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PRENEZ GARDE A VOUS-MEME
Luc 17 :1-37
Verset Clé 17 :3a
« Prenez garde à vous-mêmes. »
Quand le chef d’état passe en revu l’armée de la nation, l’un des états majors crient :
« Garde-vous » et les soldats tirent l’épée et met la manche devant leur face. Ceux qui attendent
la seconde venue de Jésus, sont tous l’armée de Dieu. Berger Thierry a nommé son tableau
d’organisation de prêche de la nouvelle année, « armée de prêche. » En attendant l’avènement
du Seigneur, nous devons prêcher, nous devons enseigner, nous devons prier, nous devons faire
beaucoup de choses. Mais comme le titre du message de ce matin, nous devons prendre garde à
nous-mêmes. Pourquoi ? En un mot, car, étant encore dans le corps faibles, en quoi nous ne
pourrons difficilement fier, nous avons beaucoup de possibilité de s’écarter du bon chemin. Il y
a plusieurs récits dans la parole de ce matin. Ils nous enseignent communément les vertus que
nous devons avoir en tant que chrétien. Que Dieu fasse de nous bons et fidèles chrétiens dont
l’image est conforme à sa volonté. Que Dieu donne un mot de sa parole !
Premièrement, une occasion de chute. Regardons le verset 1. Jésus dit à ses disciples : Il est
impossible qu’il n’arrive pas des occasions de chute, mais malheur à celui par qui elles arrivent !
La plus grande chute dans l’histoire humaine est bien entendu celle par laquelle Adam est
déchu en écoutant la parole de serpent dans le jardin d’Eden. Depuis, Satan ne cesse de
travailler, afin de faire chuter les hommes. En tant qu’un être déchu, l’homme se révèle comme
un être imparfait. Si chacun désire voir un homme parfait en un homme, on sera vite déçu et
tombera dans un desarroi. Lui-même sait qu’il est loin de l’état parfait. C’est la vie, comme le
disent les français avec une certaine résignation. Jésus admet cette situation du monde et de
l’homme. Si on voit la version anglaise, le mot occasion de chute est traduit en « scandale ».
L’homme politique provoque souvent le scandale, comme ces jours-ci en France les affaires de
Clearstream. Il s’agit de l’influence, par laquelle les hommes innocents vacillent en regardant
les autres hautement placés. Quand berger Noé de Kiev est venu, il a dit que tous les français
semblent être comme les fonctionnaires. J’ai pris un peu de temps pour comprendre le sens de sa
parole. Il dit qu’en Kiev, si quelqu’un dit : je suis fonctionnaire, on commence à le regarder
comme un brigand, c’est à cause du consensus de leur corruption, dit-il. De la sorte, la vie
double devient une occasion de chute. Lc 16 :14 dit que les Pharisiens aimaient l’argent. Ils
avaient une belle apparence religieuse. Mais leur vie était double, car les gens voyaient qu’ils
détachait leur âne au sabbat pour éviter la perte du gain matériel, alors qu’ils négligeaient la
guérison d’une âme souffrante au sabbat. Cela faisait le scandale et fait chuter beaucoup de gens
qui les regardaient.
Quelle est la conséquence pour ceux par qui l’occasion de chute arrive ? Jésus dit, « Il
serait plus avantageux pour lui qu’on lui mette au cou une pierre de moulin et qu’on le lance
dans la mer, que s’il était une occasion de chute pour l’un de ces petits. » C’était une ancienne
supplice pour les criminels. Nous voyons combien la peine sera grande si quelqu’un est devenu
une occasion de chute. Pourtant, l’homme a un constant risque de devenir une occasion de
chute, car il est par nature mauvais et corrompu. Jésus avait atténué la nuance, en disant, « il est
impossible qu’il n’arrive pas » Donc, nous devons être attentifs vu à notre nature, en sorte
que par notre chute les autres ne chutent pas à notre suite. Ces jours-ci en regardant quelques
matchs de rugby, dans une mélé et dans une stricte règles, je me suis dit comment ne pas
commettre les fautes. De même, si nous vivons dans ce monde pleine de désarrois et des
influences néfastes avec notre propre nature qui est coupable, il nous paraît difficile de ne pas
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commettre une erreur et être une occasion de chute. D’cet avertissement de Jésus : Prenez
garde à vous-mêmes. Nous devons veiller sur nous-mêmes, afin de ne pas tomber. Mais nous
sommes toujours faibles, prêts à tomber. Alors que faire ? Jésus dit, « Si quelqu’un veut venir
après moi, qu’il renonce à lui-même, qu’il porte sa croix et qu’il me suive. » Nous ne nous
connaissons pas très bien ni prévoir sur nous-mêmes, car nous sommes des êtres imprévisible.
Mais si nous nous donnons à la mission et portons sa croix, la mission nous sert d’un garde-fou,
afin que nous ne tombions pas ni ne soyons pas une occasion de chute.
Deuxièmement, Reprends-le et pardonne-lui. Dans le verset 3, Jésus a dit : Prenez garde à vous-
même. Mais cet avertissement a une prolongation. Jésus continue, « Si ton frère a péché,
reprends-le, et s’il se repent, pardonne-lui. » Si on lis la suite, nous nous apercevons que ce frère
a péché contre moi. Mais, ici à mon avis, Jésus parle des cas générals les gens pèchent.
Quand un frère pèche, il faut que quelqu’un en dise pour qu’il puisse être restauré de la
mauvaise voie. Souvent quand on voit quelqu’un commettre le péché, on peut se résigner. Mais
s’il en est ainsi, on en vient à manquer notre responsabilité non seulement en tant qu’un
chrétien, mais aussi en tant qu’un être humain. Le monde moderne surtout occidental a cette
devise, qu’il ne faut pas mouiller. On interdit toute forme de reproche au nom de non ingérance
dans la vie privée. Ainsi, l’amour refroidit, une culture d’indifférence domine dans la relation
superficielle. Il faut le courage et la foi pour qu’on puisse reprendre quand quelqu’un pèche
contre lui et contre Dieu. Dans l’ambiance d’incrédulté, il est très difficile d’indiquer le péché. Il
y avait un jeune homme qui venait à étudier la Bible dans la CBC en Corée. Puis des malheurs
commencèrent à s’abattre dans sa famille, telle que l’accident de voiture, le licenciement et la
maladie, etc. Alors, l’homme, dans son honnêteté, se mit à reprendre sa mère et son père et tous
les membres de sa famille, en disant qu’ils vivent une vie idolâtre qui ne plait pas à Dieu. C’était
une chose très difficile pour le jeune fils d’en parler. Mais quand il a l’audace d’en parler,
étonnamment, Dieu toucha leur cœur, et ils se mirent à croire en Jésus, en sorte que toute sa
famille soit évangélisée.
Que dit Jésus encore ? Il dit, « S’il pèche contre toi sept fois dans un jour, et que sept
fois il revienne à toi, en disant : Je me repens, tu lui pardonnera. » Quand quelqu’un pèche
contre quelqu’un, la relation entre les eux est brisée. Proverbe dit qu’il faut être assez prudent
pour reprendre les sages, mais non les moqueurs qui ne tarderont pas à nous haïr. Pourtant, Jésus
exhorte à reprendre la personne qui pèche. Dans ce cas-là, la réprimande est une ouverture de la
possibilité de rétablir la relation. Souvent la relation restant brisée a pour cause le fait que celui
qui doit reprendre ne reprend pas à cause de la timidité ou la résignation. Le médicament amer
est souvent utile pour la réstauration de la santé. Quand la réprimande n’est pas acceptée, la
relation risque de s’empirer davantage. Mais si la réprimande est accepté, et qu’il y a la
repentance, la relation sera pleinement réstauré. De plus, indiquer le péché comme le péché est
aussi un chemin de ne pas être une occasion de chute. Garder le silence devant le péché fait les
incrédules se moquer de notre chrétienneté et les fait tomber. Ne s’enmêle pas avec eux n’est
pas suffisant. Nous devons avoir l’audace de dire péché péché, car en l’évangile, il n’y a que oui
oui, non non.
Or, si quelqu’un accepte la réprimande et se repent, celui qui a repris doit l’accepter et
lui pardonner. Celui contre qui quelqu’un a péché se sent grandement blessé, donc il risque de
garder la rancune, même après qu’il a repris et vit l’interlocuteur se repentir. La répétition du
péché rend peu sérieux la repentance, donc au fur et à mesure qu’on répète le même péché, on
risque d’avoir de moins en moins de cœur de pardon. Mais Jésus dit que même si cela se répète
sept fois, il faut qu’on lui pardonne, comme si tout recommence. Le cœur de repentance est par
nature beau. Celui qui repend doit savoir se réjouir de ce cœur beau de repentance, quel que soit
le passé. Même s’il commet sixième fois le même péché et sixième fois se repent, celui qui le
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reprend doit se contenter de cette repentance. Car la repentance est une décision de vivre une
nouvelle vie et une nouvelle relation avec lui. En oubliant tout le passé, il doit savoir contempler
la beauté de la repentance sans s’inquiéter de la prochaine fois.
Troisièmement, la foi comme un grain de moutarde. Dans le verset 5, les disciples demandèrent
à Jésus de leur augmenter la foi. La raison pour laquelle les disciples auraient posé cette
question était qu’ils pensaient que la demande de Jésus de pardonner sept fois est une demande
excessive. Mais ici, nous voyons le désir et la soif des disicples. Leur seule aspiration était
l’augmentation de la foi, compte tenu de leur immaturité. Il comprit que rien d’autres ne valait
mieux que la foi augmentée. Pour eux, la foi était plus précieuse qu’aucun autre trésor du
monde. Un jeune homme dit avec les yeux brillants : « Je deviendrai un homme de foi » ce qui
fait l’effet d’encouragement non négligeable à ceux qui l’écoutent à cause de la rareté de ce
genre dans ce monde si charnel. Que Dieu fasse naître en nous le même désir que les disciples.
Que dit Jésus ? Regardez le verset 6. « Et le Seigneur dit : Si vous aviez de la foi comme un
grain de moutarde, vous diriez à ce mûrier : Déracine-toi, et plante-toi dans la mer ; et il vous
obéirait. » Les disciples de Jésus pensaient qu’il fallait une grande foi pour pardonner celui qui
se repent sept fois. Mais Jésus leur dit que ce n’est pas ainsi, mais qu’une petite foi à la même
taille que le grain de moutarde leur suffit.
Souvent notre concept de la foi est erronée. Quand Jésus dit, « si vous aviez de la foi
comme un grain de moutarde, » il implique que l’homme ne peut rien faire, mais si Dieu répartit
son pouvoir envers lui, il peut faire quelque chose. Beaucoup de jeunes sont tellement intelligent
qu’il ne laisse aucune place à Dieu. Ils font tout ce qu’ils peuvent faire selon leur intelligence,
puis demande à Dieu qu’il fasse quelque chose qui manque. Dieu ne travaillera pas pour lui.
Mais l’homme de foi reconnaît fondamentalement qu’il est sans appui. Il confesse que sans lui il
ne peut rien faire. Il demande la miséricorde de Dieu pour faire quoique ce soit si petit. Alors
par le biais de ce canal, Dieu verse son omnipuissance vers cet homme. Ainsi la foi comme un
grain de moutarde est comparable à ce petit et minime rigole qu’un agriculteur fait entre les
parcelles de terre pour que l’eau coule entre elles lors de la pluie.
Je voudrais vous raconter un peu mon histoire. Je souhaite que ce ne soit pas dit pour me
vanter, mais pour souligner l’importance de la foi en toute chose. Je suis parti pionnier Marseille
en 1990. J’avais 35 ans à l’époque. Quand je suis arrivé avec un exemplaire de ma version finale
de ma thèse, il me fallait réécrire la moitié de ma thèse, car le prof la jugeait complètement hors
de sujet. C’était parce que je ne suis pas dirigé par le professeur qui était trop loin de moi et je
me suis allé comme je voulais. Je ne sais où je dois me diriger. J’ai demandé Dieu de me donner
la foi. C’était trop grande muraille au pieds de laquelle je me tenais. Mais, ayant pitié de ma
petite requête, Dieu m’a donné la foi comme un grain de mourtarde. Dieu m’a fait terminier la
rédaction en trois mois. C’était un miracle, car j’ai ramé pendant 5 ans pour écrire ma thèse à
Paris. En quelques mois, bénissant ma prière en collaboration avec ma femme comme l’autel de
Debora, Dieu envoya beaucoup de brebis parmi lesquelles 5 personnes ont décidé de monté à
une ville lointaine avec leurs bergers. On dit qu’on ne doit pas vivre en réminiscence du passé.
Et cela est vrai. Le point que je voudrais souligner en racontant de nouvau ma vie, c’est
seulement que je vous dis, si quelqu’un a la foi comme un grain de moutarde, Dieu a préparé
une grande œuvre pour lui. Vous pouvez réussir non seulement dans vos études excellemment
mais aussi dans vos services de l’œuvre de Dieu, en établissement de nombreux disciples de
Jésus à Paris.
Quand quelqu’un que je connait parle de son travail, toutes les pensées négatives et
plaintives sortent de sa bouche, afin que celui qui l’écoute tombe dans la confusion et le
désarroi. Je ne sais comment ceux qu’il voulait aider puissent être encouragés. Quant à lui, ce
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qu’il faut, ce n’est pas une grande foi, mais la petite foi comme un grain de moutarde. Quand on
n’a pas de moindre de foi, on ne devient pas des gens ordinaires. On devient des hommes
misérables. Sa vie commence par la plainte, et elle se termine par la plainte. Mais une fois qu’on
démarre avec une pensée de la foi, ne serait-ce que de taille de grain de moutarde, on peut défier
et remporter la victoire. Si quelqu’un a la foi comme un grain de moutarde, il peut défier une
nation, comme William Carey, le père de la mission mondiale qui disait, « Espère de grandes
choses de Dieu, et tente de grandes choses pour Dieu. »
Dans l’hôpital était ma femme, j’ai rencontré Liivar Leppik et il m’a demandé le
soutien de prière pour l’entretien qui aura lieu demain pendant 8 heures à l’entreprise de
Microsoft. Je sais que je ne peux rien faire pour lui, mais seulement lui dire bon courage. Mais
je peux ajouter ces mots, « Liiver, aie la foi comme un grain de mourtarde. Je suis sûr que si tu
l’as, tu pourras déraciner le Microsoft et le planter dans la mer. » Je vous prie de vous réunir
dans mes prières pour que Dieu lui fasse réussir dans cet entretien pour sa gloire. Notre
intellectualité, notre zèle et notre fidélité ne valent pas grande chose. Ces choses sont plutôt
ennemi de Dieu ou le dégoût de Dieu. Nous ne devons pas dépendre de telles choses. Nous
devons demander à Dieu de nous donner et nous répartir la foi en lui. Pensez-vous que c’est
difficile d’établir un disciple ? Si. Si vous avez la foi comme un grain de moutarde, c’est facile.
Pensez-vous que c’est difficile de terminer la thèse ou passer le concours ? Si. Si vous avez la
foi comme un grain de mourtarde, c’est facile. Pensez-vous que c’est difficile de maitriser la
langue ? Si. Si vous avez seulement cette petite foi, c’est facile. Tous ses problèmes seront
déracinés et plantés dans la mer.
Quatrièmement, nous sommes le serviteur inutile. Regardez le verset 7. « Qui de vous, s’il a un
serviteur qui laboure ou fait paître les troupeaux, lui dira, quand il revient des champs : Viens
tout de suite te mettre à table ? » A la demande du maître, le serviteur passe toute la journée
pour labourer le champs ou faire paître les troupeaux. La journée était bien longue, et
maintenant de son retour, le corps du serviteur est bien fatigué. Il aurait voulu donc se reposer.
Mais il ne le fera pas, car le maître lui demande une autre tâche. Jésus dit, est-ce qu’il lui dira à
se mettre à table ? C’est l’absolu absence de reconnaissance. Autrement dit, une telle chose
n’existe pas dans le monde, en sorte qu’on ne doit pas l’espérer. Le serviteur a le rôle de servir
le maître à tout moment. Il doit le servir jusqu’à ce qu’il aille se coucher dans sa chambre, après
quoi il doit débarraser la table et faire la vaisselle et le nettoyage du salon pour le lendemain
matin. Depuis l’aube jusqu’au milieu de la nuit, c’est vraiment de tout son corps et de tout son
cœur qu’il doit travailler. Mais ce n’est point une mérite pour lui. Jésus dit, « aura-t-il la
reconnaissance envers ce serviteur parce qu’il a fait ce qui lui était ordonné ? Vous de même,
quand vous avez fait tout ce qui vous a été ordonné dites : Nous sommes des serviteurs inutiles,
nous avons fait ce que nous devions faire. »
Une petite enfant dit à sa mère, « maman est-ce que quand j’ai fais bien l’anglais que les
gens m’aimerai plus ou quand j’ai fait bien le français qu’ils m’aimeraient plus. » Sa mère
croyante était étonnée de l’attachement si fort de sa fille de la reconnaissance. L’homme est très
attachée et assoiffé à la reconnaissance. C’est un grave entrave pour l’homme quand il veut
grandir spirituellement. Jésus dit que son peuple doit avoir cette attitude de serviteur inutile,
quand il fait son œuvre. Le cœur qui cherche la reconnaissance humaine se sent toujours
misérable à sa manque. L’homme devinent instable, car son cœur enorgueilli de ce qu’il a
accompli sent si facilement amer quand les autres ne le reconnaissent pas. Nous devons nous
repentir de notre attachement aux récompenses et savoir dire toujours, « nous avons fait ce que
nous devions faire. » Pendant l’étude de la Bible avec la famille de Jacob Han à Nice, j’ai reçu
beaucoup de grâce de la vie de Jacob. Quand il arriva à Paddan-Aram, il fut fatigué et son jeune
cœur attristé à cause de la séparation avec sa famille. Mais quand il vit sa parente Rachel venir
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avec son troupeau, il roula la pière et abreuva tout le troupeau, avant qu’il l’embrasse et
sanglote. Jacob était une personne qui savait tenir son sentiment de tristesse et exécute d’abord
ce qu’il devait faire. Combien nous est-il facile de nous laisser abattre par notre sentiment de
tristesse ou de désolation, sans pouvoir faire ce que nous devons faire. C’était la grandeur de
Jacob, le troisième patriarche de Dieu. En renonçant à nous-mêmes qui désire d’être reconnu,
nous devons savoir dire : « je suis un serviteur inutile, j’ai fait ce que je dois faire. C’est tout. »
Cinquièmement, les dix lépreux purifiés. Quand Jésus passa de la Galilée en Samarie, les dix
lépreux vinrent auprès de Jésus. C’étaient les banis de la société. Ils s’entreaidaient dans leur
état sans appui. Jésus eut pitié d’eux, car ils lui criaient « secours » à haute voix. Ils étaient
vraiment désespéré quand ils dirent : Jésus, Maître, aie ptié de nous ! Jésus leur dit, « Allez vous
montrer aux sacrificateurs. » Jésus a cidé de les guérir, car leur cri était vraiment pathétique.
Non seulement les guérir, mais il décida de s’occuper de tout le processus de rétablissement des
malades. Les sacrificateurs établirons un certificat de santé avec lequel ils auront tout le droit de
mener une vie normale dans la société. Pendant le chemin, les dix lépreux furent purifiés selon
sa bienveillante volonté.
Mais l’un d’eux, se voyant guéri, revint sur ses pas et glorifia Dieu à haute voix. Pour cet
homme, obtenir un certificat de santé auprès des sacrificateurs n’était pas sa priorité à ce
moment-là. Quand il vit que sa vieille maladie fut guérie, la priorité de sa nouvelle vie était de
retrouver l’origine de cette bénédiction et lui témoigner sa pleine gratitude. Il retourna ses pas
pour venir remercier Jésus et glorifier Dieu par sa parole de louange. En le voyant se prosterner,
Jésus dit «est les neuf autres ? » Luc commente que c’était un Samaritain. Il n’y a pas de
distinction raciale entre les lépreux qui formaient une communauté dans laquelle on
s’entreaidait. Mais au moment la maladie fut guérie, la supérorité raciale se révéla. Les
Judéens et les Galiléens étaient remplis de leur sentiment du peuple élu ayant les privilèges.
Mais ce Samartain n’arait pas eu de cœur de remercier, car il était tout le temps méprisé étant
considéré comme s’il n’était pas le peuple. Mais c’était lui seul qui est revenu à Jésus pour le
remercier. Le cœur de l’homme est énigmatique. Une bergère dit, « pourtant je lui ai versé mes
soins dix fois plus que les autres. » Mais dans ce monde ironique et absurde, ce mot pourtant ne
disparaît pas. Tous sont partis sans remerciement, mais il resta une personne auprès de lui. Jésus
fut ahuri de ce qu’il reste une personne seulement. Mais Jésus se réjouit de lui et lui donna sa
pleine bénédiction, en diant, « Lève-toi, va ; ta foi t’a sauvé. » Non seulement, sa maladie
physique, mais sa maladie spirituelle fut guérie, en sorte que tous ceux qui le rencontrent
reçoivent la grâce et la joie en voyant son visage rayonnant.
Sixièmement, le royaume de Dieu est au-dedans de vous. Les Pharisiens intérrogèrent Jésus
pour savoir quand le royaume de Dieu vient. Ils étaient de ceux qui s’intéressent beaucoup de
quand, et comment le royaume de Dieu arrive. Les gens de fausse religion marquent la date
de la seconde venue de Jésus et s’en vantent. Un des fondateurs de l’église de 7e jours, appelé
Miller disait : d’après tout ce que j’ai étudié dans la Bible, la seconde venue de Jésus arrivera à
21 mars de1843. Mais rien ne s’était passé à cette date, ce qui fit les adepts changer leur doctrine
de la seconde venue. Mais que dit Jésus ? Il leur répondit : le royaume de Dieu ne vient pas de
telle sorte qu’on puisse observer. On ne dira pas : Voyez, il est ici, ou : il est là. Car voyez, le
royaume de Dieu est au dedans de vous. Cela ne signifie pas que la seconde venue ne se
produira pas. Quand sus viendra il viendra comme un voleur. Avec la vitesse d’éclaire, au son
de la tropette, à l’appelle de l’archange, il viendra sur la terre et ramènera tous ses saints dans la
ciel. A ce jour, tous les méchants qui ont fait souffrir les serviteurs de Dieu seront jetés dans la
géhenne, mais tous les saints qui rendaient gloire à Dieu seront accueillis dans le ciel. La parole
de Jésus a pour but d’évoquer aux saints ce que nous devons faire en attenant la seconde venue
de Jésus. Le royaume de Dieu est une œuvre de Dieu qui s’opère silencieusement dans notre
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