obs. : différences anatomiques naturelles entre deux individus
obs. : activations corticales d’intensité et de localisation différentes entre deux
individus lors d’une même tâche
motricité : fonction cérébrale plastique (comme la vision)
B) L’évolution des aires motrices cérébrales : développement,
apprentissage, entraînement et récupération
contribution de l’inné : part de la génétique dans la réalisation de mouvements. Ex. :
un bébé capable de se mouvoir
contribution de l’apprentissage : amélioration de la rapidité, de la dextérité, etc. Ex. :
violoniste
récupération post-traumatique de la motricité par rééducation. Ex. : après un
accident vasculaire cérébral (AVC)
mécanismes de la plasticité : activation de nouvelles zones corticales, régénération
de l’axone et production de nouveaux neurones par des cellules souches cérébrales
C) L’évolution de la plasticité cérébrale au cours de la vie
maladies neurodégénératives. Ex. : Parkinson et perte progressive de la motricité
volontaire par dégénrescence de neurones cérébraux
production de nouveaux neurones très limitée : capital neuronal à préserver et à
entretenir
Bilan : le mouvement volontaire est une commande nécessitant la coopération entre le
cerveau (production), la moelle épinière (intégration) et les muscles (action). Cette
commande, bien que conservée chez tous les individus, est plastique : elle évolue au
cours de la vie par des processus d’apprentissage, d'entraînement mais aussi de pertes
neuronales (maladies neurodégénératives).