Chapitre 1 : Les outils d`aide à la rédaction Exercice 1.1 1. Signe

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Chapitre 1 : Les outils d’aide à la rédaction
Exercice 1.1
1.
Signe
Signification
En bleu
Définition
Encadré et brun
Étymologie
(Notez que le renvoi à l’article sur la
famille étymologique est en noir.)
Entre parenthèses et en brun
Chiffre romain, encadré à trame bleue et
lettres capitales
Dans le PR électronique, on accède au
tableau des termes, signes conventionnels
et abréviations du dictionnaire par le
bouton d’aide. Les infobulles s’appellent
en positionnant le curseur sur
l’abréviation.
Étymologie et datation des sens dans
l’article
Regroupement de plusieurs sens
Absolt
Anciennt
Littér.
Loc.
Mod.
Plaisant
Spécialt
Vx
Texte en italique
Absolument
Anciennement
Littéraire
Locution
Moderne
Plaisant
Spécialement
Vieux
Exemple
Texte en italique avec guillemets
Citation
Texte en noir sans italique
Explication (sur un emploi, une locution,
etc.)
Renvoi analogique
Mot en violet
Losange noir
Signe de subdivision qui sépare les
nuances de sens ou d'emploi à l'intérieur
d'un sens (1, 2, etc.), suivi ou non d'une
nouvelle définition
Renvoi à ce mot pour une explication
Astérisque après un mot
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On apprend rapidement à lire les catégorisations de l’information et les mises en relief
réalisées par le marquage typographique, les symboles et les abréviations. Prêtez-y
attention. Votre consultation du PR en sera d’autant facilitée.
2.
On trouve le sens des marques d’usage dans le « Tableau des termes, signes
conventionnels et abréviations du dictionnaire » ainsi que dans les infobulles de la
version électronique.
Absolument : en construction absolue : sans le complément attendu.
Plaisant : emploi qui vise à être drôle, à amuser, mais sans ironie.
Vieux : mot, sens ou emploi de l'ancienne langue, incompréhensible ou peu
compréhensible de nos jours et jamais employé, sauf par effet de style : archaïsme.
Vieilli : mot, sens ou expression encore compréhensible de nos jours, mais qui ne
s'emploie plus naturellement dans la langue parlée courante.
Anciennement : mot ou sens courant qui désigne une chose du passé disparue.
3.
Nomenclature : 2. « Ensemble des formes (mots, expressions, morphèmes) répertoriées
dans un dictionnaire, un lexique et faisant l'objet d'un article distinct. »
Entrée : I. C. 1. [losange noir] Math. La définition est donnée au niveau hiérarchique
supérieur (I. C. 1.) : « Ce qui donne accès dans un lieu; endroit par où l'on entre ». Le
sens propre au domaine des mathématiques est explicité uniquement par un exemple.
L’emploi du mot en lexicographie relève du sens mathématique; on trouve en sousemploi du domaine des mathématiques l’expression « Les entrées d'un dictionnaire », qui
est suivie d’une explication définissant ce que sont les entrées de dictionnaire : « les mots
faisant l'objet d'un article de dictionnaire ».
Article : II. 3. « Écrit formant par lui-même un tout distinct, mais faisant partie d'une
publication. »
4.
a) I. Les sens et emplois qui se rattachent au cœur comme organe. II. Les sentiments.
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b) Le mode « plan » du PR électronique (2e bouton à partir de la gauche dans la fenêtre
de l’article) permet de bien voir les divisions et subdivisions, et donc la structure de
l’information.
c) Le regroupement I. rassemble tous les sens et emplois liés au cœur comme organe (A)
(emplois anatomiques) et les sens métaphoriques évoquant la forme ou la situation du
cœur (B). En A, on passe du sens premier (l’organe même) (A1) à des emplois concrets
métonymiques : la poitrine qui couvre le cœur (A2) et l’estomac, siège réel du « mal de
cœur » (A3). En B, on a en premier les emplois métaphoriques par la forme (bijou,
pâtisserie, fromage) (B1), puis par la situation (cœur de la ville, etc.) (B2). (Le dernier
emploi (B3) est marqué comme figuré (le cœur de l’hiver, etc.) parce que les saisons ne
sont pas des entités physiques concrètes comme la ville, la forêt, etc., en B2.
Le regroupement II. rassemble tous les sens et emplois liés au cœur comme siège des
sentiments. Les différents points rendent compte des emplois liés à divers sentiments :
sensations et émotions (1), désir et humeur (2) affectivité, passion (3), etc.
5.
L’article « penser » est divisé selon les constructions qu’il accepte en complément :
I. Verbe intransitif (pas de complément); II. Verbe transitif indirect – penser à; III. Verbe
transitif. L’article « comprendre » est divisé selon des catégories de sens du sujet :
I. Sujet chose (les sens où comprendre a un sujet inanimé : embrasser dans un ensemble;
II. Sujet personne (les sens où comprendre a un sujet animé) : appréhender par la
connaissance.
6.
On trouve peopolisation dans le PL, mais seulement people (et des variantes
orthographiques francisées) dans le PR. Le GDT classe people comme terme à éviter
(sous l’entrée « vedette »); l’article comprend aussi une note sur tous les dérivés de
people (avec une graphie moins francisée : peopleisation, etc.). Le mot ne se trouve pas
dans Termium, ce qui n’est pas étonnant, Termium se consacrant aux terminologies
professionnelles.
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7.
L’emploi d’acception au sens « d’acceptation » est marqué comme vieux (Vx); on
n’utilise plus le mot acception dans le sens « d’acceptation ». Les deux mots ne sont donc
pas (ou plus) synonymes. Dans l’usage actuel, le mot acception désigne un sens
particulier d’un mot.
8.
La transcription phonétique [fɔʀsisja] qui suit immédiatement l’entrée indique que le th se
prononce comme le s de la syllabe précédente (for-sy-thia).
On trouve un tableau de l’alphabet phonétique dans les annexes (par le menu d’aide dans la
version électronique). On peut également écouter la prononciation de ce mot dans le PR
électronique.
9.
qu’il ait été acquis.
Pour chaque verbe, le PR électronique présente la conjugaison à partir d’un bouton (en
haut à gauche) dans la fenêtre de l’article : la fenêtre de conjugaison s’ouvre sur les
temps simples de l’indicatif. Il faut sélectionner subjonctif, puis l’auxiliaire être, puis la
voix passive pour obtenir la réponse : qu’il ait été acquis. Le PR (électronique ou papier)
comporte aussi une annexe présentant les conjugaisons des verbes réguliers et
irréguliers. Les verbes de base sont conjugués au complet, mais pour les autres, seuls les
temps simples avec les variations de radical sont donnés.
Le dictionnaire des conjugaisons du logiciel Antidote présente les conjugaisons de
chaque verbe, en deux tableaux simples : temps simples et temps composés. Il faut
construire soi-même la voix passive.
10.
a) On écrit « faire main basse ». L’expression est définie à la fois sous main et sous bas,
de façon quelque peu différente.
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b) Les quatre autres occurrences de l'expression qu’on trouve en texte intégral (sous
approprier, mainmise, piller, voler) précisent les contextes dans lesquels l’expression
s’utilise.
11.
Sans les formes fléchies : ancre, caner, carne/carné, écran, nacre/nacré, rance. Avec les
formes fléchies s’ajoutent cerna, créna, encra… C’est fort utile pour le Scrabble!
12.
Les Trifluviens et les Saskatchewanais.
Curieusement, le correcteur de MS Word souligne Saskatchewanais (avec un seul n)
comme étant une faute. Si l’on contrevérifie (dans Antidote, par exemple), on trouvera
aussi Saskatchewanais : disons par conséquent que le correcteur de Word a tort.
13.
Dans le PR, on accède aux synonymes soit en regardant les renvois analogiques dans
l’article même soit, dans la version électronique, en cliquant sur le bouton « Synonymes
et contraires », ce qui « extrait » toutes les analogies. Tous les renvois (et tout le texte
des articles) étant hypertextuels, on peut aller lire la définition d’un synonyme à son
article.
Dans Antidote, les synonymes et les antonymes sont présentés dans deux fenêtres
distinctes et sont rattachés à chacun des sens du verbe du mot en cause (comprendre, en
l’occurrence). Lorsqu’on appelle les synonymes ou les antonymes, la définition de
comprendre est repoussée dans la troisième fenêtre, à droite. On peut ensuite cliquer sur
un synonyme (ou un antonyme) pour que sa définition apparaisse dans la fenêtre de
droite. (Voir à la page suivante les fenêtres des synonymes et des antonymes de
comprendre dans le logiciel Antidote.)
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Les synonymes de comprendre dans Antidote.
Les antonymes de comprendre dans Antidote.
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Dans MS Word, on accède aux synonymes par le menu contextuel (clic droit) ou par le
menu des Outils ( Langue  Dictionnaire des synonymes / ou : Maj. + F7). Pour
comprendre, le dictionnaire des synonymes offre : saisir, concevoir, interpréter,
déchiffrer, pénétrer, appréhender, sentir, voir; en ouvrant le dictionnaire des synonymes
complet, on voit s’ajouter connaître/connaitre (le dictionnaire des synonymes de MS
Office comprend l’orthographe réformée dans les éditions récentes), assimiler,
enregistrer, réaliser, découvrir, ainsi que l’antonyme méconnaître/méconnaitre, et les
synonymes de comprendre avec sujet de chose : inclure, etc.)
Discussion de l’efficacité de chacun. Antidote offre manifestement un outil très
performant avec la structuration par sens des synonymes et un accès direct à la définition
de chacun en conservant la fenêtre comprenant la liste des synonymes. On trouvera la
même information dans le PR, mais sans cette vue d’ensemble et en étant obligé de
« sauter par-dessus » les analogies qui ne sont pas des synonymes. MS Office (et donc
Word) propose en premier les synonymes du sens statistiquement le plus courant (comme
Antidote d’ailleurs), mais donne accès aux autres par le dictionnaire complet; les
synonymes ne sont cependant pas définis et on aura besoin de recourir au dictionnaire de
langue pour les définitions.
14.
Le TLF propose trois citations du verbe appréhender au sens de « saisir par
l’entendement, par un acte précis de la pensée conceptuelle », dont celle-ci : « Plus une
forme se rapproche de la géométrie et de ses dispositifs simples, plus la pensée
s'enthousiasme de pouvoir appréhender la complexité du réel par un acte élémentaire
[...] (Huyghe). On y apprend aussi qu’on peut appréhender par les sens, qu’appréhender
peut donc être synonyme de percevoir, sens dont le PR ne rend pas compte.
Antidote offre 38 contextes d’emploi du verbe appréhender au sens de « comprendre »
dans son dictionnaire des cooccurrences : 14 « avec complément direct », 11 « avec
autre complément », 5 comme « épithète », 2 comme « complément du nom », 3 comme
« complément du verbe » et 3 comme « complément de l’adjectif ». Les contextes sont
pris de journaux et de revues actuelles (Le Devoir, Le Figaro, Voir, Lire, etc.), de bases
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textuelles (Érudit, etc.) et même de Wikipédia. Manifestement, l’emploi d’appréhender au
sens de « comprendre » est très vivant. On peut ensuite cliquer sur un synonyme (ou un
antonyme) pour que sa définition apparaisse dans la fenêtre de droite.
15.
a) La 1re définition du GDT donne tourtière comme synonyme de pâté à la viande :
« Tourte dont les abaisses renferment de la viande de porc hachée, agrémentée d'épices
et parfois d'un liant. » La 2e définition donne tourtière comme terme qu’utilisent les gens
du Saguenay, du Lac-Saint-Jean et de Charlevoix pour tourtière du Saguenay-Lac-SaintJean (et variantes) : « Gros pâté cuit dans un plat large et plutôt profond, à feu lent,
constitué d'abaisses renfermant un mélange de cubes de viandes de boucherie et de
pommes de terre, d'oignons et d'assaisonnements. »
b) La 1re définition du PR renvoie à l'ustensile de cuisine (emploi rare sinon inconnu ici)
et la 2e au mets, défini à partir du terme d’usage français tourte et de sa composante de
base standard (le porc). Dans Antidote, la 1re définition renvoie à l’ustensile de cuisine,
mais sans utiliser le mot tourte, si bien qu’on peut se demander pourquoi un « moule à
tarte » s’appelle une tourtière! La 2e définition renvoie en premier à la tourtière du Lac
Saint-Jean et en deuxième seulement à la tourtière au sens de « pâté à la viande ». (Si les
explications du GDT vous laissent sur votre faim, vous trouverez également des
explications sur ces tourtes et tourtières dans Termium Plus.)
Exercice 1.2
1.
Les deux parties se sont parlé et se sont finalement entendues.
Le Multi donne un exemple d’accord dans les articles des verbes s’employant à la forme
pronominale : Ils ne se sont pas parlé depuis deux jours. Ils se sont bien entendus.
On ne peut systématiquement vérifier l'accord du participe passé d’un verbe pronominal
dans le PR : contrairement au Multi, qui donne chaque fois un exemple permettant de
voir l’accord, les exemples ou citations du PR visent à exemplifier le sens et non
l’accord, si bien que les verbes sont aussi bien à des temps simples que composés. La
conjugaison permet de sélectionner la voix pronominale de chaque verbe, mais le modèle
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produit systématiquement un accord avec le sujet sur la base de l’auxiliaire être. On ne
peut donc se fier à ces tableaux pour vérifier l’accord. En somme, si l’on n’a pas le
Multi ou Antidote, il vaut mieux connaitre les règles d’accord des participes passés des
verbes pronominaux.
La BDL propose 3 articles de référence sur l’accord du participe passé des verbes
pronominaux : un pour les verbes essentiellement pronominaux, un pour les verbes
occasionnellement pronominaux et une fiche synthèse sur l’accord du participe passé
avec l’auxiliaire être. Le site Amélioration du français propose une fiche synthèse sous
« Rubrique grammaticale » (et plusieurs exercices). (Voir le chapitre 7, « Les accords »,
pour une explication complète de l’accord du participe passé.)
2.
... une chance sur 14 millions / quatorze millions / quatorze-millions de gagner le gros lot
à la 6/49.
Multi : Dans « Écriture des grands nombres » du tableau « Nombres », le Multi propose
trois millions de dollars, dix billions de kilomètres, mais aussi les équivalents totalement
en chiffres. (Voir la liste de tableaux ou chercher directement dans la nomenclature pour
trouver le tableau.)
BDL : La BDL recommande d'écrire en lettres la portion d'un nombre qui comporte
plusieurs zéros (« Écriture en chiffres ou en lettres (Nombres) », accessible par une
recherche alphabétique en utilisant soit chiffre soit nombre). L’article « Million et
milliard » explique également que lorsqu’ils désignent des nombres approximatifs,
million et milliard s’écrivent en toutes lettres, ce qui est le cas ici.
GR : « Pour éviter de multiplier les zéros à la suite d’un nombre, on écrit en lettres
million, milliard et, plus rarement, trillion, quatrillion, quintillion, etc. Ainsi, on peut
écrire : * dix millions d’habitants ou 10 millions d’habitants » (section « En lettres ou en
chiffres? » du chapitre 2, « Les nombres »).
La valeur étant approximative dans notre phrase, on évitera d’écrire le nombre tout en
chiffres.
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3.
Selon la BDL et le Guide du rédacteur, les sigles et les acronymes ne prennent pas
d’accent. Le Multi ne spécifie pas de règles.
Selon l’article « Accents sur les majuscules » de la BDL, les sigles et les acronymes ne
prennent pas d'accent (mais les majuscules prennent un accent dans tous les autres
emplois). Le Guide du rédacteur donne la même réponse (chap. 3 La majuscule  3.2.3
Principes d’écriture  e) Accents et autres signes). Le Multi ne spécifie pas de règle,
mais les sigles sont accentués dans le tableau « Sigles » : AIÉA, OCDÉ, etc. Pour être
sûr que la BDL et le Guide du rédacteur ont raison, on peut contrevérifier dans le Ramat
de la typographie (Ramat, 2005 : 54), lequel indique également qu’on ne met pas
d’accent sur les sigles et les acronymes. On écrira donc HEC, OCDE, REER, etc. Les
acronymes (sigles prononcés comme des mots ordinaires) qui deviennent des noms
communs sont accentués en fonction de la prononciation : on écrira ainsi cégep, selon la
prononciation, et non *cegep, selon les initiales de l’acronyme (collège d’enseignement
général et professionnel).
Exercice 1.3
1.
Ajouter des corrections dans la liste de corrections automatiques vaut la peine pour les
fautes qu’on fait fréquemment. Pour les autres formes fautives que Word souligne, le
menu contextuel donne accès aux suggestions de correction de Word, comme vous le
savez déjà sans doute.
2.
Une fois les mots ajoutés, le soulignement rouge disparaitra. (Il faut ajouter le singulier
séparément si on en a besoin.)
3.
Le choix d’impression avec ou sans marques permet d’imprimer un document propre tout
en conservant les marques de révision et les commentaires dans une même version du
document.
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Exercice 1.4
1.
L’intégration ou non des différentes rectifications dans le PR 2009 a reposé sur deux
grands principes : « la prise en compte des principes d'une réforme simplificatrice » et
« le respect de l'usage, selon qu'il accepte ou rejette certaines propositions ». Rey
poursuit : « Les accents circonflexes, qui donnent leur personnalité à certains mots
écrits, ont été maintenus. [La poursuite du travail concernant l'évolution de
l'orthographe française dans le Petit Robert 2009] repose aussi sur une recherche de
pédagogie : clarté et homogénéité dans la présentation des variantes, explication par des
remarques de la raison des changements enregistrés. Chaque fois qu'une modification a
paru excessive ou perturbante, elle n'a pas été retenue, car ce n'est pas au dictionnaire,
tenu de refléter le bon usage, de jouer les réformateurs par principe, encore moins les
révolutionnaires, ni de suivre les modes sans réflexion. »
2.
Chariot est rectifié en charriot pour se conformer avec l’orthographe de charrette,
charrue, etc. Boursoufler (et ses dérivés) a été rectifié en boursouffler, sur le modèle de
souffler. Etc.
3.
On trouve des notes ayant trait aux rectifications orthographiques dans les tableaux
suivants : « Accents », « Accents pièges », « Noms composés », « Participe passé » et
« Trait d’union ».
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