2015/2016 Tutorat UE TIG – Séance n° 1 2 / 6
Cette séance est la propriété de l’Université de Montpellier.
QCM n°2 : Choisir la ou les proposition(s) exacte(s).
A. Si l'individu II.1 est homozygote sain, le plus probable est qu'il présente un mosaïcisme de la lignée
germinale.
B. Si l'allèle est rare dans la population, il est probable que la maladie soit pseudo-dominante car elle
apparait à chaque génération.
C. Le mosaïcisme germinal correspond à la mutation d'un gamète parental.
D. Dans les cas de pseudo-dominance, un seul des parents porte l'allèle muté.
E. Si plusieurs enfants de parents sains sont atteints d'une maladie autosomique dominante, il est
probable qu’une mutation de novo soit apparue dans l’un des gamètes parentaux.
F. Toutes les propositions précédentes sont fausses.
QCM n°3 : Choisir la ou les proposition(s) exacte(s).
D’après les travaux de Mendel, si l’on croise un petit pois jaune et lisse et un petit pois vert
et rugueux on obtient une génération F1 constituée de 100% de pois jaunes et lisses. Puis
par autofécondation de la F1 on obtient les générations F2.
A. La génération F1 met en évidence la notion d’homogénéité.
B. La F2 est composée de 9/16 de petits pois jaunes et lisses, de 3/16 de petits pois jaunes et
rugueux, 3/16 de petits pois verts et lisses et 1/16 verts et rugueux.
C. L’autofécondation de la F2 nous donne la notion de lignée pure.
D. Les facteurs parentaux ségrégent et se recombinent de façon aléatoire.
E. Les deux gènes sont génétiquement indépendants.
F. Toutes les propositions précédentes sont fausses.
QCM n°4 : Choisir la ou les proposition(s) exacte(s).
A. Un individu atteint de polydactylie ne pourra pas la transmettre à son fils.
B. Dans le cas d’une maladie X récessive, si la mère est homozygote pour l’allèle sain et si le père est
atteint, alors la probabilité d’avoir un fils malade est de 50%.
C. Soit une femme atteinte d’albinisme et un homme hétérozygote pour ce gène, la probabilité qu’ils
aient une fille malade est de 50%.
D. L’incidence sera plus élevée chez les hommes dans le cas d’une hérédité liée à l’X dominant,
contrairement à celle liée à l’X récessif.
E. Soit un gène bi-allélique autosomique : si la mère est homozygote pour l’allèle et le père
hétérozygote, alors la probabilité d’avoir un fils hétérozygote est de 1/4.
F. Toutes les propositions précédentes sont fausses.