Philip Seymour Hoffman Amy Ryan John Ortiz Daphne Rubin-Vega Rendez-vous l’été prochain un film de Philip Seymour Hoffman LE PACTE présente le premier film de Philip Seymour Hoffman par les producteurs de « little miss sunshine » Rendez-vous l’été prochain une production big beach et cooper ’ s town production scénario de bob glaudini , d ’ après sa pièce avec PHILIP SEYMOUR HOFFMAN AMY RYAN JOHN ORTIZ DAPHNE RUBIN-VEGA SORTIE LE 29 DECEMBRE 2010 etats - unis durée du film : 1H31 dolby sr srd dts - 2010 - 1.85 - DISTRIBUTION 5, rue D arcet 75017 P aris T él . : 01 44 69 59 59 F ax : 01 44 69 59 47 www . le - pacte . com - vostf RELATIONS PRESSE LE PUBLIC SYSTEME CINEMA C éline PETIT & H édi ZARDI 40, rue A natole F rance 92594 L evallois -P erret cedex T él . : 01 41 34 23 50 / 22 03 cpetit @ lepublicsystemecinema . fr hzardi @ lepublicsystemecinema . fr www . lepublicsystemecinema . fr SYNOPSIS Jack est un chauffeur de limousine attachant, émotif et socialement un peu inadapté. Il passe le plus clair de son temps avec son ami Clyde et sa femme Lucy. Grace à eux, il rencontre la fragile et maladroite Connie et en tombe amoureux. Afin de la séduire, Jack apprend à cuisiner avec ténacité, se prend à rêver d’une nouvelle carrière et va même jusqu’à apprendre à nager. Car Jack veut absolument tenir la promesse qu’il a faite à Connie lors de leur rencontre : une balade en bateau à Central Park ! Mais alors que le couple de Clyde et Lucy commence à s’effriter, celui de Jack et Connie tente de dépasser ses inhibitions sans renoncer à son idéal … NOTE D’INTENTION De la scène à l’écran La décision de mettre en scène Rendez-vous l’été prochain m’est venue de façon très naturelle. C’était à l’issue d’une rencontre avec John Ortiz, avec lequel j’allais partager l’affiche et Bob Glaudini, le scénariste. Nous nous étions réunis pour parler du film et John a suggéré au détour de la conversation que j’en assure la réalisation. Tout d’abord, l’idée de cette double responsabilité m’a quelque peu intimidé. Mais finalement, ce choix m’a semblé d’autant plus justifié qu’il découlait naturellement de ma longue expérience artistique avec John et Bob, dans le cadre de la Compagnie de théâtre LAByrinth, où je faisais de la mise en scène depuis dix ans. C’est ainsi que l’appréhension initiale s’est très vite transformée en un appétit enthousiaste. Plusieurs aspects de cette histoire étaient pour moi prédominants dans l’approche que je tenais à en proposer. Je ressentais un désir très fort de porter mon regard sur un milieu peu souvent décrit : celui des petits employés de New-York. Je vis dans cette ville depuis l’époque où j’y étais étudiant. Une source inépuisable d’inspiration et d’engagement artistique est pour moi d’y côtoyer chaque jour des personnes issues de milieux très divers et ayant des occupations très variées. Pour le film, j’ai eu le privilège d’être entouré d’une équipe exceptionnelle formée par mon chef opérateur Mott Hupfel, ma chef décoratrice Therese DePrez, et ma chef costumière Mimi O’Donnell. Chacun d’eux s’est senti personnellement impliqué dans cette recherche d’un rendu parfait de la beauté visuelle et de l’atmosphère très spécifique de la ville de New-York, aussi bien dans ses quartiers modernes que dans ses parties plus anciennes. Par ailleurs, il me tenait à cœur de préserver le mystère qui est au cœur du scénario, celui de la vraie nature de ce que vivent ces personnages. Le maintien de ce mystère ne pouvait se faire qu’au prix d’une certaine retenue. Il ne fallait surtout pas donner trop à voir. Quand Clyde aperçoit Cannoli au restaurant, il faut simplement suggérer la peine sur son visage, pour laisser intact ce que le film révèlera par la suite. C’est cette accumulation de détails qui touche les spectateurs par vagues successives et qui charge le film de l’impact émotionnel qui se ressent, je l’espère, au dénouement. Plus simplement, on pourrait dire que Rendez-vous l’été prochain est un film sur les relations humaines, sur tous les espoirs et les craintes que nous nourrissons dès qu’il s’agit de nous ouvrir à l’autre, de lui accorder notre confiance, et de toutes les barrières que nous dressons parfois pour éviter de nous engager envers l’autre. Je dis bien « nous » car je tiens à ce que les spectateurs ne mettent pas à distance les personnages, qu’ils ne soient pas tentés de les juger en les catégorisant comme un type donné de personnes ayant un type donné de comportements. J’ai veillé au contraire au maintien d’un lien étroit et permanent entre chacun des personnages et « nous » tous qui le regardons. J’ai voulu que ce que chacun d’eux a vécu soit ressenti comme une expérience intime, authentique, familière pour quiconque a éprouvé au moins une fois dans sa vie le trouble vertigineux, la beauté complexe, la joie inattendue de tomber amoureux. Rendez-vous l’été prochain a tout d’abord été créé comme pièce de théâtre sous l’impulsion de la Compagnie LAByrinth. Philip Seymour Hoffman et John Ortiz étaient les directeurs artistiques de cette grande maison qui compte parmi ses membres les plus grands noms du théâtre new-yorkais. La pièce fut écrite par l’un d’entre eux, Bob Glaudini et mise en scène par Peter Dubois, l’actuel directeur artistique de la Compagnie Huntington. Elle fut jouée par Philip Seymour Hoffman, John Ortiz, Daphne Rubin-Vega et Beth Cole et remporta l’un des plus grands succès commerciaux et critiques des spectacles Off Broadway. Bob Glaudini a tiré l’idée première de la pièce d’un événement qu’il qualifie de « catastrophe personnelle ». Il révèle qu’à l’origine, il concevait la relation entre deux des personnages comme totalement abjecte et insoutenable, mais qu’heureusement, au fil de l’écriture, les personnages eux-mêmes se sont insurgés contre cette vision. Ce qui demeure pourtant, c’est l’idée qu’une trahison, même pardonnée, n’est pas nécessairement surmontable. Une fois ce premier jet écrit, l’auteur le soumet à ses compagnons de LAByrinth. John Ortiz aime à rappeler qu’ils y ont travaillé tous ensemble pendant leur traditionnelle retraite estivale et se sont d’emblée mis d’accord pour monter cette pièce qui se présentait sous les meilleurs auspices. Beth O’Neil, l’une des productrices décèle le potentiel cinématographique de la pièce avant même de l’avoir vue sur scène. Elle la perçoit comme une comédie romantique atypique sur des employés moyens que l’on croise tous les jours dans les rues de New-York, mais que l’on n’a pas l’habitude de voir au cinéma ou au théâtre. Elle s’est vite attachée à ces personnages très vivants. Philip Seymour Hoffman Pour Marc Turtletaub, un autre des producteurs, il s’agit d’un film d’amour, mais qui raconte l’histoire de trois couples : un premier qui bat de l’aile, un deuxième sur le point de prendre son envol et un troisième créé par l’amitié entre ces deux mêmes hommes et le sens qu’elle revêt pour eux. Bob Glaudini a pris un grand plaisir a remettre l’ouvrage de sa pièce sur le métier pour l’adapter à l’écran. L’expérience scénique avait en soi été un grand bonheur pour lui mais cette reprise du texte lui a permis d’affiner son propos et le rendre plus dense. Il a entrepris cette tâche à l’aide de notes que lui avaient fournies les producteurs et a ainsi donné vie a son premier scénario de long métrage, dans une étroite collaboration avec Philip Seymour Hoffman qui lui insufflait d’ores et déjà sa vision de cinéaste. Pouvoir modeler le scénario dès la phase d’écriture selon les perceptions et les exigences du réalisateur est une situation que Glaudini a vécue comme un privilège. Rendez-vous l’été prochain est un coup d’essai pour Philip Seymour Hoffman en tant que réalisateur mais il a su mettre à profit sa grande expérience de metteur en scène de théâtre. Le producteur Peter Saraf avoue avoir d’abord été surpris par sa méthode de travail : d’interminables répétitions qui réunissaient acteurs, chef opérateur, scénariste et assistant réalisateur et où tout était mis au point, depuis le jeu des acteurs, leur texte et leur positionnement, jusqu’à la place de la caméra. L’équipe arrivait ainsi sur le plateau parfaitement préparée et en ayant préalablement identifié les tâches de chacun. Passer à la réalisation était un projet que Philip Seymour Hoffman caressait depuis un certain temps mais assumer la double casquette acteur-réalisateur n’a pas été si simple pour lui. En effet, en tant que réalisateur, il se devait d’être disponible pour tous, alors que parallèlement, le film reposait en grande partie sur son jeu d’acteur, d’autant qu’il incarne l’un des quatre piliers du film, présent dans de multiples scènes à deux. Il a fini par trouver cette position troublante, voire dangereuse, au vu de la conscience de soi permanente qu’elle impliquait ! Philip Seymour Hoffman prête ses traits à Jack, un chauffeur de limousine solitaire, à la recherche de l’âme sœur. Il décrit son personnage comme un brave type qui, même s’il a dû passer par quelques aventures sans lendemain, s’est toujours laissé guider par la peur. Il peut paraître timoré mais il n’a pas encore dit son dernier mot. Ce personnage, comme les autres, a évolué lors du passage de la scène à l’écran. Cependant, Philip Seymour Hoffman apprécie grandement de l’avoir d’abord incarné sur scène et de parvenir ainsi à mieux se couler dans le moule de ce personnage très différent de lui et le rendre vivant et crédible. Pour lui, le jeu au théâtre est conditionné par les inévitables ellipses et allusions qu’il s’agit de combler pour soi pour comprendre le personnage. En revanche, le cinéma permet d’explorer ouvertement ces lieux, ces situations, ces échanges et de les révéler aux spectateurs. Le jeu qu’ils ont dû proposer dans le film lui semble en cela plus subtil et nuancé, comme enrichi au gré de ces découvertes. Il estime que cette transformation lui a permis d’accéder à une appréhension plus fine et plus juste du rôle. En tant qu’acteur, il se sent responsable du personnage qu’il incarne. Sans le catégoriser ni le juger, il cherche à lui insuffler assez de vérité et de sincérité pour que les spectateurs qui s’attendaient à être rebutés par lui se surprennent à réviser leur jugement. John Ortiz et Daphne Rubin-Vega ont également repris les rôles qu’ils jouaient au théâtre, ceux de Clyde et Lucy, les meilleurs amis de Jack. Clyde est aussi chauffeur de limousine et avec son épouse Lucy, ils tentent de donner un coup de pouce à leur ami dans sa vie amoureuse. John Ortiz voit en Jack l’un de ces loups solitaires à qui tous ses amis souhaitent de rencontrer enfin son âme soeur. Quant à Clyde lui-même, c’est un personnage en pleine remise en question. Sa vie ne lui convient pas. A quarante ans, il est dans une mauvaise passe financière et être chauffeur de limousine n’est pas tout à fait le métier dont il avait rêvé. Tout au long du film, il tâche d’affronter cette situation de la façon la plus constructive qui soit. En fait, pour Ortiz, il s’agit d’un film sur le passage à la vie adulte d’un nouveau genre : les protagonistes y sont déjà quarantenaires ! Sa collaboration avec Hoffman en tant que réalisateur lui a paru assez conforme à ce qu’il savait de lui comme acteur. Il le trouve exigeant, d’une exigence à la hauteur de sa quête de vérité. Un esprit fin, perspicace, précis, qui n’hésite pas à explorer toutes les pistes, même quand il ne sait guère où elles peuvent le mener. Daphne Rubin-Vega campe le personnage de Lucy, l’épouse ambitieuse de Clyde qu’elle décrit comme une bosseuse franche du collier qui obtient toujours ce qu’elle veut. Mais elle vit une période de grande frustration. Peut-être à la différence des autres personnages, elle a une conscience aiguë des bouleversements qui s’annoncent dans leurs vies. Elle et Clyde sont les meilleurs amis de Jack, sa famille de substitution. Ils lui arrangent un rendez-vous avec Connie, une collègue de Lucy. L’histoire du film se construit autour de ces deux couples. Selon l’actrice, la relation naissante entre Jack et Connie devient pour Clyde et Lucy un exutoire, une façon de se projeter hors de la crise que traverse leur propre couple. Elle aussi a su mettre à profit l’avantage d’avoir incarné le rôle de Lucy sur scène avant de l’appréhender pour le film. Elle admet cependant que le personnage a beaucoup évolué : sa soif de changement, sa détermination à agir sont devenues plus pressantes. Ces nuances sont apparues au fur et à mesure du travail sur le film, où elle a ressenti chez Hoffman une grande cohérence d’attitude entre l’acteur et le réalisateur. C’est un homme qui déborde d’une énergie contagieuse et jubilatoire. Il est extrêmement clair et précis dans sa direction d’acteurs, tout en ne rechignant jamais à s’atteler lui-même à la tâche : cela est très stimulant pour les autres. Lucy présente Jack à Connie, une jeune femme célibataire devenue depuis peu sa collègue chez Thomas Mortuary, où elles vendent des séminaires sur le deuil aux entreprises de pompes funèbres à travers les Etats-Unis. C’est Amy Ryan, seule nouvelle venue dans le quatuor d’acteurs, qui joue le rôle de Connie. Son personnage est à ses yeux une femme peu douée pour son travail, mais qui s’en sort grâce à sa persévérance et un peu de chance. Malgré sa tendance à mal interpréter les situations, elle tâche d’être positive et d’aller de l’avant. Amy Ryan a rejoint ce groupe d’acteurs qu’elle connaissait peu, à l’exception de Philip Seymour Hoffman, avec lequel elle avait joué dans Truman Capote. Elle avait d’abord une certaine appréhension à s’immiscer dans un groupe déjà soudé et se réjouit à présent de n’avoir pas subi de bizutage ! Les longues répétitions ont été pour elle l’occasion rêvée de faire connaissance avec chacun. Cette façon d’aborder ensemble tous les aspects de chaque scène a également permis aux autres acteurs de redécouvrir leur rôle. Les changements par rapport à la pièce étaient si nombreux qu’elle était loin d’être la seule à avoir des questions sur son personnage. Elle ne tarit pas d’éloges sur la précision avec laquelle Hoffman a su maîtriser sa double responsabilité, à la fois totalement investi dans le rôle qu’il joue et soucieux à chaque instant du bon déroulement de l’entreprise globale. FILMOGRAPHIE PHILIP SEYMOUR HOFFMAN (Réalisateur, Producteur exécutif et Comédien / Jack) Né en 1967 à Fairport, dans le nord-ouest de l’État de New York, Philip Seymour Hoffman s’engage dans des cours de théâtre au lycée puis à la New York University Tisch School of the Arts, et obtient un Bachelor of Fine Arts en expression théâtrale en 1989. Il fait ses débuts à l’écran en 1991 avec le film TRIPLE BOGEY ON A PAR FIVE HOLE, crédité sous le nom de Phil Hoffman, mais son premier rôle important survient l’année suivante dans MY NEW GUN. Il poursuit sa carrière et continue à se faire de plus en présent en jouant dans Le Temps d’un week-end, GUETAPENS et TWISTER. C’est Paul Thomas Anderson en 1997 qui lui offre dans le film BOOGIE NIGHTS son premier rôle marquant, en interprétant le personnage de Scotty J. Commence dès lors une fidèle collaboration avec le réalisateur et Philip Seymour Hoffman se distingue dans MAGNOLIA et PUNCH-DRUNK LOVE. Il devient conseiller de Jeffrey Lebowski pour les besoins du film des frères Cohen, THE BIG LEBOWSKI. Il accumule les rôles aussi divers et variés qu’un obsédé sexuel fantasmant sur sa voisine de palier dans HAPPINESS, un dandy arrogant dans LE TALENTEUX Mr RIPLEY, celui qui entraîne Robert de Niro dans le monde des dragqueens de PERSONNE N’EST PARFAIT(E) et le terrible ennemi de l’agent Ethan Hunt dans MISSION IMPOSSIBLE III. 2005 marque un tournant dans sa carrière. Le rôle de composition du personnage de Truman Capote qu’il interprète dans le film éponyme de Bennett Miller, lui vaut le Los Angeles Film Critics Award, le Golden Globe du Meilleur Acteur dans un drame et l’Oscar du meilleur acteur en 2006. Considéré comme une valeur sûre du cinéma hollywoodien, il se distingue à nouveau en 2008 dans LA GUERRE SELON CHARLIE aux côtés de Tom Hanks où il met à profit ses talents comiques. A l’inverse, il se plonge dans le drame en interprétant un curé soupçonné d’abuser d’un jeune paroissien dans Doute. Ces deux rôles bien différents lui ont chacun valu une nomination aux Oscars. En 2009, il incarne Le Comte dans la comédie GOOD MORNING ENGLAND de Richard Curtis, où il interprète un personnage excentrique et égocentrique aux côtés de Rhys Ifans et Bill Nighy. On le verra prochainement dans THE MASTER, le nouveau film de son réalisateur fétiche Paul Thomas Anderson et dans MONEYBALL où il retrouvera celui qui l’a porté à l’Oscar, Bennett Miller. Très actif sur la scène théâtrale, il a reçu deux nominations pour le Tony Award en tant que meilleur acteur en 2000 pour «TRUE WEST» et meilleur acteur en 2003 pour «LONG DAY’S JOURNEY INTO NIGHT». Il joua entre autres dans «LA MOUETTE» mise en scène par Mike Nichols dans le cadre du New York Shakespeare Festival et «LE MARCHAND DE VENISE» mise en scène par Peter Sellars. Il est avec John Ortiz le co-directeur artistique de la compagnie de théâtre LAByrinthe au sein de laquelle ils ont monté trois pièces de Stephen Adly Guirgis, «OUR LADY OF 121 ST STREET», «IN ARABIA, WE’D ALL BE KINGS» et «JESUS HOPPED THE «A» TRAIN». Il vient de mettre en scène la pièce de Sam Shepard, «TRUE WEST» actuellement en représentation au Sydney Theatre Company. RENDEZ-VOUS L’ÉTÉ PROCHAIN est le premier film réalisé par Philip Seymour Hoffman. En tant que comédien 2011 MONEYBALL de Bennett Miller THE MASTER de Paul Thomas Anderson 2010 RENDEZ-VOUS L’ETE PROCHAIN* de Philip Seymour Hoffman 2009 GOOD MORNING ENGLAND de Richard Curtis SYNECDOCHE, NEW YORK de Charlie Kaufman DOUTE de John Patrick Shanley 2008LA GUERRE SELON CHARLIE WILSON de Mike Nichols 2007LA FAMILLE SAVAGE de Tamara Jenkins 7H58 CE SAMEDI-LA de Sidney Lumet 2006TRUMAN CAPOTE de Bennett Miller (Oscar du meilleur acteur, Golden Globe du meilleur acteur dans un drame) MISSION IMPOSSIBLE III de J.J Abrams 2004POLLY ET MOI de John Hamburg RETOUR A COLD MOUNTAIN de Anthony Minghella 2003LAST PARTY 2000 de Rebecca Chaiklin et Donovan Leitch LA 25 ème HEURE de Spike Lee PUNCH-DRUNK LOVE de Paul Thomas Anderson 2002DRAGON ROUGE de Brett Ratner 2001PRESQUE CELEBRE de Cameron Crowe SEQUENCES ET CONSEQUENCES de David Mamet 2000LE TALENTUEUX MR RIPLEY de Anthony Minghella MAGNOLIA de Paul Thomas Anderson PERSONNE N’EST PARFAIT(E) de Joel Schumacher et Michael Radford 1999DOCTEUR PATCH de Tom Shadyac HAPPINESS de Todd Solondz 1998 BOOGIE NIGHTS de Paul Thomas Anderson 1997THE BIG LEBOWSKI de Joel & Ethan Cohen 1996TWISTER de Jan de Bont 1995UN HOMME PRESQUE PARFAIT de Robert Benton 1993LE TEMPS D’UN WEEK-END de Martin Brest Théâtre en tant que comédien 2007 RENDEZ-VOUS L’ETE PROCHAIN de Bob Glaudini 2003LONG DAY’S JOURNEY INTO NIGHT de Eugene O’Neill 2001 la mouette de Anton Chekhov 2000TRUE WEST de Sam Shepard 1999THE AUTHOR’S VOICE de Richard Greenberg 1998SHOPPING AND F*CKING de Mark Ravenhill 1997DEFYING GRAVITY de Jane Anderson 1994 le marchand DE VENISE de William Shakespeare en tant que metteur en scène 2010 TRUE WEST de Sam Shepard 2008THE LITTLE FLOWER OF EAST ORANGE de Stephen Adly Guirgis 2007 RIFLEMIND de Andrew Upton 2005THE LAST DAYS OF JUDAS ISCARIOT de Stephen Adly Guirgis 2003OUR LADY OF 121 st STREET de Stephen Adly Guirgis 2001THE GLORY OF LIVING de Rebecca Gilman 2000 JESUS HOPPED THE “A” TRAIN de Stephen Adly Guirgis 1999IN ARABIA, WE ‘D ALL BE KINGS de Stephen Adly Guirgis * également réalisateur et producteur exécutif AMY RYAN DAPHNE RUBIN-VEGA (Comédienne / Connie) (Comédienne / Lucy) 2011 WIN WIN de Tom McCarthy 2010 RENDEZ-VOUS L’ETE PROCHAIN de Philip Seymour Hoffman GREEN ZONE de Paul Greengrass 2008L’ECHANGE de Clint Eastwood COUP DE FOUDRE A RHODE ISLAND de Peter Hedges 2007 GONE BABY GONE de Ben Affleck 7H58 CE SAMEDI-LA de Sidney Lumet 2005TRUMAN CAPOTE de Bennett Miller LA GUERRE DES MONDES de Steven Spielberg KEANE de Lodge Kerrigan 2001TU PEUX COMPTER SUR MOI de Kenneth Lonergan Théâtre 2005A STREETCAR NAMED DESIRE de Edward Hall 2004THE DISTANCE FROM HERE de Neil LaBute 2000UNCLE VANYA de Anton Chekhov JOHN ORTIZ (Comédien / Clyde) 2011 LUCK de Michael Mann 2010 RENDEZ-VOUS L’ETE PROCHAIN* de Philip Seymour Hoffman 2009 PUBLIC ENEMIES de Michael Mann 2008ALIEN VS PREDATOR : REQUIEM de Colin Strause et Greg Strause LE PRIX DE LA LOYAUTE de Gavin O’Connor 2007AMERICAN GANSTER de Ridley Scott 2006 MIAMI VICE de Michael Mann 2003NARC de Joe Carnahan 2001 FAST & FURIOUS 4 de Justin Lin AVANT LA NUIT de Julian Schnabel 1999THE LAST MARSHAL de Mike Kirton 1998AMISTAD de Steven Spielberg SIDE STREETS de Tony Gerber et Tom Borders 1997LA RANCON de Ron Howard SERGENT BILKO de Jonathan Lynn 1994L’IMPASSE de Brian de Palma Théâtre 2007 RENDEZ-VOUS L’ETE PROCHAIN de Bob Glaudini 2005THE LAST DAYS OF JUDAS ISCARIOT de Stephen Adly Guirgis 2004 GUINEA PIG SOLO de Brett C. Leonard 2003ANNA IN THE TROPICS de Nilo Cruz 2000 JESUS HOPPED THE “A” TRAIN de Stephen Adly Guirgis 1998THE SKIN OF OUR TEETH de Thornton Wilder 1997CLOUD TECTONICS de Jose Rivera 1994LE MARCHAND DE VENISE de William Shakespeare 1993THE PERSIANTS de Aeschylus * également producteur exécutif 2010 RENDEZ-VOUS L’ETE PROCHAIN de Philip Seymour Hoffman 2009 RACHEL SE MARIE de Jonathan Demme 2008SEX AND THE CITY de Michael Patrick King 2000PERSONNE N’EST PARFAIT(E) de Joel Schumacher et Michael Radford 1998SEXCRIMES de John MacNaughton Théâtre 2007 RENDEZ-VOUS L’ETE PROCHAIN de Bob Glaudini 2006LES MISERABLES d’Alain Boublil et Claude Michel Schönberg 2003ANNA IN THE TROPICS de Nilo Cruz FUCKING A de Suzan Lori Parks 2000THE ROCKY HORROR SHOW de Richard O’Brien 1996 RENT de Jonathan Larson LISTE ARTISTIQUE «Rivers of Babylon» By the rivers of Babylon Where we sat down There we wept When we remembered Zion Jack Connie Clyde Lucy Dr. Bob Philip Seymour Hoffman Amy Ryan John Ortiz Daphne Rubin-Vega Tom McCarthy For the wicked Carried us away captivity Requiring from us a song How can we sing a song of joy in a strange land (repeat) So let the Words of our mouths and the meditations of our hearts be acceptable in Thy sight here tonight (repeat) LISTE TECHNIQUE Un film de Scénario By the rivers of Babylon Where we sat down There we wept When we remembered Zio (basé sur sa pièce de théâtre) Producteurs exécutifs Producteurs Co-producteur Directeur de la photographie Décors Costumes Musique Montage Casting Une production En association avec Avec le soutien de Philip Seymour Hoffman Bob Glaudini Philip Seymour Hoffman, John Ortiz Marc Turteltaub, Peter Saraf, Beth O’Neil, Emily Ziff George Paaswell Mott Hupfel Thérèse DePrez Mimi O’Donnell Susan Jacobs Evan Lurie Brian A. Kates Avy Kaufman Big Beach & Cooper’s Town Production The LAByrinth Theater Comany et Olfactory Productions Photo : KC Bailey CRÉDITS NON CONTRACTUELS