Merci de votre soutien à Wikipédia. $5.9M $7.5M USD Faites un don [Réduire] [Étendre] Pour la pérennité de Wikipédia Notre savoir commun. Notre trésor commun. Aidez-nous à le protéger. [Étendre] Pour la pérennité de Wikipédia Notre savoir commun. Notre trésor commun. Aidez-nous à le protéger. Siècle des Lumières Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Aller à : Navigation, rechercher Pour les articles homonymes, voir Lumières. Le siècle des Lumières tire son nom du mouvement intellectuel, culturel et scientifique aux multiples manifestations connues sous le nom de Lumières. Il est souvent utilisé dans la littérature historique comme synonyme de XVIIIe siècle européen. La Glorieuse Révolution de 1688 peut en constituer le premier jalon[1] et dans l’historiographie française, la fin de règne de Louis XIV est souvent retenue. La Révolution française a longtemps été vue comme et son achèvement et son accomplissement mais certains historiens, au regard des objets étudiés, privilégient une chronologie haute (1670 - 1820). Cependant, plus thématique que chronologique, la notion de siècle des Lumières est définie par un ensemble d’objets, de courants de pensée et d’acteurs historiques. Dans le domaine des arts plastiques, il couvre la transition entre les périodes classique, rococo et néoclassique, et musicalement, il couvre les périodes baroque et classique. Jacques-Louis David, Antoine Laurent Lavoisier et son épouse, 1788, Metropolitan Museum of Art, New York. La fortune de l’expression provient d’emblée de son utilisation massive par les contemporains. Audelà, le développement et l’affirmation de l’histoire culturelle et sociale depuis les années 1970, a favorisé l’usage d’une expression commode en ce qu’elle permet de penser les recherches dixhuitiémistes de façon transversale et internationale en multipliant les objets et en dépassant les cadres nationaux[2]. Sommaire [masquer] • 1 Significat ions usuelles • 2 Les traits dominant s de la première modernité • 3 Les combats des Lumières • 4 Sciences et savants à l’âge des Lumières • 5 « Des espaces publics critiques » [15] • 5. 1 Le s Sa lo ns • 5. 2 A ca dé mi es et so ci ét és litt ér air es • 5. Significations usuelles [modifier] Siècle des Lumières [3]? Le siècle se veut éclairé par la lumière métaphorique des connaissances et non plus l’illumination divine, « émanation de l’absolu[4] », utilisé exclusivement au singulier acquises par l’expérience et l’enseignement du passé. Elle suggère aussi, une vision manichéenne du monde, où l’« homme éclairé » s’oppose à la masse de ceux restés dans les ténèbres. La formule a donc bien tant une dimension sociale qu’une dimension spatiale. Sous la plume des philosophes, les Lumières désignent par métonymie les élites européennes ouvertes aux nouveautés, une « République des Lettres éclairées ». On trouve dès les années 1670, la mention de « siècle éclairé » dans certains écrits historiques ou philosophiques relatant les expériences et les progrès scientifiques du temps[5]. L’inflexion anticléricale et combative que prend la philosophie des Lumières dans les années 1750 devait marquer l’expression[6]. Dans la France prérévolutionnaire, la formule est consacrée par les représentants des Lumières puis par les révolutionnaires eux-mêmes[7]. L’historiographie a retenu l’expression : « Le siècle des Lumières : siècle un, profondément, mais combien divers. La raison éclaire tous les hommes, elle est la lumière, ou plus précisément, ne s’agissant pas d’un rayon, mais d’un faisceau, les Lumières[8]. » Les traits dominants de la première modernité [modifier] Frontispice des Éléments de la philosophie de Newton, Voltaire, 1738. Le siècle des Lumières est marqué par une vision renouvelée et élargie du monde héritée de questionnements, parfois angoissés, du dernier quart du XVIIe siècle. Six traits marquants d’une pensée moderne s’y affirment et peuvent être retenus[9] : • • • • • • la primauté de l’esprit scientifique sur la Providence dont la révolution newtonienne est l’illustration la plus marquante ; la réflexion politique marquée par la théorie contractuelle, influencée par les travaux de John Locke les progrès de l’esprit critique à l’œuvre, pour exemple, dans le Dictionnaire historique et critique (1697) de Pierre Bayle et la critique lockienne des idées innées ; une première désacralisation de la monarchie dont les Dialogues du baron Louis de La Hontan (1710) sont l’une des manifestations ; l’affirmation de l’idée de tolérance dans une Europe marquée par les divisions religieuses dont l’œuvre de Lessing, Nathan le Sage est une illustration ; le déisme. Ces champs de réflexion précurseurs, qui allaient former le socle de la Philosophie des Lumières, traversent le siècle et influencent de nombreux domaines, à l’instar de l’économie politique[10]. L’idée de progrès vient couronner tous ses traits dominants et les synthétiser dans les ouvrages de Nicolas de Condorcet - Esquisse d’un tableau historique des progrès de l’esprit humain - ou de Louis-Sébastien Mercier - L'An 2440, rêve s'il en fut jamais. Cette section est vide, pas assez détaillée ou incomplète. Votre aide est la bienvenue ! Les combats des Lumières [modifier] Les partisans des Lumières sont les acteurs de nombreux combats nés de l’« usage public de sa raison dans tous les domaines[11] ». Ces causes célèbres ont permis une mise en perspectives des lois et des coutumes d’Europe et ont ainsi opéré une révolution sociologique et ouvert la brèche à l’anthropologie politique. Le dépaysement est central dans cette démarche et le Persan et ses avatars - l’espion chinois[12], juif ou turc[13] - peut apparaître comme un symbole de cet effort de tolérance[14]. Cette section est vide, pas assez détaillée ou incomplète. Votre aide est la bienvenue ! Les philosophes ne se contentent pas d’écrire. Ils se mettent aussi personnellement en cause, au risque d’être arrêtés, emprisonnés. Diderot consacre plus de vingt ans de sa vie à la publication de l’Encyclopédie, énorme dictionnaire de 28 volumes de texte et de 11 volumes d’illustrations consacré à toutes les formes de la connaissance et des sciences. Tous les écrivains et les savants du siècle participent à la rédaction des articles de l’Encyclopédie, dont la publication s’étend de 1751 à 1772. Accusé de propager des idées dangereuses, Diderot est emprisonné pendant plusieurs mois. Les travaux du juriste Beccaria, lui-même influencé par Montesquieu, trouvent leur retentissement dans les affaires Calas et Sirven, où sont affirmées la nécessaire abolition de la question et les limites du pouvoir exécutif. Le procès du chevalier de la Barre inspire à nombre de penseurs une réflexion sur la liberté de conscience. Cette section est vide, pas assez détaillée ou incomplète. Votre aide est la bienvenue ! Sciences et savants à l’âge des Lumières [modifier] La France possède de nombreux philosophes des lumières, notamment Montesquieu, Voltaire, Diderot, Rousseau et Beaumarchais. « Des espaces publics critiques » [15] [modifier] Gravure représentant l’Académie Des Sciences, 1698. À la faveur de ces évolutions apparaissent des formes de sociabilités nouvelles ou se diffusent les Lumières, entretenues par relations privées et quelquefois par le mécénat d’État. L’Europe des Lumières a ainsi ses lieux privilégiés : cénacles des grandes villes thermales, cours des capitales européennes, chambres de lectures, théâtres, opéras, cabinets de curiosité, salons littéraires et salons artistiques, voire salons de physique à l’instar de celui animé par l’abbé Jean Antoine Nollet, Académies, loges maçonniques, cafés mondains, clubs à l’anglaise ou “bouges” où se rencontre la « Bohème littéraire ». Dans ces cadres nouveaux ou renouvelés, les gens de lettres prennent le pouvoir de la critique et font vivre débats esthétiques, querelles littéraires, réflexions politiques[16]. Gabriel Lemmonnier, Dans le Salon de Madame Geoffrin en 1755, 1812, Château de Malmaison, Rueil. Ces lieux où se croisent les anciennes et les nouvelles élites, les artistes sans fortune et leurs mécènes, les agents de l’État et les aventuriers, sont le creuset d’une communauté cosmopolite et hétérogène, faite d’entre soi et d’exclusion. Ils participent à l’affirmation d’une « sphère publique bourgeoise[17] », faite d’affrontements et de spectacles, où se déroulent, et plus particulièrement dans la seconde moitié du XVIIIe siècle, les grandes affaires et les « causes célèbres » (Mémoire judiciaire) prérévolutionnaires. Dans ces nouveaux espaces de libertés se manifeste un véritable engouement pour les affaires européennes et se développe l’anglomanie. Dans le cadre français, les Lumières voient basculer dans les années 1750 leur centre de gravité de Versailles à Paris qui apparaît comme la nouvelle capitale intellectuelle et artistique, comme une capitale des Lumières. Ce brassage implique une redéfinition sociale de l’écrivain. Le phénomène se développe également en province, où magistrats et érudits locaux, gagnés par les Lumières, forment une classe sociale dirigeante aux nouvelles préoccupations[18]. Les Salons [modifier] Articles détaillés : Salons littéraires et Femmes et salons littéraires. Cette section est vide, pas assez détaillée ou incomplète. Votre aide est la bienvenue ! Les salons sont tenus essentiellement par des femmes, souvent issues de la bourgeoisie(Mme du Duffand, Mme Lambert, Mme Tencin, Mme Geoffrin etc.) Pour réussir un salon, la maîtresse du lieu devait s'attacher les services d'un philosophe qui lançait les débats et dirigeait le salon. Ce philosophe attirait alors les intellectuels qui restaient pour les charmes de la maîtresse des lieux et la vivacité des échanges. C’est le lieu privilégié des intellectuels et des gens de lettres. On parlera alors du petit cénacle et du grand cénacle. Les salons permettaient l’échange des idées entre philosophes. Les salons étaient souvent "tenus" par des femmes lettrées, ayant des connaissances scientifiques, géographiques, etc. [réf. nécessaire] Jean-Jacques Rousseau dénonça la futilité des discussion qui s’y tenaient et parlait de « Morale du bilboquet » pour toute personne qui s’en tenait à l’écart[19]. Académies et sociétés littéraires [modifier] Cette section est vide, pas assez détaillée ou incomplète. Votre aide est la bienvenue ! C’est essentiellement grâce à la création de l’académie française que la littérature et « la grammaire » ont connu un essor. En effet, des auteurs inconnus auparavant ont ainsi une occasion de se faire connaître de la haute société et de la classe des « intellectuels ». De nombreuses bourses ont été données pour aider et subventionner cette nouvelle classe d’intellectuels d’origine le plus souvent roturière.[réf. nécessaire] Loges et Europe maçonne [modifier] Cette section est vide, pas assez détaillée ou incomplète. Votre aide est la bienvenue ! Article détaillé : Franc-maçonnerie. [20] Réception dans la Loge des Mopses, gravure de 1745. Géographie des Lumières [modifier] Cette section est vide, pas assez détaillée ou incomplète. Votre aide est la bienvenue ! Les Lumières se sont pensées comme un mouvement européen, international et si le français qui a détrôné le latin comme langue « universelle[21] » semble s’imposer comme le langage par excellence de la nouvelle « République des Lettres », l’homme des Lumières est avant tout un « cosmopolite », un « citoyen du monde[22] » quand il n’est pas un apatride. La naissance des États-Unis : le droit au bonheur et la quête de la liberté [modifier] Article détaillé : Guerre d'indépendance des États-Unis d'Amérique. Civilisation matérielle [modifier] Cette section est vide, pas assez détaillée ou incomplète. Votre aide est la bienvenue ! La sensibilité des Lumières [modifier] Les Hasards heureux de l’escarpolette, Fragonard, huile sur toile, 1767. Érotisme d’Ancien Régime, esthétique pré-romantique et culte de la nature [23]. Cette section est vide, pas assez détaillée ou incomplète. Votre aide est la bienvenue ! Ferveurs nouvelles [modifier] Cette section est vide, pas assez détaillée ou incomplète. Votre aide est la bienvenue ! Joseph Priestley (1733 - 1804) Chronologie [modifier] Notes et références [modifier] 1. ↑ (en) John Marshall, John Locke, Toleration and Early Enlightenment Culture, Cambridge University Press, 2006. 2. ↑ Ainsi, des institutions comme laSociété Internationale d’Études du XVIIIe Siècle, [archive] ou des publications, comme la Revue Dix-huitième Siècle ou des entreprises éditoriales comme le Dictionnaire européen des Lumières (sous la direction de Michel Delon, PUF, 2007) ont familiarisés le public avec cette expression. 3. ↑ Sur l’usage que fit le siècle de la formule, voir l’article de Jacques Roger, « La lumière et les lumières », [archive] (Cahiers de l’Association internationale des études françaises, 1968, 20, p. 167-177) qui propose une archéologie de l’expression. 4. ↑ Jacques Roger, article cité p. 170. 5. ↑ Les philosophes "des Lumières" ont pour objectif d’éclairer leur siècle, d’amener une lumière nouvelle sur les questions restées sans réponse.« (…) nous voilà dans un siècle qui va devenir de jour en jour plus éclairé, de sorte que tous les siècles précédents ne seront que ténèbres en comparaison (…) » Pierre Bayle, Nouvelles de la république des lettres, 1684 6. ↑ «(…) la Raison et la Loi fondée sur la Raison, doivent être les uniques reines des mortels, et (…) lorsqu’une religion établie commence à pâlir et à s’éteindre devant les lumières d’un siècle éclairé (…) c’est cette Raison qu’il faut alors presque diviniser.» Nicolas Antoine Boulanger, Préface aux Recherches sur l’origine du Despotisme Oriental, 1761 7. ↑ « Jamais siècle n’a été appelé plus souvent que le nôtre le siècle des lumières. » Mably, Le Banquet des politiques, 1776. On trouve souvent les formules "siècle des lumières et de la philosophie" ou "siècle des lumières et de la liberté". 8. ↑ Albert Soboul, La Civilisation et la Révolution française, Paris, Arthaud, 1978, p. 19. 9. ↑ Paul Hazard, La Crise de la conscience européenne (1680-1715), Fayard, 1967 ; Geoffrey Parker et Lesley M. Smith, General Crisis of the Seventeenth Century, Routledge, 1978 ; André Zysberg, La Monarchie des Lumières (1715-1786), Nouvelle histoire de la France moderne, t.V, Points Seuil, 2002, chapitre XII. 10.↑ Ainsi la critique du colbertisme dans le Détail de la France de Pierre Le Pesant de Boisguilbert, imprimé clandestinement en 1695 11.↑ Emmanuel Kant, Qu’est-ce que les Lumières, 1784. 12.↑ Ange Goudar, L’Espion chinois ou, l’envoyé secret de la cour de Pékin, pour examiner l’État actuel de l’Europe, Cologne, 1775. 13.↑ Jean-Paul Marana, L'Espion turc, Cologne [i.e. Rouen], E. Kinkius, 1700. 14.↑ Hubert Baysson, L’Idée d’étranger chez les philosophes des Lumières, L'Harmattan, 2002. 15.↑ Christopher Alan Bayly, La Naissance du monde moderne, (1780 - 1914), les Éditions de l’Atelier, 2007. 16.↑ Sur le sujet, on consultera utilement, Étienne François, « Les formes de sociabilité en France du milieu du XVIIIe au milieu du XIXe siècle », Revue d’histoire moderne et contemporaine, 34, juillet-septembre 1987, p. 453-472 ; Catherine Larrère, « Sociabilité », dans Michel Delon (sous la direction de), Dictionnaire européen des Lumières, Paris, Presses universitaires de France, 1997, pp. 998-1001 ; Keith Michael Baker, « Politique et opinion publique sous l’Ancien Régime ? » [archive], Annales. Histoire, Sciences Sociales, 1987, 42, n°1, p. 41-71. 17.↑ Sur ce point, l’historiographie s’est nourrie des réflexions de Jürgen Habermas. 18.↑ Daniel Roche, Le Siècle des lumières en province : Académies et Académiciens provinciaux : 1680-1789, Paris - La Haye, 1978. 19.↑ Dans le Livre V des Confessions, il écrit : « Quand j’étais à Motiers, j’allais faire des lacets chez mes voisines ; si je retournais dans le monde, j’aurais toujours dans ma poche un bilboquet, et j’en jouerais toute la journée pour me dispenser de parler quand je n’aurais rien à dire. Si chacun en faisait autant, les hommes deviendraient moins méchants, leur commerce deviendrait plus sûr, et je pense, plus agréable. Enfin, que les plaisants rient s’ils veulent, mais je soutiens que la seule morale à la portée du présent siècle est la morale du bilboquet. » 20.↑ Pierre-Yves Beaurepaire, « La Franc-maçonnerie au siècle des Lumières » [archive]Café historique, janvier 2004. 21.↑ En témoigne l’intitulé du sujet proposé par l’Académie de Berlin en 1783 dont devait naître l’ouvrage d’Antoine de Rivarol, Discours sur l’Universalité de la langue française 22.↑ Formule empruntée à l’ouvrage de Louis-Charles Fougeret de Monbron, Le cosmopolite ou Le citoyen du monde [archive], Londres, 1753. 23.↑ Pierre Fresnault-Deruelle, « Un boudoir en plein air » [archive]Mucri-peinture, Bibliographie sélective [modifier] Article détaillé : Bibliographie des Lumières. : source utilisée pour la rédaction de cet article • • • • • • • • • • • • • • • • • • • • • • • Pierre-Yves Beaurepaire, L’Europe des Lumières, Paris, PUF, 2004 Christine Le Bozec, La Normandie au XVIIIe siècle : croissance, Lumières et Révolution, Rennes, Éditions Ouest-France, 2002 Pierre Chaunu, La Civilisation de l’Europe des Lumières, Paris, Flammarion, 1997 Pierre M. Conlon, Le Siècle des Lumières : bibliographie chronologique, Genève, Droz, 1983 Joël Cornette, Histoire de la France : absolutisme et Lumières (1652-1783), Paris, Hachette supérieur, 2005 Monique Cottret, Culture et politique dans la France des Lumières : 1715-1792, Paris, Colin, 2002 Marcel Brion, Henry Daussy, Le Siècle des Lumières, London, Thames & Hudson, 1974 Béatrice Didier, Le Siècle des Lumières, Paris, MA Éditions, 1987. (en) Ole Peter Grell et Roy Porter, Toleration in Enlightenment Europe, Cambridge University Press, 2000. Albert Soboul, Guy Lemarchand, Michèle Fogel, Le Siècle des Lumières, Paris, PUF, 19771997 Norman Hampson, Le Siècle des Lumières, Paris, Seuil, 1972 Jacques d’Hondt, Hegel et le siècle des Lumières, Paris, PUF, 1974 Robert Mandrou, L’Europe « absolutiste ». Raison et raison d’État (1649–1775), Fayard, 1977. Xavier Martin, Nature humaine et Révolution française : du siècle des Lumières au Code Napoléon, Bouère, D.M. Morin, 1994 Philippe Minard, La Fortune du colbertisme : état et industrie dans la France des Lumières, Paris, Fayard, 1998 Henri Plard, Morale et vertu au siècle des Lumières, Bruxelles, Éditions de l’Université de Bruxelles, 1986 Bernard Plongeron, Théologie et politique au siècle des Lumières (1770-1820) Genève, Droz, 1973 Gilbert Py, L’Idée d’Europe au Siècle des Lumières, Paris, Vuibert, 2004 Louis Réau, L’Europe française au siècle des Lumières, Paris, A. Michel, 1951, 1938 Daniel Roche, La France des Lumières, Paris, Fayard, 1993 Liliane Hilaire-Pérez, Daniel Roche, L’Invention technique au siècle des Lumières, Paris, Albin Michel, 2000 Catherine Salles, Le Siècle des Lumières : 1715-1789, Paris, Larousse, 1987 Michel Vovelle, Le Siècle des Lumières, Paris, 1977-1988. Articles connexes [modifier] • • • • • • • • • • • Portail des Lumières Voir sur Wikisource : Siècle Philosophie des Lumières des Lumières. 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