Don Quichotte d’après Miguel de Cervantès Adaptation et mise en scène Jérémie Le Louët Dossier pédagogique La Compagnie des Dramaticules 10, avenue du Président Wilson - Bâtiment B - 94230 Cachan Tél : +33 9 81 42 75 31 / Port : +33 6 99 38 15 30 Site : www.dramaticules.fr I ntention « J’appellerais baroque le style qui épuise délibérément toutes ses possibilités, et qui frôle sa propre caricature. » Jorge Luis Borges Don Quichotte a une place particulière dans l’inconscient collectif. C’est une œuvre que tout le monde connaît mais dont les lecteurs sont finalement plutôt rares. On en connaît les deux principaux personnages, Alonso Quijano et Sancho Panza, l’épisode des moulins à vents, l’amour du héros pour sa Dulcinée, son cheval Rossinante, mais guère plus. Et cela, à vrai dire, n’a pas tellement d’importance. Cervantès a créé un type, un personnage si exceptionnel qu’il a rendu le détail de ses aventures presque secondaires. L’Ubu roi des Dramaticules © Jean-Louis Fernandez I l y a douze ans, j’ai réuni un groupe de comédiens de ma génération avec lequel est née la Compagnie des Dramaticules. Ensemble, nous avons créé une grammaire de jeu. Travailler en troupe nous a permis de créer un répertoire de spectacles toujours vivants, enrichis par les années et les créations nouvelles. J’aime que cohabitent dans un même spectacle la tradition et l’expérimentation, la grandiloquence et le réalisme le plus trivial, la moquerie satirique et l’hommage vibrant, la tragédie classique et le canular. Mes choix de répertoire et de création sont toujours guidés par cette envie de décloisonner les genres, de bousculer les codes, de contester la notion de format. Parce que son héros est un insoumis, Don Quichotte cristallise ce rapport au théâtre, ce rapport au monde. C’est une satire des romans de chevalerie mais c’est aussi, comme l’a dit Borges, « un secret adieu nostalgique » au roman de chevalerie. Cette ambigüité entre sacralisation et désacralisation soulève la question de la légitimité des classiques, de la foi dans les chefs-d’oeuvre : quelle est la part d’authenticité et d’imposture dans l’acte créateur ? Quelle est la frontière entre le réel et le fantasme, entre le souvenir et le rêve ? Et Don Quichotte semble répondre : tout ce qui est beau est vrai ! La volonté de croire crée la vérité. L’histoire en quelques mots : Alonso Quijano a lu trop de romans de chevalerie. Il en devient fiévreux et fou. Il change de nom, décide de se faire chevalier errant et part sur les routes, accompagné de son écuyer Sancho Panza, cherchant la gloire, défendant les opprimés, pourfendant les oppresseurs, luttant contre les injustices de ce monde. Et dans cette quête d’idéal, il confond théâtre et réalité, met sur un pied d’égalité le livre saint et le profane, et devient, jusqu’à la transe, un fanatique de la fiction chevaleresque. Il y a dans Don Quichotte une distanciation entre l’auteur (Cervantès) et le narrateur (l’historien Sidi Hamet Ben Engeli). Cette distanciation permet à Cervantès d’être à la fois le défenseur et le critique du roman qu’il est en train d’écrire. Cette mise en abyme constante, ce jeu avec le lecteur est ce qui me fascine le plus. L’histoire qui nous est contée est annoncée comme véridique mais son conteur lui-même est un personnage de fiction. Cervantès va plus loin : il multiplie les allers-retours entre fiction principale et fictions secondaires, et fait faire du théâtre à ses personnages. Tous ces renversements, ces imbriquements et ces jeux de miroirs, ne peuvent être réduits à des prouesses stylistiques. Ce rapport singulier à la fiction fait de Don Quichotte le premier roman moderne : un roman qui scrute le roman. Cette spécificité rend le travail de l’adaptation pour la scène indissociable du travail au plateau avec les acteurs et les techniciens. Au théâtre, il n’y a de réel que la représentation, avec ses acteurs jouant le spectacle et ses spectateurs y assistant : je crois en la vérité de la représentation théâtrale mais non en une fiction strictement réaliste. En revanche, il n’y a pas de lieu plus propice que le théâtre pour confronter la fiction et la réalité. Shakespeare, Calderón, Hugo, Pirandello, Brecht : tous ont compris que la force du théâtre se trouve précisément dans ces instants de trouble où la fiction et la réalité deviennent une seule et même chose, où les personnages sont des acteurs qui jouent des personnages, devant un public qui joue le jeu de la représentation. J’imagine la scène jonchée de matériels divers (caméras, écrans, rails, projecteurs sur pieds, grue, régie, micros, toiles peintes, un cheval surdimensionné, armures…). Le choix d’un plateau de tournage comme scénographie doit créer d’emblée une superposition entre la fiction (l’histoire) et la réalité (la représentation). Le spectacle conte l’histoire d’un homme qui décide de lutter contre la médiocrité du monde pour la transformer en une épopée fantasmagorique. C’est, je crois, la quête de tout artiste et de tout spectateur. Jérémie Le Louët R encontres autour du spectacle La démarche Jérémie Le Louët conçoit la pédagogie comme le prolongement de son rôle de chef de troupe. Echanger et transmettre sont pour lui des actions essentielles qui lui permettent de rencontrer de nombreux spectateurs, de partager et de nourrir sa pratique théâtrale. De 2005 à 2007, il est professeur d’art dramatique à l’école Florent où il enseigne à de jeunes apprentis comédiens. Il pose les bases de sa réflexion sur la pédagogie. Par la suite, la résidence sur la Communauté d’agglomération du Val de Bièvre (2007/2011) lui permet de multiplier les propositions artistiques et culturelles et d’élargir son champ d’action. Elle lui donne notamment l’opportunité de développer un volet d’actions de sensibilisation autour de la création de ses spectacles. Il apprend à adapter ses interventions au public et au contexte rencontrés. Toujours en lien avec sa recherche artistique, Jérémie conduit désormais différents types d’interventions, de l’atelier de pratique à la formation professionnelle, en passant par la conférence sur l’évolution du jeu de l’acteur et le théâtre d’appartement. Autour de Don Quichotte, une forme courte AFFABULATIONS Un metteur en scène et deux comédiens se présentent au public et proposent de réfléchir devant lui à la manière dont on peut interpréter Les Fables de Jean de la Fontaine aujourd’hui. Pour ce faire, le metteur en scène dirigera à tour de rôle chaque comédien sur la fable Le corbeau et le renard. Le public sera invité à porter un regard critique sur les différentes propositions de jeu et peut-être, à jouer lui-même... Ce canular satirique met en pièce les tics d’acteur et interroge nos habitudes de spectateurs. Écriture et interprétation Julien Buchy, Jérémie Le Louët et David Maison Scénario et mise en scène Jérémie Le Louët Besoins techniques Une table et trois chaises Espace scénique minimum : 3x3 m Logistique Quatre personnes de la compagnie sont présentes : trois comédiens et un membre de l’équipe administrative Période de programmation Tout au long de la saison Tarif 1 000 euros HT (TVA 5,5%). S’ajoutent les frais de déplacement et repas éventuels. L’équipe arrive 1h30 avant l’heure de la représentation. Organisation La représentation dure environ 45 minutes. Elle est suivie d’un échange avec les spectateurs. Structures d’accueil possibles Appartements/maisons, établissements scolaires (à partir de la 2nde), bibliothèques, médiathèques, centres socioculturels, conservatoires, comités d’entreprises… Jauge - 50 spectateurs si la salle n’est pas équipée d’un gradin. - 100 spectateurs si la salle est équipée d’un gradin. Cette petite forme ne s’adresse pas aux jeunes enfants. Leur présence n’est pas recommandée. Autour de Don Quichotte, une lecture théâtralisée D’une grande intensité, les lectures publiques proposées par la compagnie permettent aux auditeurs de partager un moment original et convivial tout en découvrant un travail unique sur la musicalité de la parole. Par leur qualité rythmique et l’engagement physique des comédiens, ces lectures font exister, dans un espace souvent restreint, un moment de théâtre spectaculaire donnant matière à la découverte et à l’échange. Depuis 2007, la Compagnie des Dramaticules a proposé une centaine de lectures publiques à travers la France, chez l’habitant, dans les musées, les établissements scolaires, les bibliothèques, les maisons d’arrêt, les centres socioculturels... Pinocchio d’après Carlo Collodi Un pantin de bois désobéissant rêve de devenir « un petit garçon comme il faut ». Le protagoniste est jeté sur un chemin hasardeux qui le confronte à toutes ses perversités. Son voyage est un parcours initiatique dans une Italie de Cinecittà, qui s’étale sur une multitude de scènes, autant de théâtres différents : la mer, la ville, la campagne, la forêt, un petit théâtre de marionnettes, le ventre d’un squale… Chaque péripétie est un élément d’une thérapie qui fera de ce monstre de Pinocchio un enfant « sage et dévoué ». Jérémie Le Louët a trouvé dans ce roman la matière première idéale, fédératrice, pour questionner notre rapport à l’interdit, à la morale, et à l’accomplissement de soi ; des thématiques auxquelles les enfants sont très tôt confrontés. Noémie Guedj, Simon Denis et Jérémie Le Louët font vivre l’univers très peuplé de Collodi, s’adonnent au jeu du travestissement de la voix, utilisent musiques et amplifications sonores pour recréer la magie d’un de nos plus beaux mythes. Interprétation Noémie Guedj et Jérémie Le Louët Son et régie Simon Denis Besoins techniques Une table, une chaise, un raccordement électrique Espace scénique minimum : 4x4 m Logistique Quatre personnes de la compagnie sont présentes : deux comédiens, un régisseur et un membre de l’équipe administrative Période de programmation Tout au long de la saison Tarif 1000 euros HT (TVA 5,5%). S’ajoutent les frais de déplacement et repas éventuels. Organisation L’équipe arrive 2h30 avant l’heure de la représentation. La représentation dure environ 1h05. Elle est suivie d’un échange avec les spectateurs. Structures d’accueil possibles Appartements/maisons, musées, établissements scolaires (à partir du CE2), bibliothèques, médiathèques, centres socioculturels, conservatoires, comités d’entreprises… Jauge - 50 spectateurs si la salle n’est pas équipée d’un gradin. - 100 spectateurs si la salle est équipée d’un gradin. En représentation scolaire, la jauge est limitée à 50 élèves. Au sein de l’école, il est important de privilégier un espace à l’acoustique mate. Le réfectoire n’est pas un espace adapté. Autres propositions La face cachée du plateau, confidences son et lumière Comment un metteur en scène utilise-t-il les possibilités techniques et scéniques du plateau ? Jérémie Le Louët dévoile aux spectateurs tout ce qui contribue à donner du sens à une création, en dehors du texte lui-même : la lumière, le son et la direction d’acteurs. Il ne s’agit pas d’assister au montage d’un décor ni au réglage des projecteurs mais d’explorer concrètement la palette des possibilités techniques et scéniques qui s’offrent à un metteur en scène lors de la création d’un spectacle. Accompagné d’un régisseur et d’un acteur de la compagnie, Jérémie Le Louët fait varier sur le plateau les paramètres de lumière, de son et les contraintes de jeu pour amener les « spectateurs-auditeurs » à comprendre les choix effectués lors d’une mise en scène, et leurs enjeux dans l’adaptation d’une oeuvre à la scène. Ce format pédagogique est une initiation aux métiers de la technique dans le spectacle vivant : un sujet pointu servi par une construction et une mise en application intelligentes et concrètes. La face cachée du plateau suscitera pour sûr des vocations. Conception et présentation Jérémie Le Louët Régie son et lumière Simon Denis Jeu Jonathan Frajenberg Besoins techniques Espace scénique : un plateau bien équipé (théâtres, auditoriums de conservatoires ou de musées bien équipés) Un service de prémontage son et lumière est nécessaire, en amont de la venue de l’équipe, puis un service pour les réglages et le filage technique. Public 150 personnes maximum en représentation tout public 2 classes maximum en représentations scolaire et tout public (60 élèves, à partir de la 3e) Logistique Quatre personnes de la compagnie sont présentes : Jérémie Le Louët, metteur en scène ; Jonathan Frajenberg, comédien ; Simon Denis, régisseur ; un membre de l’équipe administrative. Période de programmation Tout au long de la saison. Proposition particulièrement adaptée dans le cadre de présentations de saison, des journées du patrimoine, de rencontres sur les métiers artistiques et techniques. Tarif 1 000 euros HT (TVA 5,5%). S’ajoutent les frais de déplacement et repas éventuels. Formation à la lecture à haute voix La formation que propose Jérémie Le Louët prend directement sa source dans son travail de directeur d’acteurs. De la même manière qu’il demande à ses comédiens de contourner la syntaxe d’un texte pour en créer une nouvelle basée sur le souffle, il demande aux stagiaires de se méfier de la prosodie officielle, de faire confiance à l’intensité du verbe, aux souffles musicaux. A partir de textes du répertoire classique, Jérémie Le Louët propose aux participants de travailler l’adresse, la respiration, le placement de la voix et la tenue du corps. Il s’appuie sur des contraintes formelles - la gestion du souffle, le tempo, la dynamique, le phrasé -, essentielles selon lui pour atteindre une lecture concrète, expressive et physique. Cette formation s’articule autour de deux séances de travail de trois heures chacune, soit six heures au total, avec l’ensemble du groupe constitué. Logistique Deux personnes de la compagnie sont présentes : Jérémie Le Louët, intervenant et un membre de l’équipe administrative. Public Dans la limite de 12 personnes et avec un minimum de 8 participants, cette formation s’adresse aux enseignants, documentalistes et bibliothécaires, aux acteurs amateurs et professionnels. Période de programmation Tout au long de la saison. Tarif 720 euros HT (TVA 20%). S’ajoutent les frais de déplacement et les repas éventuels. Atelier de pratique théâtrale Rencontre avec le metteur en scène Constitué d’exercices inventés par Jérémie Le Louët, cet atelier permet aux élèves de découvrir les rouages de sa direction d’acteurs et d’assister à la naissance du jeu en observant leurs camarades. Les élèves aborderont de manière concrète et ludique la singularité du travail du metteur en scène et la précision de sa pratique. Afin de finaliser le travail mené en accompagnement du spectacle, nous proposons une rencontre en classe avec Jérémie Le Louët. Cet échange est l’occasion de revenir sur le spectacle et de répondre aux questions des élèves ; d’expliquer les partis pris de mise en scène ; d’analyser le jeu des comédiens ; d’aborder les choix de décor, de lumière, de musique... Besoins techniques Une salle suffisamment grande et dégagée pour que les élèves puissent y évoluer sans se gêner. Logistique Deux personnes de la compagnie sont présentes : Jérémie Le Louët, intervenant et un membre de l’équipe administrative. Logistique Deux personnes de la compagnie sont présentes : Jérémie Le Louët, intervenant et un membre de l’équipe administrative. L’équipe arrive une 1/2 heure avant l’heure de l’intervention. L’atelier dure deux heures. Public Cet atelier s’adresse aux élèves qui assisteront au spectacle, dans la limite d’une classe. Période de programmation Intervention proposée en amont de la représentation. Tarif 70 euros HT/heure (TVA 20%). S’ajoutent les frais de déplacement et les repas éventuels. L’équipe arrive une 1/2 heure avant l’heure de l’intervention. La rencontre dure une heure. Public Cet atelier s’adresse aux élèves ayant assisté au spectacle, dans la limite de deux classes. Période de programmation Intervention proposée en aval de la représentation. Tarif 70 euros HT/heure (TVA 20%). S’ajoutent les frais de déplacement et les repas éventuels. P arcours Jérémie Le Louët, comédien et metteur en scène J érémie Le Louët effectue sa formation théâtrale dans les classes de Stéphane Auvray-Nauroy et de Michel Fau. Entre 1999 et 2002, il joue notamment dans Elle de Jean Genet au Théâtre le Colombier (mes Valéry Warnotte), Marion Delorme et Le roi s’amuse de Victor Hugo au Théâtre du Marais (mes Julien Kosellek et Stéphane Auvray-Nauroy), Occupe-toi d’Amélie de Georges Feydeau au Théâtre le Trianon (mes Caroline Carpentier). En octobre 2002, il réunit un groupe de comédiens de sa génération avec lequel naît la Compagnie des Dramaticules. Dès lors, il interroge les notions d’interprétation et de représentation en portant un regard critique sur le jeu. En février 2003, il crée Macbett de Ionesco au Théâtre le Proscenium. Il y pose les bases de son travail sur le tempo, la dynamique et le phrasé. En octobre 2004, il illustre, par un prologue, la Symphonie Pastorale de Beethoven interprétée par l’Orchestre de Paris, sous la direction de Marek Janowski, au Théâtre Mogador. En 2005, il présente une recréation de Macbett d’Eugène Ionesco au Théâtre 13 et y interprète le rôle de Duncan. Il joue ensuite dans Rated X, création d’Angelo Pavia présentée à la MC93 à Bobigny en septembre 2006. En décembre 2007, il met en scène Hot House d’Harold Pinter, spectacle dans lequel il interprète le rôle de Lush. En janvier 2009, il met en scène Un Pinocchio de moins ! d’après Carlo Collodi ; il interprète les rôles de Geppetto, Mangefeu, le Grillon-qui-parle. Il crée Le Horla de Guy de Maupassant au Festival d’Avignon 2010. Il interprète Hérode dans Salomé d’Oscar Wilde qu’il met en scène en janvier 2011. Il met en scène Richard III de William Shakespeare au Théâtre 13 / Seine à l’automne 2012. Il interprète le rôle-titre. Il crée Affreux, bêtes et pédants au Théâtre de Châtillon en janvier 2014. Il met en scène Ubu roi d’après Alfred Jarry au Théâtre de Châtillon en novembre 2014. La Compagnie des Dramaticules est l’invitée de l’édition 2016 du Festival de Grignan. Jérémie Le Louët et son équipe y créeront Don Quichotte d’après Miguel de Cervantès. La Compagnie des Dramaticules 2002/2003 Création de la Compagnie des Dramaticules 2004/2005 Création de Macbett d’Eugène Ionesco au Théâtre 13 à Paris Festival d’Avignon 2006 Reprise de Macbett au Théâtre du Balcon 2007/2008 Création d’Hot House d’Harold Pinter au Théâtre de Cachan-Jacques Carat Création d’Arrêt de jeu, forme courte autour d’Harold Pinter Festival d’Avignon 2008 Reprise d’Hot House au Théâtre du Balcon 2008/2009 Création d’Un Pinocchio de moins ! d’après Carlo Collodi au Théâtre Romain Rolland de Villejuif Création de la forme courte Affabulations 2009/2010 Création de Plus belle la vie d’une compagnie, feuilleton théâtral en 3 épisodes, à la Grange Dîmière à Fresnes Festival d’Avignon 2010 Création du Horla de Guy de Maupassant au Théâtre le Petit Chien Reprise de Macbett au Théâtre le Petit Louvre 2010/2011 Création de Salomé d’Oscar Wilde à l’ECAM au Kremlin-Bicêtre Création de la forme courte Les décadents 2011/2012 Reprise du Horla au Théâtre Mouffetard à Paris Création de la forme courte Les monstres 2012/2013 Création de Richard III de William Shakespeare au Théâtre 13 à Paris 2013/2014 Création d’Affreux, bêtes et pédants au Théâtre de Châtillon Création de La face cachée du plateau, confidences son et lumière au Théâtre de Corbeil-Essonnes Festival d’Avignon 2014 Reprise d’Affreux, bêtes et pédants au Théâtre GiraSole Novembre 2014 Création de L’Ubu roi des Damaticules d’après Alfred Jarry au Théâtre de Châtillon Festival d’Avignon 2015 Reprise de L’Ubu roi des Damaticules au Théâtre GiraSole Les résidences 2007/2011 2011/2013 2011/2015 2014/2016 2015/2018 Résidence sur la Communauté d’agglomération du Val de Bièvre Résidence au Théâtre de Rungis Résidence au Théâtre de Corbeil-Essonnes et sur la Communauté d’agglomération Seine Essonne Résidences au Théâtre de Châtillon et au Théâtre de la Madeleine/Scène conventionnée de Troyes Résidence au Centre culturel des Portes de l’Essonne I nformations pratiques L’équipe du spectacle Adaptation et mise en scène Jérémie Le Louët Collaboration artistique Noémie Guedj Avec Julien Buchy, Anthony Courret, Jonathan Frajenberg, Jérémie Le Louët, David Maison et Dominique Massat Scénographie Blandine Vieillot Costumes Barbara Gassier Vidéo Thomas Chrétien, Simon Denis et Jérémie Le Louët Lumière Thomas Chrétien Son Simon Denis Couture Lydie Lalaux Construction Guéwen Maigner Régie Thomas Chrétien et Simon Denis Contacts ■ Responsable de la diffusion et de la communication : Noémie Guedj [email protected] 06 99 38 15 30 ■ Metteur en scène : Jérémie Le Louët ■ Administratrice : Pauline Huillery ■ Chargée de la communication et des relations avec les publics : Camille Jeannet ■ Chargée des relations et partenariats à l’inernational : Céline Huerta ■ Régisseurs : Simon Denis et Thomas Chrétien ■ La Compagnie des Dramaticules 10, avenue du Président Wilson - Bâtiment B - 94230 Cachan Tél. : 09 81 42 75 31 06 99 38 15 30 Site : www.dramaticules.fr N° SIRET : 445 181 944 00056 Code NAF : 9001Z Licence : 2-1049766 Fiche pédagogique ■ Représentation scolaire à partir de la classe de 3e ■ Jauges maximum En représentation scolaire : 300 élèves En représentation tout public : 100 élèves Partenaires ■ Production Compagnie des Dramaticules ■ Coproduction Châteaux de la Drôme, Théâtre de Châtillon, Théâtre de la Madeleine/Scène conventionnée de Troyes, Centre culturel des Portes de l’Essonne, Théâtre Jean Vilar de Vitry-sur-Seine ■ Avec le soutien d’Arcadi Île-de-France et du Centre d’art et de culture de Meudon ■ Demandes en cours d’instruction : Conseil régional d’Île-de-France, Conseil départemental du Val de Marne, Conseil départemental de l’Essonne, Ville de Paris Depuis janvier 2014 et pour trois années, la Compagnie des Dramaticules est associée au Théâtre de Châtillon et en résidence au Théâtre de la Madeleine/Scène conventionnée de Troyes. En septembre 2015, elle débute une résidence de trois saisons au Centre culturel des Portes de l’Essonne. La Cie des Dramaticules est soutenue par le Conseil régional d’Île-de-France au titre de la permanence artistique et culturelle, par le Conseil départemental du Val-de-Marne au titre de l’aide au fonctionnement et par la Ville de Cachan.