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Remerciements
Je suis particulièrement reconnaissant aux membres du jury de cette
commission d’examen, étant donnés leurs nombreux engagements
professionnels. Merci donc à Marie-Pascale Prud’homme, Maria
ManzanarésDauleux, RossitzaAtanassova, Thierry Simonneau, Rémi Lemoine et
Michel Vauclin pour leur attention. J’ai pour chacun d’eux de nombreuses raisons
d’être très reconnaissant.
Je souhaite remercier aussi ceux qui ont accompagné l’émergence et la
réalisation de ce travail de recherche. Claude Edelin, à l’époque (1974-1976 !)
animateur des
Naturalistes orléanais
, m’a appris le respect pour les plantes et
plus tard la beauté de leur architecture. Je tiens à saluer Marcel Bournérias et
André Darchis, professeurs de biologie en classe préparatoire respectivement
aux lycées Chaptal et Saint Louis à Paris, qui m’ont transmis leur savoir
scientifique sur la fleur des angiospermes sans jamais lui ôter un microgramme
de poésie.
Je suis très redevable à Bernard Itier, Michel Sébillotte, Jean Boiffin,
Hubert Manichonet Marcel Mazoyerde m’avoir introduit à la bioclimatiologie et à
l’agronomie. Leurs enseignements furent des ouvertures extraordinaires.Je
n’oublie pas Jacques Canneil ni André Fleury,mes encadrants de fin d’étude, non
plus que mon compagnon de stage à l’INAPG, AbdelwahedMaataoui, avec
lesquels j’ai appris à aimer la pratique de la recherche scientifique. Je remercie
Ghislain Gosse qui m’a accueilli dans son équipe, un groupe chaleureux dans
lequel Michel Chartier m’a ouvert à la rigueur de l’expérience, avec jean-
MichelAllirand, et où Michel Laurençot et Sylvain Meunier m’ont enseigné les
réalités du terrain et les règles de l’expérimentation de terrain.
La liste des collègues rencontrés durant mes recherches sur les graminées
fourragères est longue à Lusignan. Je veux saluer la mémoire de Michel Gillet, à
qui nous devons pour une bonne part, conceptuellement, l’existence même de
notre Unité de Recherche et avec qui j’ai pu échanger de longues heures.
J’avais lu les travaux de Claude Varlet Grancher, dès avant qu’il ne
m’accueille dans notre nouvelle unité à Lusignan, et je veux le remercier très
chaleureusement de la fiabilité sans faille de son soutien à chaque étape. Merci à
Gilles Lemaire qui lui aussi n’a jamais manqué de me soutenir, prodigue de son
enthousiasme à mieux savoir, et aussi à François Gastal. Chacun dans leur style,
mes trois prédécesseurs à la direction de notre unité de recherche ont construit
un environnement favorable aux discussions et aux travaux de recherches qui
sont résumés dans ce texte.
Annie Eprinchard, Jean-Pierre Terrasson, Christophe de Berranger, Michel
Poupard, Louisette Cousson, Gilles Millet sans oublier Claude Cantot et Isabelle
Boissou sont autant de collègues dont les concours indispensables m’ont permis
de mieux comprendre les plantes et avec lesquels j’ai passé de très bons
moments au travail. J’ai énormément apprécié travailler et discuter aussi avec
leurs collègues arrivés plus récemment en écophysiologie, Cédric Perrot,
EricRoy, Serge Carré, Erick Rivault et Arnaud Philipponneau. A la suite de ma
prise de responsabilité à la direction de l’URP3F, j’ai pu aussi apprécier l’aide
particulière de tous ceux qui y travaillent.