ESO Rhumatologie questions de travail des P3 et D1

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ESO Rhumatologie questions de travail des P3 et D1
GÉNÉRALITÉS
L’arthrose est un phénomène :
plus inflammatoire que dégénératif
uniquement inflammatoire
plus dégénératif qu’inflammatoire
dégénératif sans poussées inflammatoires
qui lèse primitivement le cartilage
L’arthrite est un phénomène
plus inflammatoire que dégénératif
uniquement inflammatoire au début
plus dégénératif qu’inflammatoire
dégénératif sans poussées inflammatoires
qui lèse primitivement le cartilage
Dans l’arthrose, la douleur est
Souvent pire le soir à la fatigue que le matin
souvent absente en dehors des poussées inflammatoires
souvent nocturne et parfois insomniante
diminuée après les 3 à 4 premiers pas
nécessite un dérouillage matinal supérieur à 20 mn
Dans l’arthrite l’épanchement
contient moins de 1500 à 2000 éléments
contient souvent plus de 10 000 globules blancs
contient toujours des bactéries
contient plus de 30 g/litre de protéines
contient parfois des cristaux d’acide urique
Dans l’arthrite, l’aspect radiologique montre
un pincement volontiers plus rapide que lent
un pincement habituellement lent
un pincement parfois complet en 18 mois
un pincement plus souvent global que localisé
un pincement toujours localisé
L’ostéophytose est
un élément systématique dans les arthroses évoluées
fréquente dès le début des signes cliniques d’arthrose
un élément rare d’ans l’arthrose
accompagne parfois les arthrites évoluées, vieillies
prédomine dans les zones portantes
La condensation radiologique dans l’arthrose
se voit surtout à distance des zones sous-chondrales
se voit surtout dans les zones portantes
est minime en regard du pincement de l’interligne
est plus dense dans l’arthrose que dans l’arthrite
est percée de micro géodes
La biologie montre
une vitesse de sédimentation et CRP abaissées dans l’arthrose
une VS et CRP augmentées dans les arthrites infectieuses
VS et CRP augmentées dans l’algodystrophie
VS et CRP Normales dans les tendinites
VS et CRP normale dans les arthrites inflammatoires
L’état général est
plutôt un peu altéré dans l’arthrite tuberculeuse du genou
plutôt conservé dans les arthrites
plutôt altéré dans les arthroses
plutôt altéré dans la polyarthrite rhumatoïde
plutôt conservé dans le myélome
Les affections suivantes ne font pas partie des SASN
SPA
PCE=PR
syndrome de Reiter
rhumatisme psoriasique
PPR
Les affections suivantes font partie des SASN
RAA : rhumatisme articulaire aigu
SPA ou pelvispondylite rhumatismale
Les arthrites réactionnelles (LFR)
Pseudo-polyarthrite rhizomélique
CCA
ÉPAULE
Devant une épaule algique, quelles sont les pathologies d’horaire
inflammatoire à évoquer
Névralgie cervico-brachiale
Chondromatose synoviale
Arthrites microcristallines aigue: goutte, CCA, rhumatisme à
hydroxyapatite
Tendinite du long biceps
Bursite aigue sous acromio deltoïdienne
Devant une épaule algique, quelles sont les pathologies d’horaire
inflammatoire à évoquer
Bursite aigue sous acromio deltoidienne
Une ostéonécrose de la tête humérale en phase débutante
Arthrite inflammatoire chronique : pseudo polyarthrite rhizomélique,
PCE, SPA
Tendinite du sus épineux
Névralgie cervico brachiale
Devant une douleur d’horaire mécanique de l’épaule, quelles sont les
pathologies à évoquer
Pathologie de la coiffe
Tendinite du sus épineux
Tendinite du long biceps
Ostéonécrose de la tête humérale en phase débutante
Omarthrose
Devant une douleur d’horaire mécanique de l’épaule, quelles sont les
pathologies à évoquer
Pathologie du bourrelet
CCA chronique
Arthrose acromio claviculaire
Névralgie cervico brachiale
Algodystrophie en phase froide ou épaule gelée
Les muscles de la coiffe sont :
le sus épineux
le sous épineux
le deltoide
le petit rond
le sous scapulaire
La manoeuvre de Jobe est positive si l’abduction contrariée est
douloureuse (donc la force de résistance est diminuée) dans la ou les
affections suivantes
Capsulite rétractile en phase d’ankylose
tendinite du sus épineux
omarthrose en période inflammatoire
bursite aigue sous acromio deltoidienne
chondromatose en dehors des épisodes de blocage
Une douleur de l’épaule déclenchée par l’abduction du bras et réveillée
par la pression de l’interligne gléno-huméral ant , sans autre signe
clinique, ni signe biologique évoque en premier lieu une seule réponse:
une tendinite simple du sus épineux
une bursite sous deltoidienne microcristalline
une capsulite rétractile en phase froide
une arthrose gléno-humérale
une rupture de la coiffe des rotateurs
une tendinite du long biceps
Une douleur de l’épaule déclenchée par l’antépulsion ( flexion) du coude,sans autre
signe clinique, et sans signe radiologique, ni signe biologique
évoque en premier lieu (une seule réponse):
une arthrose gléno-humérale
une tendinite simple du sus épineux
une tendinite du long biceps
une bursite sous deltoidienne microcristalline
une capsulite rétractile
une rupture de la coiffe des rotateurs
Chez une femme de 63 ans, l’apparition de douleurs inflammatoires
progressives des épaules , avec enraidissement douloureux, associées à
des radiographies normales doit faire évoquer un diagnostic en priorité:
une goutte des 2 épaules
une SPA pelvispondylite rhumatismale
une tendinopathie bilatérale
une algodystrophie en phase chaude
une PPR (pseudo polyarthrite rhizomélique)
une arthrose acromio-claviculaire
Une épaule douloureuse, plus ou moins fébrile peut correspondre à :
une crise de CCA
une omarthrose
une arthrite infectieuse
une capsulite rétractile algodystrophique
une rupture de la coiffe des rotateurs
une bursite et une virose simultanément
Dans la capsulite rétractile isolée de l’épaule, quelles sont les
propositions exactes
la douleur est intense lorsque la raideur est modeste
les mouvements actifs sont très limités
la mobilité passive est normale
la raideur est intense lorsque la douleur est modeste
l’interligne articulaire gléno-huméral est pincé
HANCHE
La pathologie de hanche peut présenter une topographie des douleurs :
douleur fessière
douleur obturatrice
douleur isolée du genou
douleur inguinale avec pseudo cruralgie jusqu’au pied
douleur trochantérienne qui descend latéralement comme la tendinite du
moyen fessier
douleur pseudo-sciatique s’arrêtant au genou
Quels sont les principaux diagnostics à évoquer en cas d’atteinte coxofémorale sur la
radiographie, avec une VS et CRP normales
Algodystrophie de hanche
ostéonécrose aseptique de la tête fémorale
une métastase d’un cancer de prostate
coxopathie pagétique si l’os est épaissi et la trame grossière
ostéochondromatose éventuellement si antécédents de blocages
articulaires
le terme de « coxalgie » est curieusement utilisé pour parler de : (une
seule bonne réponse)
la douleur de hanche
la tuberculose de hanche
la chondromalacie de la coxo-fémorale
arthrite infectieuse de la hanche
Devant une douleur de hanche avec une radiographie de hanche normale,
il faut évoquer :
des douleurs radiculaires : sciatique tronquée, cruralgie
Une maladie de Paget du bassin
une atteinte métastatique évoluée d’un cancer prostatique
une algodystrophie débutante
une ostéonécrose aseptique de la tête fémorale débutante
Devant une douleur de hanche avec une radiographie de hanche normale,
il faut évoquer
une localisation métastatique débutante OU une tumeur du petit bassin
une ostéochondromatose
une tendinite du moyen fessier
une bursite trochantérienne
une chondrocalcinose articulaire
Quelles sont les images radiologiques possiblement visible dans une
ostéonécrose aseptique de la tête fémorale :
image en coquille d’oeuf
radio strictement normale en phase débutante
perte de sphéricité de la tête
un liseret calcique à la surface du cartilage, à distance de l’os sous
chondrale
« décroché » du pourtour de la tête
densification arciforme de la partie inférieure de la tête: le V dense
La douleur d’horaire « mécanique » présente : (par exemple au niveau de
la hanche) :
un dérouillage matinal bref
une douleur maxima en fin de matinée
une douleur des premiers pas après position assise prolongée
une amélioration par le repos
une douleur nocturne ponctuelle lors des changements de position
une association avec une CRP élevée
Les valeurs normales des angles de la coxométrie :
VCA : angle de couverture antérieur 10 °
VCE : angle de couverture externe : 30 °
VCE : 40 °
HTE : angle d’obliquité du toit : 0°
HTE : 8°
HTE : 20 °
les facteurs favorisants de la coxarthrose sont possiblement :
surmenage des articulations par footing intensif
antécédents familiaux de coxarthrose ( réponse de bon sens )
les ostéonécroses de la tête fémorale
la fréquentation assidue des cours de rhumato
les luxations de la hanche
Une femme de 45 ans vient consulter pour une douleur de l’aine droite, la
radiographie relève un pincement discret de l’interligne, un angle cervicodiaphysaire
de 160°, un angle VCE de 15°. Quel diagnostic évoqu ez-vous ?
ostéonécrose de la tête fémorale
Rhum de hanche
une coxite infectieuse
coxarthrose sur dysplasie subluxante
algodystrophie
un ostéome ostéoide
Un patient souffre depuis six à douze mois d’une hanche, dont la
mobilité apparaît limitée à l’examen clinique. Les radiographies et
tomographies sont normales. Une seule des affections suivantes peut
être en cause. Laquelle ?
Coxarthrose
chondromatose synoviale
coxite staphylococcique
coxopathie pagétique
ostéonécrose aseptique de la tête fémorale
Parmi les signes radiologiques suivants, quel est le signe qui n’appartient
pas à la coxarthrose :
pincement de l’interligne articulaire
ostéophytose céphalique
géodes de la tête fémorale
déminéralisation mouchetée
ostéosclérose de part et d’autre du pincement articulaire
Un homme de 40 ans se plaint depuis 15 jours d’une douleur de hanche,
irradiant à la face antérieure de la cuisse. La mobilité de la hanche est
limitée, l’appui monopodal est limité. Quels sont les diagnostics à
envisager ?
algodystrophie de hanche
coxite infectieuse
ostéonécrose de la tête fémorale
tendinobursite trochantérienne
coxarthrose
Une douleur de l’aine à la marche, exacerbée par la pression locale et
s’accompagnant d’une limitation importante des mouvements actifs et
passifs de la coxo-fémorale peut être due à :
une tendinite du moyen fessier
une coxarthrose évoluée
une cruralgie
une coxite tuberculeuse
une crise de goutte
Chez un patient présentant une douleur du pli de l’aine irradiant à la face
antérieure de la cuisse et ne dépassant pas le genou, on peut évoquer :
une méralgie paresthésique ( cruralgie paresthésique)
une cruralgie
une bursite trochantérienne
une ostéonécrose de la tête fémorale
une métastase osseuse d’une branche pubienne (réponse de bon sens)
Parmi les signes radiologiques suivants, quel est le seul qui n’appartient
pas à la coxarthrose :
pincement de l’interligne
aspect flou, irrégulier , en timbre poste de l’interligne
ostéophytose
présence de géodes
déformation , excentration de la tête fémorale
une coxarthrose secondaire à une dysplasie de hanche avec notamment
une insuffisance cotyloidienne est caractérisée par :
un angle de couverture antérieur de la tête supérieur à 25°
angle HTE d’obliquité du toit supérieur à 12°
angle cervico-diaphysaire égale à 135°
angle VCA de couverture externe inférieur à 20 °
une antéversion du col exagérée
Un homme de 53 ans se plaint d’une douleur du pli de l’aine et de la face
antérieure de cuisse, évoluant depuis un mois. Cette topographie
douloureuse est compatible avec :
névralgie crurale
fausse sciatique par spasme du pyramidal
sacro-iléite
ostéonécrose de la tête fémorale
coxite inflammatoire
Une douleur de hanche avec radiographie strictement normale et
hyperfixation scintigraphique peut correspondre à :
une ostéonécrose de la tête fémorale
une algodystrophie de hanche
une coxarthrose débutante sur dysplasie
une métastase débutante de la hanche
une coxite débutante au cours de la polyarthrite rhumatoïde
Quels signes sont inhabituels dans la coxarthrose primitive :
pincement supéro-externe
déminéralisation sous-chondrale en timbre poste
l’image en coquille d’oeuf
l’ostéophytose
la normalité des clichés standards
L’interligne articulaire de la hanche est pincé au cours de :
La tendinobursite de grand trochanter
la coxite rhumatoïde
l’algodystrophie de hanche
la coxarthrose
la coxite tuberculeuse en période d’état
CONDENSATIONS
Une radiologie du bassin chez un homme de 69 ans, à l’occasion d’un
traumatisme bénin, sans antécédents pathologiques, découvre des
opacités arrondies en taches de bougie. Qu’elle est l’hypothèse à évoquer
en premier ?
maladie de Paget
des métastases d’un cancer de prostate
un myélome
une lymphome
une ostéodystrophie rénale
Une ostéocondensation radiologique localisée peut se voir en cas de :
maladie de Paget
métastase d’un cancer de prostate
métastase d’un cancer du sein parfois
fibrome calcifié bénin
un ostéome ostéoide, si nidus central
GENOU
ESO QUESTION DE TRAVAIL EN RHUMATO SUR LE GENOU
Parmi les éléments suivants, quels sont les deux éléments très
évocateurs d’un syndrome rotulien :
dérobement du genou
douleur à la descente des escaliers
douleur du mollet à la dorsiflexion de la cheville
épanchement intra-articulaire
signe du cinéma
blocage du genou en demi-flexion
Un patient présente une arthrite sur-aigu e, qu’elles sont les deux
affections que l’on peut affirmer sur un simple cliché radiologique :
chondrocalcinose articulaire
crise de goutte
une algodystrophie en phase chaude
une crise de rhumatisme à hydroxyapatite
une arthrite réactionnelle de Reiter
un rhumatisme articulaire aigu
Chez un homme de 50 ans, qui a présenté à la suite d’une longue marche
une arthrite d’un genou, qui a débuté brutalement, et qui a guéri en
quelques jours sans séquelles grâce à la seule prescription d’un antiinflammatoire,
on évoquera principalement parmi les affections
suivantes :
une crise de rhumatisme articulaire aigu
un syndrome de Leroy Fissinger Reiter
une arthrite septique
un accès aigu de goutte
une pseudo polyarthrite rhizomélique
Les gonalgies accentuées par la montée ou la descente des escaliers et
aussi par la position assise prolongée évoque en premier lieu une
souffrance des structures suivantes, une seule bonne réponse :
la synoviale, du fait d'une synovite
les ligaments latéraux du genou
l’articulation fémoro-patellaire
les articulations fémoro-tibiales
les ligaments croisés
un kyste poplité
Une douleur de type inflammatoire du genou évoluant depuis 4 à 6 mois
sans traduction radiologique doit faire évoquer en première intention à
deux affections :
un syndrome de Reiter (arthrite réactionnelle, synd de Leroy Fissinger
Reiter)
une tuberculose du genou
une poussée congestive (= inflammatoire) d’arthrose
une crise de goutte
un syndrome rotulien
L’épanchement articulaire de type inflammatoire est caractérisé par :
trois réponses à cocher dont une est indispensable à connaître
une viscosité diminuée
une leucocytose supérieure à 2000 éléments par mm3 ( ou 1500 à
2000)
une leucocytose supérieure à 100 000 éléments par mm3
une augmentation du taux des protéines dans ce liquide
la présence de globules rouges
la présence de germes banals
La ponction d’un genou douloureux ramène un liquide trouble et non
visqueux contenant 15000 éléments ( globules blancs) par mm3 , sans
cristaux. Parmi les diagnostics suivants lesquels sont à envisager :
arthrose en crise congestive
arthrite à staphylocoque doré
arthrite tuberculeuse
arthrite rhumatismale
goutte
chondrocalcinose articulaire
Un gros genou fébrile d’apparition brutale chez un homme de 70 ans doit
faire rechercher :
(On appelle un genou fébrile , une situation où on observe conjointement
un syndrome articulaire du genou et une fièvre)
une gonarthrose
une chondrocalcinose
une arthrite infectieuse
une algodystrophie
une crise de goutte
Au genou, un épanchement intra –articulaire abondant entraîne :
un signe du rabot
un choc rotulien,
un effacement des méplats latéro-rotuliens
une perte de la flexion complète
parfois un kyste poplité
Parmi les signes suivants, lesquels s’observent dans le syndrome
rotulien :
douleur à la descente des escaliers
tiroir antérieur
signe du rabot
douleur à la station assise prolongée
blocage du genou en demi-flexion
Parmi les éléments suivants, quel est celui qui est très évocateur d’un
syndrome rotulien :
instabilité du genou
douleur à la descente des escaliers
boiterie franche à la marche en terrain plat
épanchement intra-articulaire
douleur en hyper extension
blocage aigu du genou
Les blocages du genou sont particulièrement symptomatiques des
affections suivantes :
une entorse des ligaments croisés
une lésion méniscale
une chondromalacie rotulienne
un syndrome de Reiter ( syndrome de LFR ou arthrite réactionnelle )
Un corps étranger intra articulaire type chondrome
ALGODYSTROPHIE
Les facteurs favorisants l’algodystrophie sont :
les entorses
la tendance à la dépression nerveuse
l’arthroscopie
l’immobilisation plâtrée
une pancréatite
les barbituriques (utilisés dans le traitement de l’épilepsie)
Les facteurs suivants sont anormaux dans l’algodystrophie en phase
chaude
la VS et la CRP
les apha 2 globulines à l’électrophorèse des protéines sériques
l’IRM
la radiographie standard dans les premiers jours
la scintigraphie osseuse
la température locale
dans l’agdodystrophie on retrouve les éléments suivants
la phase froide éventuellement
la phase froide nécessairement
la phase chaude nécessairement
la phase chaude dans certains cas
la séquence :phase chaude puis froide
la séquence :phase froide puis chaude
l’algodystrophie est réputée de mécanisme principal
endocrinien
neuro-végétatif
immunologique
sympathique
allergique
immunologique
l’algodystrophie touche préférentiellement les régions suivantes
la main
le rachis cervical
le pied
les articulations sacro-iliaques
la hanche
la charnière lombo-sacréé
En imagerie, les éléments suivants peuvent être retrouvés dans
l’algodystrophie
hyperfixation en scintigraphie osseuse
plages de condensations en tache de bougie
déminéralisation régionale
association de lyse et de condensation
déminéralisation pommelée
oedème osseux visualisé en IRM
PAGET
L’os pagétique présente les caractéristiques suivantes :
l’os est mou et gros
dédifférenciation cortico-spongieuse
épaississement des corticales
vertèbre en cadre
aspect carré des vertèbres
trame osseuse épaisse et irrégulière
Parmi les signes radiologiques suivants, quels sont ceux qui sont
caractéristiques de la maladie de Paget :
déminéralisation diffuse du squelette axial
augmentation du volume de l’os
épaississement des corticales
la lyse d’un pédicule
les ostéocondensations arrondies sur le bassin
Parmi les éléments suivants, quels sont ceux qui peuvent être reliés à la
maladie de Paget :
la surdité
l’augmentation du périmètre crânien : chapeau trop petit
la dégénérescence cancéreuse
l’absence de signes fonctionnels
les douleurs osseuses
POLYARTHRITE RHUMATOÏDE
Dans la PR ( PCE) , l’atteinte initiale est :
cartilagineuse
immunologique
capsulaire
synoviale
ligamentaire
Une femme de 35 ans présente depuis 4 mois une polyarthrite diffuse
intéressant les épaules les coudes, les genoux, les IPD des doigts,. Quel
est le signe clinique suivant a un intérêt d’orientation étiologique :
splénomégalie
une spondylodiscinte tuberculeuse
un souffle cardiaque valvulaire
psoriasis cutané
angine
Le facteur rhumatoïde est mis en évidence dans la PR PCE:
chez tous les patients après 3 ans d’évolution
chez 25% (environ) des patients après 5 ans d’évolution
chez environ 75% des patients après un an d’évolution
chez tous les sujets qui sont HLA B 27
dans toutes les formes à installation rapide de la maladie seulement
Quels sont les signes inhabituels dans la Polyarthrite Rhumatoïde
les nodosités d’Heberden
Arthrite asymétrique des inter phalangiennes distales
cervicalgie inflammatoire avec atteinte C1-C2
lombalgies inflammatoires
une bursite prérotulienne compliquant une synovite du genou
La Polyarthrite Rhumatoïde évoluée épargne généralement :
le rachis cervical haut
les chevilles
le rachis lombaire
les genoux
les sacro-iliaques
Vous paraît-il juste de dire que la polyarthrite est une affection qui :
en règle bénigne
généralement rapidement mortelle
aboutissant généralement à une infirmité importante
réduit la durée de la vie
lâche les articulations touchées après quelques années d’évolution
Parmi les signes radiologiques suivants, dites ceux que l’on retrouve dans
la PR
érosions des extrémités osseuses articulaires ( stade avancé de la PR)
les ostéophytes
géodes ou surtout microgéodes sous chondrales
pincement localisé de l’interligne
déminéralisation en bande des mains
SPA
Un homme de 23 ans présente des talalgies depuis 3 mois, un antécédent
d’uvéite et de sciatique bilatérale. Quel examen vous paraît le plus
adapté pour éclairer le diagnostic :
radiographie des mains
radiographie des sacro-iliaques
quantification de l’humidification de l’oeil ( test de Schrimer)
un scanner lombaire
recherche du phénotype HLA DR4
Quels sont les 2 signes radiologiques les plus précoces pour le
diagnostic de la SPA (parmi ceux cités) :
la présence d’ostéophytes de la charnière dorso-lombaire
la présence de micro géodes sous-chondrales des sacro-iliaques
le pincement de plusieurs interlignes discaux lombaires
l’altération bilatérale des interlignes sacro-iliaques
l’aspect « en cadre » des vertèbres lombaires
Chez un jeune homme souffrant de lombalgie on peut affirmer le
diagnostic de spondylarthrite ankylosante sur un examen ou un résultat
d'examen. Lequel ?
élévation de la CRP
HLA B27 positif
arthrite sacro-iliaque bilatérale
facteur rhumatoïde positif
une anomalie de l'electrophorèse des protéines sériques
Devant une sciatique, quels sont les éléments faisant évoquer une SPA
sciatique à bascule surtout en deuxième moitié de nuit
flou, aspect irrégulier des sacro-iliaques à la radiographie
lyse d’un pédicule vertébral à la charnière dorso-lombaire
la présence de syndesmophytes
un tassement vertébral avec respect du mur postérieur
SYNDROME DE LEROY FISSINGER REITER
Le syndrome de Leroy Fissinger Reiter :
touche plutôt les articulations des membres inférieurs
est toujours précédé d’une infection génitale, intestinale ou conjonctivale
constatée
est, dans ses localisations, le plus souvent asymétrique
donne parfois un aspect inflammatoire (en saucisse) des orteils
évolue toujours vers une polyarthrite destructrice
Le syndrome de Leroy Fissinger Reiter
fait partie des SASN
rentre dans le cadre du Lupus
s'apparente au syndrome sec
est parfois suivi par une sorte de SPA
est souvent associé au facteur rhumatoide
Le syndrome de Leroy Fissinger Reiter
guéri toujourts sans sèquelles spontanement en quelques mois
peut toucher plusieurs articulations
touche toujours plusieurs articulations simultanement
saute parfois d'une articulation à l'autre
présente parfois des rechutes pendant plusieurs années
chez une femme de trente ans, une mono arthrite de la MP du gros orteil
évoque possiblement
une arthrite réactionnelle
une maladie de Morton
une algodystrophie
une arthrite infectiense
une crise de goutte
Les arthrites réactionnelles ( Reiter) sont le plus souvent déclenchées
par (plusieurs des réponses ) :
une angine à streptoccoque
un furoncle à staphylocoque doré
une conjonctivite bactérienne
une infection génitale bactérienne ( urétrite ou cervicite)
une infection intestinale bactérienne
PPR
Parmi les propositions suivantes concernant la PPR ( pseudo-polyarthrite
rhizomélique) indiquer celles qui sont exactes
touche les sujets entre 20 et 50 ans
se manifeste par des douleurs inflammatoires des racines des membres
et cou
comporte une altération modérée de l’état général
entraine une déminéralisation osseuse diffuse à la radiographie
peut être associé à une artérite temporale ( Horton)
Parmi les propositions suivantes concernant la PPR ( pseudo-polyarthrite
rhizomélique) indiquer celles qui sont exactes
la VS est normale
Le HLA B27 est souvent présent
les douleurs sont plus musculaires que articulaires
une raideur s'associe aux douleurs
une biopsie synoviale affirme le diagnostic
Parmi les propositions suivantes concernant la PPR ( pseudo-polyarthrite
rhizomélique) indiquer celles qui sont exactes
la VS est peu élevée en phase d'installation
Le HLA B27 est souvent présent
lla guérison intervient même sans traitement en 1 à 3 ans
une raideur s'associe aux douleurs
la présence dans le sang du peptide citruliné affirme le diagnostic
La douleur de la PPR ( pseudo-polyarthrite rhizomélique) siège le plus
souvent
aux épaules
aux cervicales
aux poignets
asymétriquement
aux hanches
GOUTTE
En présence d’une arthrite aigue du genou, quel est l’élément le plus
spécifique de la crise de goutte
sujet masculin, obèse
hyperuricémie à 100 mg /l
la présence de cristaux d’urate de sodium dans le liquide de ponction du
genou
les antécédents connus d’accès goutteux
la sensibilité à la colchicine
En présence d’une arthrite aigue du genou, quels sont les élément
souvent associés à la crise de goutte
sujet masculin, obèse
hyperuricémie à 40 mg /l
la présence de cristaux d’urate de sodium dans le liquide de ponction du
genou
les antécédents connus d’accès goutteux
la sensibilité à la cortisone
La crise de goutte répond positivement à une ou plusieurs des
propositions suivantes :
touche souvent l’articulation MP du deuxieme orteil
touche fréquemment la femme avant la ménopause
touche souvent la hanche
est parfois précédée ou suivie par des crises de coliques néphrétiques
se traduit à la radiographie par la présence de calcifications intraarticulaires
La crise de goutte répond positivement à plusieurs des propositions
suivantes :
touche souvent l’articulation MP du gros orteil
touche parfois plusieurs articulations en même temps ou au fil de
l'évolution
présente une recrudescence nocturne des douleurs
est parfois précédée d'un traumatisme minime
se traduit à la radiographie par la présence de calcifications uriques
Une vitesse de sédimentation est le plus souvent élevée dans les
affections suivantes :
arthrite infectieuse
un myélome
une arthrose en dehors des poussées
une crise de goutte
une maladie de Horton
une PPR
LE CANAL CARPIEN et apparentés
Au syndrome du canal carpien sont associées les propositions suivantes :
fréquence des paresthésies nocturnes
la prédominance masculine
est amélioré pendant quelques semaines (seulement) par une infiltration
de corticoides
au cours de l’évolution non traitée, apparition d’une amyotrophie des
thénariens externes
peut nécessiter une libération chirurgicale du nerf
Au syndrome du canal carpien sont associées les propositions suivantes :
fréquence des paresthésies mains en l'air , en position dite du
chandelier
les paresthésies sont toujours reproduites par la flexion du poignet
prolongée une à deux minutes.
est facilement objectivé par un EMG : ralentissement de la vitesse de
conduction dans le nerf cubital
au cours de l’évolution non traitée, apparition d’une amyotrophie des
thénariens externes
les paresthésies sont parfois reproduites par la pression prolongée en
regard du canal carpien
Le syndrome du canal carpien
apparaît le plus souvent après la ménopause
peut être bilatéral
correspond à une compression du nerf cubital
les signes sensitifs sont souvent déclenchés par le fait de sortir de la
maison les jours de froid humide
peut suivre une pathologie hypothyroidienne, ou une fracture du
poignet, ou une PR
Une femme de 50 ans consulte pour un engourdissement douloureux des
deux derniers doigts bilatéralement . quel est le diagnostic le plus
probable :
un terrain spasmophile
un syndrome de Raynaud
une compression des nerfs cubitaux aux coudes
un syndrome du canal carpien
un syndrome du défilé des scalènes
Une femme consulte pour un engourdissement douloureux des doigts
en lessivant un plafond. quel est le diagnostic le plus probable :
un terrain spasmophile
un syndrome de Raynaud
une compression des nerfs cubitaux aux coudes
un syndrome du canal carpien
un syndrome du défilé des scalènes
Une femme consulte pour un engourdissement douloureux des doigts
au froid humide. quel est le diagnostic le plus probable :
un terrain spasmophile
un syndrome de Raynaud
une compression des nerfs cubitaux aux coudes
un syndrome du canal carpien
un syndrome du défilé des scalènes
LOMBO SCIATIQUES
Un sujet présente une sciatique paralysante L5 typique
souffre de la face interne de la jambe
ne peut marcher sur le talon ppointe de pied relevée
présente un réflexe achiléen aboli
signale des paresthésies à la face dorsale du pied
présente une hypoesthésie du bord externe du pied et du 5 ème orteil
Un sujet présente une sciatique paralysante S1 typique
souffre de la face postérieure de la jambe
ne peut marcher sur la pointe du pied
présente un réflexe achiléen aboli
signale des paresthésies à la face dorsale du pied
présente une hypoesthésie du bord externe du pied et du 5 ème orteil
Un de ces signes n’est pas typique d’une sciatique S1 par hernie discale :
douleur impulsive à la toux
douleur calmée par le décubitus
abolition du réflexe achiléen
douleur parfois hyperalgique
douleur à prédominance nocturne et réveillant le patient
Parmi les cinq étiologies, quelle est la plus fréquente dans une douleur
sciatique chez un homme de 40 ans
un traumatisme
une spondylodiscite
une hernie discale
une métastase
une spondylarthrite ankylosante
Parmi les signes suivants, quels sont ceux qui orientent vers le neurinome
chez un patient qui présente une sciatique L5 trainante :
la topographie multiradiculaire de la douleur
la recrudescence en décubitus prolongé de la douleur
une vertèbre en cadre
un trou de conjugaison agrandi
un signe de Lasègue présent
Une douleur sciatique un peu atypique peut être liée à
un neurinome lombaire
une douleur tronquée, irradiée, provenant d’une crise d’arthrose d’une
articulaire post
un épidurite maligne lombaire
un kyste synovial de l’articulation inter apophysaire post
un canal lombaire étroit
une fibrose post opératoire suite de « curage discal »
La symptomatologie du canal lombaire étroit peut se présenter comme :
une lombalgie de la deuxième moitié de la nuit
une douleur sciatalgique de topographie imprécise ou encore de
topographie non typiquement radiculaire
une douleur dans les deux membres inférieurs simultanément
claudication disparaît après quelques centaines de mètres de marche
douleur qui s’atténue rapidement puis disparaît en cyphose, position
assise et accroupissement
peut être associée à des troubles objectifs sensitivo-moteurs
le canal lombaire étroit est favorisé par
le spondylolisthésis
la protrusion discale
l’épaississement des ligaments jaunes
la brièveté congénitale des pédicules
l’hypotrophie des articulaires post
L’arthrose des articulations inter-apophysaires postérieures peut se
manifester par :
une absence de signes douloureux
une diminution du reflexe rotulien
une lombalgie basse en position debout immobile prolongée ou
piétinement
des lombalgies à recrudescence nocturne et résistantes aux antalgiques
habituels
des irradiations à type de brulûre dans la fesse, la cuisse et rarement la
jambe , mais sans toucher l’avant-pied
L’arthrose des articulations inter apophysaires postérieures
se retrouve surtout après 50 ans
est favorisée par l’obésité et l’hyperlordose
est souvent un début aigu et consécutif à une chute
est d’installation insidieuse et évolue de façon plutôt chronique
est habituellement soulagée au moins transitoirement par une
infiltration de corticoïdes
les lombalgies non communes répondent :
aux tassements vertébraux
au lumbago aigu
aux métastases osseuses
au myélome
à la lombo-sciatique par hernie discale
à la sponsodylodiscite infectieuses
le lumbago aigu d'effort
évolue favorablement dans 90% des cas
guerison en 2 à 3 mois spontanément
est très pénible au plan de la douleur et de l'impotence qui en résulte
est souvent sujet à récidives
l'évolution vers la chronicité se fait dans 5 à 10 % des cas
l'évolution vers la chronicité des lombalgies est liée à:
la dépression nerveuse
l'avancée en age
le surmenage et les travaux pénibles
le bas niveau socio-économique
l'insatisfaction au travail
DORSALGIES
L’une des affections suivantes est rarement responsable de dorsalgie
les tassements ostéoporotiques
métastase épidurale
tumeur intra-rachidienne
la polyarthrite rhumatoïde
spondylarthrite ankylosante
Parmi les caractères cliniques suivants, lesquels vont à l’encontre du
diagnostic de dorsalgies communes :
présence d’une irradiation intercostale
une résistance aux antalgiques habituels ( antalgiques de niveau I et
IIA)
la conservation de l'état général
une protéinurie de Bences Jones
douleur de rythme mécanique
Parmi les causes suivantes de dorsalgie, quelles sont celles qui peuvent
concerner un adolescent :
mal de Pott
ostéoporose
épiphysite de croissance ( maladie de Scheuerman)
spasmophilie, origines viscérales, douleur psychogène
maladie de Kahler (myélome)
Un aspect radiologique de vertèbre borgne est en relation avec :
une ostéolyse d’une épineuse
une ostéocondensation d’une lame
une ostéolyse d’une transverse
ostéocondensation d’un pédicule
ostéolyse d’un isthme
En présence d’une dorsalgie récente chez une femme de 62 ans, vous
devez débuter le bilan étiologique systématiquement par deux examens,
lesquels :
une prise de sang comprenant VS CRP
un pet scan
une IRM
une radiographie standard dorsale face et profil
une mammographie, ( clichés précédents ont 3 mois)
devant une dorsalgie aigue intense on commence à éliminer:
un infarctus du myocarde
une lésion ostéopathique d'un groupe de vertèbres dorsales
une crise de colite hépatique
une dissection de l'aorte thoracique
un tassement dorsale
devant une dorsalgie aigue intense on commence à éliminer:
un infarctus du myocarde
un pneumothorax aigu
un zona débutant
une dissection de l'aorte thoracique
une embolie pulmonaire
CERVICALES
devant une cervicalgie persistante , un certain nombre d'affection sont à
éliminer avant de traiter :
une tumeur de la fosse posterieure
une tumeur ORL ( parotide, amygdalienne etc )
un neurinome cervicales
un zona
une dépression nerveuse
Chez un patient souffrant de névralgies cervico-brachiales, les clichés de
3/4 (oad et oag) peuvent mettre en évidence toutes les anomalies
suivantes sauf une, laquelle :
visualisation d’une sténose d’un trou de conjugaison par uncarthrose
visualisation d’une lyse pédiculaire par une métastase rachidienne
visualisation d’une banale arthrose cervicale inférieure
visualisation d’une hernie discale cervicale
visualisation d’une sténose d’un trou de conjugaison par athrose
interapophysaire posterieure
devant une cervicalgie persistante , un certain nombre d'affection sont à
éliminer avant de traiter :
une tumeur ORL ( parotide, amygdalienne etc )
une arthrose C5/C6
un myélome
une SPA
une thyroidite aigue
Parmi les caractères cliniques suivants, lesquels vont à l’encontre du
diagnostic de cervicalgie commune :
présence d’une irradiation nerveuse
une résistance aux antalgiques habituels ( antalgiques de niveau I et
IIA)
la conservation de l'état général
une protéinurie de Bences Jones
douleur de rythme mécanique
Une névralgie cervico-brachiale de C7 peut être responsable de
abolition de réflexe tricipital
une hypoesthésie du moignon de l’épaule
une hypoesthésie du dos de la main et du 3 eme doigt
une atteinte motrice du deltoïde
une hypoesthésie du pouce et de l’index
Une névralgie cervico-brachiale par conflit disco-radiculaire :
ne survient que si il y a une importante unco-discarthrose
est souvent bilatérale
comporte le plus souvent une amyotrophie et une abolition des réflexes
du membre supérieur
ne comporte habituellemment pas d’algie inflammatoire nocturne
aucune de ces propositions est exacte
OS OSTÉOPOROSE MYÉLOME TUMEURS
La vitamine D est
liposoluble comme les vitamines A,E,K donc absorbée avec les graisses
est rare dans les régimes alimentaires dépourvus de graisses
est transformée par le rein pour être activée
est transformée par le foie pour être activée
est déficitaire chez 70 % de la population
Une raréfaction osseuse HÉTÉROGÈNE vertébro-pelvienne doit faire
discuter :
une arthrose
un cancer secondaire des os
une ostéoporose
une ostéomalacie
un myélome
Un homme de 29 ans, métropolitain, a depuis 4 mois une lombalgie
diurne et nocturne qui l’oblige à se lever dans la seconde moitié de la
nuit. Son rachis lombaire est très raide, le reste de l’examen clinique est
normal. Les radiographies du rachis lombaire faites il y a deux mois sont
normales. Quels sont les deux diagnostics les plus probables :
hernie discale
neurinome intra-rachidien
spondylodiscite microbienne
spa,
pce
métastase rachidienne
Les tumeurs osseuses bénignes sont habituellement
d'évolution bénigne
ne récidivent pas après traitement
présente un potentiel de dégénérescence maligne
doivent être souvent biopsiées pour affirmer le diagnostics
l'exérèse doit être large
l'aspect Iradio et RM des tumeurs osseuses malignes répond à
un aspect homogène
une corticale soufflée, mais non rompue
un liseret périosté en phase toute débutante
un envahissement des parties molles
un nidus au sein d'une condensation
les métastases osseuses et leurs douleurs
survient plutôt dans la 1 ere moitié de la vie
évoluent toujours défavorablement au fil des mois en l'absence de
traitement
ont tendance à réveiller les patients lors de la sieste
résistent au repos et aux antalgiques habituels ( hors Morphiniques)
surviennent le plus souvent sur le squelette des membres
les tumeurs malignes primitives des os et leurs douleurs
survient plutôt dans la 2 ere moitié de la vie
évoluent toujours favorablement au fil des mois en l'absence de
traitement
ont tendance à réveiller les patients la nuit
cèdent au repos et aux antalgiques habituels ( hors Morphiniques)
surviennent le plus souvent sur le squelette axial
FIBROMYALGIE
La fibromyalgie correspond aux propositions suivantes :
prédominance féminine environ 9 femmes pour 1 homme
touche le corps de façon large( coté gauche et droit, au dessus et au
dessous de la ceinture)
VS et CRP le plus souvent élevées
terrain le plus souvent anxieux
prédomine aux racines des membres
La fibromyalgie correspond aux propositions suivantes :
survient le plus souvent avant 30 ans
présente au moins 11 points douloureux sur les 18 répertoriés
disparaît après quelques mois d’un traitement par corticoïdes
maladie assez fréquente (touche environ 3 à 4 % des femmes)
les signes durent depuis plus de 3 mois
La fibromyalgie est évoquée après exclusion d’autres pathologie et en
particulier :
certaines myopathies ou polymyosites ( à adresser au spécialiste)
la PPR
la SPA ou spondyloarthropathies
une polyarthrose diffuse
un syndrome sec (Gougerot-Sjögren)
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