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Philip
Seymour Hoffman
Amy
Ryan
John
Ortiz
Daphne
Rubin-Vega
Rendez-vous
l’été prochain
un film de Philip Seymour Hoffman
LE PACTE
présente
le premier film de
Philip Seymour Hoffman
par les producteurs de
«
little miss sunshine
»
Rendez-vous
l’été prochain
une production big beach
et cooper ’ s town production
scénario de bob glaudini , d ’ après sa pièce
avec
PHILIP SEYMOUR HOFFMAN
AMY RYAN
JOHN ORTIZ
DAPHNE RUBIN-VEGA
SORTIE LE 29 DECEMBRE 2010
etats - unis
durée du film : 1H31
dolby sr srd dts
- 2010 - 1.85 -
DISTRIBUTION
5, rue D arcet
75017 P aris
T él . : 01 44 69 59 59
F ax : 01 44 69 59 47
www . le - pacte . com
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vostf
RELATIONS PRESSE
LE PUBLIC SYSTEME CINEMA
C éline PETIT & H édi ZARDI
40, rue A natole F rance
92594 L evallois -P erret cedex
T él . : 01 41 34 23 50 / 22 03
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www . lepublicsystemecinema . fr
SYNOPSIS
Jack est un chauffeur de limousine attachant, émotif et socialement
un peu inadapté. Il passe le plus clair de son temps avec son ami Clyde
et sa femme Lucy. Grace à eux, il rencontre la fragile et maladroite Connie
et en tombe amoureux.
Afin de la séduire, Jack apprend à cuisiner avec ténacité, se prend à rêver
d’une nouvelle carrière et va même jusqu’à apprendre à nager. Car Jack veut
absolument tenir la promesse qu’il a faite à Connie lors de leur rencontre :
une balade en bateau à Central Park !
Mais alors que le couple de Clyde et Lucy commence à s’effriter, celui de
Jack et Connie tente de dépasser ses inhibitions sans renoncer à son idéal …
NOTE D’INTENTION
De la scène à l’écran
La décision de mettre en scène Rendez-vous l’été prochain m’est
venue de façon très naturelle. C’était à l’issue d’une rencontre avec John
Ortiz, avec lequel j’allais partager l’affiche et Bob Glaudini, le scénariste.
Nous nous étions réunis pour parler du film et John a suggéré au détour
de la conversation que j’en assure la réalisation. Tout d’abord, l’idée de
cette double responsabilité m’a quelque peu intimidé. Mais finalement,
ce choix m’a semblé d’autant plus justifié qu’il découlait naturellement de
ma longue expérience artistique avec John et Bob, dans le cadre de la
Compagnie de théâtre LAByrinth, où je faisais de la mise en scène depuis
dix ans. C’est ainsi que l’appréhension initiale s’est très vite transformée en
un appétit enthousiaste.
Plusieurs aspects de cette histoire étaient pour moi prédominants dans
l’approche que je tenais à en proposer. Je ressentais un désir très fort de
porter mon regard sur un milieu peu souvent décrit : celui des petits employés
de New-York. Je vis dans cette ville depuis l’époque où j’y étais étudiant.
Une source inépuisable d’inspiration et d’engagement artistique est pour
moi d’y côtoyer chaque jour des personnes issues de milieux très divers et
ayant des occupations très variées. Pour le film, j’ai eu le privilège d’être
entouré d’une équipe exceptionnelle formée par mon chef opérateur Mott
Hupfel, ma chef décoratrice Therese DePrez, et ma chef costumière Mimi
O’Donnell. Chacun d’eux s’est senti personnellement impliqué dans cette
recherche d’un rendu parfait de la beauté visuelle et de l’atmosphère très
spécifique de la ville de New-York, aussi bien dans ses quartiers modernes
que dans ses parties plus anciennes.
Par ailleurs, il me tenait à cœur de préserver le mystère qui est au cœur
du scénario, celui de la vraie nature de ce que vivent ces personnages.
Le maintien de ce mystère ne pouvait se faire qu’au prix d’une certaine
retenue. Il ne fallait surtout pas donner trop à voir. Quand Clyde aperçoit
Cannoli au restaurant, il faut simplement suggérer la peine sur son visage,
pour laisser intact ce que le film révèlera par la suite. C’est cette accumulation
de détails qui touche les spectateurs par vagues successives et qui charge
le film de l’impact émotionnel qui se ressent, je l’espère, au dénouement.
Plus simplement, on pourrait dire que Rendez-vous l’été prochain est
un film sur les relations humaines, sur tous les espoirs et les craintes que
nous nourrissons dès qu’il s’agit de nous ouvrir à l’autre, de lui accorder
notre confiance, et de toutes les barrières que nous dressons parfois pour
éviter de nous engager envers l’autre. Je dis bien « nous » car je tiens à ce
que les spectateurs ne mettent pas à distance les personnages, qu’ils ne
soient pas tentés de les juger en les catégorisant comme un type donné de
personnes ayant un type donné de comportements. J’ai veillé au contraire
au maintien d’un lien étroit et permanent entre chacun des personnages et
« nous » tous qui le regardons. J’ai voulu que ce que chacun d’eux a vécu
soit ressenti comme une expérience intime, authentique, familière pour
quiconque a éprouvé au moins une fois dans sa vie le trouble vertigineux,
la beauté complexe, la joie inattendue de tomber amoureux.
Rendez-vous l’été prochain a tout d’abord été créé comme pièce de
théâtre sous l’impulsion de la Compagnie LAByrinth. Philip Seymour Hoffman
et John Ortiz étaient les directeurs artistiques de cette grande maison qui
compte parmi ses membres les plus grands noms du théâtre new-yorkais.
La pièce fut écrite par l’un d’entre eux, Bob Glaudini et mise en scène par
Peter Dubois, l’actuel directeur artistique de la Compagnie Huntington. Elle
fut jouée par Philip Seymour Hoffman, John Ortiz, Daphne Rubin-Vega et
Beth Cole et remporta l’un des plus grands succès commerciaux et critiques
des spectacles Off Broadway.
Bob Glaudini a tiré l’idée première de la pièce d’un événement qu’il qualifie
de « catastrophe personnelle ». Il révèle qu’à l’origine, il concevait la relation
entre deux des personnages comme totalement abjecte et insoutenable,
mais qu’heureusement, au fil de l’écriture, les personnages eux-mêmes se
sont insurgés contre cette vision. Ce qui demeure pourtant, c’est l’idée
qu’une trahison, même pardonnée, n’est pas nécessairement surmontable.
Une fois ce premier jet écrit, l’auteur le soumet à ses compagnons de
LAByrinth. John Ortiz aime à rappeler qu’ils y ont travaillé tous ensemble
pendant leur traditionnelle retraite estivale et se sont d’emblée mis d’accord
pour monter cette pièce qui se présentait sous les meilleurs auspices.
Beth O’Neil, l’une des productrices décèle le potentiel cinématographique
de la pièce avant même de l’avoir vue sur scène. Elle la perçoit comme une
comédie romantique atypique sur des employés moyens que l’on croise
tous les jours dans les rues de New-York, mais que l’on n’a pas l’habitude
de voir au cinéma ou au théâtre. Elle s’est vite attachée à ces personnages
très vivants.
Philip Seymour Hoffman
Pour Marc Turtletaub, un autre des producteurs, il s’agit d’un film d’amour,
mais qui raconte l’histoire de trois couples : un premier qui bat de l’aile, un
deuxième sur le point de prendre son envol et un troisième créé par l’amitié
entre ces deux mêmes hommes et le sens qu’elle revêt pour eux.
Bob Glaudini a pris un grand plaisir a remettre l’ouvrage de sa pièce sur
le métier pour l’adapter à l’écran. L’expérience scénique avait en soi été
un grand bonheur pour lui mais cette reprise du texte lui a permis d’affiner
son propos et le rendre plus dense. Il a entrepris cette tâche à l’aide de
notes que lui avaient fournies les producteurs et a ainsi donné vie a son
premier scénario de long métrage, dans une étroite collaboration avec
Philip Seymour Hoffman qui lui insufflait d’ores et déjà sa vision de cinéaste.
Pouvoir modeler le scénario dès la phase d’écriture selon les perceptions et
les exigences du réalisateur est une situation que Glaudini a vécue comme
un privilège.
Rendez-vous l’été prochain est un coup d’essai pour Philip Seymour
Hoffman en tant que réalisateur mais il a su mettre à profit sa grande expérience
de metteur en scène de théâtre. Le producteur Peter Saraf avoue avoir
d’abord été surpris par sa méthode de travail : d’interminables répétitions qui
réunissaient acteurs, chef opérateur, scénariste et assistant réalisateur et où
tout était mis au point, depuis le jeu des acteurs, leur texte et leur
positionnement, jusqu’à la place de la caméra. L’équipe arrivait ainsi sur
le plateau parfaitement préparée et en ayant préalablement identifié les
tâches de chacun. Passer à la réalisation était un projet que Philip Seymour
Hoffman caressait depuis un certain temps mais assumer la double casquette
acteur-réalisateur n’a pas été si simple pour lui. En effet, en tant que réalisateur,
il se devait d’être disponible pour tous, alors que parallèlement, le film
reposait en grande partie sur son jeu d’acteur, d’autant qu’il incarne l’un
des quatre piliers du film, présent dans de multiples scènes à deux. Il a fini
par trouver cette position troublante, voire dangereuse, au vu de la
conscience de soi permanente qu’elle impliquait !
Philip Seymour Hoffman prête ses traits à Jack, un chauffeur de limousine
solitaire, à la recherche de l’âme sœur. Il décrit son personnage comme
un brave type qui, même s’il a dû passer par quelques aventures sans
lendemain, s’est toujours laissé guider par la peur. Il peut paraître timoré
mais il n’a pas encore dit son dernier mot. Ce personnage, comme les
autres, a évolué lors du passage de la scène à l’écran. Cependant,
Philip Seymour Hoffman apprécie grandement de l’avoir d’abord incarné sur
scène et de parvenir ainsi à mieux se couler dans le moule de ce personnage
très différent de lui et le rendre vivant et crédible.
Pour lui, le jeu au théâtre est conditionné par les inévitables ellipses et
allusions qu’il s’agit de combler pour soi pour comprendre le personnage.
En revanche, le cinéma permet d’explorer ouvertement ces lieux,
ces situations, ces échanges et de les révéler aux spectateurs. Le jeu
qu’ils ont dû proposer dans le film lui semble en cela plus subtil et nuancé,
comme enrichi au gré de ces découvertes. Il estime que cette transformation
lui a permis d’accéder à une appréhension plus fine et plus juste du rôle.
En tant qu’acteur, il se sent responsable du personnage qu’il incarne.
Sans le catégoriser ni le juger, il cherche à lui insuffler assez de vérité et de
sincérité pour que les spectateurs qui s’attendaient à être rebutés par lui se
surprennent à réviser leur jugement.
John Ortiz et Daphne Rubin-Vega ont également repris les rôles qu’ils jouaient
au théâtre, ceux de Clyde et Lucy, les meilleurs amis de Jack. Clyde est
aussi chauffeur de limousine et avec son épouse Lucy, ils tentent de donner
un coup de pouce à leur ami dans sa vie amoureuse. John Ortiz voit en Jack
l’un de ces loups solitaires à qui tous ses amis souhaitent de rencontrer
enfin son âme soeur. Quant à Clyde lui-même, c’est un personnage en
pleine remise en question. Sa vie ne lui convient pas. A quarante ans, il est
dans une mauvaise passe financière et être chauffeur de limousine n’est
pas tout à fait le métier dont il avait rêvé. Tout au long du film, il tâche
d’affronter cette situation de la façon la plus constructive qui soit. En fait,
pour Ortiz, il s’agit d’un film sur le passage à la vie adulte d’un nouveau
genre : les protagonistes y sont déjà quarantenaires ! Sa collaboration avec
Hoffman en tant que réalisateur lui a paru assez conforme à ce qu’il savait
de lui comme acteur. Il le trouve exigeant, d’une exigence à la hauteur de sa
quête de vérité. Un esprit fin, perspicace, précis, qui n’hésite pas à explorer
toutes les pistes, même quand il ne sait guère où elles peuvent le mener.
Daphne Rubin-Vega campe le personnage de Lucy, l’épouse ambitieuse de
Clyde qu’elle décrit comme une bosseuse franche du collier qui obtient
toujours ce qu’elle veut. Mais elle vit une période de grande frustration.
Peut-être à la différence des autres personnages, elle a une conscience
aiguë des bouleversements qui s’annoncent dans leurs vies. Elle et Clyde
sont les meilleurs amis de Jack, sa famille de substitution. Ils lui arrangent
un rendez-vous avec Connie, une collègue de Lucy. L’histoire du film se
construit autour de ces deux couples. Selon l’actrice, la relation naissante
entre Jack et Connie devient pour Clyde et Lucy un exutoire, une façon de
se projeter hors de la crise que traverse leur propre couple. Elle aussi a su
mettre à profit l’avantage d’avoir incarné le rôle de Lucy sur scène avant
de l’appréhender pour le film. Elle admet cependant que le personnage a
beaucoup évolué : sa soif de changement, sa détermination à agir sont
devenues plus pressantes. Ces nuances sont apparues au fur et à mesure
du travail sur le film, où elle a ressenti chez Hoffman une grande cohérence
d’attitude entre l’acteur et le réalisateur. C’est un homme qui déborde d’une
énergie contagieuse et jubilatoire. Il est extrêmement clair et précis dans sa
direction d’acteurs, tout en ne rechignant jamais à s’atteler lui-même à la
tâche : cela est très stimulant pour les autres.
Lucy présente Jack à Connie, une jeune femme célibataire devenue depuis
peu sa collègue chez Thomas Mortuary, où elles vendent des séminaires
sur le deuil aux entreprises de pompes funèbres à travers les Etats-Unis.
C’est Amy Ryan, seule nouvelle venue dans le quatuor d’acteurs, qui joue
le rôle de Connie. Son personnage est à ses yeux une femme peu douée
pour son travail, mais qui s’en sort grâce à sa persévérance et un peu
de chance. Malgré sa tendance à mal interpréter les situations, elle tâche
d’être positive et d’aller de l’avant.
Amy Ryan a rejoint ce groupe d’acteurs qu’elle connaissait peu, à l’exception
de Philip Seymour Hoffman, avec lequel elle avait joué dans Truman
Capote. Elle avait d’abord une certaine appréhension à s’immiscer dans un
groupe déjà soudé et se réjouit à présent de n’avoir pas subi de bizutage !
Les longues répétitions ont été pour elle l’occasion rêvée de faire
connaissance avec chacun. Cette façon d’aborder ensemble tous les aspects
de chaque scène a également permis aux autres acteurs de redécouvrir leur
rôle. Les changements par rapport à la pièce étaient si nombreux qu’elle
était loin d’être la seule à avoir des questions sur son personnage. Elle ne
tarit pas d’éloges sur la précision avec laquelle Hoffman a su maîtriser sa
double responsabilité, à la fois totalement investi dans le rôle qu’il joue et
soucieux à chaque instant du bon déroulement de l’entreprise globale.
FILMOGRAPHIE
PHILIP SEYMOUR HOFFMAN
(Réalisateur, Producteur exécutif et Comédien / Jack)
Né en 1967 à Fairport, dans le nord-ouest de l’État de New York,
Philip Seymour Hoffman s’engage dans des cours de théâtre au lycée puis
à la New York University Tisch School of the Arts, et obtient un Bachelor
of Fine Arts en expression théâtrale en 1989. Il fait ses débuts à l’écran
en 1991 avec le film TRIPLE BOGEY ON A PAR FIVE HOLE, crédité sous
le nom de Phil Hoffman, mais son premier rôle important survient l’année
suivante dans MY NEW GUN. Il poursuit sa carrière et continue à se faire
de plus en présent en jouant dans Le Temps d’un week-end, GUETAPENS et TWISTER. C’est Paul Thomas Anderson en 1997 qui lui offre
dans le film BOOGIE NIGHTS son premier rôle marquant, en interprétant
le personnage de Scotty J. Commence dès lors une fidèle collaboration
avec le réalisateur et Philip Seymour Hoffman se distingue dans MAGNOLIA
et PUNCH-DRUNK LOVE. Il devient conseiller de Jeffrey Lebowski pour
les besoins du film des frères Cohen, THE BIG LEBOWSKI. Il accumule
les rôles aussi divers et variés qu’un obsédé sexuel fantasmant sur sa
voisine de palier dans HAPPINESS, un dandy arrogant dans LE TALENTEUX
Mr RIPLEY, celui qui entraîne Robert de Niro dans le monde des dragqueens de PERSONNE N’EST PARFAIT(E) et le terrible ennemi de l’agent
Ethan Hunt dans MISSION IMPOSSIBLE III.
2005 marque un tournant dans sa carrière. Le rôle de composition du
personnage de Truman Capote qu’il interprète dans le film éponyme de
Bennett Miller, lui vaut le Los Angeles Film Critics Award, le Golden Globe
du Meilleur Acteur dans un drame et l’Oscar du meilleur acteur en 2006.
Considéré comme une valeur sûre du cinéma hollywoodien, il se distingue à
nouveau en 2008 dans LA GUERRE SELON CHARLIE aux côtés de Tom Hanks
où il met à profit ses talents comiques. A l’inverse, il se plonge dans le drame
en interprétant un curé soupçonné d’abuser d’un jeune paroissien dans
Doute. Ces deux rôles bien différents lui ont chacun valu une nomination
aux Oscars. En 2009, il incarne Le Comte dans la comédie GOOD MORNING
ENGLAND de Richard Curtis, où il interprète un personnage excentrique et
égocentrique aux côtés de Rhys Ifans et Bill Nighy.
On le verra prochainement dans THE MASTER, le nouveau film de son
réalisateur fétiche Paul Thomas Anderson et dans MONEYBALL où il
retrouvera celui qui l’a porté à l’Oscar, Bennett Miller.
Très actif sur la scène théâtrale, il a reçu deux nominations pour le Tony
Award en tant que meilleur acteur en 2000 pour «TRUE WEST» et meilleur
acteur en 2003 pour «LONG DAY’S JOURNEY INTO NIGHT». Il joua entre
autres dans «LA MOUETTE» mise en scène par Mike Nichols dans le cadre
du New York Shakespeare Festival et «LE MARCHAND DE VENISE» mise en
scène par Peter Sellars. Il est avec John Ortiz le co-directeur artistique de
la compagnie de théâtre LAByrinthe au sein de laquelle ils ont monté trois
pièces de Stephen Adly Guirgis, «OUR LADY OF 121 ST STREET», «IN ARABIA,
WE’D ALL BE KINGS» et «JESUS HOPPED THE «A» TRAIN».
Il vient de mettre en scène la pièce de Sam Shepard, «TRUE WEST»
actuellement en représentation au Sydney Theatre Company.
RENDEZ-VOUS L’ÉTÉ PROCHAIN
est le premier film réalisé par Philip Seymour Hoffman.
En tant que comédien
2011 MONEYBALL de Bennett Miller
THE MASTER de Paul Thomas Anderson
2010 RENDEZ-VOUS L’ETE PROCHAIN* de Philip Seymour Hoffman
2009 GOOD MORNING ENGLAND de Richard Curtis
SYNECDOCHE, NEW YORK de Charlie Kaufman
DOUTE de John Patrick Shanley
2008LA GUERRE SELON CHARLIE WILSON de Mike Nichols
2007LA FAMILLE SAVAGE de Tamara Jenkins
7H58 CE SAMEDI-LA de Sidney Lumet
2006TRUMAN CAPOTE de Bennett Miller
(Oscar du meilleur acteur, Golden Globe du meilleur acteur
dans un drame)
MISSION IMPOSSIBLE III de J.J Abrams
2004POLLY ET MOI de John Hamburg
RETOUR A COLD MOUNTAIN de Anthony Minghella
2003LAST PARTY 2000 de Rebecca Chaiklin et Donovan Leitch
LA 25 ème HEURE de Spike Lee
PUNCH-DRUNK LOVE de Paul Thomas Anderson
2002DRAGON ROUGE de Brett Ratner
2001PRESQUE CELEBRE de Cameron Crowe
SEQUENCES ET CONSEQUENCES de David Mamet
2000LE TALENTUEUX MR RIPLEY de Anthony Minghella
MAGNOLIA de Paul Thomas Anderson
PERSONNE N’EST PARFAIT(E) de Joel Schumacher
et Michael Radford
1999DOCTEUR PATCH de Tom Shadyac
HAPPINESS de Todd Solondz
1998 BOOGIE NIGHTS de Paul Thomas Anderson
1997THE BIG LEBOWSKI de Joel & Ethan Cohen
1996TWISTER de Jan de Bont
1995UN HOMME PRESQUE PARFAIT de Robert Benton
1993LE TEMPS D’UN WEEK-END de Martin Brest
Théâtre
en tant que comédien
2007 RENDEZ-VOUS L’ETE PROCHAIN de Bob Glaudini
2003LONG DAY’S JOURNEY INTO NIGHT de Eugene O’Neill
2001 la mouette de Anton Chekhov
2000TRUE WEST de Sam Shepard
1999THE AUTHOR’S VOICE de Richard Greenberg
1998SHOPPING AND F*CKING de Mark Ravenhill
1997DEFYING GRAVITY de Jane Anderson
1994 le marchand DE VENISE de William Shakespeare
en tant que metteur en scène
2010 TRUE WEST de Sam Shepard
2008THE LITTLE FLOWER OF EAST ORANGE de Stephen Adly Guirgis
2007 RIFLEMIND de Andrew Upton
2005THE LAST DAYS OF JUDAS ISCARIOT de Stephen Adly Guirgis
2003OUR LADY OF 121 st STREET de Stephen Adly Guirgis
2001THE GLORY OF LIVING de Rebecca Gilman
2000 JESUS HOPPED THE “A” TRAIN de Stephen Adly Guirgis
1999IN ARABIA, WE ‘D ALL BE KINGS de Stephen Adly Guirgis
* également réalisateur et producteur exécutif
AMY RYAN
DAPHNE RUBIN-VEGA
(Comédienne / Connie)
(Comédienne / Lucy)
2011 WIN WIN de Tom McCarthy
2010 RENDEZ-VOUS L’ETE PROCHAIN de Philip Seymour Hoffman
GREEN ZONE de Paul Greengrass
2008L’ECHANGE de Clint Eastwood
COUP DE FOUDRE A RHODE ISLAND de Peter Hedges
2007 GONE BABY GONE de Ben Affleck
7H58 CE SAMEDI-LA de Sidney Lumet
2005TRUMAN CAPOTE de Bennett Miller
LA GUERRE DES MONDES de Steven Spielberg
KEANE de Lodge Kerrigan
2001TU PEUX COMPTER SUR MOI de Kenneth Lonergan
Théâtre
2005A STREETCAR NAMED DESIRE de Edward Hall
2004THE DISTANCE FROM HERE de Neil LaBute
2000UNCLE VANYA de Anton Chekhov
JOHN ORTIZ
(Comédien / Clyde)
2011 LUCK de Michael Mann
2010 RENDEZ-VOUS L’ETE PROCHAIN* de Philip Seymour Hoffman
2009 PUBLIC ENEMIES de Michael Mann
2008ALIEN VS PREDATOR : REQUIEM de Colin Strause et Greg Strause
LE PRIX DE LA LOYAUTE de Gavin O’Connor
2007AMERICAN GANSTER de Ridley Scott
2006 MIAMI VICE de Michael Mann
2003NARC de Joe Carnahan
2001 FAST & FURIOUS 4 de Justin Lin
AVANT LA NUIT de Julian Schnabel
1999THE LAST MARSHAL de Mike Kirton
1998AMISTAD de Steven Spielberg
SIDE STREETS de Tony Gerber et Tom Borders
1997LA RANCON de Ron Howard
SERGENT BILKO de Jonathan Lynn
1994L’IMPASSE de Brian de Palma
Théâtre
2007 RENDEZ-VOUS L’ETE PROCHAIN de Bob Glaudini
2005THE LAST DAYS OF JUDAS ISCARIOT de Stephen Adly Guirgis
2004 GUINEA PIG SOLO de Brett C. Leonard
2003ANNA IN THE TROPICS de Nilo Cruz
2000 JESUS HOPPED THE “A” TRAIN de Stephen Adly Guirgis
1998THE SKIN OF OUR TEETH de Thornton Wilder
1997CLOUD TECTONICS de Jose Rivera
1994LE MARCHAND DE VENISE de William Shakespeare
1993THE PERSIANTS de Aeschylus
* également producteur exécutif
2010 RENDEZ-VOUS L’ETE PROCHAIN de Philip Seymour Hoffman
2009 RACHEL SE MARIE de Jonathan Demme
2008SEX AND THE CITY de Michael Patrick King
2000PERSONNE N’EST PARFAIT(E) de Joel Schumacher et Michael Radford
1998SEXCRIMES de John MacNaughton
Théâtre
2007 RENDEZ-VOUS L’ETE PROCHAIN de Bob Glaudini
2006LES MISERABLES d’Alain Boublil et Claude Michel Schönberg
2003ANNA IN THE TROPICS de Nilo Cruz
FUCKING A de Suzan Lori Parks
2000THE ROCKY HORROR SHOW de Richard O’Brien
1996 RENT de Jonathan Larson
LISTE ARTISTIQUE
«Rivers of Babylon»
By the rivers of Babylon
Where we sat down
There we wept
When we remembered Zion
Jack
Connie
Clyde
Lucy
Dr. Bob
Philip Seymour Hoffman
Amy Ryan
John Ortiz
Daphne Rubin-Vega
Tom McCarthy
For the wicked
Carried us away captivity
Requiring from us a song
How can we sing a song of joy in a
strange land (repeat)
So let the
Words of our mouths
and the meditations of our hearts
be acceptable in Thy sight
here tonight (repeat)
LISTE TECHNIQUE
Un film de
Scénario
By the rivers of Babylon
Where we sat down
There we wept
When we remembered Zio
(basé sur sa pièce de théâtre)
Producteurs exécutifs
Producteurs
Co-producteur
Directeur de la photographie
Décors
Costumes
Musique
Montage
Casting
Une production
En association avec
Avec le soutien de
Philip Seymour Hoffman
Bob Glaudini
Philip Seymour Hoffman,
John Ortiz
Marc Turteltaub,
Peter Saraf,
Beth O’Neil,
Emily Ziff
George Paaswell
Mott Hupfel
Thérèse DePrez
Mimi O’Donnell
Susan Jacobs
Evan Lurie
Brian A. Kates
Avy Kaufman
Big Beach
& Cooper’s Town Production
The LAByrinth Theater Comany
et Olfactory Productions
Photo : KC Bailey CRÉDITS NON CONTRACTUELS
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