RAPPORT DE CERTIFICATION V2010 CENTRE HOSPITALIER SAINTE MARIE DE RODEZ Bp 3207 - olemps - 12032 - Rodez JUIN 2013 MAJ - 07/2013 SOMMAIRE 1.PRESENTATION DE L'ETABLISSEMENT 3 2.DECISION DEFINITIVE DE LA HAUTE AUTORITE DE SANTE 1. Les décisions par critères du manuel 2.Bilan des contrôles de sécurité sanitaire 3.Participation au recueil des indicateurs généralisés par la Haute Autorité de Santé 4.Suvi de la décision 5 6 7 8 9 3.CONSTATS ET COTATION PAR CRITERES CHAPITRE 1: MANAGEMENT DE L'ÉTABLISSEMENT PARTIE 1. MANAGEMENT STRATÉGIQUE PARTIE 2. MANAGEMENT DES RESSOURCES PARTIE 3. MANAGEMENT DE LA QUALITÉ ET DE LA SÉCURITÉ DES SOINS CHAPITRE 2: PRISE EN CHARGE DU PATIENT PARTIE 1. DROITS ET PLACE DES PATIENTS PARTIE 2. GESTION DES DONNÉES DU PATIENT PARTIE 3. PARCOURS DU PATIENT PARTIE 4. PRISES EN CHARGE SPÉCIFIQUES PARTIE 5. EVALUATION DES PRATIQUES PROFESSIONNELLES 10 11 12 37 75 101 102 126 134 181 201 SYNTHESE DE LA DECISION DE LA HAUTE AUTORITE DE SANTE 208 ANNEXES SUITE A MODALITE(S) de SUIVI : Plans d'actions engageant l'établissement pour la prochaine procédure de certification CENTRE HOSPITALIER SAINTE MARIE DE RODEZ / 120780283 / JUIN 2013 211 2 1.PRESENTATION DE L'ETABLISSEMENT CENTRE HOSPITALIER SAINTE MARIE DE RODEZ / 120780283 / JUIN 2013 3 CENTRE HOSPITALIER SAINTE MARIE DE RODEZ Adresse : Bp 3207 - olemps 12032 Rodez AVEYRON Site internet: http://www.groupe-saintemarie.fr/publication_inter/index. Statut : Privé Type d'établissement : Etablissement de santé privé d'intérêt collectif Type de prise en charge Nombre de lits Nombre de places Nombre de séances Santé mentale 380 235 0 Nombre de sites.: L'établissement dispose de trois sites d'hospitalisation complète, de nombreux sites ambulatoires et d'hospitalisation à temps partiel. Activités principales.: L'établissement est spécialisé dans la prise en charge des pathologiers en santé mentale (psychiatrie adulte), psychogériatrie, et addictologie. Les prises en charge sont organisées autour de filières telles que : - de courte durée ; - de longue durée ; - de psychogériatrie. Activités de soins soumises à / autorisation.: Secteurs faisant l'objet d'une / reconnaissance externe de qualité.: Réorganisation de l'offre de soins Coopération avec d'autres établissements.: Regroupement/Fusion.: L'établissement a développé de nombreuses conventions avec les centres hospitaliers et hôpitaux (Rodez, Espalion, Villefranche-deRouergue, Decazeville), la maison d'arrêt de Rodez, de nombreux d'EHPAD, le laboratoire d'analyses médicales LXBIO à Rodez et autres structures sociales et médico-sociales. / Arrêt et fermeture d'activité.: / Création d'activités nouvelles ou reconversions.: Des projets de rénovation d'unités de soins ont été menés (deux unités de soins en 2009/2010). La Clinique de Rodez-Bourran a ouvert en 2008. CENTRE HOSPITALIER SAINTE MARIE DE RODEZ / 120780283 / JUIN 2013 4 2.DECISION DEFINITIVE DE LA HAUTE AUTORITE DE SANTE CENTRE HOSPITALIER SAINTE MARIE DE RODEZ / 120780283 / JUIN 2013 5 Au vu des éléments mentionnés dans le présent rapport, du bilan des sécurités sanitaires et de la participation au recueil des indicateurs généralisés par la Haute Autorité de Santé, la Haute Autorité de Santé prononce une certification avec recommandation(s). 1. Les décisions par critères du manuel RECOMMANDATION(S) 1.c (Démarche éthique) . 14.a Santé mentale (Gestion du dossier du patient) . 20.a Santé mentale (Démarche qualité de la prise en charge médicamenteuse du patient) . 28.a (Mise en oeuvre des démarches d'évaluation des pratiques professionnelles (EPP)) ;28.b (Pertinence des soins) ;28.c (Démarches EPP liées aux indicateurs de pratique clinique) . CENTRE HOSPITALIER SAINTE MARIE DE RODEZ / 120780283 / JUIN 2013 6 2.Bilan des contrôles de sécurité sanitaire Compte tenu des informations, issues des contrôles et inspections réalisés au sein de l'établissement, inscrites dans le volet Sécurité, l'ensemble des contrôles et inspections a été réalisé; l'établissement est organisé et déploie des actions pour répondre aux recommandations et avis issus de ces contrôles et inspections. CENTRE HOSPITALIER SAINTE MARIE DE RODEZ / 120780283 / JUIN 2013 7 3.Participation au recueil des indicateurs généralisés par la Haute Autorité de Santé La participation de l'établissement au recueil des indicateurs de la Haute Autorité de Santé est effective. CENTRE HOSPITALIER SAINTE MARIE DE RODEZ / 120780283 / JUIN 2013 8 4.Suvi de la décision La Haute Autorité de Santé encourage l'établissement à poursuivre sa démarche qualité et à améliorer son organisation et ses pratiques. Il a du remettre dans un délai de 3 mois un (des) plan(s) d’action avec échéancier pour les recommandations émises ou non levées suite à sa première modalité de suivi (visite de suivi). CENTRE HOSPITALIER SAINTE MARIE DE RODEZ / 120780283 / JUIN 2013 9 3.CONSTATS ET COTATION PAR CRITERES CENTRE HOSPITALIER SAINTE MARIE DE RODEZ / 120780283 / JUIN 2013 10 CHAPITRE 1: MANAGEMENT DE L'ÉTABLISSEMENT CENTRE HOSPITALIER SAINTE MARIE DE RODEZ / 120780283 / JUIN 2013 11 PARTIE 1. MANAGEMENT STRATÉGIQUE CENTRE HOSPITALIER SAINTE MARIE DE RODEZ / 120780283 / JUIN 2013 12 Référence 1: La stratégie de l'établissement Critère 1.a Valeurs, missions et stratégie de l'établissement Cotation A E1 Prévoir Réponses aux EA Les orientations stratégiques sont élaborées en concertation avec les parties prenantes en interne et en externe. Oui La stratégie de l'établissement prend en compte les besoins de la population définis dans les schémas de planification sanitaire et, le cas échéant, le projet médical de territoire. Les valeurs et les missions de l'établissement sont déclinées dans les orientations stratégiques. E2 Mettre en oeuvre Oui Oui Réponses aux EA Les différentes politiques (ressources humaines, système d'information, qualité et sécurité des soins, etc.) sont déclinées en cohérence avec les orientations stratégiques. Constats Constats Oui CENTRE HOSPITALIER SAINTE MARIE DE RODEZ / 120780283 / JUIN 2013 13 L'établissement met en place des partenariats en cohérence avec les schémas de planification sanitaire, le projet médical de territoire et les orientations stratégiques. Les valeurs et les missions de l'établissement sont communiquées au public et aux professionnels. E3 Evaluer et améliorer Oui Oui Réponses aux EA La mise en œuvre des orientations stratégiques fait l'objet d'un suivi et d'une révision périodique. L'établissement fait évoluer ses partenariats sur la base des évaluations réalisées. Constats Oui Partiellement CENTRE HOSPITALIER SAINTE MARIE DE RODEZ / 120780283 / JUIN 2013 14 Référence 1: La stratégie de l'établissement Critère 1.b Engagement dans le développement durable Cotation B E1 Prévoir Réponses aux EA Un diagnostic développement durable a été établi par l'établissement. Un volet développement durable est intégré dans les orientations stratégiques. E2 Mettre en oeuvre Oui En grande partie Constats L'établissement a fait réaliser par un prestataire extérieur un diagnostic de développement durable couvrant l'intégralité de ses activités en septembre 2012. Ce diagnostic préalable a permis d’identifier les enjeux majeurs pour l’établissement et d’initier la mobilisation des acteurs internes dans la dynamique de la démarche. L’établissement a élaboré une politique d’engagement dans le développement durable. Cette politique sera intégré dans le prochain projet d’établissement 2014-2018. Réponses aux EA La stratégie liée au développement durable est déclinée dans un programme pluriannuel. Oui Constats L'établissement a intégré sa stratégie liée au développement durable dans un programme pluriannuel,un plan d’actions 20122013 a été défini, il s’articule autour de : - la communication et la sensibilisation, tant externes (collectivités territoriales,patients et familles…) qu’internes (salariés) - la problématique des transports (patients et visiteurs, salariés…) CENTRE HOSPITALIER SAINTE MARIE DE RODEZ / 120780283 / JUIN 2013 15 Oui Le personnel est sensibilisé au développement durable, et informé des objectifs de l'établissement. L'établissement communique ses objectifs de développement durable aux acteurs sociaux, culturels et économiques locaux. Le développement durable est pris en compte en cas d'opérations de construction ou de réhabilitation. Oui Partiellement Oui - la politique d’achats - la gestion des déchets - la gestion de l’énergie et de l’eau (actions visant à limiter les consommations,sensibilisation aux écogestes). Un groupe de travail pluriprofessionnel a été constitué ,il représente les différents métiers de l’établissement. Sa composition a été communiquée à l’ensemble des salariés, une de ses missions notamment est de servir de relais auprès des autres salariés tant pour la diffusion des informations que pour la remontée des réactions (« correspondants développement durable »). Un questionnaire concernant les connaissances des professionnels a été diffusé, il a permis dans un premier temps a sensibilisé les professionnels aux différents domaines concernés dans le cadre du développement durable. L'établissement ne communique pas ses objectifs de développement durable aux acteurs sociaux, culturels et économiques locaux . Le diagnostic développement durable à abordé la communication externe vers les parties prenantes et certains partenaires ont été suggérés notamment les collectivités locales, fournisseurs, ESAT, Lycée agricole, UNAFAM, associations. L'établissement prend en compte les éléments d'écoconstruction lors de chaque opération de travaux de réhabilitation. Ces éléments concernent les isolations thermiques des murs et des toitures, les radars éléctriques dans les circulations, les climatisations. Les cahiers des charges relatifs à l'achat de matériaux prennent en compte le développement durable. L'aménagement des espaces verts est réalisé à partir de cultures biologiques. CENTRE HOSPITALIER SAINTE MARIE DE RODEZ / 120780283 / JUIN 2013 16 E3 Evaluer et améliorer Réponses aux EA Le programme pluriannuel fait l'objet d'un suivi et de réajustements réguliers. Partiellement Constats L'établissement réajuste les actions en fonction du suivi des tableaux de bord relatifs aux consommations énergétiques. Le programme pluriannuel de développement durable n'a pas fait l'objet d'une évaluation avec réajustements réguliers. CENTRE HOSPITALIER SAINTE MARIE DE RODEZ / 120780283 / JUIN 2013 17 Référence 1: La stratégie de l'établissement Critère 1.c Démarche éthique Cotation C E1 Prévoir Réponses aux EA Les professionnels ont accès à des ressources (structures de réflexion ou d'aide à la décision, internes ou externes à l'établissement, documentation, formations, etc.) en matière d'éthique. Les projets de l'établissement prennent en compte la dimension éthique de la prise en charge. E2 Mettre en oeuvre Oui Partiellement Constats Un Espace de Réflexion Éthique (ERE) a été créé,il a pour mission d’insuffler une démarche éthique dans la pratique des professionnels et d’accompagner la réflexion éthique au sein de l’établissement. D'autre part, le bureau de documentation met à disposition de tout professionnel qui en fait la demande, la littérature concernant l'éthique. L'établissement met en avant l'éthique au travers du site internet de l'association. Il n'a pas formalisé cette thématique dans ses différents projets. L'établissement a prévu d'intégrer la dimension éthique de la prise en charge au prochain projet d’établissement élaboré en 2014. Réponses aux EA Les professionnels de l'établissement de santé sont sensibilisés à la réflexion éthique. Partiellement Constats Les règlements intérieurs de l’ERE ont été diffusés et rendus disponibles dans la base documentaire sur l’intranet de l’établissement.Tous les professionnels ont été informés de l'existence du groupe d'éthique et de ses missions mais ils n'ont pas bénéficié d'aucune autre sensibilisation sur la réflexion d'éthique. CENTRE HOSPITALIER SAINTE MARIE DE RODEZ / 120780283 / JUIN 2013 18 Les questions éthiques, se posant au sein de l'établissement, sont traitées. E3 Evaluer et améliorer Un état des lieux des questions éthiques liées aux activités de l'établissement, est réalisé. Partiellement La démarche étant très récente et les réunions de l'ERE définis à 2 fois l'an, aucune question d'éthique n'a été traitée au sein de l'établissement même si tous les salariés ont été informés de leur possibilité de saisir le président de l’ERE . Réponses aux EA Constats Partiellement L'établissement n'a pas procédé à un état des lieux des questions éthiques,la démarche étant très récente, l’ERE n’a pas encore eu à traiter des questions relevant de sa compétence, une évaluation est programmée pour fin 2013. CENTRE HOSPITALIER SAINTE MARIE DE RODEZ / 120780283 / JUIN 2013 19 Référence 1: La stratégie de l'établissement Critère 1.d Politique des droits des patients Cotation B E1 Prévoir Réponses aux EA Le respect des droits des patients est inscrit dans les orientations stratégiques de l'établissement. E2 Mettre en oeuvre Des formations aux droits des patients destinées aux professionnels sont organisées. E3 Evaluer et améliorer En grande partie Réponses aux EA Les patients sont informés de leurs droits et des missions de la Commission des relations avec les usagers et de la qualité de la prise en charge (CRU). Constats Constats Oui En grande partie Réponses aux EA CENTRE HOSPITALIER SAINTE MARIE DE RODEZ / 120780283 / JUIN 2013 Constats 20 Des actions d'évaluation et d'amélioration en matière de respect des droits des patients sont mises en oeuvre dans chaque secteur d'activité, en lien avec la CRU. Partiellement CENTRE HOSPITALIER SAINTE MARIE DE RODEZ / 120780283 / JUIN 2013 21 Référence 1: La stratégie de l'établissement Critère 1.e Politique d'amélioration de la qualité et de la sécurité des soins Cotation A E1 Prévoir Réponses aux EA La politique d'amélioration de la qualité et de la sécurité des soins est intégrée dans les orientations stratégiques. Oui L'instance délibérante statue au moins une fois par an sur cette politique. E2 Mettre en oeuvre En grande partie Réponses aux EA La politique d'amélioration de la qualité et de la sécurité des soins est diffusée dans l'établissement. Des objectifs et des indicateurs, validés par la direction, sont déclinés à l'échelle de l'établissement et par secteur d'activité. Constats Constats Oui Oui CENTRE HOSPITALIER SAINTE MARIE DE RODEZ / 120780283 / JUIN 2013 22 E3 Evaluer et améliorer Réponses aux EA La politique d'amélioration de la qualité et de la sécurité des soins est révisée à périodicité définie en fonction des résultats obtenus et sur la base du rapport de la CRU. Oui CENTRE HOSPITALIER SAINTE MARIE DE RODEZ / 120780283 / JUIN 2013 Constats 23 Référence 1: La stratégie de l'établissement Critère 1.f Politique et organisation de l'évaluation des pratiques professionnelles Cotation A E1 Prévoir Réponses aux EA La stratégie de développement de l'EPP est inscrite dans la politique d'amélioration de la qualité et de la sécurité des soins. Oui Constats Le projet médical 2009-2013 mentionne la coordination médicale, la poursuite des évaluations des pratiques professionnelles, le projet de gestion « Qualité et Gestion des Risques » et intègre, dans la pérennisation de la démarche, un paragraphe sur la politique d'évaluation où la démarche EPP est évoquée.Depuis Mars 2012,une nouvelle commission EPP est en place et son organisation interne définie.Son rôle et ses missions ont été précisés ainsi que les rôles de communication, répartis entre les membres de la commission. Un programme des réunions ainsi que la structuration de leur organisation et un plan d'actions avec échéancier ont été mis en place. CENTRE HOSPITALIER SAINTE MARIE DE RODEZ / 120780283 / JUIN 2013 24 Une concertation entre les professionnels du soin et les gestionnaires sur la stratégie de l'EPP est en place. Les missions et les responsabilités sont définies pour organiser le développement de l'EPP dans tous les secteurs d'activité clinique ou médico-technique. E2 Mettre en oeuvre Oui Oui L'établissement ayant pris la mesure du défaut de stratégie du dispositif EPP lors de la dernière certification a mis en oeuvre toute une concertation: nouvelle commission EPP, accompagnement par un organisme extérieur,informations et communications des professionnels; Les membres de la commission sont connus leurs missions définies, la commission se réunit une fois par trimestre en réunion plénière et le bureau se réunit une deuxième fois en sus, par trimestre, pour des réunions intercalaires (réunions de travail en groupe restreint).Un calendrier des réunions est en place jusqu'à la fin de l'année 2012 et la participation à ces réunions est tracée.Un diaporama présentant la commission, ses missions, son fonctionnement été réalisé et il est accessible via l'intranet à tous les professionnels. Réponses aux EA Un accompagnement des professionnels est réalisé pour la mise en oeuvre de l'EPP. L'établissement suit l'état d'avancement et l'impact de ses démarches EPP. Les professionnels sont informés de la stratégie de l'établissement en matière de développement de l'EPP et des résultats obtenus. Oui Oui Oui Constats Les membres de la commission ont bénéficié de 4 journées de formation aux différentes méthodologies des EPP par un organisme de formation extérieur: méthodologies des EPP, organisation de la politique EPP et révision des EPP en cours. La commission EPP contribue à la définition des indicateurs de suivi des EPP en cours. Elle élabore un tableau de bord relatif au suivi des EPP et de leurs indicateurs,elle planifie les ré évaluations et assure l'accompagnement par 2 membres de la commission des équipes en charge d'EPP. Le suivi des projets des EPP est porté systématiquement à l'ordre du jour des réunions plénières. La commission a élaboré une stratégie d'information: sur le portail Intranet, l'onglet EPP de la base documentaire permet de visualiser la politique EPP de l'établissement, la composition de la Commission, son rôle, les modalités de CENTRE HOSPITALIER SAINTE MARIE DE RODEZ / 120780283 / JUIN 2013 25 Oui E3 Evaluer et améliorer communication ascendantes et descendantes (logigramme), les EPP en cours et les EPP finalisées et un flash d'information ponctuel est dédié aux EPP sur le pavé numérique central de l'écran d'accueil intranet.Une demie-journée d’information annuelle est organisée: résumé du bilan annuel de la commission et échange avec les professionnels… Réponses aux EA L'établissement rend compte de ses démarches EPP devant ses instances. La stratégie de développement de l'EPP est révisée à périodicité définie en fonction des résultats obtenus. Oui Constats L'Établissement a défini les espaces de communication : La CME, par l'intermédiaire du président et du vice-président de la CME membres de la commission EPP, le Comité de Direction, lors des réunions de celui ci, le Comité de Gestion des Risques et de la Qualité, le Comité de suivi des Évènements Indésirables et le Comité des réunions médicales. La stratégie formalisée n'a pas pu être révisée à ce jour. Non CENTRE HOSPITALIER SAINTE MARIE DE RODEZ / 120780283 / JUIN 2013 26 Référence 1: La stratégie de l'établissement Critère 1.g Développement d'une culture qualité et sécurité Cotation A E1 Prévoir Réponses aux EA L'établissement a défini une stratégie concourant à sensibiliser et à impliquer les professionnels dans les démarches qualité et sécurité des soins. Oui E2 Mettre en oeuvre Réponses aux EA Les professionnels sont périodiquement informés sur la mise en oeuvre et l'évolution de la politique d'amélioration de la qualité et de la sécurité des soins. Oui Des activités sont organisées au cours desquelles les thèmes qualité et sécurité sont abordés (réunions, forum, séminaires, journées dédiées, actions de sensibilisation des patients, etc.). E3 Evaluer et améliorer Constats Constats Oui Réponses aux EA CENTRE HOSPITALIER SAINTE MARIE DE RODEZ / 120780283 / JUIN 2013 Constats 27 La direction suit le développement de la culture qualité et sécurité dans l'établissement. Oui CENTRE HOSPITALIER SAINTE MARIE DE RODEZ / 120780283 / JUIN 2013 28 Référence 2: L'organisation et les modalités de pilotage interne Critère 2.a Direction et encadrement des secteurs d'activités Cotation B E1 Prévoir Réponses aux EA Les organigrammes de l'établissement et des différents secteurs d'activité sont définis. Constats Oui Les circuits de décision et de délégation sont définis. Oui E2 Mettre en oeuvre Réponses aux EA Les organigrammes et l'information relative aux circuits de décision et de délégation sont diffusés auprès des professionnels. E3 Evaluer et améliorer Constats En grande partie Réponses aux EA CENTRE HOSPITALIER SAINTE MARIE DE RODEZ / 120780283 / JUIN 2013 Constats 29 Les organigrammes et les circuits de décision et de délégation sont révisés à périodicité définie. Oui CENTRE HOSPITALIER SAINTE MARIE DE RODEZ / 120780283 / JUIN 2013 30 Référence 2: L'organisation et les modalités de pilotage interne Critère 2.b Implication des usagers, de leurs représentants et des associations Cotation A E1 Prévoir Réponses aux EA La représentation des usagers au sein de l'établissement est organisée. Une politique de coopération avec les acteurs associatifs est définie. Un dispositif de recueil des attentes des usagers est organisé. E2 Mettre en oeuvre Oui Partiellement Oui Réponses aux EA Les représentants d'usagers participent à l'élaboration et la mise en oeuvre de la politique d'amélioration de la qualité et de sécurité des soins, notamment dans le cadre de la CRU. Constats Constats Oui CENTRE HOSPITALIER SAINTE MARIE DE RODEZ / 120780283 / JUIN 2013 31 L'intervention des associations dans les secteurs d'activité est facilitée. Oui Les attentes des usagers sont prises en compte lors de l'élaboration des projets de secteurs d'activité ou d'établissement. Oui E3 Evaluer et améliorer Réponses aux EA Le dispositif de participation des usagers est évalué et amélioré. Constats En grande partie CENTRE HOSPITALIER SAINTE MARIE DE RODEZ / 120780283 / JUIN 2013 32 Référence 2: L'organisation et les modalités de pilotage interne Critère 2.c Fonctionnement des instances Cotation A E1 Prévoir Réponses aux EA Les instances consultatives et délibérantes sont réunies à périodicité définie et saisies sur toutes les questions qui relèvent de leur compétence. Oui E2 Mettre en oeuvre Réponses aux EA Les ordres du jour et procès-verbaux des instances sont communiqués au sein de l'établissement. Les instances sont informées des suites données à leurs avis et décisions. E3 Evaluer et améliorer Constats Constats Oui Oui Réponses aux EA CENTRE HOSPITALIER SAINTE MARIE DE RODEZ / 120780283 / JUIN 2013 Constats 33 Le fonctionnement des instances est évalué (bilan, programme d'actions, suivi des actions, etc.). Oui CENTRE HOSPITALIER SAINTE MARIE DE RODEZ / 120780283 / JUIN 2013 34 Référence 2: L'organisation et les modalités de pilotage interne Critère 2.d Dialogue social et implication des personnels Cotation A E1 Prévoir Réponses aux EA La concertation avec les partenaires sociaux est organisée. E2 Mettre en oeuvre Oui Réponses aux EA Des actions favorisant l'implication et l'expression des personnels sont mises en oeuvre au sein des secteurs d'activité. E3 Evaluer et améliorer Constats Constats Oui Réponses aux EA Constats Le dialogue social est évalué à périodicité définie. Oui CENTRE HOSPITALIER SAINTE MARIE DE RODEZ / 120780283 / JUIN 2013 35 Référence 2: L'organisation et les modalités de pilotage interne Critère 2.e Indicateurs, tableaux de bord et pilotage de l'établissement Cotation A E1 Prévoir Réponses aux EA Les tableaux de bord comprennent des indicateurs d'activité, de ressources et de qualité adaptés à la conduite du projet d'établissement. Oui L'établissement a défini une stratégie de communication des résultats des indicateurs et des tableaux de bord aux professionnels et aux usagers. Oui E2 Mettre en oeuvre Réponses aux EA Les tableaux de bord sont examinés au sein des instances et réunions de direction de l'établissement et des secteurs d'activité. Les résultats des indicateurs nationaux généralisés sont diffusés aux professionnels concernés. Constats Constats Oui Oui CENTRE HOSPITALIER SAINTE MARIE DE RODEZ / 120780283 / JUIN 2013 36 E3 Evaluer et améliorer Réponses aux EA La stratégie de l'établissement est ajustée en fonction du suivi. L'établissement analyse et compare ses résultats à ceux d'autres structures similaires (comparaison externe et interne). Constats Oui Oui CENTRE HOSPITALIER SAINTE MARIE DE RODEZ / 120780283 / JUIN 2013 37 PARTIE 2. MANAGEMENT DES RESSOURCES CENTRE HOSPITALIER SAINTE MARIE DE RODEZ / 120780283 / JUIN 2013 38 Référence 3: La gestion des ressources humaines Critère 3.a Management des emplois et des compétences Cotation B E1 Prévoir Réponses aux EA Les besoins en compétences et effectifs sont identifiés par secteur d'activité. Une politique de gestion des emplois et des compétences est définie dans les différents secteurs d'activité en lien avec les orientations stratégiques. Les compétences spécifiques pour les activités à risque ou innovantes sont identifiées. E2 Mettre en oeuvre Oui Oui Oui Réponses aux EA Des dispositions sont mises en oeuvre pour assurer la qualité et la sécurité de la prise en charge du patient dans les cas où les effectifs nécessaires ne sont pas présents. Constats Constats Oui CENTRE HOSPITALIER SAINTE MARIE DE RODEZ / 120780283 / JUIN 2013 39 L'évaluation périodique du personnel est mise en oeuvre. Partiellement Un plan de formation est mis en oeuvre. Oui E3 Evaluer et améliorer Réponses aux EA L'adéquation quantitative et qualitative des ressources humaines est régulièrement évaluée et réajustée en fonction de l'activité et de l'évolution des prises en charge. En grande partie Le dispositif de gestion des compétences est réajusté en fonction de l'atteinte des objectifs des secteurs et de l'évolution des activités notamment en cas d'innovation diagnostique et thérapeutique. Partiellement CENTRE HOSPITALIER SAINTE MARIE DE RODEZ / 120780283 / JUIN 2013 Constats 40 Référence 3: La gestion des ressources humaines Critère 3.b Intégration des nouveaux arrivants Cotation A E1 Prévoir Réponses aux EA Constats L'intégration de tout nouvel arrivant est organisée. Oui E2 Mettre en oeuvre Réponses aux EA Tout nouvel arrivant reçoit une information sur l'établissement et son futur secteur d'activité, lui permettant l'exercice de sa fonction. E3 Evaluer et améliorer Oui Réponses aux EA L'évaluation de l'efficacité des mesures d'intégration donne lieu à des actions d'amélioration. Constats Constats Oui CENTRE HOSPITALIER SAINTE MARIE DE RODEZ / 120780283 / JUIN 2013 41 Référence 3: La gestion des ressources humaines Critère 3.c Santé et sécurité au travail Le CHSCT est obligatoire dans tous les établissements publics et privés d'au moins 50 salariés. En dessous de 50 salariés, les missions du CHSCT sont assurées par les délégués du personnel. Cotation A E1 Prévoir Réponses aux EA Les risques professionnels sont identifiés à périodicité définie. Constats Oui Le Document unique est établi. Oui Un plan d'amélioration des conditions de travail est défini. Oui E2 Mettre en oeuvre Réponses aux EA Des actions de prévention des risques sont mises en oeuvre en collaboration avec le CHSCT et le service de santé au travail. Oui CENTRE HOSPITALIER SAINTE MARIE DE RODEZ / 120780283 / JUIN 2013 Constats 42 Des actions d'amélioration des conditions de travail sont mises en oeuvre. E3 Evaluer et améliorer Oui Réponses aux EA Le programme de prévention des risques et le Document unique sont évalués à périodicité définie sur la base du bilan du service de santé au travail, du CHSCT, des déclarations d'accidents du travail et d'événements indésirables. Ces évaluations donnent lieu à des actions d'amélioration. Constats Oui Oui CENTRE HOSPITALIER SAINTE MARIE DE RODEZ / 120780283 / JUIN 2013 43 Référence 3: La gestion des ressources humaines Critère 3.d Qualité de vie au travail Cotation B E1 Prévoir Réponses aux EA La qualité de vie au travail fait partie des orientations stratégiques de l'établissement. Un plan d'amélioration de la qualité de vie au travail est défini. E2 Mettre en oeuvre E3 Evaluer et améliorer En grande partie Partiellement Réponses aux EA Des actions d'amélioration de la qualité de vie au travail sont mises en oeuvre. Constats Constats Oui Réponses aux EA CENTRE HOSPITALIER SAINTE MARIE DE RODEZ / 120780283 / JUIN 2013 Constats 44 Les actions d'amélioration de la qualité de vie au travail sont évaluées. En grande partie La satisfaction des personnels est évaluée. Partiellement CENTRE HOSPITALIER SAINTE MARIE DE RODEZ / 120780283 / JUIN 2013 45 Référence 4: La gestion des ressources financières Critère 4.a Gestion budgétaire Cotation B E1 Prévoir Réponses aux EA L'établissement décline en interne des objectifs prévisionnels de dépenses et s'il y a lieu de recettes, selon une procédure formalisée. Oui Ces objectifs tiennent compte des engagements pris dans les contrats pluriannuels d'objectifs et de moyens (CPOM). Oui E2 Mettre en oeuvre Réponses aux EA L'établissement conduit une analyse des coûts dans le cadre de ses procédures de responsabilisation budgétaire interne. E3 Evaluer et améliorer Constats Constats En grande partie Réponses aux EA CENTRE HOSPITALIER SAINTE MARIE DE RODEZ / 120780283 / JUIN 2013 Constats 46 Les objectifs prévisionnels de dépenses et de recettes sont suivis infra-annuellement et donnent lieu si nécessaire à des décisions de réajustement. En grande partie CENTRE HOSPITALIER SAINTE MARIE DE RODEZ / 120780283 / JUIN 2013 47 Référence 4: La gestion des ressources financières Critère 4.b Amélioration de l'efficience Cotation A E1 Prévoir Réponses aux EA L'établissement fixe chaque année des objectifs d'amélioration de l'efficience de ses organisations. E2 Mettre en oeuvre En grande partie Réponses aux EA L'établissement conduit des études et/ou des audits sur ses principaux processus de production. E3 Evaluer et améliorer Constats Oui Réponses aux EA Les résultats des études et/ou des audits donnent lieu à la mise en oeuvre d'actions d'amélioration. Constats Constats Oui CENTRE HOSPITALIER SAINTE MARIE DE RODEZ / 120780283 / JUIN 2013 48 Référence 5: Le système d'information Critère 5.a Système d'information Cotation A E1 Prévoir Réponses aux EA Un schéma directeur du système d'information est défini en cohérence avec les orientations stratégiques et en prenant en compte les besoins des utilisateurs. Oui E2 Mettre en oeuvre Réponses aux EA Le système d'information facilite l'accès en temps utile à des informations valides. Le système d'information aide les professionnels dans leur processus de décision. E3 Evaluer et améliorer Constats Constats Oui Oui Réponses aux EA CENTRE HOSPITALIER SAINTE MARIE DE RODEZ / 120780283 / JUIN 2013 Constats 49 Le système d'information est évalué et fait l'objet d'actions d'amélioration. Oui CENTRE HOSPITALIER SAINTE MARIE DE RODEZ / 120780283 / JUIN 2013 50 Référence 5: Le système d'information Critère 5.b Sécurité du système d'information Cotation B E1 Prévoir Réponses aux EA La sécurité des données est organisée (définition des responsabilités, formalisation et diffusion des procédures, etc.). E2 Mettre en oeuvre En grande partie Réponses aux EA Il existe un plan de reprise permettant d'assurer la continuité des activités en cas de panne. E3 Evaluer et améliorer Constats En grande partie Réponses aux EA Le dispositif de sécurité du système d'information est évalué et fait l'objet d'actions d'amélioration. Constats Constats Partiellement CENTRE HOSPITALIER SAINTE MARIE DE RODEZ / 120780283 / JUIN 2013 51 Référence 5: Le système d'information Critère 5.c Gestion documentaire Cotation A E1 Prévoir Réponses aux EA Constats Un dispositif de gestion documentaire est en place. Oui E2 Mettre en oeuvre Réponses aux EA Constats Le dispositif est connu par les professionnels. Oui Les professionnels ont accès aux documents qui les concernent. Le système de mise à jour des documents est opérationnel. Oui Oui CENTRE HOSPITALIER SAINTE MARIE DE RODEZ / 120780283 / JUIN 2013 52 E3 Evaluer et améliorer Réponses aux EA Le dispositif est évalué et fait l'objet d'actions d'amélioration. Constats Oui CENTRE HOSPITALIER SAINTE MARIE DE RODEZ / 120780283 / JUIN 2013 53 Référence 6: La gestion des fonctions logistiques et des infrastructures Critère 6.a Sécurité des biens et des personnes Cotation B E1 Prévoir Réponses aux EA Les situations mettant en jeu la sécurité des biens et des personnes sont identifiées. En grande partie Constats Une seule situation, pouvant mettre en jeu la sécurité des biens et des personnes, a été identifiée dans l'établissement. Elle se situe dans l'unité CASAP (centre d'accueil et de soins aux pharmacodépendants), où le patient fume dans sa chambre, porte fermée (mais pas à clé), fenêtre munie de barreaux ouverte. Le CASAP est une unité de sevrage niveau 2 de neuf lits créée en 1997. Elle est fermée et située au premier étage d'un bâtiment sans accès possible par une cour extérieure. Il est proposé des traitements de types patchs à ces patients, mais certains les refusent. Devant l'observation des experts-visiteurs, lors du bilan journalier, la direction, le président de la CME, le chef de service ont décidé : - l'interdiction de fumer dans les chambres, affichette posée par le responsable sécurité ; - la révision du règlement intérieur de l'unité ; - l'aménagement d'un petit salon dédié aux personnes fumeurs, avec porte vitrée et fenêtres, et extracteurs de fumée avec radar et temporisation de ventilation à proximité CENTRE HOSPITALIER SAINTE MARIE DE RODEZ / 120780283 / JUIN 2013 54 En grande partie Les responsabilités en matière de sécurité des biens et des personnes sont définies. E2 Mettre en oeuvre de la sortie de secours ; - un projet, portant sur la capacité de neuf à dix-huit lits, a été validé par l'ARS le 29 mars 2010. Celui-ci prévoit l'aménagement de l'unité avec une cour fermée et sécurisée au rez-de-chaussée accessible par une autre unité de la filière addictologie. Il est à noter que la tolérance, admise au sein de cette unité, s'appuie sur la circulaire du 8 décembre 2006 mentionnant, à titre exceptionnel, et au regard des pathologies prises en charge. Oui Réponses aux EA Les situations identifiées font l'objet de dispositifs adaptés de sécurité (installations, équipements, consignes, sensibilisation et formation). E3 Evaluer et améliorer Oui Réponses aux EA Le niveau de sécurité des biens et des personnes est évalué et des actions d'amélioration sont mises en oeuvre. Constats Constats En grande partie CENTRE HOSPITALIER SAINTE MARIE DE RODEZ / 120780283 / JUIN 2013 55 Référence 6: La gestion des fonctions logistiques et des infrastructures Critère 6.b Gestion des infrastructures et des équipements (hors dispositifs médicaux) Cotation A E1 Prévoir Réponses aux EA La maintenance curative des équipements et des infrastructures est organisée. L'établissement dispose d'un programme de maintenance. E2 Mettre en oeuvre Oui Oui Réponses aux EA Les opérations de maintenance (curatives et préventives) assurées en interne et par des sociétés extérieures sont tracées et permettent un suivi des opérations. Le dépannage d'urgence des équipements et des infrastructures est opérationnel. Constats Constats Oui Oui CENTRE HOSPITALIER SAINTE MARIE DE RODEZ / 120780283 / JUIN 2013 56 E3 Evaluer et améliorer Réponses aux EA Le programme de maintenance est évalué et révisé à périodicité définie. Constats Oui CENTRE HOSPITALIER SAINTE MARIE DE RODEZ / 120780283 / JUIN 2013 57 Référence 6: La gestion des fonctions logistiques et des infrastructures Critère 6.c Qualité de la restauration Cotation A E1 Prévoir Réponses aux EA Il existe une organisation permettant, dès l'admission du patient, de recueillir ses préférences alimentaires. Les attentes des professionnels en matière de restauration sont recueillies. E2 Mettre en oeuvre Constats Oui Oui Réponses aux EA Constats Les préférences des patients sont prises en compte. Oui Des solutions de restauration sont proposées aux accompagnants. Oui CENTRE HOSPITALIER SAINTE MARIE DE RODEZ / 120780283 / JUIN 2013 58 E3 Evaluer et améliorer Réponses aux EA La satisfaction des consommateurs concernant la prestation restauration est évaluée et des actions d'amélioration sont mises en oeuvre. Constats Oui CENTRE HOSPITALIER SAINTE MARIE DE RODEZ / 120780283 / JUIN 2013 59 Référence 6: La gestion des fonctions logistiques et des infrastructures Critère 6.d Gestion du linge Cotation A E1 Prévoir Réponses aux EA Constats Le circuit du linge est défini. Oui Les besoins par secteur sont quantifiés et incluent les demandes en urgence. E2 Mettre en oeuvre Oui Réponses aux EA La gestion du linge assure le respect des règles d'hygiène. Les approvisionnements correspondent aux besoins des secteurs. Constats Oui Oui CENTRE HOSPITALIER SAINTE MARIE DE RODEZ / 120780283 / JUIN 2013 60 Des contrôles bactériologiques et visuels du linge sont réalisés. E3 Evaluer et améliorer Oui Réponses aux EA La satisfaction sur la qualité du linge fourni au patient est évaluée à périodicité définie et des actions d'amélioration sont mises en oeuvre. Constats Oui CENTRE HOSPITALIER SAINTE MARIE DE RODEZ / 120780283 / JUIN 2013 61 Référence 6: La gestion des fonctions logistiques et des infrastructures Critère 6.e Fonction transport des patients Cotation A E1 Prévoir Réponses aux EA Constats La fonction transport des patients est organisée. Oui E2 Mettre en oeuvre Réponses aux EA Les transports respectent les exigences d'hygiène et de sécurité. Les transports sont réalisés dans le respect de la dignité, de la confidentialité et du confort du patient. E3 Evaluer et améliorer Constats Oui Oui Réponses aux EA CENTRE HOSPITALIER SAINTE MARIE DE RODEZ / 120780283 / JUIN 2013 Constats 62 La satisfaction et les délais d'attente sont évalués à périodicité définie et des actions d'amélioration sont mises en oeuvre. En grande partie CENTRE HOSPITALIER SAINTE MARIE DE RODEZ / 120780283 / JUIN 2013 63 Référence 6: La gestion des fonctions logistiques et des infrastructures Critère 6.f Achats écoresponsables et approvisionnements Cotation B E1 Prévoir Réponses aux EA Les besoins des secteurs d'activité sont évalués sur le plan quantitatif et qualitatif en associant les utilisateurs. Oui La politique d'achat et de relations avec les fournisseurs prend en compte les principes applicables à un achat éco-responsable. Partiellement E2 Mettre en oeuvre Réponses aux EA Les secteurs d'activité utilisateurs sont approvisionnés à périodicité définie et en cas d'urgence. L'établissement initie une démarche d'achat écoresponsable pour certains produits et/ou services. Constats Constats Oui Partiellement CENTRE HOSPITALIER SAINTE MARIE DE RODEZ / 120780283 / JUIN 2013 64 E3 Evaluer et améliorer Réponses aux EA Des outils de suivi et d'évaluation de la politique d'achat sont mis en place. Constats Oui CENTRE HOSPITALIER SAINTE MARIE DE RODEZ / 120780283 / JUIN 2013 65 Référence 7: La qualité et la sécurité de l'environnement Critère 7.a Gestion de l'eau Cotation A E1 Prévoir Réponses aux EA Une démarche globale de gestion de la qualité de l'eau est définie et validée par l'EOH et/ou le CLIN (ou équivalents). La nature des effluents et les risques qu'ils génèrent sont identifiés. E2 Mettre en oeuvre Oui Oui Réponses aux EA Un plan de maintenance préventif et curatif des installations élaboré avec l'EOH et/ou le CLIN (ou équivalents) est mis en oeuvre. Des contrôles périodiques de l'eau sont menés en lien avec l'EOH et/ou le CLIN (ou équivalents) et tracés. Constats Constats Oui Oui CENTRE HOSPITALIER SAINTE MARIE DE RODEZ / 120780283 / JUIN 2013 66 Un suivi des postes de consommation d'eau est assuré. Oui Un suivi des différents types de rejets est assuré. Oui E3 Evaluer et améliorer Réponses aux EA Constats Des actions d'amélioration sont mises en oeuvre. Oui CENTRE HOSPITALIER SAINTE MARIE DE RODEZ / 120780283 / JUIN 2013 67 Référence 7: La qualité et la sécurité de l'environnement Critère 7.b Gestion de l'air Cotation A E1 Prévoir Réponses aux EA Une politique est définie en vue d'assurer la maîtrise du risque infectieux dans les zones à environnement maîtrisé. NA L'établissement est engagé dans la réduction des émissions atmosphériques globales. Constats Oui Des dispositions sont prévues en cas de travaux. Oui E2 Mettre en oeuvre Réponses aux EA Un plan et des procédures de surveillance et de maintenance de la qualité de l'air en concertation avec l'EOH et/ou le CLIN (ou équivalents) et le CHSCT sont mis en oeuvre. Constats Oui CENTRE HOSPITALIER SAINTE MARIE DE RODEZ / 120780283 / JUIN 2013 68 La traçabilité des différentes interventions est assurée. Oui E3 Evaluer et améliorer Réponses aux EA Les paramètres de la qualité de l'air font l'objet d'un suivi périodique. Constats Oui Des actions d'amélioration sont mises en oeuvre. Oui CENTRE HOSPITALIER SAINTE MARIE DE RODEZ / 120780283 / JUIN 2013 69 Référence 7: La qualité et la sécurité de l'environnement Critère 7.c Gestion de l'énergie Cotation B E1 Prévoir Réponses aux EA Constats Un diagnostic énergétique est réalisé. Partiellement Une politique de maîtrise des consommations et des dépenses d'énergie est définie. E2 Mettre en oeuvre Oui Réponses aux EA Un plan de maintenance des installations est mis en oeuvre. Un programme d'actions hiérarchisées de maîtrise de l'énergie est mis en oeuvre. Constats Oui En grande partie CENTRE HOSPITALIER SAINTE MARIE DE RODEZ / 120780283 / JUIN 2013 70 E3 Evaluer et améliorer Réponses aux EA Constats Un suivi périodique est réalisé. En grande partie Une réflexion sur l'utilisation des sources d'énergie renouvelable est engagée. En grande partie CENTRE HOSPITALIER SAINTE MARIE DE RODEZ / 120780283 / JUIN 2013 71 Référence 7: La qualité et la sécurité de l'environnement Critère 7.d Hygiène des locaux Cotation B E1 Prévoir Réponses aux EA Les actions à mettre en oeuvre pour assurer l'hygiène des locaux et leurs modalités de traçabilité sont définies avec l'EOH et/ou le CLIN (ou équivalents). Oui En cas de sous-traitance, un cahier des charges définit les engagements sur la qualité des prestations. Les responsabilités sont identifiées et les missions sont définies. E2 Mettre en oeuvre Oui Oui Réponses aux EA Des actions de sensibilisation et de formation périodiques sont menées. Constats Constats Oui CENTRE HOSPITALIER SAINTE MARIE DE RODEZ / 120780283 / JUIN 2013 72 Les procédures en matière d'hygiène des locaux sont mises en oeuvre. E3 Evaluer et améliorer Oui Réponses aux EA Des évaluations à périodicité définie sont organisées avec l'EOH et/ou le CLIN (ou équivalents). Partiellement Constats Des analyses bactériologiques des surfaces sont réalisées, de façon régulière, dans certains secteurs d'activité. Leurs résultats, ainsi que la traçabilité des plans de nettoyage de différents secteurs d'activité sont intégrés à un tableau d'indicateurs de gestion des risques. Le contrôle des pratiques de bionettoyage est normalement assuré auprès des équipes par l'infirmière biohygiéniste, mais celle-ci est maintenant absente depuis plusieurs mois (congé maladie), et aucun résultat d'évaluation régulière ou d'audit spécifique mené sur le sujet (qualité de la prestation ou des pratiques) n'était disponible au moment du passage des experts. Des actions d'amélioration sont mises en oeuvre. Partiellement CENTRE HOSPITALIER SAINTE MARIE DE RODEZ / 120780283 / JUIN 2013 73 Référence 7: La qualité et la sécurité de l'environnement Critère 7.e Gestion des déchets Cotation A E1 Prévoir Réponses aux EA L'établissement a catégorisé et quantifié sa production de déchets et d'effluents. La politique en matière de déchets est définie en concertation avec les instances concernées. Constats Oui Oui Les procédures de gestion des déchets sont établies. Oui E2 Mettre en oeuvre Réponses aux EA Constats Le tri des déchets est réalisé. Oui CENTRE HOSPITALIER SAINTE MARIE DE RODEZ / 120780283 / JUIN 2013 74 Des actions de sensibilisation et/ou de formation des professionnels sont organisées. Des mesures de protection du personnel sont mises en application pour la collecte et l'élimination des déchets. E3 Evaluer et améliorer Oui Oui Réponses aux EA Les dysfonctionnements en matière d'élimination des déchets sont identifiés et analysés. Des actions d'évaluation et d'amélioration relatives à la gestion des déchets sont conduites. L'établissement a identifié les filières locales de valorisation possible des déchets. Constats Oui Oui Oui CENTRE HOSPITALIER SAINTE MARIE DE RODEZ / 120780283 / JUIN 2013 75 PARTIE 3. MANAGEMENT DE LA QUALITÉ ET DE LA SÉCURITÉ DES SOINS CENTRE HOSPITALIER SAINTE MARIE DE RODEZ / 120780283 / JUIN 2013 76 Référence 8: Le programme global et coordonné de management de la qualité et des risques Critère 8.a Programme d'amélioration de la qualité et de sécurité des soins Cotation B E1 Prévoir Réponses aux EA Un programme d'amélioration de la qualité et de sécurité des soins est formalisé. Ce programme prend en compte l'analyse de la conformité à la réglementation, les dysfonctionnements et les risques majeurs et récurrents. Constats Oui En grande partie La prise en compte dans le programme de la conformité à la réglementation n'est pas complète. Elle concerne le risque incendie, le risque infectieux ou encore les risques professionnels. Cependant, la réglementation, relative à la gestion des risques liés aux soins (décret du 24 novembre 2010) ou encore à l'information du patient en cas de dommages associés aux soins, n'est pas prise en compte. Par ailleurs, les risques majeurs et récurrents comme les tentatives de suicide, les actes de violence ou encore les chutes, ne sont pas intégrés dans le programme d'amélioration de la qualité ni dans un programme global de gestion des risques. CENTRE HOSPITALIER SAINTE MARIE DE RODEZ / 120780283 / JUIN 2013 77 Les activités réalisées dans le cadre du dispositif d'accréditation des médecins, sont prises en compte. NA Le programme est soumis aux instances. Partiellement Le programme est soumis au comité de pilotage de la qualité et de la gestion des risques dont le président de CME est membre. Il comprend des actions relevant spécifiquement de la CME. Mais le programme qualité-gestion des risques global n'est pas présenté à la CME ni à d'autres instances de l'établissement. E2 Mettre en oeuvre Réponses aux EA Constats Des plans d'actions d'amélioration de la qualité et de sécurité des soins sont mis en oeuvre dans les secteurs d'activité. Oui E3 Evaluer et améliorer Réponses aux EA Le suivi des plans d'actions des secteurs d'activité est assuré. L'efficacité du programme d'amélioration de la qualité et de la sécurité des soins est évaluée annuellement. Le programme est réajusté en fonction des résultats des évaluations. Constats Oui Partiellement Partiellement CENTRE HOSPITALIER SAINTE MARIE DE RODEZ / 120780283 / JUIN 2013 78 Référence 8: Le programme global et coordonné de management de la qualité et des risques Critère 8.b Fonction gestion des risques Cotation B E1 Prévoir Réponses aux EA Une fonction « Gestion des risques » est définie dans l'établissement. E2 Mettre en oeuvre Oui Constats L'établissement a recruté un ingénieur qualité - gestion des risques en charge plus spécifiquement de la gestion des risques (septembre 2012). Un organigramme fonctionnel de la gestion des risques a été formalisé. Les missions ainsi que le temps dédié à l’exercice de la fonction sont définies.Le coordonnateur de la gestion des risques liés aux soin ainsi que celui du management de la qualité de la prise en charge médicamenteuse sont désignés. Réponses aux EA L'établissement assure la mobilisation de toutes les compétences utiles autour des objectifs du programme de gestion des risques. Oui Constats La composition du CCGR permet de mobiliser les structures impliquées dans les fonctions qualité et gestion des risques, les vigilances, le CLIN, la pharmacie, le service de prévention et sécurité, la direction des soins.Fin novembre 2011 une nouvelle méthodologie de cartographie et hiérarchisation des risques a été présentée et validée par le Comité de Coordination de la Gestion des Risques. Deux grandes catégories de risques ont été retenues:les risques liés à la prise en charge du patient et les risques liés à la vie CENTRE HOSPITALIER SAINTE MARIE DE RODEZ / 120780283 / JUIN 2013 79 E3 Evaluer et améliorer Les conditions d'exercice de la fonction « Gestion des risques » sont évaluées. Oui hospitalière(identification de l'ensemble des risques fin 2012)Chaque groupe est piloté par un professionnel qui a en charge la convocation aux réunions, l’animation des réunions et la traçabilité des travaux menés; le service qualité vient en appui, à la demande des pilotes. Réponses aux EA Constats Partiellement Le comité de coordination de la gestion des risques procède au suivi des actions de réduction des risques intégrées dans les plans d'actions d'amélioration de la qualité. La fonction de gestion des risques sera évaluée fin 2012 en fonction des objectifs posés dans le programme de gestion des risques 2012. CENTRE HOSPITALIER SAINTE MARIE DE RODEZ / 120780283 / JUIN 2013 80 Référence 8: Le programme global et coordonné de management de la qualité et des risques Critère 8.c Obligations légales et réglementaires Cotation A E1 Prévoir Réponses aux EA Une veille réglementaire est organisée par un responsable identifié. Constats Oui La direction établit un plan de priorisation des actions à réaliser suite aux contrôles internes et externes. Ce plan prend en compte la parution de nouvelles exigences réglementaires. Oui E2 Mettre en oeuvre Réponses aux EA L'établissement met en œuvre les actions consécutives aux recommandations issues des contrôles réglementaires en fonction du plan de priorisation. Oui E3 Evaluer et améliorer Réponses aux EA CENTRE HOSPITALIER SAINTE MARIE DE RODEZ / 120780283 / JUIN 2013 Constats Constats 81 La direction assure un suivi du traitement des nonconformités. Oui CENTRE HOSPITALIER SAINTE MARIE DE RODEZ / 120780283 / JUIN 2013 82 Référence 8: Le programme global et coordonné de management de la qualité et des risques Critère 8.d Evaluations des risques a priori Cotation B E1 Prévoir Réponses aux EA L'établissement évalue les risques dans les secteurs d'activité. Les risques sont hiérarchisés selon une méthode définie. E2 Mettre en oeuvre En grande partie Constats En 2005, l'établissement a procédé au recensement des risques a priori dans les différents secteurs d'activité. Une hiérarchisation des risques a été réalisée, et des risques critiques ont été identifiés. Le document unique est actualisé annuellement. Des actions de réduction des risques sont conduites au cas par cas, mais elles ne sont pas intégrées dans un plan d'actions d'atténuation et de prévention des risques professionnels. Oui Réponses aux EA Des actions de prévention, d'atténuation et de récupération pour les activités de soins à risques sont mises en place. Constats En grande partie CENTRE HOSPITALIER SAINTE MARIE DE RODEZ / 120780283 / JUIN 2013 83 Les professionnels concernés sont formés à l'analyse des risques a priori. E3 Evaluer et améliorer En grande partie Réponses aux EA Un suivi de la mise en oeuvre de ces actions est réalisé à périodicité définie. Constats En grande partie L'analyse de leur efficacité est réalisée. En grande partie CENTRE HOSPITALIER SAINTE MARIE DE RODEZ / 120780283 / JUIN 2013 84 Référence 8: Le programme global et coordonné de management de la qualité et des risques Critère 8.e Gestion de crise Cotation B E1 Prévoir Réponses aux EA Constats Les situations de crise sont identifiées. Oui Une organisation destinée à faire face aux situations de crise est mise en place et diffusée à l'ensemble des professionnels concernés. Oui Les plans d'urgence sont établis. Oui E2 Mettre en oeuvre Réponses aux EA Constats Une cellule de crise est opérationnelle. En grande partie CENTRE HOSPITALIER SAINTE MARIE DE RODEZ / 120780283 / JUIN 2013 85 Les procédures d'alerte pour les situations de crise et les plans d'urgence sont opérationnelles. E3 Evaluer et améliorer Oui Réponses aux EA L'appropriation des procédures est évaluée suite à la réalisation d'exercices de gestion de crise ou par d'autres moyens adaptés. Il existe un système de retour d'expérience suite à ces exercices. Constats Partiellement Non CENTRE HOSPITALIER SAINTE MARIE DE RODEZ / 120780283 / JUIN 2013 86 Référence 8: Le programme global et coordonné de management de la qualité et des risques Critère 8.f Gestion des évènements indésirables Cotation A E1 Prévoir Réponses aux EA Une organisation est en place pour assurer le signalement et l'analyse des événements indésirables. Oui Constats Le dispositif de signalement et de traitement des évènements indésirables est défini dans une procédure connue et utilisée. L'établissement a mis en place une fiche d'amélioration de la qualité dédiée au signalement des évènements indésirables au quotidien et une fiche d'évènement sentinelle réservée à la déclaration des évènements graves. Celle-ci intègre une échelle de gravité renseignée par le déclarant.La fréquence des évènements sentinelles est suivie trimestriellement par un comité pluriprofessionnel.Pour tous les évènements signalés, les notions de gravité et de fréquence sont prises en compte directement au niveau des unités et de l'équipe pluridisciplinaire. Les évènements indésirables, liés à la pharmacovigilance, sont déclarés sur des supports différents, et sont directement traités par les pharmaciennes. Le COMEDIM en a connaissance et, de ce fait, l'information est transmise aux équipes par le personnel soignant présent au COMEDIMS. La coordination du recueil et de la diffusion des fiches CENTRE HOSPITALIER SAINTE MARIE DE RODEZ / 120780283 / JUIN 2013 87 Oui E2 Mettre en oeuvre Réponses aux EA Les professionnels sont formés à l'utilisation des supports de signalement. Les professionnels concernés sont formés aux processus de hiérarchisation et d'analyse des causes. L'analyse des causes profondes des événements indésirables graves est réalisée, en associant les acteurs concernés. E3 Evaluer et améliorer d'évènements indésirables est assurée, dans un premier temps, par le secrétariat de direction et le service qualité, puis au sein du CCGR et du comité de suivi des fiches d'évènement sentinelle. Oui Oui Oui Constats En décembre 2010 et janvier 2011, le service qualité-gestion des risques a conduit une sensibilisation des professionnels à l'utilisation des supports de signalement. L'information des personnels, nouvellement recrutés, est réalisée dans le cadre des journées d'intégration. En 2004, les deux responsables qualité ont bénéficié d'une formation à la gestion des risques intégrant le processus de hiérarchisation et l'analyse des causes.Ils ont assurés la formation des membres du CCGR.Une formation « Analyse des causes profondes des évènements indésirables graves », dispensée par un organisme extérieur, a eu lieu le 25 janvier 2012. Ont été formés: le directeur, deux médecins, le pharmacien chef, les cadres supérieurs de santé, l’infirmière générale et les membres du Comité de suivi des évènements indésirables. L'établissement a identifié des évènements indésirables graves, dont il assure un suivi quantitatif : les suicides ou tentatives, les fugues, les actes de violence graves. Les évènements font l'objet d'un examen en réunion du comité de suivi des fiches d'évènement sentinelle. Suite à cette formation ,le Comité de suivi des évènements indésirables a été mis en place:un plan d'actions a été défini et mis en œuvre,les fiches de déclaration ont été revues et réajustées en fonction de leur domaine d'application.Ces trois procédures sont accessibles à l’ensemble des salariés via la base documentaire intranet. L'analyse est effectuée ensuite en associant les acteurs concernés en réunion pluridisciplinaire. Réponses aux EA CENTRE HOSPITALIER SAINTE MARIE DE RODEZ / 120780283 / JUIN 2013 Constats 88 Des actions correctives sont mises en œuvre à la suite des analyses. Les causes profondes des événements indésirables récurrents font l'objet d'un traitement spécifique à l'échelle de l'établissement. Oui Le comité de coordination de la gestion des risques assure la coordination et le suivi des actions définies suite à l'analyse approfondie des causes.Ces actions sont intégrées dans un programme global de gestion des risques. Oui L’établissement relève l’ensemble des évènements indésirables déclarés par les professionnels. Une fois par trimestre, le Comité de suivi des Evènements Indésirables procède à l’analyse de ces fiches qui inclut l’analyse des évènements indésirable récurrents( les fugues, les chutes et les actes de violence). L'efficacité des actions correctives est vérifiée. Oui L'efficacité des mesures correctives, mises en œuvre, est réalisée à travers le suivi trimestriel de l'évolution du nombre d'événements sentinelles.La démarche est récente mais le suivi de la mise en œuvre des actions correctives montre que sur des actions immédiates, la réactivité a été bonne et a permis leur mise en oeuvre dans de très brefs délais CENTRE HOSPITALIER SAINTE MARIE DE RODEZ / 120780283 / JUIN 2013 89 Référence 8: Le programme global et coordonné de management de la qualité et des risques Critère 8.g Maîtrise du risque infectieux Cette grille est applicable dans les établissements disposant du score agrégé du tableau de bord des infections nosocomiales généralisé par le ministère de la Santé ou dans les établissements exclus du classement par ce même ministère pour absence de surveillance des infections du site opératoire. Cotation A Score agrégé du tableau de bord des infections nosocomiales Classe associée à la valeur du score agrégé Score à disposition de l’établissement au moment de la visite. Constats A CENTRE HOSPITALIER SAINTE MARIE DE RODEZ / 120780283 / JUIN 2013 90 Référence 8: Le programme global et coordonné de management de la qualité et des risques Critère 8.h Bon usage des antibiotiques Cotation A Indicateur ICATB du tableau de bord des infections nosocomiales Classe associée à la valeur du score ICATB Score à disposition de l’établissement au moment de la visite. E2 Mettre en oeuvre Constats A Réponses aux EA La réévaluation de l'antibiothérapie entre la 24e heure et la 72e heure est inscrite dans le dossier du patient. Oui CENTRE HOSPITALIER SAINTE MARIE DE RODEZ / 120780283 / JUIN 2013 91 Référence 8: Le programme global et coordonné de management de la qualité et des risques Critère 8.i Vigilances et veille sanitaire Cotation A E1 Prévoir Réponses aux EA Une organisation pour répondre à des alertes sanitaires descendantes et ascendantes est en place. Oui Une coordination entre les différentes vigilances, la veille sanitaire et la gestion globale de la qualité et des risques de l'établissement est organisée. Oui Une coordination est organisée entre l'établissement et les structures régionales (ou interrégionales) et nationales de vigilance et de veille sanitaire. En grande partie E2 Mettre en oeuvre Constats Réponses aux EA Constats Les vigilances et la veille sanitaire sont opérationnelles. Oui CENTRE HOSPITALIER SAINTE MARIE DE RODEZ / 120780283 / JUIN 2013 92 E3 Evaluer et améliorer Réponses aux EA Le bilan des vigilances et de la veille sanitaire contribue à la politique d'amélioration de la qualité et de la sécurité des soins. Oui CENTRE HOSPITALIER SAINTE MARIE DE RODEZ / 120780283 / JUIN 2013 Constats 93 Référence 8: Le programme global et coordonné de management de la qualité et des risques Critère 8.j Maîtrise du risque transfusionnel Ce critère est applicable uniquement aux établissements ayant une activité transfusionnelle. Cotation NA E1 Prévoir Réponses aux EA Le dispositif d'hémovigilance et de sécurité transfusionnelle est en place. E2 Mettre en oeuvre NA Réponses aux EA Les procédures relatives à la maîtrise du processus transfusionnel sont mises en oeuvre. E3 Evaluer et améliorer Constats NA Réponses aux EA La pertinence d'utilisation des produits sanguins labiles est évaluée. Constats Constats NA CENTRE HOSPITALIER SAINTE MARIE DE RODEZ / 120780283 / JUIN 2013 94 La maîtrise du processus transfusionnel est évaluée et donne lieu à des actions d'amélioration. NA CENTRE HOSPITALIER SAINTE MARIE DE RODEZ / 120780283 / JUIN 2013 95 Référence 8: Le programme global et coordonné de management de la qualité et des risques Critère 8.k Gestion des équipements biomédicaux Cotation B E1 Prévoir Réponses aux EA L'établissement a défini un système de gestion des équipements biomédicaux, comprenant un plan pluriannuel de remplacement et d'investissement. Une procédure (équipement de secours, solution dégradée ou dépannage d'urgence) permettant de répondre à une panne d'un équipement biomédical critique est formalisée et est opérationnelle. E2 Mettre en oeuvre En grande partie Oui Réponses aux EA Le système de gestion des équipements biomédicaux est mis en oeuvre sous la responsabilité d'un professionnel identifié. La maintenance des équipements biomédicaux critiques est assurée et les actions sont tracées. Constats Constats Oui Oui CENTRE HOSPITALIER SAINTE MARIE DE RODEZ / 120780283 / JUIN 2013 96 Les professionnels disposent des documents nécessaires à l'exploitation des équipements biomédicaux. E3 Evaluer et améliorer En grande partie Réponses aux EA La gestion des équipements biomédicaux est évaluée et donne lieu à des actions d'amélioration. Constats En grande partie CENTRE HOSPITALIER SAINTE MARIE DE RODEZ / 120780283 / JUIN 2013 97 Référence 9: La gestion des plaintes et l'évaluation de la satisfaction des usagers Critère 9.a Système de gestion des plaintes et des réclamations Cotation B E1 Prévoir Réponses aux EA La gestion des plaintes et des réclamations est organisée (CRU en place, procédure formalisée, responsabilités définies). Le système de gestion des plaintes et des réclamations est articulé avec le dispositif de signalement des événements indésirables. Oui Partiellement Constats L'établissement a défini une organisation pour la gestion des plaintes et des réclamations. Les responsabilités sont définies. Le responsable, chargé des relations avec les usagers, est identifié. Il existe un registre de gestion des plaintes et des réclamations. Le dispositif d'information des usagers est défini. L'établissement n'a pas mis en place un dispositif lui permettant d'échanger des informations sur les plaintes et les réclamations vers le système de déclaration des événements indésirables. Mais, un certain nombre de membres de la CRU (vice-président de la CME, infirmière générale et directeur) sont également membres du comité de suivi des FES. À ce titre, ils peuvent utilement assurer la transmission des informations. Les liens, entre les acteurs chargés des relations avec les usagers et la personne chargée de la fonction gestion des risques, ne sont pas formalisés. CENTRE HOSPITALIER SAINTE MARIE DE RODEZ / 120780283 / JUIN 2013 98 E2 Mettre en oeuvre Les plaintes et réclamations sont traitées en lien avec les professionnels concernés. Le plaignant est informé des suites données à sa plainte et des éventuelles actions correctives mises en oeuvre. E3 Evaluer et améliorer L'exploitation quantitative et qualitative des plaintes et des réclamations, incluant le suivi du délai de réponse au plaignant, contribue à l'élaboration du programme d'amélioration de la qualité de l'accueil et de la prise en charge. Réponses aux EA Constats Oui Les professionnels, concernés par les plaintes et les réclamations, sont associés aux actions correctives s'il y a lieu et aux réponses données au plaignant. Oui L'information au plaignant sur le traitement de sa plainte, ainsi que le rappel des modalités du dispositif de médiation sont systématiquement mis en oeuvre. Réponses aux EA Constats En grande partie Les plaintes et réclamations font l'objet d'une analyse qualitative et quantitative incluant le suivi du délai de réponse. Les résultats sont portés à la connaissance de la CRU. Toutefois, les recommandations émanant de la CRU ne sont pas intégrées au programme d'amélioration de la qualité et de la sécurité des soins. CENTRE HOSPITALIER SAINTE MARIE DE RODEZ / 120780283 / JUIN 2013 99 Référence 9: La gestion des plaintes et l'évaluation de la satisfaction des usagers Critère 9.b Evaluation de la satisfaction des usagers Cotation A E1 Prévoir Réponses aux EA Une stratégie d'évaluation de la satisfaction des usagers est définie en lien avec la CRU. E2 Mettre en oeuvre Les secteurs d'activité et les instances, dont la CRU, sont informés des résultats des évaluations de la satisfaction. E3 Evaluer et améliorer Oui Réponses aux EA La satisfaction des usagers est évaluée selon une méthodologie validée. Constats Constats Oui Oui Réponses aux EA CENTRE HOSPITALIER SAINTE MARIE DE RODEZ / 120780283 / JUIN 2013 Constats 100 Des actions d'amélioration sont mises en oeuvre au niveau des secteurs d'activité et font l'objet d'un suivi. La politique d'amélioration de la qualité et de sécurité des soins est revue à partir des résultats de l'évaluation. Oui En grande partie CENTRE HOSPITALIER SAINTE MARIE DE RODEZ / 120780283 / JUIN 2013 101 CHAPITRE 2: PRISE EN CHARGE DU PATIENT CENTRE HOSPITALIER SAINTE MARIE DE RODEZ / 120780283 / JUIN 2013 102 PARTIE 1. DROITS ET PLACE DES PATIENTS CENTRE HOSPITALIER SAINTE MARIE DE RODEZ / 120780283 / JUIN 2013 103 Référence 10: La bientraitance et les droits Critère 10.a - Santé mentale Prévention de la maltraitance et promotion de la bientraitance Cotation B E1 Prévoir Réponses aux EA Les modalités de signalement des cas de maltraitance sont définies et diffusées. Un état des lieux permettant d'identifier les situations, les risques et les facteurs de maltraitance est réalisé en lien avec la CRU. La promotion de la bientraitance est intégrée dans les projets de l'établissement (projet médical, projet de soins, projet social, etc.). E2 Mettre en oeuvre Partiellement Partiellement En grande partie Réponses aux EA L'expression des patients et de leurs proches est favorisée. Constats Constats Oui CENTRE HOSPITALIER SAINTE MARIE DE RODEZ / 120780283 / JUIN 2013 104 Des actions de sensibilisation des professionnels à la prévention de la maltraitance et à la promotion de la bientraitance sont mises en oeuvre. Des actions visant la prévention de la maltraitance et la promotion de la bientraitance sont mises en oeuvre. E3 Evaluer et améliorer Les actions visant la prévention de la maltraitance et la promotion de la bientraitance sont suivies et évaluées. En grande partie En grande partie Réponses aux EA Constats Non Les démarches mises en oeuvre, visant la prévention de la maltraitance et la promotion de la bientraitance, sont trop récentes pour avoir fait l'objet d'un suivi et d'une évaluation. CENTRE HOSPITALIER SAINTE MARIE DE RODEZ / 120780283 / JUIN 2013 105 Référence 10: La bientraitance et les droits Critère 10.b - Santé mentale Respect de la dignité et de l'intimité du patient Cotation B E1 Prévoir Réponses aux EA Les projets de l'établissement (projets des secteurs d'activité, projets architecturaux) intègrent les dimensions de respect de la dignité et de l'intimité du patient. E2 Mettre en oeuvre Les conditions d'hébergement permettent le respect de la dignité et de l'intimité des patients. E3 Evaluer et améliorer En grande partie Réponses aux EA Les soins, y compris d'hygiène, sont réalisés dans le respect de la dignité et de l'intimité des patients. Constats Constats Oui En grande partie Réponses aux EA CENTRE HOSPITALIER SAINTE MARIE DE RODEZ / 120780283 / JUIN 2013 Constats 106 L'évaluation du respect de la dignité et de l'intimité des patients donne lieu à des actions d'amélioration. En grande partie CENTRE HOSPITALIER SAINTE MARIE DE RODEZ / 120780283 / JUIN 2013 107 Référence 10: La bientraitance et les droits Critère 10.c - Santé mentale Respect de la confidentialité des informationsrelatives au patient Cotation B E1 Prévoir Réponses aux EA Les mesures, permettant le respect de la confidentialité des informations relatives au patient, sont identifiées. E2 Mettre en oeuvre En grande partie Réponses aux EA L'organisation et les pratiques de l'établissement permettent le respect de la confidentialité des informations relatives au patient. Les modalités de partage des informations relatives au patient permettent le respect de la confidentialité. Les professionnels sont sensibilisés au respect de la confidentialité des informations relatives au patient. Constats Constats En grande partie En grande partie Oui CENTRE HOSPITALIER SAINTE MARIE DE RODEZ / 120780283 / JUIN 2013 108 E3 Evaluer et améliorer Réponses aux EA L'établissement évalue le respect de la confidentialité des informations relatives au patient. Des actions d'amélioration en matière de respect de la confidentialité des informations relatives au patient sont menées. Constats Partiellement Partiellement CENTRE HOSPITALIER SAINTE MARIE DE RODEZ / 120780283 / JUIN 2013 109 Référence 10: La bientraitance et les droits Critère 10.d - Santé mentale Accueil et accompagnement de l'entourage Cotation A E1 Prévoir Réponses aux EA Des modalités d'accueil et d'accompagnement de l'entourage sont définies. Une organisation permet l'accueil et la présence en continu des parents des enfants hospitalisés. E2 Mettre en oeuvre En grande partie NA Réponses aux EA L'accès aux secteurs d'hospitalisation est facilité (horaires de visites, etc.) pour l'entourage. L'entourage des patients bénéficie d'un accueil personnalisé et de soutien dans les situations qui le nécessitent. Constats Constats Oui Oui CENTRE HOSPITALIER SAINTE MARIE DE RODEZ / 120780283 / JUIN 2013 110 E3 Evaluer et améliorer Réponses aux EA L'évaluation de la satisfaction de l'entourage donne lieu à des actions d'amélioration en lien avec la CRU. Constats Oui CENTRE HOSPITALIER SAINTE MARIE DE RODEZ / 120780283 / JUIN 2013 111 Référence 10: La bientraitance et les droits Critère 10.e - Santé mentale Gestion des mesures de restriction de liberté Cotation A E1 Prévoir Réponses aux EA Les projets médicaux et/ou de secteurs d'activité identifient les situations nécessitant une restriction de liberté, en particulier la liberté d'aller et venir (isolement et contention, mais aussi limitation des contacts, des visites, retrait des effets personnels, etc.). Oui E2 Mettre en oeuvre Réponses aux EA Les restrictions de liberté font l'objet d'une concertation de l'équipe soignante intégrant la réflexion bénéficerisque et la recherche du consentement du patient. Les restrictions de liberté font l'objet d'une prescription médicale écrite, réévaluée à périodicité définie. E3 Evaluer et améliorer Constats Constats Oui Oui Réponses aux EA CENTRE HOSPITALIER SAINTE MARIE DE RODEZ / 120780283 / JUIN 2013 Constats 112 Le respect des bonnes pratiques en matière de restriction de liberté est évalué à périodicité définie, en lien avec les structures concernées (espace de réflexion éthique ou équivalent, CRU, CME, CSIRMT, etc.). En grande partie Des actions d'amélioration sont mises en place. En grande partie CENTRE HOSPITALIER SAINTE MARIE DE RODEZ / 120780283 / JUIN 2013 113 Référence 11: L'information, la participation et le consentement du patient Critère 11.a - Santé mentale Information du patient sur son état de santé et les soins possibles Cotation B E1 Prévoir Réponses aux EA Une organisation relative à l'information donnée au patient est définie. Les patients sont informés de la possibilité de désigner une personne de confiance. E2 Mettre en oeuvre En grande partie Oui Réponses aux EA Des modalités spécifiques d'information sont mises en oeuvre en cas de diagnostic grave, d'aggravation de l'état de santé et en fonction du type d'hospitalisation (HDT, HO, injonction thérapeutique, etc.). L'accès à des ressources d'information diversifiées (support écrit, espace d'information, etc.) est facilité. Constats Constats En grande partie En grande partie CENTRE HOSPITALIER SAINTE MARIE DE RODEZ / 120780283 / JUIN 2013 114 E3 Evaluer et améliorer Réponses aux EA L'évaluation de la satisfaction du patient quant à l'information reçue, donne lieu à des actions d'amélioration. Constats Oui CENTRE HOSPITALIER SAINTE MARIE DE RODEZ / 120780283 / JUIN 2013 115 Référence 11: L'information, la participation et le consentement du patient Critère 11.b - Santé mentale Consentement et participation du patient Cotation B E1 Prévoir Réponses aux EA Une organisation est définie permettant le recueil du consentement éclairé et, le cas échéant, du refus de soins. E2 Mettre en oeuvre Oui Réponses aux EA La participation du patient et, s'il y a lieu, de son entourage dans la construction et la mise en oeuvre du projet personnalisé de soins est favorisée. Constats Constats Oui Des interventions, visant la recherche d'adhésion du patient au projet de soins proposé, sont réalisées dans les cas d'hospitalisation sans consentement, d'injonction thérapeutique ou de refus de soins. Oui E3 Evaluer et améliorer Réponses aux EA CENTRE HOSPITALIER SAINTE MARIE DE RODEZ / 120780283 / JUIN 2013 Constats 116 L'évaluation du recueil du consentement du patient donne lieu à des actions d'amélioration. Partiellement CENTRE HOSPITALIER SAINTE MARIE DE RODEZ / 120780283 / JUIN 2013 117 Référence 11: L'information, la participation et le consentement du patient Critère 11.c - Santé mentale Information du patient en cas de dommage lié aux soins Cotation B E1 Prévoir Réponses aux EA Une démarche structurée d'information du patient en cas de dommage lié aux soins est définie. E2 Mettre en oeuvre Oui Constats l’information du patient en cas de dommage associé aux soins a été définie et formalisée dans 4 documents : procédure globale, check-list des différentes étapes de l’annonce, plaquette d’information pour les professionnels et fiche de traçabilité et de suivi dans le dossier informatisé. Les différents documents ont été validés par la CME.Ces documents, indexés dans le cadre de la procédure documentaire sont mis à la disposition de tous les professionnels sur la base documentaire informatisée. Réponses aux EA Des actions de formation des professionnels à la démarche d'information du patient en cas de dommage lié aux soins sont menées. En grande partie Constats Tous les cadres soignants ont été sensibilisés lors d’une réunion en Mai 2012 et ont relayé cette information auprès de leurs équipes, remis la plaquette et expliqués les autres documents (procédure et check-list). Une formation « dommages associé aux soins » est inscrite au plan de formation pluriannuel 2012/2013 pour les personnels médicaux et paramédicaux. L’organisme a été retenu et le contenu de la formation est formalisé. CENTRE HOSPITALIER SAINTE MARIE DE RODEZ / 120780283 / JUIN 2013 118 Les professionnels mettent en oeuvre cette démarche. Oui E3 Evaluer et améliorer Les professionnels disposent depuis juin 2012 de l’ensemble des éléments permettant de mettre en œuvre cette démarche (procédure, check-list et plaquette). Réponses aux EA La démarche d'information du patient en cas de dommage lié aux soins est évaluée et améliorée. Non Constats La démarche d'information du patient, en cas de dommages liés aux soins n'est pas évaluée. CENTRE HOSPITALIER SAINTE MARIE DE RODEZ / 120780283 / JUIN 2013 119 Référence 12: La prise en charge de la douleur Critère 12.a - Santé mentale Prise en charge de la douleur Cotation B E1 Prévoir Réponses aux EA La stratégie de prise en charge de la douleur est formalisée dans les différents secteurs de l'établissement en concertation avec le CLUD (ou équivalent). Oui Des protocoles analgésiques, issus des recommandations de bonne pratique et adaptés au type de chirurgie pratiquée, à la pathologie donnée, aux types de patients, à la douleur induite par les soins, sont définis. Oui E2 Mettre en oeuvre Réponses aux EA Constats L'établissement a mis en place, depuis septembre 2008, la commission douleur en santé mentale (CDSM). La CDSM a élaboré sa stratégie, et a identifié les objectifs à atteindre. Notamment, elle a la charge de déployer, sur l'ensemble de l'établissement, la prise en charge de la douleur. La politique de prise en charge de la douleur sera inscrite dans le projet d'établissement 2014-2019. Des protocoles analgésiques, issus des recommandations de bonne pratique, sont définis (exemples : administration des médicaments antalgiques palier I, prescription des opiacés, administration et évaluation, prise en charge de la douleur en soins palliatifs, etc.). Les protocoles sont adaptés aux prises en charge et accessibles aux professionnels sur la base documentaire informatisée. CENTRE HOSPITALIER SAINTE MARIE DE RODEZ / 120780283 / JUIN 2013 Constats 120 Des formations/actions sont mises en œuvre dans les secteurs d'activité. Les secteurs d'activité mettent en place l'éducation du patient à la prise en charge de la douleur. La traçabilité des évaluations de la douleur dans le dossier du patient est assurée. Les professionnels de santé s'assurent du soulagement de la douleur. Oui Oui Partiellement En grande partie Le plan de formation de l'établissement intègre une formation à la prise en charge de la douleur qui tient compte des besoins en formation et des objectifs fixés notamment une formation spécifique à la prise en charge en psychogeriatrie. Une infirmière de la CDSM a été en stage, pendant trois jours, dans le centre d'évaluation de la douleur du CHU de Montpellier. Deux médecins généralistes ont participé à des congrès autour de ce thème, de même d'autres membres de la CDSM. Une information est donnée, lors de la remise au patient du livret d'accueil, qui contient un volet spécifique à ce sujet. Une fiche de présentation et d'information sur la douleur a été élaborée. Ce document validé par la CME sert de support aux rencontres soignant-médecin-patient organisées dans l'unité de soins pour tout patient exprimant un symptôme douloureux. Le logiciel dossier patient permet la traçabilité de l'évaluation de la douleur dans un champ identifié, de même pour l'utilisation des échelles. Les professionnels sont informés de cette possibilité, mais ils n'ont pas encore intégré dans leur pratique ce type d'évaluation. La trace de cette mesure n'est pas homogène selon les services. L'évaluation de la douleur est réalisée pour vérifier l'efficacité du traitement administré ; ce dernier est ajusté en fonction des évaluations. Les modifications du traitement sont tracées sur les prescriptions médicales. En revanche, la traçabilité de l'évaluation n'est pas assurée, les supports étant encore multiples : observations médicales, transmissions ciblées, champ identifié pour l'évaluation. CENTRE HOSPITALIER SAINTE MARIE DE RODEZ / 120780283 / JUIN 2013 121 Des moyens d'évaluation de la douleur pour les patients non communicants (échelles d'hétéroévaluation) sont mis à la disposition des professionnels. Oui Des échelles, spécifiques pour les patients non communicants (ex. : algoplus), sont mises à disposition des professionnels sur la base intranet. E3 Evaluer et améliorer Réponses aux EA Constats Les responsables des secteurs d'activité s'assurent de l'appropriation et de l'utilisation des outils par les professionnels. La qualité et l'efficacité de la prise en charge de la douleur sont évaluées à périodicité définie sur le plan institutionnel. En grande partie Partiellement Des actions d'amélioration sont mises en place. Oui Les cadres, responsables des différentes unités, sont chargés d'assurer la mise en oeuvre des protocoles validés. Une évaluation de l'utilisation des grilles, mises à disposition depuis février 2010, a été réalisée par le DIM le 30 mars 2011. Une évaluation a été réalisée à l’initiative de la commission douleur en santé mentale (CDSM) sur l’ensemble de l’hôpital en octobre 2011 avec un retour de 54%. 5 thèmes ont été identifiés : généralités, connaissances, évaluation de la douleur, traçabilité et suivi de la prise en charge. Les outils d’évaluation ne sont pas systématiquement utilisés et un taux de traçabilité voisin de 50%. Le support de traçabilité est connu mais non utilisé de façon homogène.2 référents douleur ont été nommés . Le questionnaire de satisfaction du patient mentionne, dans un item, la prise en charge de la douleur, et les réponses globales font l'objet d'un traitement annuel. Cependant, le taux de retour du questionnaire est relativement faible (226 pour l'année 2010), afin de permettre une évaluation de la qualité et de l'efficacité de la prise en charge. Suite à l’évaluation réalisée en octobre 2011 des actions d’amélioration ont été mises en place. L’informatisation de la grille d’évaluation de la douleur sur Cariatides, la mise en place d’indicateurs depuis avril 2012, la mise en place de soignants référents douleur dans les unités de soins en juin 2012 et la formation douleur a été renforcée et intégrée dans le plan de formation de l’établissement 2013. CENTRE HOSPITALIER SAINTE MARIE DE RODEZ / 120780283 / JUIN 2013 122 L'établissement participe à des partages d'expériences sur les organisations et les actions mises en place, notamment dans les régions. Oui La CDSM a intégré l'inter -CLUD de Midi- Pyrénées via internet en juin 2012 et les membres de la CDSM participent à des congrès et colloques. CENTRE HOSPITALIER SAINTE MARIE DE RODEZ / 120780283 / JUIN 2013 123 Référence 13: La fin de vie Critère 13.a - Santé mentale Prise en charge et droits des patients en fin de vie Ce critère s'applique à tous les établissements accueillant des patients en fin de vie. Cotation B E1 Prévoir Réponses aux EA Une organisation, permettant l'évaluation et la prise en charge des besoins des patients en fin de vie, est en place. Des modalités de recueil de la volonté du patient et, le cas échéant, de conservation des directives anticipées sont définies. En grande partie Oui Constats L'établissement pratique, occasionnelllement, la prise en charge des fins de vie, notamment dans la filière psychogériatrie. Cette prise en charge spécifique s'effectue, dans le cadre d'une évolution de l'état de santé du patient, au cours de son hospitalisation. Un protocole de prise en charge a été formalisé « Soins palliatifs et prise en charge de la douleur ». Il détermine la prise en charge de la douleur des patients en fin de vie. La prise en charge de fin de vie est organisée autour du médecin psychiatre, du médecin somaticien et de l'équipe paramédicale. Elle est adaptée au cas par cas. Néanmoins, l'établissement n'a pas formalisé de convention avec l'équipe de soins palliatifs de Rodez. Les modalités de recueil de la volonté du patient, de conservation des directives anticipées sont précisées dans le livret d'accueil du patient, au bureau des entrées pour la fiche de recueil et dans des documents spécifiques pour les professionnels. Ces différentes documents décrivent la procédure, CENTRE HOSPITALIER SAINTE MARIE DE RODEZ / 120780283 / JUIN 2013 124 Oui Les patients adultes reçoivent des informations écrites sur leur droit d'accepter ou de refuser des traitements de maintien en vie ou les traitements de réanimation, et sur leur droit d'établir des directives anticipées. Oui E2 Mettre en oeuvre Réponses aux EA La démarche palliative est mise en œuvre dans les secteurs concernés par les situations de fin de vie. Les acteurs de soins concernés sont informés des dispositifs légaux concernant les droits des patients et la fin de la vie. L'action des associations d'accompagnement et de leurs bénévoles est facilitée. Oui Oui En grande partie permettant de tracer les éléments inhérents à la prise en charge de fin de vie, dans le dossier du patient. Les patients et entourage reçoivent une information écrite sur les principales dispositions de la loi du 22 avril 2005 avec la fiche de recueil. Constats Lorsqu'une démarche palliative est engagée, un projet de soins personnalisé de soins est défini et mis en place, associant les proches. Ceux-ci sont pris en charge dans une démarche d'accompagnement. Des réunions pluriprofessionnelles sont organisées tout au long de la prise en charge. Le plan pluriannuel de la filière psychogériatrie intègre des formations relatives à la fin de vie (accepter la mort, aide aux familles, faire face à la perte et au deuil en situation de soins, vers un travail avec les familles des personnes âgées, comment accompagner les aidants, etc.). Plusieurs actions de communication ont été dépoyées auprès des médecins et professionnels concernés par ce type de prise en charge : - lors de réunion de la commission douleur en santé mentale ; - au sein du pôle de psychogériatrie ; - sur le site intranet. Il existe un partenariat avec les associations ASP, réseau Palliance. Elles sont sollicitées lors des prises en charge. Les conditions d'intervention ne sont pas formalisées. CENTRE HOSPITALIER SAINTE MARIE DE RODEZ / 120780283 / JUIN 2013 125 Une concertation au sein de l'équipe soignante dans les situations de fin de vie est mise en œuvre. E3 Evaluer et améliorer Oui Lors des réunions pluriprofessionnelles, inhérentes à la prise en charge de fin de vie, une concertation entre tous les acteurs de celle-ci est réalisée. Réponses aux EA La prise en charge des patients en fin de vie fait l'objet d'une évaluation pluriprofessionnelle et en lien avec les structures concernées (comité d'éthique ou équivalent, CRU, CME, commission de soins, etc.). Les secteurs d'activité les plus concernés mettent en place une réflexion sur les situations d'obstination déraisonnable et la limitation ou l'arrêt de traitements à visée curative. Partiellement Oui Des actions d'amélioration sont mises en œuvre. Partiellement Constats La prise en charge des patients en fin de vie ne fait pas l'objet d'une évaluation pluriprofessionnelle dans le cadre de sa structuration ni en lien avec les instances concernées. La CME a été concertée pour la validation du protocole « Soins palliatifs et prise en charge de la douleur ». Lorsque la situation se présente, une réflexion est menée par l'équipe pluriprofessionnelle, et associant les proches. Deux actions d'amélioration ont été réalisées et sont en cours de déploiement : - la création de la commission douleur en santé mentale ; - le protocole « Soins palliatifs et douleur ». Il n'y a pas d'actions d'améliorations spécifiques, du fait de l'absence d'évaluation de la prise en charge de fin de vie. CENTRE HOSPITALIER SAINTE MARIE DE RODEZ / 120780283 / JUIN 2013 126 PARTIE 2. GESTION DES DONNÉES DU PATIENT CENTRE HOSPITALIER SAINTE MARIE DE RODEZ / 120780283 / JUIN 2013 127 Référence 14: Le dossier du patient Critère 14.a - Santé mentale Gestion du dossier du patient Cotation C E1 Prévoir Réponses aux EA Les règles de tenue du dossier sont formalisées et diffusées. En grande partie Constats Une solution, qui complète le dossier patient informatisé, a été déployée sur l'établissement courant 2010. Les différents professionnels ont été formés, et démontrent, d'ores et déjà, dans leur pratique quotidienne, une appropriation réelle de l'outil. Des règles d'utilisation de ce dossier sont établies au travers, notamment, des profils métiers, définis par le groupe projet, paramétrés dans le système et explicités aux utilisateurs dans le cadre des formations initiales. Certaines consignes d'utilisation ou procédures spécifiques sont disponibles sur intranet. Toutefois, il n'y a pas pas encore de document établissant les règles pour tous les aspects relatifs à la tenue du dossier patient informatisé, à l'équivalent de ce qui a été réalisé pour le précédent dossier papier, dont l'utilisation reste encore effective (dossiers archivés ou éléments du dossier qu'il n'est pas encore, partout ni toujours, possible d'intégrer au dossier informatisé : courrier d'adressage, demandes d'admission, certificats d'hospitalisatiuon sous contrainte, etc.). CENTRE HOSPITALIER SAINTE MARIE DE RODEZ / 120780283 / JUIN 2013 128 Les règles d'accès au dossier, comprenant les données issues de consultations ou hospitalisations antérieures, par les professionnels habilités sont formalisées et diffusées. En grande partie E2 Mettre en oeuvre Réponses aux EA Constats Partiellement Compte tenu de la clase de l'indicateur « Tenue du dossier » et de sa valeur de 50 %, avec un intervalle de confiance à 95 % de (48 % - 53 %) pour la campagne 2010. Les éléments constitutifs des étapes de la prise en charge du patient sont tracés en temps utile dans le dossier du patient. La communication du dossier entre les professionnels de l'établissement et avec les correspondants externes est assurée en temps utile. E3 Evaluer et améliorer En grande partie Les règles d'accès au dossier patient informatisé sont, pour l'instant, formalisées au travers des profils métiers et utilisateurs (personnalisés), paramétrés dans le système. Les profils génériques (psychiatres, médecins généralistes, infirmières, cadres, secrétaires médicales, assistantes sociales, etc.) sont définis pour l'ensemble des établissements de l'association Sainte-Marie. Un groupe de travail, associant les utilisateurs, sera constitué pour discuter des améliorations et adaptations possibles au niveau local. Les règles de conservation et d'archivage sont établies, formalisées et diffusées concernant les dossiers papier (archives centrale ou stockage des dossiers encore actifs sur les différentes structures externalisées). Une organisation est en place, et assure la disponibilité, la localisation et la traçabilité des mouvements des dossiers. Les éléments, du dossier patient les concernant, sont accessibles aux professionnels de l'établissement via le dossier informatisé ou les archives papier. Le dossier ne sort pas de l'établissement, sinon dans le cadre strict de la loi (demande de dossier par le patient ou ayant droit). Seuls les éléments, pouvant concerner la continuité de la prise en charge du patient, sont communiqués aux correspondants externes. Les modalités de communication des éléments du dossier entre professionnels sont, pour partie, formalisées. Les délais de mise à disposition des éléments, s'ils ne sont pas définis, sont néanmoins évalués et compatibles avec les différentes prises en charge ou les obligations réglementaires. Réponses aux EA CENTRE HOSPITALIER SAINTE MARIE DE RODEZ / 120780283 / JUIN 2013 Constats 129 L'évaluation de la gestion du dossier du patient est réalisée, notamment sur la base d'indicateurs. Les résultats des évaluations conduisent aux améliorations nécessaires. Oui Partiellement L'établissement recueille l'indicateur « Tenue du dossier ». Il a mis en oeuvre d'autres modalités d'évaluation. Des audits ont été réalisés sur certains items ciblés, relatifs à la gestion du dossier papier. Des indicateurs de suivi étaient également élaborés et, pour certains suivis, de façon informelle par le médecin DIM. Les résultats des évaluations réalisées (audits internes ou visites de certification) ont donné lieu, pour certains d'entre eux, à l'élaboration d'actions d'amélioration. Certaines de ces actions, inscrites au plan d'amélioration de la qualité, n'ont pas encore été initiées. Les résultats des premiers indicateurs IPAQSS obtenus (mars 2011) n'ont pas encore été analysés au niveau institutionnel. CENTRE HOSPITALIER SAINTE MARIE DE RODEZ / 120780283 / JUIN 2013 130 Référence 14: Le dossier du patient Critère 14.b - Santé mentale Accès du patient à son dossier Cotation A E1 Prévoir Réponses aux EA L'accès du patient à son dossier est organisé. Oui E2 Mettre en oeuvre Constats L'accès du patient à son dossier est organisé. La procédure d'accès est élaborée et mise en oeuvre, conformément à la réglementation. Les modalités d'accès, pour les dossiers de moins de cinq ans et de plus de cinq ans, sont définies. Réponses aux EA Le patient est informé des droits d'accès à son dossier. Oui L'accès du patient à son dossier est assuré dans des délais compatibles avec ses besoins. En grande partie Constats Les droits d'accès du patient à son dossier sont indiqués dans le livret d'accueil. Le livret est systématiquement remis à l'entrée du patient. Il comporte une fiche explicative d'accès aux informations personnelles. Par ailleurs, la charte de la personne hospitalisée est affichée dans tous les secteurs de l'établissement. L'établissement a mis en place des indicateurs de suivi, et une personne référente est identifiée. Elle assure le suivi et le respect des délais d'accès au dossier. Un tableau de bord de suivi des délais est élaboré. CENTRE HOSPITALIER SAINTE MARIE DE RODEZ / 120780283 / JUIN 2013 131 E3 Evaluer et améliorer L'évaluation des délais de transmission des dossiers aux patients donne lieu à des actions d'amélioration. La CRU est informée du nombre de demandes, des délais de transmission et du suivi des actions d'amélioration mises en oeuvre. En grande partie L'accès du patient à son dossier est assuré dans les délais suivants : trente jours pour les délais réglementaires à deux mois, et onze jours pour les délais réglementaires à huit jours. Réponses aux EA Constats Oui L'évaluation des délais de transmission a donné lieu à des actions d'amélioration axées sur une relance des praticiens à périodicité définie et un suivi par la personne référente. Oui Le rapports annuel de la CRU comporte les éléments relatifs au nombre de demandes, aux délais de transmission et au suivi des dossiers et aux actions d'amélioration. CENTRE HOSPITALIER SAINTE MARIE DE RODEZ / 120780283 / JUIN 2013 132 Référence 15: L'identification du patient Critère 15.a - Santé mentale Identification du patient à toutes les étapes de sa prise en charge Cotation B E1 Prévoir Réponses aux EA Constats Une organisation et des moyens permettant de fiabiliser l'identification du patient, à toutes les étapes de sa prise en charge, sont définis. En grande partie L'établissement a récemment créé en janvier 2011, une cellule d'identitovigilance. Une procédure, relative à l'accueil du patient sur tous les secteurs de l'établissement, a été établie. Toutefois, la procédure n'a pas encore été diffusée à l'ensemble des secteurs cliniques. E2 Mettre en oeuvre Réponses aux EA Constats En grande partie Le personnel de l'accueil et les professionnels de santé ont été formés lors de la mise en place du dossier patient informatisé à la surveillance des erreurs d'identification. Toutefois, le plan de formation de l'établissement n'intègre pas de programme de formation à l'identitovigilance. Les personnels de l'accueil administratif et les professionnels de santé sont formés à la surveillance et à la prévention des erreurs d'identification du patient. Les personnels de l'accueil administratif mettent en oeuvre les procédures de vérification de l'identité du patient. Oui Les personnels de l'accueil administratif mettent en oeuvre des modes opératoires, adaptés au public accueilli. CENTRE HOSPITALIER SAINTE MARIE DE RODEZ / 120780283 / JUIN 2013 133 Les professionnels de santé vérifient la concordance entre l'identité du bénéficiaire de l'acte et la prescription avant tout acte diagnostique ou thérapeutique. Oui E3 Evaluer et améliorer Réponses aux EA La fiabilité de l'identification du patient à toutes les étapes de la prise en charge est évaluée à périodicité définie (indicateurs, audit), et les erreurs sont analysées et corrigées. Partiellement Les professionnels de santé ont mis en oeuvre des modalités de type : - référent du patient ; - présentation systématique des patients aux nouveaux agents ; - accompagnement des étudiants ; - accompagnement physique des patients dans tous les actes diagnostiques et thérapeutiques, permettant de vérifier la concordance entre le bénéficiaire de l'acte et la prescription. Constats Le département d'information médicale a mis en place des indicateurs permettant d'identifier les doublons et les homonymies. Les actions d'amélioration sont identifiées. Les erreurs sont analysées et corrigées. En revanche, le dispositif d'évaluation à toutes les étapes de la prise en charge n'est pas structuré, et l'établissement n'a pas mis en place un plan d'actions d'amélioration. CENTRE HOSPITALIER SAINTE MARIE DE RODEZ / 120780283 / JUIN 2013 134 PARTIE 3. PARCOURS DU PATIENT CENTRE HOSPITALIER SAINTE MARIE DE RODEZ / 120780283 / JUIN 2013 135 Référence 16: L'accueil du patient Critère 16.a - Santé mentale Dispositif d'accueil du patient Cotation A E1 Prévoir Réponses aux EA Constats Des modalités d'accueil du patient sont définies. Oui L'accueil et les locaux sont adaptés aux personnes handicapées. En l'absence de service d'urgence, des dispositions sont prises pour assurer la prise en charge des personnes se présentant pour une urgence. E2 Mettre en oeuvre En grande partie Oui Réponses aux EA Le patient reçoit une information claire, compréhensible et adaptée sur les conditions de séjour. Constats Oui CENTRE HOSPITALIER SAINTE MARIE DE RODEZ / 120780283 / JUIN 2013 136 Le personnel est formé à l'accueil et à l'écoute du patient. Oui Le temps d'attente prévisible est annoncé. Oui E3 Evaluer et améliorer Réponses aux EA Constats Le dispositif d'accueil du patient est évalué. En grande partie Des actions d'amélioration sont mises en œuvre en lien avec la CRU. Oui CENTRE HOSPITALIER SAINTE MARIE DE RODEZ / 120780283 / JUIN 2013 137 Référence 17: L'évaluation de l'état de santé du patient Critère 17.a - Santé mentale Evaluation initiale et continue de l'état de santé du patient et projet de soins personnalisé Cotation B E1 Prévoir Réponses aux EA La prise en charge du patient est établie en fonction d'une évaluation initiale de son état de santé et prend en compte l'ensemble de ses besoins. E2 Mettre en oeuvre Oui Réponses aux EA L'évaluation initiale du patient est réalisée dans un délai adapté à son état de santé. Un projet de soins personnalisés est élaboré avec les professionnels concernés (projet de vie en USLD). La réflexion bénéfice-risque est prise en compte dans l'élaboration du projet de soins personnalisés. Constats Constats Oui En grande partie Partiellement CENTRE HOSPITALIER SAINTE MARIE DE RODEZ / 120780283 / JUIN 2013 138 Le projet de soins personnalisés est réajusté en fonction d'évaluations périodiques de l'état de santé du patient, en impliquant le patient et s'il y a lieu l'entourage. En grande partie E3 Evaluer et améliorer Réponses aux EA Des actions d'évaluation sont conduites pour s'assurer de la traçabilité des informations. Des actions d'amélioration sont mises en place en fonction des résultats des évaluations. Constats Partiellement En grande partie CENTRE HOSPITALIER SAINTE MARIE DE RODEZ / 120780283 / JUIN 2013 139 Référence 18: La continuité et la coordination des soins Critère 18.a - Santé mentale Continuité et coordination de la prise en charge des patients Cotation B E1 Prévoir Réponses aux EA Des règles de présence ainsi qu'un système de gardes et astreintes sont définis afin d'assurer la permanence des soins 24 h/24. Des mécanismes de coordination permettent d'assurer le relais entre les équipes. Des modalités de transmission d'information entre les secteurs d'activité et avec les intervenants extérieurs sont définies. E2 Mettre en oeuvre Oui Oui Oui Réponses aux EA Les secteurs d'activité collaborent entre eux pour assurer une prise en charge multidisciplinaire du patient. Constats Constats En grande partie CENTRE HOSPITALIER SAINTE MARIE DE RODEZ / 120780283 / JUIN 2013 140 Des avis compétents sont recherchés dans l'établissement ou à l'extérieur, lorsque l'état du patient le nécessite. Un ou des professionnel(s) référent(s) est désigné pour la prise en charge du patient. Oui En grande partie E3 Evaluer et améliorer Réponses aux EA Les événements indésirables, relatifs à la continuité des soins, sont évalués, et des actions d'amélioration sont menées. En grande partie CENTRE HOSPITALIER SAINTE MARIE DE RODEZ / 120780283 / JUIN 2013 Constats 141 Référence 18: La continuité et la coordination des soins Critère 18.b - Santé mentale Prise en charge des urgences vitales survenant au sein de l'établissement Cotation B E1 Prévoir Réponses aux EA La procédure de prise en charge des urgences vitales au sein de l'établissement est définie. Oui E2 Mettre en oeuvre Réponses aux EA Les coordonnées des spécialistes à appeler en cas d'urgence vitale sont disponibles dans tous les secteurs d'activité. Oui Un matériel d'urgence opérationnel est disponible dans tous les secteurs de l'établissement. La formation des professionnels à l'utilisation de ce matériel et aux premiers gestes de secours est assurée. Constats Constats Oui En grande partie CENTRE HOSPITALIER SAINTE MARIE DE RODEZ / 120780283 / JUIN 2013 142 E3 Evaluer et améliorer Réponses aux EA L'organisation de la prise en charge des urgences vitales est évaluée à périodicité définie et des actions d'amélioration sont mises en oeuvre. Constats Partiellement CENTRE HOSPITALIER SAINTE MARIE DE RODEZ / 120780283 / JUIN 2013 143 Référence 19: Les prises en charge particulières Critère 19.a - Personnes âgées Populations nécessitant une prise en charge particulière Cotation A E1 Prévoir Réponses aux EA Constats Un projet de prise en charge spécifique est formalisé. Oui E2 Mettre en oeuvre Réponses aux EA La sensibilisation/formation auprès des professionnels concernant l'identification et la prise en charge des populations spécifiques est mise en oeuvre. La coordination des différents professionnels autour de cette prise en charge est effective. E3 Evaluer et améliorer Constats Oui Oui Réponses aux EA CENTRE HOSPITALIER SAINTE MARIE DE RODEZ / 120780283 / JUIN 2013 Constats 144 Le dispositif de prise en charge est ajusté en fonction d'évaluations régulières. L'établissement développe des réseaux ou dispose de conventions visant à favoriser l'accès aux soins. En grande partie En grande partie CENTRE HOSPITALIER SAINTE MARIE DE RODEZ / 120780283 / JUIN 2013 145 Référence 19: Les prises en charge particulières Critère 19.a - Patients porteurs de maladie chronique Populations nécessitant une prise en charge particulière Cotation B E1 Prévoir Réponses aux EA Constats Un projet de prise en charge spécifique est formalisé. Oui E2 Mettre en oeuvre Réponses aux EA La sensibilisation/formation auprès des professionnels concernant l'identification et la prise en charge des populations spécifiques est mise en oeuvre. La coordination des différents professionnels autour de cette prise en charge est effective. E3 Evaluer et améliorer Constats En grande partie Oui Réponses aux EA CENTRE HOSPITALIER SAINTE MARIE DE RODEZ / 120780283 / JUIN 2013 Constats 146 Le dispositif de prise en charge est ajusté en fonction d'évaluations régulières. L'établissement développe des réseaux ou dispose de conventions visant à favoriser l'accès aux soins. En grande partie En grande partie CENTRE HOSPITALIER SAINTE MARIE DE RODEZ / 120780283 / JUIN 2013 147 Référence 19: Les prises en charge particulières Critère 19.a - Enfants et adolescents Populations nécessitant une prise en charge particulière Cotation B E1 Prévoir Réponses aux EA Constats Un projet de prise en charge spécifique est formalisé. Partiellement E2 Mettre en oeuvre Réponses aux EA La sensibilisation/formation auprès des professionnels concernant l'identification et la prise en charge des populations spécifiques est mise en oeuvre. La coordination des différents professionnels autour de cette prise en charge est effective. E3 Evaluer et améliorer Constats En grande partie En grande partie Réponses aux EA CENTRE HOSPITALIER SAINTE MARIE DE RODEZ / 120780283 / JUIN 2013 Constats 148 Le dispositif de prise en charge est ajusté en fonction d'évaluations régulières. L'établissement développe des réseaux ou dispose de conventions visant à favoriser l'accès aux soins. En grande partie En grande partie CENTRE HOSPITALIER SAINTE MARIE DE RODEZ / 120780283 / JUIN 2013 149 Référence 19: Les prises en charge particulières Critère 19.a - Personnes atteintes d'un handicap Populations nécessitant une prise en charge particulière Cotation B E1 Prévoir Réponses aux EA Constats Un projet de prise en charge spécifique est formalisé. Oui E2 Mettre en oeuvre Réponses aux EA La sensibilisation/formation auprès des professionnels concernant l'identification et la prise en charge des populations spécifiques est mise en oeuvre. La coordination des différents professionnels autour de cette prise en charge est effective. E3 Evaluer et améliorer Constats En grande partie Oui Réponses aux EA CENTRE HOSPITALIER SAINTE MARIE DE RODEZ / 120780283 / JUIN 2013 Constats 150 Le dispositif de prise en charge est ajusté en fonction d'évaluations régulières. L'établissement développe des réseaux ou dispose de conventions visant à favoriser l'accès aux soins. En grande partie Partiellement CENTRE HOSPITALIER SAINTE MARIE DE RODEZ / 120780283 / JUIN 2013 151 Référence 19: Les prises en charge particulières Critère 19.a - Personnes démunies Populations nécessitant une prise en charge particulière Cotation B E1 Prévoir Réponses aux EA Constats Un projet de prise en charge spécifique est formalisé. En grande partie E2 Mettre en oeuvre Réponses aux EA La sensibilisation/formation auprès des professionnels concernant l'identification et la prise en charge des populations spécifiques est mise en oeuvre. La coordination des différents professionnels autour de cette prise en charge est effective. E3 Evaluer et améliorer Constats Partiellement Oui Réponses aux EA CENTRE HOSPITALIER SAINTE MARIE DE RODEZ / 120780283 / JUIN 2013 Constats 152 Le dispositif de prise en charge est ajusté en fonction d'évaluations régulières. L'établissement développe des réseaux ou dispose de conventions visant à favoriser l'accès aux soins. En grande partie En grande partie CENTRE HOSPITALIER SAINTE MARIE DE RODEZ / 120780283 / JUIN 2013 153 Référence 19: Les prises en charge particulières Critère 19.a - Personnes détenues Populations nécessitant une prise en charge particulière Cotation B E1 Prévoir Réponses aux EA Constats Un projet de prise en charge spécifique est formalisé. En grande partie E2 Mettre en oeuvre Réponses aux EA La sensibilisation/formation auprès des professionnels concernant l'identification et la prise en charge des populations spécifiques est mise en oeuvre. La coordination des différents professionnels autour de cette prise en charge est effective. E3 Evaluer et améliorer Constats En grande partie Oui Réponses aux EA CENTRE HOSPITALIER SAINTE MARIE DE RODEZ / 120780283 / JUIN 2013 Constats 154 Le dispositif de prise en charge est ajusté en fonction d'évaluations régulières. L'établissement développe des réseaux ou dispose de conventions visant à favoriser l'accès aux soins. En grande partie Oui CENTRE HOSPITALIER SAINTE MARIE DE RODEZ / 120780283 / JUIN 2013 155 Référence 19: Les prises en charge particulières Critère 19.b - Santé mentale Troubles de l'état nutritionnel Cotation B E1 Prévoir Réponses aux EA Les patients, ayant besoin d'une prise en charge nutritionnelle spécifique, sont identifiés. L'établissement organise la coordination des différents professionnels autour de cette prise en charge en lien avec le CLAN ou son équivalent. Oui Oui E2 Mettre en oeuvre Réponses aux EA Des actions d'éducation à la santé dans le domaine nutritionnel sont mises en oeuvre auprès des patients et de leur entourage. Partiellement Le poids et l'IMC à l'admission sont tracés dans le dossier du patient. Constats Constats Partiellement CENTRE HOSPITALIER SAINTE MARIE DE RODEZ / 120780283 / JUIN 2013 156 E3 Evaluer et améliorer Réponses aux EA Constats La qualité du dispositif de prise en charge est évaluée. En grande partie Des actions d'amélioration sont mises en place. Oui CENTRE HOSPITALIER SAINTE MARIE DE RODEZ / 120780283 / JUIN 2013 157 Référence 19: Les prises en charge particulières Critère 19.c - Santé mentale Risque suicidaire Cotation B E1 Prévoir Réponses aux EA Les patients présentant un risque suicidaire sont identifiés. E2 Mettre en oeuvre Les professionnels sont formés à la prise en charge des patients présentant un risque suicidaire. E3 Evaluer et améliorer En grande partie Réponses aux EA L'établissement assure la coordination des différents professionnels autour de la prise en charge de ces patients. Constats Constats Oui Oui Réponses aux EA CENTRE HOSPITALIER SAINTE MARIE DE RODEZ / 120780283 / JUIN 2013 Constats 158 Le dispositif de prise en charge est ajusté en fonction d'évaluations régulières. Le travail en réseau permet la coordination entre les différents acteurs et le suivi du patient. Partiellement Le dispositif, mis en place au travers de la grille RUD, est trop récent pour faire l'objet d'une évaluation globale (recensement de l'utilisation de la grille RUD dans les dossiers en mars 2011). En grande partie CENTRE HOSPITALIER SAINTE MARIE DE RODEZ / 120780283 / JUIN 2013 159 Référence 19: Les prises en charge particulières Critère 19.d Hospitalisation sans consentement Ce critère est applicable uniquement aux établissements de santé habilités à accueillir des personnes hospitalisées sans leur consentement (hospitalisation à la demande d'un tiers (HDT) ; hospitalisation d'office (HO)). Cotation A E1 Prévoir Réponses aux EA L'information de toute personne hospitalisée sans consentement (HDT ou HO) sur les modalités de son hospitalisation et les possibilités de recours est organisée. Les procédures d'hospitalisation sans consentement sont définies. E2 Mettre en oeuvre Oui Oui Réponses aux EA Une sensibilisation et une formation des professionnels à ces modalités d'hospitalisation sont mises en place. Constats Constats En grande partie Des procédures sont mises en oeuvre. Oui CENTRE HOSPITALIER SAINTE MARIE DE RODEZ / 120780283 / JUIN 2013 160 E3 Evaluer et améliorer Réponses aux EA Les modalités des hospitalisations sans consentement sont évaluées et des actions d'amélioration sont mises en oeuvre. Constats Oui CENTRE HOSPITALIER SAINTE MARIE DE RODEZ / 120780283 / JUIN 2013 161 Référence 20: La prise en charge médicamenteuse Critère 20.a - Santé mentale Démarche qualité de la prise en charge médicamenteuse du patient Cotation B E1 Prévoir Réponses aux EA L'établissement de santé a formalisé sa politique d'amélioration de la qualité de la prise en charge médicamenteuse du patient, en concertation avec les professionnels concernés. Le projet d'informatisation de la prise en charge médicamenteuse complète, intégré au système d'information hospitalier, est défini. Les règles et supports de prescription validés sont en place pour l'ensemble des prescripteurs. Non Oui Oui Constats La politique d'amélioration de la qualité de la prise en charge médicamenteuse du patient n'est pas formalisée, et non intégrée dans le projet d'établissement. Un logiciel de prescription est intégré à celui du dossier patient, en place depuis mars 2010. Le projet d'informatisation est intégré dans le schéma des systèmes d'information 2009-2013. À ce jour, le logiciel est déployé sur l'ensemble des unités d'hospitalisation et ambulatoire. Les règles de prescription sont définies dans le cadre du logiciel de prescription. Des procédures prescription des médicaments et gestion des stupéfiants sont en place. Le support de prescription est informatisé, validé et actualisé en lien avec le développement du logiciel de prescription. CENTRE HOSPITALIER SAINTE MARIE DE RODEZ / 120780283 / JUIN 2013 162 Oui Des outils d'aide actualisés et validés sont mis à la disposition des professionnels. La continuité du traitement médicamenteux est organisée, de l'admission jusqu'à la sortie, transferts inclus. Les modalités assurant la sécurisation de la dispensation des médicaments sont définies. Oui Oui Oui Des outils d'aide sont en place (Vidal électronique, Base Thésorimed, tableau d'équivalence, livret thérapeutique, etc.). Lors des réunions de la COMEDIMS, ces outils sont actualisés, et il est traité de manière systématique la pharmacovigilance via le bulletin, la lettre aux prescripteurs et recommandations de l'AFSSAPS, le livret thérapeutique, etc. Une procédure « Devenir des médicaments patients » est formalisée. À l'admission dans l'unité UADO, le traitement personnel du patient est pris en compte, et est intégré lors de l'évaluation intiale médicale. Dans les 24 heures et à la demande du médecin psychiatre, une consultation du médecin généraliste est réalisée. Les traitements du patient sont intégrés dans la prescription d'entrée et de sortie. Une organisation est en place, afin de sécuriser le circuit du médicament : - une analyse pharmaceutique est réalisée, et un avis est transmis au médecin prescription si nécessité ; - le transport des médicaments est sécurisé dans des mallettes spécifiques ; - les modalités de délivrance sont définies et mises en oeuvre ; - la gestion des stock est suivie ; - des informations et conseils aux professionnels concernés sont dispensés par les pharmaciennes et directrice des soins et cadre supérieur participant à la COMEDIMS ; - l'approvisionnement en urgence est défini. CENTRE HOSPITALIER SAINTE MARIE DE RODEZ / 120780283 / JUIN 2013 163 Les règles d'administration des médicaments sont définies et la traçabilité de l'acte est organisée. E2 Mettre en oeuvre Des actions de sensibilisation et de formation des professionnels aux risques d'erreurs médicamenteuses sont menées. L'informatisation de la prise en charge médicamenteuse est engagée. Oui Un guide de bonnes pratiques de l'administration des médicaments est formalisé et mis à disposition des professionnels. La traçabilité de l'administration est organisée via le logiciel. Une fiche technique « Validation de la non-administration d'un produit » est à disposition des professionnels sur intranet. Réponses aux EA Constats Oui Diverses actions de sensibilisation et de formation sont dispensées, de manière régulière, auprès des médecins et des professionnels, dans le cadre de la COMEDIMS (chapitre portant sur les erreurs médicamenteuses), de la CME, de réunions organisées sur le thème risque d'erreurs médicamenteuses et lors de visites de la pharmacienne au sein des unités de soins. Un document, indiquant les principaux risques d'erreurs liés à la pratique infirmière, est mis à la disposition des professionnels. Une fiche spécfique de déclaration d'erreurs médicamenteuses est en place. Oui Le logiciel de prescription informatisée assure toutes les étapes du circuit du médicament, depuis la prescription jusqu'à l'administration À ce jour, le logiciel est déployé sur l'ensemble des unités d'hospitalisation et ambulatoire. Oui Compte tenu de la valeur du critère « Rédaction des prescriptions médicamenteuses pendant l'hospitalisation » de l'indicateur « Tenue du dossier » et de sa valeur de 95 % pour la campagne 2010. Les règles de prescription sont mises en oeuvre. CENTRE HOSPITALIER SAINTE MARIE DE RODEZ / 120780283 / JUIN 2013 164 Le développement de l'analyse pharmaceutique des prescriptions et de la délivrance nominative des médicaments est engagé. Les bonnes pratiques de préparation sont appliquées (anticancéreux, radiopharmaceutiques, pédiatrie, etc.). Les professionnels de santé assurent l'information des patients sur le bon usage des médicaments. La traçabilité de l'administration des médicaments dans le dossier du patient est assurée. En grande partie L'analyse pharmaceutique est réalisée pour toutes les prescriptions. Un avis est transmis au médecin prescripteur si nécessaire. La délivrance nominative est effective pour les patients en accueil familial thérapeutique et pour des médicaments spécifiques (stupéfiants, antibiotiques). La dispensation est globale et hebdomadaire pour l'hospitalisation complète. Lors d'une COMEDIMS en 2009, il a été évoqué la question de la dispensation nominative. À ce jour, il n'y a pas de projet de déploiement de celle-ci. NA Partiellement En grande partie Un guide d'information, portant sur les médicaments psychotropes, est à la disposition des professionnels dans chacune des unités de soins. Des fiches d'informations sont également disponibles. Cependant, elles sont peu utilisées. Les situations, nécessitant une information des patients, sont identifiées (patients non observants, pathologie chronique, etc.). Toutefois, cette information n'est pas structurée, et l'ehxaustivité de la traçabilité n'est pas assurée. Le logiciel de prescription assure la traçabilité de l'administration des médicaments. Un guide de bonnes pratiques de l'administration est mis à la disposition des professionnels. La traçabilité est assurée par des professionnels habilités. Néanmoins, celle-ci n'est pas assurée en temps réel pour l'administration du matin (une unité, lors de l'audit, et une unité, lors de la visite de certification). Les résultats de l'audit, mené en novembre 2010, démontre une absence de traçabilité sur quelques lignes, et CENTRE HOSPITALIER SAINTE MARIE DE RODEZ / 120780283 / JUIN 2013 165 notamment lors de la prise du coucher. En grande partie E3 Evaluer et améliorer Réponses aux EA Un suivi d'indicateurs d'évaluation quantitatifs et qualitatifs, notamment en cohérence avec les engagements du contrat de bon usage des médicaments et des produits et prestations, est réalisé. Un audit périodique du circuit du médicament est réalisé, notamment sur la qualité de l'administration. Des actions visant le bon usage des médicaments sont mises en oeuvre (notamment sur la pertinence des prescriptions, etc.). En grande partie En grande partie Oui Constats Des indicateurs, quantitatifs et qualitatifs, sont définis et suivis (gestion des stocks, consommations, etc.) lors des réunions de la COMEDIMS. Toutefois, l'exploitation de ces indicateurs n'est pas optimisée en termes d'atteinte d'objectifs. Deux audits ont été réalisés (sur le circuit du médicament en 2006, sur l'administration du médicament en 2010). Différentes actions, visant le bon usage des médicaments ont été mises en oeuvre : - guide d'antibiothérapie ; - guide de prise en charge des escarres ; - protocole d'antalgiques ; - EPP portant sur la iatrogénie médicamenteuse chez le sujet âgé ; - EPP portant sur l'évaluation des prescriptions d'antipsychotiques et d'antiparkinsoniens de synthèse par rapport au RMO, et conseils d'utilisation. Des conseils pharmaceutiques, reprenant les recommandations de bonnes pratiques, sont portés sur les prescriptions médicales. Lors des COMEDIMS, le bon usage des médicaments est inscrit à l'ordre du jour. L'établissement n'est pas soumis au contrat du bon usage des médicaments. CENTRE HOSPITALIER SAINTE MARIE DE RODEZ / 120780283 / JUIN 2013 166 Le recueil et l'analyse des erreurs médicamenteuses sont assurés avec les professionnels concernés. Des actions d'amélioration sont mises en place à la suite des différentes évaluations effectuées et de l'analyse des erreurs, avec rétro-information des professionnels. Oui Oui Le recueil des erreurs médicamenteuses est assuré par la pharmacienne. Une fiche de déclaration d'erreur médicamenteuse est en place. Lors des COMEDIMS, un chapitre, portant sur les erreurs médicamenteuses, est inscrit à l'ordre du jour. Un document, indiquant les principaux risques d'erreurs liés à la pratique infirmière, est mis à la disposition des professionnels. Suite à l'audit sur l'administration des médicaments et sur l'analyse des erreurs médicamenteuses, un programme d'actions a été défini avec les responsabilités identifiées, échéanciers et indicateurs. CENTRE HOSPITALIER SAINTE MARIE DE RODEZ / 120780283 / JUIN 2013 167 Référence 20: La prise en charge médicamenteuse Critère 20.b - Santé mentale Prescription médicamenteuse chez le sujet âgé Ce critère est applicable uniquement aux établissements prenant en charge des patients âgés de plus de 65 ans. Cotation B E1 Prévoir Réponses aux EA Une réflexion est menée dans l'établissement sur les prescriptions médicamenteuses inappropriées chez le sujet âgé. E2 Mettre en oeuvre Des actions de sensibilisation et/ou de formation des professionnels sont menées au niveau de l'établissement. E3 Evaluer et améliorer En grande partie Réponses aux EA Des guides/outils de bonne prescription chez le sujet âgé sont mis à disposition des professionnels. Constats Constats Oui Partiellement Réponses aux EA CENTRE HOSPITALIER SAINTE MARIE DE RODEZ / 120780283 / JUIN 2013 Constats 168 La prescription médicamenteuse chez le sujet âgé est évaluée. Des actions d'amélioration et leurs suivis sont mis en oeuvre. Oui Non CENTRE HOSPITALIER SAINTE MARIE DE RODEZ / 120780283 / JUIN 2013 169 Référence 21: La prise en charge des analyses de biologie médicale Critère 21.a - Santé mentale Prescription d'analyses, prélèvement et transmission des résultats Cotation B E1 Prévoir Réponses aux EA Des règles de fonctionnement sont définies en concertation entre les secteurs d'activité clinique et les laboratoires de biologie médicale (y compris coopération et sous-traitance). E2 Mettre en oeuvre En grande partie Constats Les règles de fonctionnement sont définies entre les secteurs d'activité clinique et les laboratoires de biologie médicale. Toutefois, la convention, relative aux examens biologiques, n'a pas été renouvelée dans le respect de l'ordonnance du 13 janvier 2010 sur la réforme de la biologie médicale. Réponses aux EA Des outils d'aide à la prescription et au prélèvement, actualisés et validés, sont mis à disposition des professionnels. Les demandes d'analyse sont identifiées, argumentées (renseignements cliniques, motif de l'examen), datées et signées. Constats En grande partie En grande partie Les derniers resultats d'audit de septembre 2010 revèlent quelques irrégularités, notamment des demandes partiellement identifiées, des dates de prélèvement manquantes ainsi que quelques non-conformités de signature. CENTRE HOSPITALIER SAINTE MARIE DE RODEZ / 120780283 / JUIN 2013 170 Les délais de transmission des résultats répondent aux besoins des secteurs d'activité avec une attention particulière aux urgences et aux résultats critiques. En grande partie E3 Evaluer et améliorer Réponses aux EA Les pratiques sont évaluées et des actions d'amélioration sont mises en œuvre. Constats Oui CENTRE HOSPITALIER SAINTE MARIE DE RODEZ / 120780283 / JUIN 2013 171 Référence 21: La prise en charge des analyses de biologie médicale Critère 21.b Démarche qualité en laboratoire Ce critère n'est pas applicable si l'établissement sous-traite l'activité laboratoire à un prestataire. Cotation NA E1 Prévoir Réponses aux EA Les secteurs développent un système de management de la qualité. E2 Mettre en oeuvre NA Réponses aux EA Le guide de bonne exécution des analyses est mis en oeuvre. E3 Evaluer et améliorer Constats NA Réponses aux EA Les activités de biologie font l'objet d'une procédure d'évaluation externe de la qualité. Constats Constats NA CENTRE HOSPITALIER SAINTE MARIE DE RODEZ / 120780283 / JUIN 2013 172 Le suivi d'indicateurs quantitatifs (activités, efficience, etc.) et qualitatifs (événements sentinelles, délais, nonconformités) est assuré, et des actions d'amélioration sont mises en oeuvre. NA CENTRE HOSPITALIER SAINTE MARIE DE RODEZ / 120780283 / JUIN 2013 173 Référence 22: La prise en charge des examens d'imagerie Critère 22.a - Santé mentale Demande d'examen et transmission des résultats Cotation A E1 Prévoir Réponses aux EA Des règles de fonctionnement sont définies en concertation entre les secteurs d'activité clinique et les secteurs d'imagerie (y compris externalisés). E2 Mettre en oeuvre Oui Réponses aux EA Des outils d'aide à la demande des examens sont mis à disposition des professionnels. Constats Constats Oui Les demandes médicales d'examen d'imagerie sont identifiées, justifiées (renseignements cliniques, motif de l'examen), datées et signées. Oui Les délais de transmission des résultats répondent aux besoins des secteurs d'activité, avec une attention particulière aux urgences et aux résultats critiques. Oui CENTRE HOSPITALIER SAINTE MARIE DE RODEZ / 120780283 / JUIN 2013 174 E3 Evaluer et améliorer Réponses aux EA Les pratiques sont évaluées, et des actions d'amélioration sont mises en oeuvre. Constats En grande partie CENTRE HOSPITALIER SAINTE MARIE DE RODEZ / 120780283 / JUIN 2013 175 Référence 22: La prise en charge des examens d'imagerie Critère 22.b Démarche qualité en service d'imagerie Ce critère n'est pas applicable si l'établissement sous traite l'activité de l'examen d'imagerie à un prestataire. Cotation NA E1 Prévoir Réponses aux EA Les secteurs développent un système d'assurance de la qualité. E2 Mettre en oeuvre NA Réponses aux EA Les examens sont réalisés dans le respect des bonnes pratiques. E3 Evaluer et améliorer Constats NA Réponses aux EA Les activités d'imagerie font l'objet d'une procédure d'évaluation externe de la qualité. Constats Constats NA CENTRE HOSPITALIER SAINTE MARIE DE RODEZ / 120780283 / JUIN 2013 176 Le suivi d'indicateurs quantitatifs (activité, efficience, etc.) et qualitatifs (événements indésirables, délais, nonconformités), est assuré et des actions d'amélioration sont mises en oeuvre. NA CENTRE HOSPITALIER SAINTE MARIE DE RODEZ / 120780283 / JUIN 2013 177 Référence 23: L'éducation thérapeutique à destination du patient et de son entourage Critère 23.a - Santé mentale Education thérapeutique du patient Cotation B E1 Prévoir Réponses aux EA Les maladies ou situations, nécessitant l'élaboration d'une démarche structurée d'éducation thérapeutique du patient (ETP), intégrée à sa prise en charge, sont identifiées. Une coordination avec les professionnels extrahospitaliers et les réseaux est organisée. E2 Mettre en oeuvre Partiellement En grande partie Réponses aux EA Des activités d'éducation thérapeutique, impliquant les professionnels, les secteurs d'activité concernés et les représentants des patients, sont mises en œuvre. Les professionnels de santé sont formés à la démarche d'ETP. Constats Constats En grande partie En grande partie CENTRE HOSPITALIER SAINTE MARIE DE RODEZ / 120780283 / JUIN 2013 178 Des techniques et/ou outils pédagogiques sont mis à la disposition des professionnels de santé. Des supports éducatifs sont mis à la disposition des patients et de leur entourage par les professionnels au cours de la démarche éducative. E3 Evaluer et améliorer En grande partie Oui Réponses aux EA L'évaluation de l'efficacité du dispositif d'ETP (patients, professionnels de santé) donne lieu à des actions d'amélioration. Constats Partiellement CENTRE HOSPITALIER SAINTE MARIE DE RODEZ / 120780283 / JUIN 2013 179 Référence 24: La sortie du patient Critère 24.a - Santé mentale Sortie du patient Cotation B E1 Prévoir Réponses aux EA La sortie ou le transfert du patient sont organisés en fonction du type de prise en charge et de l'état clinique du patient. Les professionnels d'aval sont associés à l'organisation de la sortie ou du transfert (demande d'avis, visite, staff pluridisciplinaire, réseaux ville-hôpital, etc.), lorsque la situation le nécessite. Le patient et son entourage sont associés à la planification et à la préparation de la sortie ou du transfert. E2 Mettre en oeuvre Oui En grande partie En grande partie Réponses aux EA Les informations nécessaires à la continuité de la prise en charge sont transmises aux professionnels d'aval dans les règles de confidentialité. Constats Constats Oui CENTRE HOSPITALIER SAINTE MARIE DE RODEZ / 120780283 / JUIN 2013 180 Les documents nécessaires à son suivi sont remis au patient. Un courrier de fin d'hospitalisation est transmis aux correspondants d'aval dans les délais réglementaires. Oui Partiellement E3 Evaluer et améliorer Réponses aux EA La qualité de la transmission des informations nécessaires à la continuité de la prise en charge en aval est évaluée. En grande partie La pertinence des orientations à la sortie ou lors du transfert est évaluée. Constats Oui Des actions d'amélioration sont mises en place. En grande partie CENTRE HOSPITALIER SAINTE MARIE DE RODEZ / 120780283 / JUIN 2013 181 PARTIE 4. PRISES EN CHARGE SPÉCIFIQUES CENTRE HOSPITALIER SAINTE MARIE DE RODEZ / 120780283 / JUIN 2013 182 Référence 25: La prise en charge dans le service des urgences Critère 25.a Prise en charge des urgences et des soins non programmés Ce critère est applicable uniquement aux établissements disposant d'une autorisation d'accueil et de traitement des urgences. Cotation NA E1 Prévoir Réponses aux EA L'organisation du service des urgences au sein du réseau des urgences est formalisée et connue par les acteurs du territoire de santé. Le recours aux avis spécialisés, permettant de répondre aux besoins des patients, est organisé et formalisé. Constats NA NA Les circuits de prise en charge sont définis et formalisés selon le degré d'urgence et la typologie des patients (soins immédiats, soins rapides non immédiats, patients debout, patients couchés, traumatologie, filières spécifiques, etc.). NA E2 Mettre en oeuvre Réponses aux EA CENTRE HOSPITALIER SAINTE MARIE DE RODEZ / 120780283 / JUIN 2013 Constats 183 La disponibilité des lits d'hospitalisation est analysée en temps réel. Les professionnels sont formés à l'accueil et à l'orientation des patients. NA NA L'établissement a développé une offre spécifique pour la prise en charge de soins non programmés directement dans les secteurs de soins (consultations, hospitalisations directes). NA E3 Evaluer et améliorer Réponses aux EA Le suivi des temps d'attente et de passage selon le degré d'urgence est en place. Le recueil et l'analyse des dysfonctionnements sont réalisés. Les actions d'amélioration sont définies avec les professionnels et les représentants des usagers, et mises en œuvre. Constats NA NA NA CENTRE HOSPITALIER SAINTE MARIE DE RODEZ / 120780283 / JUIN 2013 184 Référence 26: Le fonctionnement des secteurs d'activité interventionnelle Critère 26.a Organisation du bloc opératoire Ce critère est applicable uniquement aux établissements disposant d'un bloc opératoire. Cotation NA E1 Prévoir Réponses aux EA Des circuits spécifiques sont définis pour les différents modes de prise en charge (hospitalisation complète programmée, chirurgie ambulatoire, urgences immédiates, urgences différées). Les locaux et l'équipement sont conformes et font l'objet d'une démarche qualité. La charte de fonctionnement définie et validée par un conseil de bloc précise les modes de fonctionnement des circuits de prise en charge, établit les responsabilités et les modalités d'élaboration, de régulation des programmes opératoires. Constats NA NA NA CENTRE HOSPITALIER SAINTE MARIE DE RODEZ / 120780283 / JUIN 2013 185 L'échange d'informations nécessaires à la prise en charge du patient est organisé entre le bloc opératoire, les secteurs d'activité clinique, médico-technique, technique et logistique. Le système d'information du bloc opératoire est intégré au système d'information hospitalier. E2 Mettre en oeuvre NA NA Réponses aux EA Un responsable régule les activités du bloc opératoire afin de garantir le respect de la programmation et la sécurité du patient. NA Pour chaque intervention chirurgicale, la procédure de vérification de l'acte est mise en œuvre par un membre identifié de l'équipe opératoire. NA La traçabilité des dispositifs médicaux implantables et des actes incluant les vérifications effectuées est assurée. NA Les pratiques professionnelles s'appuient sur des procédures issues de documents de référence actualisés et validés. NA E3 Evaluer et améliorer Réponses aux EA Le suivi d'indicateurs quantitatifs (activité, efficience, etc.) et qualitatifs (événements indésirables, délais) est assuré, et des actions d'amélioration sont mises en œuvre. Constats Constats NA CENTRE HOSPITALIER SAINTE MARIE DE RODEZ / 120780283 / JUIN 2013 186 Référence 26: Le fonctionnement des secteurs d'activité interventionnelle Critère 26.b - Radiothérapie Organisation des autres secteurs d'activité à risque majeur Ce critère est applicable uniquement aux établissements de santé autorisés à réaliser une activité de radiothérapie. Cotation NA E1 Prévoir Réponses aux EA Le secteur d'activité a identifié, analysé et hiérarchisé ses processus à risques en vue d'établir le programme d'actions préventives et de surveillance avec des objectifs précis et opérationnels. NA Une démarche qualité documentée et actualisée, assurant la sécurité de la prise en charge du patient, est en place. NA L'échange d'informations nécessaires à la prise en charge du patient est organisé avec les autres secteurs d'activité clinique, médico-technique et logistique. NA Le système d'information est intégré au système d'information hospitalier. E2 Mettre en oeuvre Constats NA Réponses aux EA CENTRE HOSPITALIER SAINTE MARIE DE RODEZ / 120780283 / JUIN 2013 Constats 187 Un responsable identifié régule les activités afin de garantir le respect de la programmation et la sécurité du patient. NA Les pratiques professionnelles s'appuient sur des procédures issues de documents de référence actualisés et validés. NA La traçabilité des dispositifs médicaux implantables, des actes et des vérifications est assurée. NA E3 Evaluer et améliorer Réponses aux EA Un recueil et une analyse des événements indésirables avec retour d'expérience aux professionnels permettent la définition et la mise en oeuvre d'actions d'amélioration. NA La réalisation d'audit et le suivi d'indicateurs quantitatifs et qualitatifs permettent la mise en place d'actions d'amélioration. Constats NA CENTRE HOSPITALIER SAINTE MARIE DE RODEZ / 120780283 / JUIN 2013 188 Référence 26: Le fonctionnement des secteurs d'activité interventionnelle Critère 26.b - Médecine nucléaire Organisation des autres secteurs d'activité à risque majeur Ce critère est applicable uniquement aux établissements de santé autorisés à réaliser une activité de médecine nucléaire. Cotation NA E1 Prévoir Réponses aux EA Le secteur d'activité a identifié, analysé et hiérarchisé ses processus à risques en vue d'établir le programme d'actions préventives et de surveillance avec des objectifs précis et opérationnels. NA Une démarche qualité documentée et actualisée, assurant la sécurité de la prise en charge du patient, est en place. NA L'échange d'informations nécessaires à la prise en charge du patient est organisé avec les autres secteurs d'activité clinique, médico-technique et logistique. NA Le système d'information est intégré au système d'information hospitalier. E2 Mettre en oeuvre Constats NA Réponses aux EA CENTRE HOSPITALIER SAINTE MARIE DE RODEZ / 120780283 / JUIN 2013 Constats 189 Un responsable identifié régule les activités afin de garantir le respect de la programmation et la sécurité du patient. NA Les pratiques professionnelles s'appuient sur des procédures issues de documents de référence actualisés et validés. NA La traçabilité des dispositifs médicaux implantables, des actes et des vérifications est assurée. NA E3 Evaluer et améliorer Réponses aux EA Un recueil et une analyse des événements indésirables avec retour d'expérience aux professionnels permettent la définition et la mise en oeuvre d'actions d'amélioration. NA La réalisation d'audit et le suivi d'indicateurs quantitatifs et qualitatifs permettent la mise en place d'actions d'amélioration. Constats NA CENTRE HOSPITALIER SAINTE MARIE DE RODEZ / 120780283 / JUIN 2013 190 Référence 26: Le fonctionnement des secteurs d'activité interventionnelle Critère 26.b - Salle de naissance Organisation des autres secteurs d'activité à risque majeur Ce critère est applicable uniquement aux établissements concernés par des activités interventionnelles. Cotation NA E1 Prévoir Réponses aux EA Le secteur d'activité a identifié, analysé et hiérarchisé ses processus à risques en vue d'établir le programme d'actions préventives et de surveillance avec des objectifs précis et opérationnels. NA Une démarche qualité documentée et actualisée, assurant la sécurité de la prise en charge du patient, est en place. NA L'échange d'informations nécessaires à la prise en charge du patient est organisé avec les autres secteurs d'activité clinique, médico-technique et logistique. NA Le système d'information est intégré au système d'information hospitalier. E2 Mettre en oeuvre Constats NA Réponses aux EA CENTRE HOSPITALIER SAINTE MARIE DE RODEZ / 120780283 / JUIN 2013 Constats 191 Un responsable identifié régule les activités afin de garantir le respect de la programmation et la sécurité du patient. NA Les pratiques professionnelles s'appuient sur des procédures issues de documents de référence actualisés et validés. NA La traçabilité des dispositifs médicaux implantables, des actes et des vérifications est assurée. NA E3 Evaluer et améliorer Réponses aux EA Un recueil et une analyse des événements indésirables avec retour d'expérience aux professionnels permettent la définition et la mise en oeuvre d'actions d'amélioration. NA La réalisation d'audit et le suivi d'indicateurs quantitatifs et qualitatifs permettent la mise en place d'actions d'amélioration. Constats NA CENTRE HOSPITALIER SAINTE MARIE DE RODEZ / 120780283 / JUIN 2013 192 Référence 26: Le fonctionnement des secteurs d'activité interventionnelle Critère 26.b - Techniques interventionnelles utilisant l'imagerie médicale Organisation des autres secteurs d'activité à risque majeur Ce critère est applicable uniquement aux établissements concernés par des activités interventionnelles. Cotation NA E1 Prévoir Réponses aux EA Le secteur d'activité a identifié, analysé et hiérarchisé ses processus à risques en vue d'établir le programme d'actions préventives et de surveillance avec des objectifs précis et opérationnels. NA Une démarche qualité documentée et actualisée, assurant la sécurité de la prise en charge du patient, est en place. NA L'échange d'informations nécessaires à la prise en charge du patient est organisé avec les autres secteurs d'activité clinique, médico-technique et logistique. NA Le système d'information est intégré au système d'information hospitalier. E2 Mettre en oeuvre Constats NA Réponses aux EA CENTRE HOSPITALIER SAINTE MARIE DE RODEZ / 120780283 / JUIN 2013 Constats 193 Un responsable identifié régule les activités afin de garantir le respect de la programmation et la sécurité du patient. NA Les pratiques professionnelles s'appuient sur des procédures issues de documents de référence actualisés et validés. NA La traçabilité des dispositifs médicaux implantables, des actes et des vérifications est assurée. NA E3 Evaluer et améliorer Réponses aux EA Un recueil et une analyse des événements indésirables avec retour d'expérience aux professionnels permettent la définition et la mise en oeuvre d'actions d'amélioration. NA La réalisation d'audit et le suivi d'indicateurs quantitatifs et qualitatifs permettent la mise en place d'actions d'amélioration. Constats NA CENTRE HOSPITALIER SAINTE MARIE DE RODEZ / 120780283 / JUIN 2013 194 Référence 26: Le fonctionnement des secteurs d'activité interventionnelle Critère 26.b - Electroconvulsivothérapie Organisation des autres secteurs d'activité à risque majeur Ce critère est applicable uniquement aux établissements concernés par des activités interventionnelles. Cotation NA E1 Prévoir Réponses aux EA Le secteur d'activité a identifié, analysé et hiérarchisé ses processus à risques en vue d'établir le programme d'actions préventives et de surveillance avec des objectifs précis et opérationnels. NA Une démarche qualité documentée et actualisée, assurant la sécurité de la prise en charge du patient, est en place. NA L'échange d'informations nécessaires à la prise en charge du patient est organisé avec les autres secteurs d'activité clinique, médico-technique et logistique. NA Le système d'information est intégré au système d'information hospitalier. E2 Mettre en oeuvre Constats NA Réponses aux EA CENTRE HOSPITALIER SAINTE MARIE DE RODEZ / 120780283 / JUIN 2013 Constats 195 Un responsable identifié régule les activités afin de garantir le respect de la programmation et la sécurité du patient. NA Les pratiques professionnelles s'appuient sur des procédures issues de documents de référence actualisés et validés. NA La traçabilité des dispositifs médicaux implantables, des actes et des vérifications est assurée. NA E3 Evaluer et améliorer Réponses aux EA Un recueil et une analyse des événements indésirables avec retour d'expérience aux professionnels permettent la définition et la mise en oeuvre d'actions d'amélioration. NA La réalisation d'audit et le suivi d'indicateurs quantitatifs et qualitatifs permettent la mise en place d'actions d'amélioration. Constats NA CENTRE HOSPITALIER SAINTE MARIE DE RODEZ / 120780283 / JUIN 2013 196 Référence 26: Le fonctionnement des secteurs d'activité interventionnelle Critère 26.b - Endoscopie Organisation des autres secteurs d'activité à risque majeur Ce critère est applicable uniquement aux établissements concernés par des activités interventionnelles. Cotation NA E1 Prévoir Réponses aux EA Le secteur d'activité a identifié, analysé et hiérarchisé ses processus à risques en vue d'établir le programme d'actions préventives et de surveillance avec des objectifs précis et opérationnels. NA Une démarche qualité documentée et actualisée, assurant la sécurité de la prise en charge du patient, est en place. NA L'échange d'informations nécessaires à la prise en charge du patient est organisé avec les autres secteurs d'activité clinique, médico-technique et logistique. NA Le système d'information est intégré au système d'information hospitalier. E2 Mettre en oeuvre Constats NA Réponses aux EA CENTRE HOSPITALIER SAINTE MARIE DE RODEZ / 120780283 / JUIN 2013 Constats 197 Un responsable identifié régule les activités afin de garantir le respect de la programmation et la sécurité du patient. NA Les pratiques professionnelles s'appuient sur des procédures issues de documents de référence actualisés et validés. NA La traçabilité des dispositifs médicaux implantables, des actes et des vérifications est assurée. NA E3 Evaluer et améliorer Réponses aux EA Un recueil et une analyse des événements indésirables avec retour d'expérience aux professionnels permettent la définition et la mise en oeuvre d'actions d'amélioration. NA La réalisation d'audit et le suivi d'indicateurs quantitatifs et qualitatifs permettent la mise en place d'actions d'amélioration. Constats NA CENTRE HOSPITALIER SAINTE MARIE DE RODEZ / 120780283 / JUIN 2013 198 Référence 26: Le fonctionnement des secteurs d'activité interventionnelle Critère 26.c Don d'organes et de tissus à visée thérapeutique Cotation NA E1 Prévoir Réponses aux EA L'établissement a formalisé sa participation aux activités ou à un réseau de prélèvement d'organes et de tissus. NA E2 Mettre en oeuvre Réponses aux EA Les professionnels sont sensibilisés au don d'organes et de tissus à visée thérapeutique et sont formés, notamment en matière d'information des familles. NA Dans les établissements autorisés, les bonnes pratiques de prélèvement sont mises en oeuvre. E3 Evaluer et améliorer Constats Constats NA Réponses aux EA CENTRE HOSPITALIER SAINTE MARIE DE RODEZ / 120780283 / JUIN 2013 Constats 199 Les activités relatives au don d'organes et de tissus à visée thérapeutique sont évaluées, et des actions d'amélioration sont mises en oeuvre. NA CENTRE HOSPITALIER SAINTE MARIE DE RODEZ / 120780283 / JUIN 2013 200 Référence 27: Les activités de soins de suite et de réadaptation Critère 27.a Activités de soins de suite et de réadaptation Cotation A E1 Prévoir Réponses aux EA L'échange d'informations nécessaires à la prise en charge du patient et à la continuité des soins est organisé entre secteurs de soins de suite et réadaptation, activité clinique, médico-technique, technique et logistique. Oui E2 Mettre en oeuvre Réponses aux EA Le projet personnalisé de prise en charge qui comprend une activité de soins de suite et de réadaptation est élaboré avec le patient, son entourage et en concertation avec tous les professionnels concernés. Oui E3 Evaluer et améliorer Réponses aux EA Le suivi d'indicateurs quantitatifs et qualitatifs est assuré et des actions d'amélioration sont mises en oeuvre. Constats Constats Constats En grande partie CENTRE HOSPITALIER SAINTE MARIE DE RODEZ / 120780283 / JUIN 2013 201 PARTIE 5. EVALUATION DES PRATIQUES PROFESSIONNELLES CENTRE HOSPITALIER SAINTE MARIE DE RODEZ / 120780283 / JUIN 2013 202 Référence 28: L'évaluation des pratiques professionnelles Critère 28.a Mise en oeuvre des démarches d'évaluation des pratiques professionnelles (EPP) Cotation C E1 Prévoir Réponses aux EA Constats Les différents secteurs d'activité clinique ou médicotechnique organisent la mise en œuvre des démarches d'EPP. Partiellement Les secteurs n'ont pas mis en place une organisation structurée et définie en termes d'objectifs, moyens et processus permettant de réaliser des démarches EPP. Cependant, les responsabilités sont définies en ce qui concerne les pilotes medecins. Des analyses de la morbi-mortalité sont organisées dans les secteurs de chirurgie, d'anesthésie-réanimation et de cancérologie. NA Des réunions de concertation pluridisciplinaire sont organisées, dans le cadre de la prise en charge des patients en cancérologie. NA E2 Mettre en oeuvre Réponses aux EA CENTRE HOSPITALIER SAINTE MARIE DE RODEZ / 120780283 / JUIN 2013 Constats 203 Les différents secteurs d'activité clinique et médicotechnique mettent en œuvre des démarches d'EPP. En grande partie L'engagement de tous les professionnels est effectif. Partiellement Des actions de communication relatives aux démarches d'EPP et à leurs résultats sont mises en œuvre. E3 Evaluer et améliorer Les différents secteurs d'activité clinique et médicotechnique mesurent l'impact des démarches d'EPP sur l'évolution des pratiques. Les différents secteurs d'activité clinique et médicotechnique évaluent l'organisation mise en place, afin de favoriser l'adhésion continue des professionnels aux démarches d'EPP. La mise en oeuvre des démarche EPP est irrégulière dans les différents secteurs d'activités, compte tenu du manque de structuration de la démarche globale. Quatre secteurs ont poursuivi les actions commencées pour la V2, un secteur accompagné par la MEAH s'est approprié de la démarche depuis 2008, un autre a développé une démarche sur le risque suicidaire. Pour la psychogériatrie, également, une démarche vient de commencer. L'organisation, mise en place, n'est pas structurée pour permettre le suivi méthodique des engagements des professionnels. En grande partie L'établissement n'a pas mis en oeuvre un dispositif de communication structuré auprès des professionnnels. Cependant, des informations leur sont dispensées. Réponses aux EA Constats Partiellement Une démarche, conduite avec la MEAH concernant l'organisation des CMP, a fait l'objet de mesure d'impact de suivi de mise en place d'actions d'amélioration. Pour certaines démarches, l'impact n'est pas mesuré, et pour d'autres, elles sont trop récentes pour en mesurer l'impact sur l'évolutions des pratiques. Il n'existe pas d'évaluation de l'organisation mise en place. Non CENTRE HOSPITALIER SAINTE MARIE DE RODEZ / 120780283 / JUIN 2013 204 Référence 28: L'évaluation des pratiques professionnelles Critère 28.b Pertinence des soins Cotation C E1 Prévoir Réponses aux EA Constats Partiellement L'établissement n'a pas mis en place une réflexion formalisée pour identifier les enjeux liés à la pertinence des soins selon une méthode définie. Cependant, pour certains des sujets retenus, cette observation a été prise en considération. Réponses aux EA Constats Les enjeux liés à la pertinence des soins sont identifiés au sein de l'établissement. E2 Mettre en oeuvre Des analyses de la pertinence des soins sont réalisées, et permettent la mise en oeuvre d'actions d'amélioration. Des guides de bon usage des soins sont mis à la disposition des professionnels. E3 Evaluer et améliorer Partiellement L'analyse de pertinence des soins n'est pas developpée. Néanmoins, une EPP, traitant les examens biologiques, a fait l'objet de revue de pertinence avec mise en oeuvre d'actions d'amélioration. Oui Réponses aux EA CENTRE HOSPITALIER SAINTE MARIE DE RODEZ / 120780283 / JUIN 2013 Constats 205 Les différents secteurs d'activité clinique et médicotechnique assurent le suivi des actions d'amélioration, et mesurent l'impact sur l'évolution des pratiques. Partiellement Les différents secteurs d'activité clinique et médico-technique n'ont pas mis en place des actions d'amélioration. De ce fait, ils ne peuvent pas en assurer le suivi et/ou la mesure d'impact, à l'exception de l'EPP portant sur les examens biologiques. CENTRE HOSPITALIER SAINTE MARIE DE RODEZ / 120780283 / JUIN 2013 206 Référence 28: L'évaluation des pratiques professionnelles Critère 28.c Démarches EPP liées aux indicateurs de pratique clinique Cotation C E1 Prévoir Réponses aux EA L'établissement identifie les indicateurs de pratique clinique pertinents au regard de ses activités. E2 Mettre en oeuvre En grande partie Constats L'établissement n'a pas ouvert de processus structuré pour identifier les indicateurs de pratique clinique. Cependant, un recueil des indicateurs IPAQSS a été réalisé. Réponses aux EA L'établissement recueille et analyse les indicateurs de pratique clinique choisis. En grande partie Une démarche d'amélioration est mise en œuvre à partir du recueil des indicateurs, lorsque la valeur de l'indicateur le justifie. Partiellement E3 Evaluer et améliorer Réponses aux EA Constats L'établissement a recueilli les indicateurs IPAQSS. L'analyse n'a pas encore été faite, car le dispositif est trop récent. Le recueil des indicateurs est trop récent pour permettre à ce jour une exploitation des resultats avec mise en oeuvre d'actions d'améliorations cohérentes, cependant des actions correctives ont été adoptées depuis le développement du nouveau logiciel dossier patient autour de la traçabilité de IMC et de l'évaluation de la douleur. CENTRE HOSPITALIER SAINTE MARIE DE RODEZ / 120780283 / JUIN 2013 Constats 207 L'établissement révise régulièrement la liste des indicateurs analysés. Non L'inscription de l'établissement, dans ce type de démarche, est trop récente pour permettre la révision des indicateurs recueillis. CENTRE HOSPITALIER SAINTE MARIE DE RODEZ / 120780283 / JUIN 2013 208 SYNTHESE DE LA DECISION DE LA HAUTE AUTORITE DE SANTE CENTRE HOSPITALIER SAINTE MARIE DE RODEZ / 120780283 / JUIN 2013 209 Date de la visite / rapport de suivi Niveau de certification prononcé Suivi de la décision Echéance Visite initiale du 28/03/2011 au 01/04/2011 Certification avec réserves rapport de suivi 12 Rapport de suivi OCTOBRE 2012 Certification avec recommandations plan d'action 3 Visite initiale Rapport de suivi 1.b (Engagement dans le développement durable) Recommandation Décision levée 1.c (Démarche éthique) Réserve Recommandation Réserve Décision levée Réserve Décision levée Recommandation Décision levée Réserve Décision levée Recommandation Décision levée Recommandation Recommandation Recommandation Recommandation Recommandation Recommandation 28.b (Pertinence des soins) Recommandation Recommandation 28.c (Démarches EPP liées aux indicateurs de pratique clinique) Recommandation Recommandation 1.f (Politique et organisation de l'évaluation des pratiques professionnelles) 8.b (Fonction gestion des risques) 8.f (Gestion des évènements indésirables ) 11.c (Information du patient en cas de dommage lié aux soins) Santé mentale 12.a (Prise en charge de la douleur) - Santé mentale 14.a (Gestion du dossier du patient) - Santé mentale 20.a (Démarche qualité de la prise en charge médicamenteuse du patient) Santé mentale 28.a (Mise en oeuvre des démarches d'évaluation des pratiques professionnelles (EPP)) CENTRE HOSPITALIER SAINTE MARIE DE RODEZ / 120780283 / JUIN 2013 210 ANNEXES SUITE À MODALITÉ(S) DE SUIVI Plans d’actions engageant l’établissement pour la prochaine procédure de certification Le plan d’actions avec échéancier aide l’établissement de santé à pérenniser sa dynamique d’amélioration et l’engage à réfléchir aux modalités d’amélioration à mettre en œuvre pour résoudre les dysfonctionnements constatés dans le rapport de certification, les prioriser et les planifier dans le temps. Ce plan d’actions constitue un document d’entrée dans la procédure suivante. Ces plans d’actions étant le résultat de l’analyse réalisée par l’établissement pour améliorer son organisation et ses pratiques, la Haute Autorité de Santé ne s’engage pas sur la pertinence et la qualité des actions envisagées et/ou entreprises. Dans ce cadre, l’établissement a transmis les plans d’actions suivants CHAPITRE 1 : Management de l'établissement Référence 1 : La stratégie de l'établissement Critère 1.c : Démarche éthique PLAN D'ACTION Titre du projet d'amélioration: Conforter la démarche éthique Problematique: E1 - EA2: Partiellement Dysfonctionnement 1: L'établissement n'a pas formalisé la démarche éthique dans ses différents projets. Il a prévu d'intégrer la dimension éthique de la prise en charge au prochain projet d'établissement élaboré en 2014. E2 - EA1: Partiellement Dysfonctionnement 1:Tous les professionnels ont été informés de l'existence du groupe d'éthique et de ses missions mais ils n'ont bénéficiés d'aucune autre sensibilisation sur la réflexion d'éthique E2 - EA2: Partiellement Dysfonctionnement 1:La démarche étant très récente et les réunions de l'ERE définis à 2 fois l'an, aucune question d'éthique n'a été traitée au sein de l'établissement même si tous les salariés ont été informés de leur possibilité de saisir le président de l'ERE. E3: Partiellement Dysfonctionnement 1:L'établissement n'a pas procédé à un état des lieux des questions éthiques, la démarche étant très récente, l'ERE n'a pas encore eu à traiter des questions relevant de sa compétence, une évaluation est programmée pour fin 2013. Résultats attendus Objectifs intermédiaires . Objectifs ultimes . Responsabilités Chef de projet Equipe de réalisation Personnes ressources Président de l'ERE, médecin psychiatre COMITE D ETHIQUE: Le Directeur de l’établissement Le Président du CAS* Le Président de la CME Un médecin-chef psychiatre Quatre médecins psychiatres Deux médecins généralistes L’infirmière générale Un cadre supérieur de santé Un psychologue Un assistante sociale Deux adjoints de direction Deux responsables infirmiers Deux infirmiers Un représentant des services administratifs Un représentant des services logistiques Des représentants des usagers du CAS* * Conseil Associatif de Surveillance . Echéancier de réalisation : E1 - EA2: Intégration de la dimension éthique au prochain projet d'établissement Planifié: 2014 E2 - EA1: Information sur la possibilité de saisine de l'ERE Réalisé: 19 octobre 2012 Passage dans tous les services d'un membre du bureau de l'ERE pour sensibiliser les professionnels à cette réflexion En cours: de juin à septembre 2013 Information des représentants d'usagers lors du prochain Conseil Associatif de Surveillance Planifié: septembre 2013 Diffusion sur intranet d'une plaquette de l'ERE Réalisé: 7 juin 13 E2 - EA2: Mise en place et maintient du fonctionnement de l'ERE Etablissement Réalisé: depuis le 16 octobre 2012 E3: Partiellement Evaluation de la démarche éthique Planifiée: décembre 2013 Modalités d'évaluation : Nombre de réunions de l'ERE Etablissement et de l'ERE Association Nombre de questions présentées à l'ERE Etablissement Modalités de suivi et de perennisation des résultats: L'ERE s'assure de la réalisation de ces actions, notamment à travers son bilan annuel. Ces actions sont intégrées dans le PAQSS qui est évalué au minimum un fois par an. Validation institutionnelle: Directeur et Président de la CME Planification des revues de projet: le Président de l'ERE assure la mise en oeuvre de ce projet PLAN D'ACTION CHAPITRE 2 : Prise en charge du patient Référence 14 : Le dossier du patient Critère 14.a - Santé mentale : Gestion du dossier du patient Titre du projet d'amélioration: Organiser la gestion du dossier patient Problematique: E1-EA1 En grande partie Dysfonctionnement 1 : Il n'y a pas encore de document établissant les règles pour tous les aspects relatifs à la tenue du dossier patient informatisé. E1-EA2 En grande partie Dysfonctionnement 1 : Les règles d’accès au dossier patient informatisé sont, pour l’instant, formalisées au travers des profils métiers et utilisateurs (personnalisés), paramétrés dans le système. Un groupe de travail, associant les utilisateurs, sera constitué pour discuter des améliorations et adaptations possibles au niveau local. E2-EA1 Partiellement Dysfonctionnement 1 : Compte tenu de la classe de l'indicateur "Tenue du dossier" et de sa valeur de 50%, avec un intervalle de confiance à 95% (de 48%-53%) pour la campagne 2010. E2-EA2 En grande partie Dysfonctionnement 1 : Les modalités de communication des éléments du dossier entre les professionnels sont, pour parties, formalisées. Dysfonctionnement 2 : Les délais de mise à disposition des éléments ne sont pas définis. E3-EA2 Partiellement Dysfonctionnement 1 : Les résultats des évaluations réalisées (audits internes ou visites de certification) ont donné lieu, pour certains d'entre eux, à l'élaboration d'actions d'amélioration. Dysfonctionnement 2 : Certaines de ces actions, inscrites au plan d'amélioration de la qualité, n'ont pas encore été initiées. Dysfonctionnement 3 : Les résultats des premiers indicateurs IPAQSS obtenus (mars 2011) n'ont pas encore été analysés au niveau institutionnel. Résultats attendus Objectifs intermédiaires E1-EA1 (en grande partie) Formaliser un document établissant les règles de tenue du dossier patient informatisé. Le Département d’Information Médicale a réalisé un document intitulé « règles de tenue du Dossier Patient Informatisé » (DOC DPA 003). Ce document a été présenté et validé lors de la Commission Médicale d’Etablissement du 11 avril 2012. E1-EA2 (en grande partie) Constituer un groupe de travail, associant les utilisateurs pour discuter des améliorations et adaptations possibles au niveau local. Les règles d’accès au dossier patient sont définies. Les règles qui concernent le dossier patient informatisé sont formalisées au travers des profils métiers et utilisateurs présentées et validées lors de la CME du 16 février 2011. E2-EA1 (partiellement) Généraliser la traçablité en temps utile des éléments de la prise en charge du patient. E2-EA2 (en grande partie) Définir les délais de mise à disposition des éléments du dossier. E3-EA2 (partiellement) Initier et réaliser les actions inscrites au plan d’amélioration de la qualité. Suite aux résultats des indicateurs IPAQSS analysés lors de la CME du 16 février 2011 (données 2010), plusieurs actions inscrites au plan d’amélioration de la qualité ont été définies : - mettre en place un groupe de travail, - sensibiliser les médecins sur les « mauvais résultats », - prévoir une formation CARIATIDES par rapport aux prescriptions, - prévoir une formation par rapport aux courriers et compte-rendu d’hospitalisation. Objectifs ultimes E1-EA1 (en grande partie) Diffuser les règles de tenue du dossier patient informatisé. Il a été diffusé à l’ensemble du personnel sur intranet le 15 mai 2012. Ces règles définissent les différentes conduites à tenir aussi bien pour le dossier administratif que médical, en tenant compte des items IPAQSS et des décisions prises dans le cadre de l’identitovigilance. E1-EA2 (en grande partie) Améliorer les règles d’accès au dossier patient. Précision du rôle du médecin : - notifier la sortie du patient - arrêter l’ordonnance intra lors de la sortie Précision du rôle infirmier : valider la sortie. Actualisation de la procédure d’accueil / identitovigilance (check-list admission : IMP OPC 002 et check-list entrée UADO : IMP OPC 012) E2-EA1 (partiellement) Améliorer la valeur de l’indicateur « tenue du dossier » Compte tenu de l’indicateur « tenue du dossier » de sa valeur de 70% données 2011 (QUALHAS indicateurs tenue du dossier patient), les éléments constitutifs des étapes de la prise en charge du patient sont de mieux en mieux traçés en temps utile dans le dossier du patient. E2-EA2 (en grande partie) Finaliser la formalisation des modalités de communication des éléments du dossier entre les professionnels. Les éléments du dossier patient les concernant sont accessibles en temps réel aux professionnels de l’établissement via le dossier informatisé (CARIATIDES). La saisie doit être faite en temps réel et la consultation est de ce fait quasi instantanée. E3-EA2 (partiellement) Evaluer la gestion du dossier patient (audit, indicateurs IPAQSS), notamment en analysant les résultas des indicateurs IPAQSS et mettre en place les actions d’amélioration nécessaires. Suite aux résultats des indicateurs IPAQSS analysés lors de la CME du 11 avril 2012 (données 2011), de nouvelles actions ont été définies : - signaler dans le dossier patient lorsque le patient est adressé par le médecin du CMP, - tracer la personne désignée dans la rubrique « contact », - mentionner les antécédents psychiatriques, - noter la voie d’administration /conformité des prescriptions, - peser les patients durant la première semaine d’entrée + 2 pesées si le patient reste 3 semaines, - veiller à prendre la taille du patient, - réaliser un document énonçant les différents items à renseigner / IPAQSS, - sensibiliser les médecins en CME sur le fait que l’examen psychiatrique doit être réalisé dans les 24H + rédaction traitement de sortie, - mettre à jour le module courrier sur CARIATIDES, - créer une lettre + certificat type (référence aux dates de séjour + traitement de sortie avec tous les éléments nécessaires), - mettre à disposition des scanners : afin de scannériser tous les documents entrants (certificats médicaux, lettre médecins, examens complémentaires, papiers d’identité) et formaliser cette organisation dans la procédure d’accueil, - indiquer systématiquement la modalité dans le dossier et une information est donnée au patient. Responsabilités Chef de projet Equipe de réalisation Dr DEFONTAINES, médecin responsable du DIM - Dr DEFONTAINES, médecin DIM - M. SAGNES, infirmier SIH - M. LAVAL, responsable qualité Personnes ressources Echéancier de réalisation : E1-EA1 (en grande partie) Formalisation, validation et diffusion des règles de tenue du Dossier Patient Informatisé au travers d’un document. Réalisée le 15 mai 2012. E1-EA2 (en grande partie) Précision du rôle du médecin et du rôle des infirmiers. Réalisée 15 et 17 février 2011 Actualisation de la procédure d’accueil. Réalisée en août 2011 E2-EA1 (partiellement) Analyse de l’indicateur de tenue du dossier patient. Réalisée « données » 2011 E2-EA2 (en grande partie) Les éléments du dossier patient les concernant sont accessibles en temps réel aux professionnels de l’établissement via le dossier informatisé. Les délais de mise à disposition des éléments : saisie faite en temps réel et consultation instantanée. Réalisée le 15 mai 2012 E3-EA2 (partiellement) Mise en place un groupe de travail Réalisée en juin 2011 Sensibilisation des médecins sur les « mauvais résultats » chaque année lors des résultats des IPAQSS Réalisée le 11 avril 2012 Formation CARIATIDES par rapport aux prescriptions Réalisée février 2011 Formation par rapport aux courriers et compte-rendu d’hospitalisation Réalisée novembre 2011 Signaler dans le dossier patient lorsque le patient est adressé par le médecin du CMP. Réalisée le 11 avril 2012 Tracer la personne désignée dans la rubrique « contact » : sensibilisation des secrétaires médicales. Réalisée en septembre 2011 Mentionner les antécédents psychiatriques Réalisée le 11 avril 2012 Noter la voie d’administration /conformité des prescriptions Réalisée le 11 avril 2012 Peser les patients durant la première semaine d’entrée + 2 pesées si le patient reste 3 semaines : préconisations du CLAN Réalisée mars 2012 Veiller à prendre la taille du patient : préconisations du CLAN Réalisée mars 2012 Réalisation d’un document énonçant les différents items à renseigner / IPAQSS Réalisée le 15 mai 2012 Sensibilisation des médecins en CME sur le fait que l’examen psychiatrique doit être réalisé dans les 24H + rédaction traitement de sortie. Réalisée le 11 avril 2012 Mise à jour du module courrier sur CARIATIDES (janvier 2012) Réalisée janvier 2012 Création lettre + certificat type (référence aux dates de séjour + traitement de sortie avec tous les éléments nécessaires) : l’éditeur de courrier permet la reprise d’éléments de cariatides. Réalisée novembre 2011 Mise à disposition de scanner : scannérisation de tous les documents entrants (certificats médicaux, lettre médecins, examens complémentaires, papiers d’identité) Cette organisation est formalisée dans la procédure d’accueil. Réalisée septembre 2011 La modalité d’hospitalisation est systématiquement indiquée dans le dossier et une information est donnée au patient Réalisée depuis août 2011 Modalités d'évaluation : E1-EA1 (en grande partie) La prise en compte des « règles de tenue du Dossier Patient Informatisé » (DOC DPA 003) est évaluée lors de l’évaluation des IPAQSS et présentée en suivant en CME. Prévue février 2013 E1-EA2 (en grande partie) Plusieurs règles d’accès au dossier patient ont été présentées et validées en CME Réalisée le 15 juin 2011. E2-EA1 (partiellement) L’indicateur de tenue du dossier patient a progressé (données 2011 = 70%) Réalisée (année 2011) janvier 2012 E2-EA2 (en grande partie) Le logiciel CARIATIDES assure un partage en temps des éléments du dossier entre les professionnels. La politique du dossier patient informatisé de l’AHSM est que celui-ci est un dossier partagé. Tous les utilisateurs ayant accès à CARIATIDES ont accès à la totalité du dossier. L’évaluation est réalisée chaque année avec l’analyse des indicateurs IPAQSS (notamment lors de l’évaluation de « la présence de l’examen psychiatrique dans les 24h) Réalisée le 11 avril 2012 Prochaine évaluation IPAQSS Prévue février 2013 E3-EA2 (partiellement) Plusieurs actions ont été définies et réalisées, suite aux résultats des indicateurs IPAQSS. Réalisée le 11 avril 2012 Prochaine analyse des indicateurs IPAQSS Prévue février 2013 Modalités de suivi et de perennisation des résultats: Indicateurs IPAQSS « tenue du dossier patient » Validation institutionnelle: La CME assure la validation institutionnelle des différentes actions entreprises. Planification des revues de projet: C’est la CME qui assure le suivi des actions mises en œuvre et qui traite des difficultés rencontrées. Le médecin DIM assure la transmission des différentes informations vers les autres médecins, l’infirmière générale et l’infirmier SIH (Système d’information Hospitalière) assurent la transmission auprès des équipes soignantes. PLAN D'ACTION CHAPITRE 2 : Prise en charge du patient Référence 20 : La prise en charge médicamenteuse Critère 20.a - Santé mentale : Démarche qualité de la prise en charge médicamenteuse du patient Titre du projet d'amélioration: Finaliser la démarche qualité de la prise en charge médicamenteuse du patient Problematique: E1-EA1 (non) La politique d’amélioration de la qualité de la prise en charge médicamenteuse du patient n’est pas formalisée, et non intégrée dans le projet d’établissement. E2-EA4 (en grande partie) Lors de la COMEDIMS en 2009, il a été évoqué la question de la dispensation nominative. A ce jour, il n’y a pas de projet de déploiement de celle-ci. E2-EA6 (partiellement) Des fiches d’information sont également disponibles. Cependant, elles sont peu utilisées. Les situations, nécessitant une information des patients, sont identifiées (patients non observants, pathologie chronique, etc.). Toutefois, cette information n’est pas structurée, et l’exhaustivité de la traçabilité n’est pas assurée. E2-EA7 (en grande partie) La traçabilité est assurée par des professionnels habilités. Néanmoins, celle-ci n’est pas assurée en temps réel pour l’administration du matin (une unité lors de l’audit et une unité lors de la visite de certification). Les résultats de l’audit, mené en novembre 2010, démontre une absence de traçabilité sur quelques lignes, et notamment lors de la prise du coucher. E3-EA1 (en grande partie) Toutefois, l’exploitation des indicateurs quantitatifs et qualitatifs n’est pas optimisée en termes d’atteinte d’objectifs. E3-EA2 (en grande partie) Poursuivre les audits sur le circuit du médicament Résultats attendus Objectifs intermédiaires Objectifs ultimes E1-EA1 (non) Désigner un responsable du système de management de la qualité de la prise en charge médicamenteuse : un responsable du système de management de la qualité de la prise en charge médicamenteuse a été désigné par la CME. Désigner une correspondant infirmier de la prise en charge médicamenteuse par unité : un correspondant infirmier de la prise en charge médicamenteuse a été désigné par unité (DOCPHARM014) S’approprier le calendrier d’application de l’arrêté du 6 avril 2011 E1-EA1 (non) Formaliser et intégrer dans le projet d’établissement la politique d’amélioration de la qualité de la prise en charge médicamenteuse du patient : la politique d’amélioration de la qualité de la prise en charge médicamenteuse du patient figurera dans le nouveau projet d’établissement qui sera mis en œuvre en 2014. Cette politique s’appuiera sur l’arrêté du 6 avril 2011 et sur le document intitulé « qualité de la prise en charge médicamenteuse, outils pour les établissements de santé » publié par la DGOS en février 2012. E2-EA4 (en grande partie) Poursuivre la dispensation hebdomadaire nominative du médicament E2-EA6 (partiellement) Structurer l’information donnée aux patients sur le bon usage du médicament Mettre les fiches d’information sur le médicament du réseau PIC (Pharmacien Information Contact) à disposition sur la base documentaire. Prévoir sur la Check-list de sortie du patient, l’information donnée au patient sur le bon usage du médicament. Programmer une formation à l’éducation thérapeutique du patient. E2-EA7 (en grande partie) Renforcer la communication : actions de sensibilisation à la traçabilité de l’administration vers l’ensemble du personnel et tout particulièrement vers les infirmiers de nuit Réduire les délais entre administration et validation. S’orienter vers une validation individuelle de l’administration des médicaments. E3-EA1 (en grande partie) Organiser les réunions des correspondants infirmiers de la prise en charge médicamenteuse Poursuivre l’analyse pharmaceutique Rappeler la bonne utilisation des fiches articles : rappel sur les règles de bon usage du médicament liées à la fiche article du médicament renseignée par la pharmacienne et visible par le prescripteur et/ou infirmiers (exemple fiches articles) Améliorer l’aide au bon usage du médicament (aide à la prescription, à l’administration,….) Organiser le signalements d’erreurs médicamenteuses :) E3-EA2 (en grande partie) Poursuivre les audits sur le circuit du médicament. E2-EA4 (en grande partie) Déployer la dispensation nominative du médicament dans toutes les unités d’ici 2016. E2-EA6 (partiellement) Organiser et tracer l’information donnée aux patients sur le bon usage des médicaments sur le dossier patient. Dans le cadre du bon usage du médicament, inciter le prescripteur à renseigner la case bénéfice/risque sur logiciel CARIATIDES. E2-EA7 (en grande partie) Améliorer la maîtrise de la validation de l’administration par l’ensemble du personnel. E3-EA1 (en grande partie) Evaluer et exploiter les indicateurs E3-EA2 (en grande partie) Améliorer la sécurité dans le cadre du circuit du médicament. Responsabilités Chef de projet Equipe de réalisation Personnes ressources Solange CALMELS, pharmacien-chef M. Laval, Responsable qualité Dr Pillet, Président de la CME, Dr Rohmer, Responsable du système de management de la qualité de la prise en charge médicamenteuse, Mme El Ahdab, Pharmacienne, M. Cantala,Cadre Supérieur de santé, Mme Sacher, Responsable Service Qualité Gestion des Risques et Sécurité. - Correspondants infirmiers de la prise en charge médicamenteuse, - Médecin DIM, - Préparatrices en pharmacie. Echéancier de réalisation : E1-EA1 (non) Désignation des correspondants infirmiers de la prise en charge médicamenteuse par unité de soins Réalisée en juin 2012 Désignation du responsable du système de management de la qualité de la prise en charge médicamenteuse : désigné lors de la CME du 12 septembre 2012 Réalisée le 12 septembre 2012 Etat d’avancement de la mise en application du calendrier de l’arrêté du 6 avril 2011 Réalisé le 20 septembre 2012 Formalisation de la politique d’amélioration de la qualité de la prise en charge médicamenteuse du patient Prévue en 2013 Intégration dans le projet d’établissement de la politique d’amélioration de la qualité de la prise en charge médicamenteuse du patient Prévue en 2014 Réalisation d’un Guide pour la mise en application de la politique de la qualité de la prise en charge médicamenteuse par un groupe de travail des correspondants infirmiers de la prise en charge médicamenteuse. Prévue 2014 E2-EA4 (en grande partie) Dispensation hebdomadaire nominative du médicament sur une unité test Réalisée premier semestre 2012 Dispensation hebdomadaire nominative du médicament sur une autre unité Prévue premier semestre 2013 Dispensation hebdomadaire nominative du médicament sur une autre unité Prévue deuxième semestre 2013 E2-EA6 (partiellement) Rappel de l’existence des fiches d’information lors d’une réunion avec les correspondants infirmiers de la prise en charge médicamenteuse Réalisé le 11 octobre 2012 Mise à disposition des fiches, disponibles actuellement au format papier, dans un format électronique (intranet ou site du réseau PIC) Prévue fin 2012 Sensibilisation des médecins à la traçabilité de l’information donnée aux patients. Réalisée en septembre 2012 lors de la formation des médecins à la nouvelle version CARIATIDES. Check-list de sortie du patient Prévue : janvier 2013 Formation à l’éducation thérapeutique du patient (15 personnes par session). Prévue 2012 et 2014 E2-EA7 (en grande partie) Diffusion de fiches techniques relatives aux modalités de distribution pour permission et validation de la non administration d’un produit Réalisée le 25 mars 2011 Accompagnement sur le terrain et évaluation de l’appropriation du logiciel Réalisée entre octobre et novembre 2011 Réunion avec les infirmiers de nuit Réalisée le 14/11/2011 Vérification de la validation de l’administration du médicament Réalisée : février 2012 Validation de l’administration individuelle (nouvelle version CARIATIDES) Réalisée le 20 septembre 2012 Nouvelle sensibilisation aux infirmiers de nuit pour la prise du coucher Prévue premier trimestre 2013 E3-EA1 (en grande partie) Mise en place de la réunion des correspondants « PEC médicamenteuse » ; une réunion prévue par mois. Depuis juin 2012 Réalisée en juin 2012 Amélioration du suivi des avis dans la nouvelle version du logiciel de prescription. Réalisée le 19 septembre 2012 Développement des recommandations de bon usage / fiche article Réalisée depuis 2011 Mise à disposition de carnet de suivi : pour certains médicaments (anticoagulants oraux, antidiabétiques,…) Réalisée 2011 Débriefing après chaque déclaration d’erreur médicamenteuse et analyse des causes au cas par cas Réalisée 2011/2012 et Réalisée mars 2012 E3-EA2 (en grande partie) Réalisation d’un audit sur la préparation et l’administration des médicaments. Réalisé en février 2012. Elaboration d'un plan d’action et communiquer sur celui-ci. Réalisé juin 2012 Mise en place de nouveaux indicateurs sur 2 unités de soins : - conformité lors de la préparation et l’administration des médicaments - vérification de l’identité du patient lors de l’administration Réalisé en septembre 2012 Déploiement des indicateurs dans l’ensemble des unités de soins. Deux nouvelles unités sont évaluées chaque trimestre. Prévue décembre 2012 Modalités d'évaluation : E1-EA1 (non) Evaluation du guide de la prise en charge médicamenteuse un an après sa réalisation Prévue 2015 E2-EA4 (en grande partie) Une évaluation sera alors réalisée et l’établissement s’orientera soit vers un déploiement de cette dispensation hebdomadaire soit vers une dispensation journalière individuelle nominative avec automate Prévue en 2014 E2-EA6 (partiellement) Evaluation sur la présence de la traçabilité de l’information donnée aux patients. (Requête sur le dossier patient) Prévue septembre 2013 E2-EA7 (en grande partie) Enquête sur la vérification de l’administration des médicaments dans 6 unités : nette amélioration sauf pour la prise du coucher. Réalisée en février 2012 Les responsables infirmiers et les correspondants « PEC médicamenteuse » évaluent de façon périodique le niveau de conformité lors de la préparation de l’administration (Indicateur N°1) Chaque trimestre, 2 nouvelles unités sont auditées de cette manière. Réalisé 1 fois par mois (sur 3 mois) en contrôlant 5 dossiers sur 2 unités. Réalisé juin 2012 E3-EA1 (en grande partie) Indicateurs relevés 1 fois/an : - Nombre de réunions avec les correspondants de la prise en charge médicamenteuse - Nombre d’ordonnances analysées - Nombre d’avis pharmaceutiques émis - Nombre de fiches articles mentionnant aide à la prescription ou à l’administration - Nombre d’erreurs médicamenteuses déclarées et analysées Réalisé janvier 2012 Evaluation des recommandations définies dans les plans d’actions proposés dans l’analyse des causes suite à des erreurs médicamenteuses (1 an maximum après la formalisation et la diffusion des recommandations) Prévu en 2013 E3-EA2 (en grande partie) Evaluation des actions définies dans le plan d’action réalisé après l’audit en mars 2012. Prévue en 2013 Evaluation de la mise en place des nouveaux indicateurs dans l’ensemble des unités de soins. Prévue fin 2013 Modalités de suivi et de perennisation des résultats: Une fois formalisée et intégrée dans le prochain projet d’établissement cette politique sera actualisée pour chaque futur projet d'établissement. Validation institutionnelle: La CME assure la validation institutionnelle des différentes actions entreprises. Planification des revues de projet: C’est la CME qui assure le suivi des actions mises en œuvre et qui traite des difficultés rencontrées. PLAN D'ACTION CHAPITRE 2 : Prise en charge du patient Référence 28 : L'évaluation des pratiques professionnelles Critère 28.a : Mise en oeuvre des démarches d'évaluation des pratiques professionnelles (EPP) Titre du projet d'amélioration: Mettre en oeuvre les démarches d'EPP Problematique: E1-EA1 Partiellement Dysfonctionnement 1 : Les secteurs n'ont pas mis en place une organisation structurée et définie en termes d'objectifs, moyens et processus permettant de réaliser des démarches EPP. E2-EA1 En grande partie Dysfonctionnement 1 : La mise en œuvre des démarches EPP est irrégulière dans les différents secteurs d'activités, compte tenu du manque de structuration de la démarche globale. E2-EA2 Partiellement Dysfonctionnement 1 : L'organisation, mise en place, n'est pas structurée pour permettre le suivi méthodique des engagements des professionnels. E2-EA3 En grande partie Dysfonctionnement 1 : L'établissement n'a pas mis en œuvre un dispositif de communication structuré auprès des professionnels. E3-EA1 Partiellement Dysfonctionnement 1 : Pour certaines démarches, l'impact n'est pas mesuré, et pour d'autres, elles sont trop récentes pour en mesurer l'impact sur l'évolution des pratiques. E3-EA2 Non Dysfonctionnement 1 : Il n'existe pas d'évaluation de l'organisation mise en place. Résultats attendus Objectifs intermédiaires E1-EA1 (partiellement) • Maintenir la dynamique de la nouvelle commission EPP (notamment faire émerger de nouveaux thèmes d'EPP) • Poursuivre régulièrement la communication sur la politique EPP menée par l'Établissement. E2-EA1 (en grande partie) • Inciter les professionnels à s'inscrire dans la dynamique EPP. • Conduire des actions de communication visant à promouvoir la politique EPP • Présenter le diaporama validé en CME le 12/09/2012, à tous les secteurs d'activité et les équipes lors de réunions interactives, selon le plan de communication établi par la commission • Accompagner les équipes dans leurs démarches EPP E2-EA2 (partiellement) • Diffuser les résultats des EPP finalisées sur la base documentaire intranet. • Organiser chaque année une demi journée ouverte à tous les professionnels pour les informer sur la politique EPP de l'Établissement et faire le point sur les EPP engagées • Faciliter la disponibilité des professionnels en termes de planning pour réaliser les EPP. Objectifs ultimes E1-EA1 (partiellement) • Mettre en œuvre chaque année au minimum 4 EPP • Décliner au minimum un indicateur par EPP • Organiser le suivi et la pérennisation des actions d'améliorations des pratiques E2-EA1 (en grande partie) • Mener 4 EPP annuelles médicales, soignantes et/ou pluri professionnelles. • Informer les professionnels sur les EPP finalisées et en cours. • Diffuser les indicateurs de suivi E2-EA2 (partiellement) • Présenter les EPP réalisées à l'ensemble des équipes les plus concernées par la problématique de l'EPP. E2-EA3 (en grande partie) • Informer de façon permanente et continue tous les professionnels sur la politique EPP permettant à tous de s'approprier la démarche EPP. E3-EA1 (partiellement) • Suivre périodiquement les indicateurs retenus. E2-EA3 (en grande partie) • Utiliser le diaporama de présentation de la démarche EPP auprès des équipes E3-EA1 (non) • Organiser l'accès au volet EPP de la Base Documentaire intranet. • Évaluer annuellement le dispositif mis en place par la commission • Impliquer les personnes ressources de la commission EPP désignées par secteur d'activité et dédiées au rôle de communication dans la présentation des démarches EPP E3-EA1 (partiellement) • Créer systématiquement un indicateur de suivi par EPP réalisée. E3-EA1 (non) • Suivre les indicateurs au travers de tableaux de bord • Tracer la participation des professionnels aux actions d'EPP Responsabilités Chef de projet Equipe de réalisation Personnes ressources Dr Frédéric PILLET, médecin-psychiatre Commission EPP : FORMEPPS + sve Qualité Dr Gérard ROHMER, médecin chef et vice président de la CME - Dr Corinne SCHELP, médecin psychiatre - Dr Catherine BOURDIER, médecin addictologue - Dr Isabelle MAQUIN, médecin somaticien - Dr Nathalie ORTALO MAGNE, médecin somaticien - Mme Guilène MITRASOUF, infirmière générale - Mme Béatrice LATAPIE BOULOC, cadre supérieur de santé - Mme Charlotte SACHER,ingénieur qualité-gestion des risques, - Mme Maryse ESTEBAN, responsable infirmier - M Sébastien BRU,responsable infirmier - M Didier LAURENS,responsable infirmier - Mme Françoise RUBION, infirmière - Mme Catherine BERNARD,infirmière - Mme Patricia FAGES,aide-soignante Echéancier de réalisation : E1-EA1 (partiellement) Mise en place de la Commission EPP Réalisée le 26/03/2012 Formation à la méthodologie des EPP des membres de la commission en avril et mai 2012 Réalisée le 22/05/2012 Planification des réunions de la commission Réalisée le 26/03/2012 Définition des missions Réalisée le 22/04/2012 Répartition des rôles et fonctions Réalisée le 26/03/2012 Définition des moyens, des objectifs et processus Réalisée le 26/03/2012 E2-EA1 (en grande partie) Réalisation d'un diaporama de présentation Réalisée le 05/07/2012 Réalisation d'un logigramme illustrant les différentes étapes de réalisation des EPP Réalisée le 18/09/2012 Réalisation des réunions de présentation aux instances et secteurs d'activité de septembre à novembre 2012 En cours novembre 2012 E2-EA2 (partiellement) Actualisation du volet EPP de la base documentaire En cours décembre 2012 Stratégie d'accompagnement des équipes Réalisée le 21/05/2012 Diffusion des indicateurs Prévue 1er trimestre 2013 E2-EA3 (en grande partie) Diaporama de présentation aux équipes Réalisée le 05/07/2012 Actualisation de l'onglet EPP de la base documentaire Prévue décembre 2012 Répartition des rôles de communication Réalisée le 26/03/2012 E3-EA1 (partiellement) Suivi des indicateurs par la commission EPP et par les personnes ressources concernées par les indicateurs. Prévue 1er trimestre 2013 E3-EA1 (non) Évaluation dans le cadre du bilan de la commission EPP Prévue en juin 2013 Modalités d'évaluation : E1-EA1 (partiellement) E2-EA1 (en grande partie)E3-EA1 (partiellement)E3-EA1 (non) Evaluation du fonctionnement de la commission EPP lors de son bilan annuel (nombre de réunion, pourcentage de présence, formation, communication interne…) Prévue en juin 2013 Modalités de suivi et de perennisation des résultats: Tableaux de bord, évaluations annuelles à distance des résultats avec suivi des actions d'amélioration Validation institutionnelle: Mme PANISSARD, Directeur et la CME Planification des revues de projet: Suivi de l’état d’avancement lors des réunions de la commission EPP et du bilan annuel prévu en juin 2013 CHAPITRE 2 : Prise en charge du patient Référence 28 : L'évaluation des pratiques professionnelles Critère 28.b : Pertinence des soins PLAN D'ACTION Titre du projet d'amélioration: Définir et développer des actions de pertinence des soins Problematique: E1 Partiellement Dysfonctionnement 1 : L'établissement n'a pas mis en place une réflexion formalisée pour identifier les enjeux liés à la pertinence des soins selon une méthode définie. E2-EA1 Partiellement Dysfonctionnement 1 : L'analyse de pertinence des soins n'est pas développée. E3 Partiellement Dysfonctionnement 1 : Les différents secteurs d'activité clinique et médico-technique n'ont pas mis en place des actions d'amélioration Résultats attendus Objectifs intermédiaires E1 (partiellement) Identifier comme objectif institutionnel le développement de l’évaluation de la pertinence des soins. Créer une commission EPP ayant pour mission de répondre à cet objectif E2-EA1 (partiellement) Poursuivre les EPP de pertinence des soins déjà engagées Déployer les actions d'amélioration Fixer un nombre minimum d'EPP de pertinence de soins à réaliser par filière. Informer et sensibiliser le personnel aux enjeux liés à la pertinence des soins. Objectifs ultimes E1 (partiellement) Identifier les enjeux liés à la pertinence des soins au regard de la pris en charge de l'établissement. E2-EA1 (partiellement) Etendre les EPP de pertinence de soins initiées en V2 à tous les champs où l'établissement a identifié des enjeux d'amélioration. Assurer un soutien méthodologique pour la réalisation des EPP de pertinence des soins. Favoriser l'émergence de nouvelles propositions d'EPP de pertinence des soins. E3 (partiellement) Assurer le suivi des actions d'amélioration et mesurer leur impact. Responsabilités Chef de projet Equipe de réalisation Personnes ressources Dr. PILLET, Président de la CME Commission EPP FORMEPPS, Service Qualité Echéancier de réalisation : E1 (partiellement) Définition des orientations stratégiques en matière d'EPP Réalisée Février 2012 Mise en place de la commission EPP Réalisée 26 mars 2012 Identification des enjeux de l'établissement liés à la pertinence des soins Prévue le 1er trimestre 2013 E2-EA1 (partiellement) Reprise par la nouvelle commission EPP des 1ères EPP menées sur la pertinence des soins et déployer les actions d'amélioration. Prévue : 2ème trimestre 2013 Accompagnement de nouvelles EPP de pertinence En cours depuis mai 2012 Présentation à l'ensemble de l'établissement et sur intranet de la nouvelle commission EPP En cours : novembre 2012 Organisation d’une demie journée de sensibilisation aux EPP Prévue : 3ème trimestre 2013 E3 (partiellement) Suivi de l'avancée des actions d'amélioration par la réunion de la commission EPP Prévue : janvier 2013 Mesure de l'efficacité des actions Prévue décembre 2013 Modalités d'évaluation : E1 (partiellement) Evaluation du fonctionnement de la commission EPP lors de son bilan annuel (nombre de réunion, pourcentage de présence, formation, communication interne…) Prévue : juin 2013 E2-EA1 (partiellement) Evaluation du fonctionnement de la commission EPP lors de son bilan annuel (nombre de réunion, pourcentage de présence, formation, communication interne…) Nombre d'EPP réalisé sur la pertinence des soins Prévue : juin 2013 E3 (partiellement) Evaluation des actions d'amélioration Prévue : janvier 2013 Evaluation ciblée pour mesurer l'efficacité des actions Prévue : janvier 2014 Modalités de suivi et de perennisation des résultats: La commission EPP devra suivre les résultats de ces actions, notamment à travers son bilan annuel. (réunion, suivi des indicateurs, suivi des actions d'amélioration…) Validation institutionnelle: Mme Panissard Directeur et la CME Planification des revues de projet: La commission EPP est garante de la réalisation du projet. Elle rend compte de ses travaux auprès de la CME et de la commission médico-administrative. PLAN D'ACTION CHAPITRE 2 : Prise en charge du patient Référence 28 : L'évaluation des pratiques professionnelles Critère 28.c : Démarches EPP liées aux indicateurs de pratique clinique Titre du projet d'amélioration: Identifier, recueillir et analyser des indicateurs de pratique clinique Problematique: E1 En grande partie Dysfonctionnement 1 : L'établissement n'a pas ouvert de processus structuré pour identifier les indicateurs de pratique clinique. E2-EA1 En grande partie Dysfonctionnement 1 : L'analyse n'a pas encore été faite, car le dispositif est trop récent.. E2-EA2 Partiellement Dysfonctionnement 1 : Le recueil des indicateurs est trop récent pour permettre, à ce jour, une exploitation des résultats avec mise en œuvre d'actions d'améliorations cohérentes E3 Non Dysfonctionnement 1 : L'inscription de l'établissement, dans ce type de démarche, est trop récente pour permettre la révision des indicateurs recueillis. Résultats attendus Objectifs intermédiaires Objectifs ultimes E1 (en grande partie) Identifier au moins 1 indicateur de suivi sur chaque EPP menée Recenser les indicateurs de pratique clinique déjà recueillis dans l'établissement E1 (en grande partie) Identifier les indicateurs de pratique clinique E2-EA1 (en grande partie) Recueillir et analyser des indicateurs de pratique clinique E2-EA1 (en grande partie) Identifier un responsable du recueil et de l'analyse pour chaque indicateur, une périodicité, un seuil, les personnes concernées. Analyser les indicateurs selon la périodicité définie E2-EA2 (partiellement) Mettre en œuvre des actions d'amélioration quand l'indicateur le justifie E2-EA2 (partiellement) Alerter les personnes concernées en cas de dépassement de seuil pour mise en place d'action d'amélioration E3 (non) Evaluer la pertinence des indicateurs de pratique clinique E3 (non) Evaluer la pertinence des indicateurs déjà suivis (à chaque bilan annuel de la commission EPP). Responsabilités Chef de projet Equipe de réalisation Dr. PILLET, Président de la CME Commission EPP Personnes ressources Echéancier de réalisation : E1 (en grande partie) Mise en place d’un indicateur de suivi sur chaque EPP menée Prévue janvier 2013 Recensement des indicateurs de pratique clinique déjà recueillis dans l'établissement Prévue janvier 2013 E2-EA1 (en grande partie) Identification pour chaque indicateur d’un responsable du recueil et de l'analyse, d’une périodicité, d’un seuil, et des personnes concernées. Prévue janvier 2013 Analyse de l'indicateur selon la périodicité choisie Prévue 1er trimestre 2013 E2-EA2 (partiellement) Organisation de l’alerte des personnes concernées en cas de dépassement de seuil pour mise en place d'actions d'amélioration Prévue janvier 2013 E3 (non) Evaluation de la pertinence des indicateurs déjà suivis (à chaque bilan annuel de la commission EPP). Prévue juin 2013 Modalités d'évaluation : E1 (en grande partie) Suivi des indicateurs dans un tableau de bord Prévue 1er trimestre 2013 E2-EA1 (en grande partie) Suivi de la pertinence des indicateurs lors du bilan annuel de la commission Prévue juin 2013 E2-EA2 (partiellement) Evaluation des améliorations posées lors du bilan du plan d'action qualité gestion des risques. Prévue décembre 2013 E3 (non) Suivi de la pertinence des indicateurs lors du bilan annuel de la commission Prévue juin 2013 Modalités de suivi et de perennisation des résultats: La commission EPP devra suivre les résultats de ces actions, notamment à travers son bilan annuel (réunion, suivi des indicateurs, suivi des actions d'amélioration…) Validation institutionnelle: Mme Panissard, Directeur et la CME Planification des revues de projet: La commission EPP est garante de la réalisation du projet. Elle rend compte de ses travaux auprès de la CME et de la commission médico-administrative.