, « être » doit toujours être suivi par un nom. FQguórén, « Français » ou ZhÀngguórén, « Chinois » sont effectivement des ‘noms’ en chinois. nQ, « quel ? » est un adjectif interrogatif. Il fait partie ici de l’expression figée destinée à interroger sur la nationalité. ? nS VKì nQ JXyUpQ ? signifie : « de quel pays es-tu ? ». guó est mis pour JXyML « pays ». de est une particule structurale qui relie un mot principal ou "déterminé" à un mot secondaire ou ‘déterminant’. Il peut indiquer en particulier une relation de possession. Ex. : nS GH PtQJ]ì signifie « ton nom / le nom de toi ». hQ est ici un adverbe d’affirmation qui ne se traduit pas ; il précède en effet un mot adjectival ou qualificatif ayant une fonction verbale qu’on appelle ‘verbe qualificatif (Vq)’. nS GH PtQJ]ì hQ KQRW¯QJ VLJQLILH : « ton nom est joli ». KQ est remplacé par bù à la forme négative. Ex. : W GH Gàxué bú dà, « son université n’est pas grande ». (Attention ! devant un 4e ton, celui de passe au second !) y, « également » est un adverbe ; il précède toujours le verbe, à moins que celui-ci ne soit précédé de l’adverbe de négation bù. Répondez à la question suivante et transcrivez votre réponse : Exercice 01 Exercice 02 … … ? Remplissez les pointillés par les mots qui conviennent : … . 9. … … FQJQ¯ zài %LM¯QJ Dàxué xuéxí zhÀQJZpQ Dàlì shì t GH =KÀQJJXy SpQJ\RX W KXì shuÀ fQ\W \ VKì dàxuéshQJ )QJQ¯ huì shuÀ \ì diQQU KànyW W xSKXDQ Kp =KÀQJJXy UpQ liáotiQ Université de Pékin ¯ 1 zài à, en (prép.) 2 3 dàxué université 4 dà grand 5 xuéxí étudier 6 péngyou ami 7 huì savoir 8 9 fQW français 10 yì diQr un peu 12 13 elle 14 15 hé avec 16 11 + c.o À c.o. dàxuésh hànyu xSn liáoti Pékin parler + c.o. étudiant(e) chinois (langue) aimer bavarder zài joue ici le rôle d’une préposition introduisant un nom de lieu. zài BLM¯QJ 'àxué, « à l’ Université de L’ ensemble Pékin » suivi d’un verbe d’action comme xuéxí, « étudier » occupe la fonction de "circonstanciel de lieu". zài peut avoir aussi une fonction verbale et signifier « être dans, à, en / se trouver dans, à, en », ex. : )QJQ¯ ]ài BLM¯QJ 'àxué signifie tout . 10 . simplement : « Fanny se trouve / est / à l’Université de Pékin ». huì signifie « savoir » et suppose des connaissances acquises à la suite d’un apprentissage. Il joue le rôle d'un verbe auxiliaire lorsqu’il est suivi par un autre verbe, ce qui est généralement le cas, ex. : W KXì shuÀ IQ\X : « il sait parler français ». Il peut être aussi suivi directement par un nom, à condition que celui-ci représente une , discipline. Il se traduit sans ce cas par « connaître », ex. : W KXì hànyW, « il connaît le chinois » VKXÀ « parler » est normalement suivi par un complément d’objet. Celui-ci est I\Î « français » dans le texte (cf. également p. 39). L’expression yì diQQr employée après un verbe d’action comme VKXÀ « parler » indique que l’action est partielle ou limitée. Elle se traduit par « un peu ». xSKXDQ peut être soit suivi soit par un verbe, ex. : wU [SKXDQ VKXÀ KànyW soit directement par un nom , ex. : wU [SKXDQ KànyW « j’aime le chinois ». hé, employé ici comme préposition signifie « avec ». Le caractère ~ yW ~ « langue » s’emploie uniquement en combinaison avec un autre caractère. Il n’a pas d’emploi indépendant. Il concerne l’aspect usuel de la langue (alors que ~ wén ~ dans se réfère davantage à son aspect littéraire). Exercice 03 Traduisez : 1) Je n’apprends pas le chinois en Chine, je l’apprends en France. 2) Fanny aime parler chinois avec son ami chinois. 3) Dali aime la France ; il sait un peu parler français. . 11 . LE CERFVOLANT ¡ ¡ Place de la Porte Céleste Artisanat )QJQ¯ : Dàlì, nS [SKXDQ fàng fQJ]KQJ PD " Dàlì : DQJUán xSKXDQ ZU KiL KXì zuò fQJ]KHQJ QH )QJQ¯ : ZKQ Eàng ! NS Tù TiQ Q PpQ JXQQJFKQQJ Iàng fQJ]KHQJ PD " Dàlì : Qù. 7LQ Q mén guQQJFKQQJ KQ Gà, nàr yUX KQ GXÀ Gà fQJ]KHQJ fàng 1 3 IQJ 5 GQJU 7 zuò ! 9 án ]KQ E àng ! lâcher, poser 2 IQJ]KHQJ cerf-volant vent 4 ma particule interr. bien sûr 6 hái encore faire, fabriquer 8 ne particule modale super ! 10 ]KQ vraiment 7LQ Q 11 qù aller I2 13 mén porte 14 15 nàr là-bas 16 y UX avoir 17 KQ GXÀ beaucoup de 18 GXÀ nombreux Paix céleste (n.p.) guQQJFKQQJ place ne est une particule modale finale, qui employée en corrélation avec . 12 . hái, « encore » souligne l’évidence d’un fait. ma est une particule interrogative finale qui sert à interroger sur toute une phrase et non pas sur un seul mot, ex. : ? W Eú shì ZhÀQJJXy UpQ ma, « n’est-il pas chinois ? ». nàr, « là-bas » qui s’oppose à zhèr, « ici » s’emploie obligatoirement en début de phrase lorsque le verbe est yUX « avoir ». nàr yUX KQ GXÀ dà fQJ]KQJ signifie : « là-bas, il y a beaucoup de grands cerfs-volants ». yUX, traduit ici par « il y a » est plus précisément le verbe « avoir » (cf. Niveau 1 p. 135). À la forme négative, est précédé de méi. dà, « grand » est un verbe qualificatif. Mais directement suivi par un nom, il devient déterminant et correspond à l’adjectif épithète du français : dà fQJ]KQJ signifie « grand cerf-volant » alors que IQJ]KQJ KQ G à signifie « le cerf-volant est grand ». Cerfs-volants au-dessus de la Place Tian an men Traduisez les phrases suivantes : Exercice 04 1) 2) . 13 . À U ìshS Wài de f òng lái chuán sòng xi À ángcháng yòng zhS ìjS ò f ò de húdié f ¯ú f À áng piàoliang. lìshS histoire yòng+lái servir à 6 [LR[L 8 yòng nouvelle au moyen de papier 10 hé zhúzi bambou 12 zìjS et soi-même 13 húdié papillon 14 M¯Q\ú poisson rouge* 15 M¯Q or, métal 16 GÀX en totalité 17 ILFKáng extrêmement 18 1 cháng long 3 gWGài 5 chuánsòng temps anciens transmettre 7 chángcháng souvent 9 zhS 11 2 4 + piàoliang joli, beau * Les Chinois disent en réalité "poisson d’or", cf. "golden fish" en anglais. Nous savons que le déterminé se met après le déterminant, ex. : À , « un homme de Chine = Chinois) ou dà , « un grand cerf-volant ». L’emploi de la particule de reliant le déterminant au déterminé est cependant structurale obligatoire dans certains cas : N lorsque le déterminant est un verbe qualificatif lui-même précédé de KQ ( qui reprend dans ce cas son sens plein de « très »), ex. : KQ Gà de fQJ]KHQJ, « un très grand cerf-volant ». La phrase du texte =KÀQJJXy IQJ]KHQJ \UX KQ FKiQJ GH OìshS signifie : « le cerf-volant chinois a une très longue histoire ». Une exception est faite pour l’expression KQ GXÀ « beaucoup de » qui s’enchaîne directement avec le déterminé. . 14 . N lorsque le Vq déterminant est dissyllabique, ex. : nàr yUX SLàoliang de fQJ]KHQJ, « là-bas il y a beaucoup de jolis cerf-volants ». N de est également obligatoire lorsque le déterminant est une proposition, ex. : WPHQ ]Xò de IQJ]KHQJ GÀX KQ piàoliang, « le cerf-volant qu’ils font sont tous jolis ». yòng, « au moyen de / avec » joue le rôle ici d’une préposition dont la place est, avec le mot qu’elle introduit, obligatoirement avant le verbe. hé « et » est ici la conjonction de coordination « et ». Elle relie les mots mais jamais les propositions. À « en totalité » précède toujours le verbe. Il est en L’adverbe français généralement traduit par « tous », ex. : À ù ZhÀngguó, « ils vont tous en Chine ». ~ chQ ~ représente l’idée d’un « espace découvert ». Ce caractère ne connaît pas d’emploi indépendant. On le rencontre dans les mots ¯Q « aéroport ». shìch, « marché » et Traduire la dernière phrase du texte : Exercice 05 Exercice 06 Remplacez les pointillés par le mot qui convient : … … 1) 2) 3) 4) Légendez cette photo ci-dessus : . 15 . … … … … Exercice 07