2
4. 1. Vrai.
2. Faux : l’énergie potentielle élastique s’exprime en
joule.
3. Vrai.
4. Faux : EP é1as(1) = 1
2 . k1 . x1
2
et EP élas(2) = 1
2 . k2 . x2
2 = 1
2 . k1
2 . (2 x1)2 = k1 . x1
2
= 2 EP é1as (1)
5. 1. L’énergie mécanique du dispositif est :
EM = EP élas + EC .
Le système, lorsqu’on l’abandonne, ne possède que
de l’énergie potentielle élastique : EP élas = 1
2 . k . x 2
avec x l’allongement du ressort.
EP élas = 1
2 × 10 × 0,052 = 1,3 × 10–2 J.
2. EM = EP élas + EC =
1
2 . k . x 2 + 1
2 . m . 2 .
Puisque le système glisse sans frotter, l’énergie méca-
nique se conserve.
EM = 1,3 × 10–2 J.
3. a. EM = EP élas + EC = 1
2 . m . 2, car x = 0 ;
=
[
2 . EM
m
]
1/2 =
[
2 × 1,3 × 10-2
0,200
]
1/2 ; = 0,36 m . s–1.
b. EM = EP élas + EC = 1
2 . k . x2 + 1
2 . m . 2 ;
=
[
2 (EM – EP élas)
m
]
1/2 pour x = 2,0 cm,
on a : EP élas = 0,5 × 10 × (0,020)2 = 2,0 × 10-3 J.
=
[
2 (13 × 10–3 – 2,0 × 10–3)
0,200
]
1/2 = 0,33 m . s–1.
6. 1. L’énergie mécanique du sauveteur est la
somme de son énergie potentielle de pesanteur et
de son énergie cinétique. On adopte comme niveau
de référence de l’énergie potentielle de pesanteur le
niveau de la mer.
Dans le référentiel terrestre, la vitesse du sauveteur,
dans l’hélicoptère, est nulle.
Son énergie mécanique initiale se réduit donc à son
énergie potentielle :
EM = EP pes = m . g . h = 80 × 10 × 8 = 6,4 × 103 J.
2. Si on néglige les effets de l’air, l’énergie mécanique
se conserve.
⌬EM = 0 = ⌬EP pes + ⌬EC .
Pour h = 0, EM = EC = 1
2 . m . 2 .
=
[
2 . EM
m
]
1/2 = [2 . g . h]1/2 = [2 × 10 × 8]1/2
= 12,6 m . s–1 ; soit : = 13 m . s–1 .
3. L’énergie mécanique initiale du sauveteur est la
somme de son énergie potentielle de pesanteur et,
cette fois, de son énergie cinétique.
EM(1) = EP pes(1) + EC (1)
Au niveau de l’eau, son énergie mécanique est :
EM(2) = EP pes(2) + EC (2) avec EP pes(2) = 0 ;
or : EC (2) = EP pes(1) + EC (1)
et : 1
2 . m . 2
2 = m . g . h + 1
2 . m . 1
2
avec 1 = 6
3,6 = 1,7 . D’où :
2 = [2 . g . h + 1
2]1/2 =
[
2 × 10 × 8 +
(
6
3,6
)
2
]
1/2
2 = 12,7 m . s–1 ; soit : 2 = 13 m . s–1.
La vitesse d’arrivée sur la surface de la mer est quasi-
ment identique, que l’hélicoptère soit immobile ou
animé d’une vitesse de 6 km . h–1.
7. Initialement, et en prenant le crâne de Newton
comme niveau de référence, l’énergie potentielle de
pesanteur de la pomme est :
EP pes = m . g . h = 0,100 × 9,8 × 2,5 = 2,5 J.
Son énergie cinétique est nulle, d’où : EM = EP = 2,5 J.
Au niveau du crâne de notre illustre savant, l’énergie
potentielle est nulle.
La pomme est en chute libre, son énergie mécanique
se conserve donc :
⌬EM = 0 = ⌬EP + ⌬EC et EC = EM = 2,5 J
avec EC = 1
2 . m . 2
2 ,
=
[
2 . EM
m
]
1/2 = [2 . g . h]1/2
= [2 × 9,8 × 2,5 ]1/2 = 7,0 ;
= 7,0 m . s–1 = 25 km . h–1.
8. 1. Lors de son déplacement d’une position A1
à une position A2 , la sphère est soumise à son poids
$P et à la force $F exercée par le câble.
2. a. W($P ) = m . g (z1 – z2).
b. La droite d’action de $F passe par le point d’attache
supérieur du câble, c’est-à-dire par le centre de la tra-
jectoire circulaire du point A : c’est une force radiale.
Elle est à chaque instant perpendiculaire au déplace-
ment élémentaire de A.
En conséquence : W($F ) = 0.
3. La variation d’énergie cinétique est égale à la
somme des travaux des forces appliquées à la sphère.
Désignons par $f la résultante des forces exercées par
l’air.
EC2 – EC1 = W($P ) + W($F ) + W( $f ).
L’énoncé précise que l’action de l’air est négligeable :
W( $f ) = 0 et EC2 – EC1 = W($P ) = m . g . (z1 – z2).
4. L’énergie mécanique de la sphère est égale à la
somme de son énergie potentielle de pesanteur et de
son énergie cinétique . Soit ⌬EM , la variation d’éner-
gie mécanique : ⌬EM = ⌬EP pes + ⌬EC ;
⌬EP pes = – W($P ) = – m . g . (z1 – z2) ;
⌬EC = m . g . (z1 – z2).
On a donc ⌬EM = 0 : l’énergie mécanique se
conserve.
5. En prenant comme niveau de référence de l’éner-
gie potentielle le niveau le plus bas du centre d’inertie
de la sphère, exprimons l’énergie mécanique de la
sphère, pour un angle θ :
EM = m . g . h + 1
2 . m . 2
2
où h est l’altitude du centre d’inertie G de la sphère.