Ambassade de France en Turquie Service économique régional d’Ankara 1
LUMIERE TURQUOISE
N°60 - Avril Mai 2015
Editorial
La France continue de se réformer (52 mesures de simplification
annoncées pour les entreprises) et son attractivité se redresse.
Les résultats de l’économie turque au premier trimestre 2015 ont été
décevants, en particulier pour la croissance : après un taux de 2,9 % en
2014, la tendance sera probablement moins bonne encore au 1er
trimestre 2015 ; et le Premier ministre Davutoglu a du reste annoncé le
2 avril un programme d’incitations économiques qui vise à la relancer
en favorisant les investissements et les technologies.
Mais l’actualité économique franco-turque récente est assez
positive, comme je l’ai souligné récemment dans une interview avec le
magazine ISSUE (numéro du mois de mai) : les chiffres du commerce
extérieur bilatéral s’améliorent partiellement (malgré une baisse
temporaire des exportations d’avion, les chiffres du 1er trimestre 2015
sont positifs, pour la France, et plus encore pour la Turquie). Un premier
restaurant Quick a été inauguré à Istanbul et d’autres ouvertures
devraient suivre en Turquie. Deux cérémonies d’inauguration réussies
se sont tenues sur le site de Turkish Aerospace Industries (TAI), près
d’Ankara : la première à l’occasion de la signature d’un nouveau contrat
de sous-traitance entre Airbus et TAI (qui va fabriquer une autre partie
importante du fuselage des A320) ; la seconde, en présence du Président
Erdogan, à l’occasion de la livraison par Thalès Alenia Spaces d’un
satellite (Göktürk) et pour l’inauguration d’un centre très moderne
d’assemblage, d’intégration et de test de satellites. Enfin, le 6 mai le
groupe français Lactalis a racheté 80 % du capital du groupe laitier turc
Ak Gida, pour un montant de plusieurs centaines de millions
d’euros.
L’actualité turco-européenne est également intéressante : un accord
de principe a été trouvé entre les deux parties le 12 mai à Bruxelles sur
la voie à suivre pour moderniser l’Union douanière de 1996.
La présidence turque du G20 est active : le ministre Stéphane Le Foll
a représenté la France à une réunion très utile des ministres de
l’agriculture, à Istanbul le 8 mai.
Le Service Economique Régional a particià des travaux sur divers
sujets, dont deux sont résumés dans cette édition : les relations
économiques de la Turquie avec les pays du Conseil de coopération des
États arabes du Golfe, et les organisations patronales en Turquie.
Il a également poursuivi ses actions de promotion de la coopération
dans le domaine du développement durable (le pôle en charge vient
par ailleurs de lancer un nouveau bulletin d’information électronique,
hebdomadaire, « la lettre verte ») et pris part à l’intéressante réussite de
la Conférence de l’AFD à Istanbul les 16 et 17 avril sur les enjeux
climatiques et la COP21.
Je voudrais enfin féliciter les trois nouveaux Conseillers du Commerce
Extérieur Français et leur souhaiter la bienvenue dans la section de
Turquie : Serdar Ali Baran (Thalès), Frédérique Guégan Tayar
(Groupama) et Arnaud Laurens (Gemalto).
Sylvain Berger
Chef du Service Economique Régional de l’Ambassade
de France en Turquie
Sommaire
Editorial…………………..…………………….…………p. 1
Les relations économiques de la Turquie
avec le Conseil de coopération des États
arabes du Golfe Arabique (CCG)..………p. 2-3
Les organisations patronales en
Turquie….……………………………………….…p. 4 - 7
Industrie : renforcement de la coopération
entre Airbus et TAI……………………….............p. 8
Spatial : arrivée en Turquie du satellite
GÖKTURK 1 et inauguration du centre
d’intégration et de test des satellites
…………………………………………………………...p. 8 - 9
Agriculture : participation de Stéphane Le
Foll à la Ministérielle agricole du G20 à
Istanbul le 8 mai 2015…………….……….p. 9 - 10
Environnement : plusieurs événements de
coopérations franco-turques organisés au
cours du 1er semestre 2015…..…..…..p. 10 - 11
Environnement : Conférence de l’AFD à
Istanbul les 16 et 17 avril sur les enjeux
climatiques et la COP21……………….………....p. 11
L’Union européenne et la Turquie…..p. 11 13
Entrée en franchise sur le marché turc du
groupe français Quick………………..………….p. 13
Les mesures de simplification pour les
entreprises
françaises….…………………………………….....…p. 13
Trois nouveaux CCEF (conseillers du
commerce extérieur français) en
Turquie….………………………………………………..p. 13
Organigramme du SER……..........................p. 14
Données conjoncturelles de la
Turquie………………………………………..... .p. 15 - 16
Ambassade de France en Turquie Service économique régional d’Ankara 2
Les relations économiques de la
Turquie avec le Conseil de coopération
des États arabes du Golfe Arabique
(CCG)
1
Lors du Forum B20, qui s’est tenu en février 2015
à Djeddah, le Vice-Premier ministre Ali Babacan
a rappelé l’importance et le potentiel de la
coopération inter-régionale avec le CCG.
Les relations économiques entre les deux zones
sont marquées par les exportations d’énergie et
d’or vers la Turquie et les grands projets des
entreprises turques du secteur de la
construction.
I. Les pays du Golfe représentent des
partenaires commerciaux
intéressants pour la Turquie
1. Le Golfe, une solution pour
diversifier l’approvisionnement en
énergie de la Turquie
La Turquie affiche la volonté de diversifier son
approvisionnement en ressources
naturelles en se tournant vers les réserves en
énergies fossiles des pays du Golfe. Néanmoins,
on remarque que la part relative de l’Arabie
saoudite dans le total des importations de
pétrole brut de la Turquie est restée quasi-
stable depuis 2011 : 11% en 2014, 14% en
2013 et 2012 et 10% en 2011. L’Arabie
saoudite est devenue cependant le troisième
pays fournisseur de la Turquie après l’Irak et
l’Iran, suite à la chute de 58% des exportations
russes dans ce secteur en 2014.
Evolution de la part des principaux pays dans les
importations de pétrole en Turquie (en%)
Le Qatar est également un partenaire
potentiellement intéressant pour diversifier
l’approvisionnement en gaz de la Turquie. En
2009, M. Erdoğan avait déclaré que la Turquie
souhaitait établir avec le Qatar « une relation à
1
CCG : Arabie saoudite, Bahreïn, Emirats arabes
unis, Koweït, Oman et Qatar
long terme et stable » en matière énergétique.
L’enjeu consistait à relier le gazoduc Qatar
Turquie - via la Syrie - au projet de gazoduc
Nabucco pour transporter le gaz provenant de
l'Asie Centrale et du Moyen Orient en Europe.
Cela concurrencerait ainsi directement le gaz
russe. La partie turque du projet est déjà
construite mais la situation en Syrie bloque
bien sûr toute avancée.
2. L’attrait turc est également justifié
par les importantes réserves de
capitaux détenues par les pays du
Golfe
Le gouvernement turc a ainsi signé des traités
bilatéraux relatifs aux investissements avec le
Koweït, le Qatar, les EAU et Oman. Ceux-ci
contiennent des dispositions relatives aux
investisseurs étrangers qui investissent en
Turquie et aux investisseurs turcs à l’étranger
(comme la garantie du libre transfert des
profits).
De nombreux accords bilatéraux existent entre
la Turquie et les pays du Golfe (de coopération
économique et technique, pour la promotion et
la protection des investissements bilatéraux,
de non double imposition), qui ont été signés
ces dix dernières années.
II. Des échanges bilatéraux sont en
croissance mais à faible teneur
technologique
1. Des échanges bilatéraux croissants
La part des pays du Golfe dans les exportations
turques a atteint 15,6% en 2012 (contre 5,3%
en 2003). Par ailleurs, cette zone représente
2,9% (en 2012) des achats turcs (0,6% en
2003). La baisse de 2009 est principalement
liée à la crise financière mondiale : on observe
une baisse générale des exportations turques
vers le reste du Monde. Cela ne concernait donc
pas seulement les pays du Golfe.
Echanges entre la Turquie et les pays du Golfe (MUSD)
Ambassade de France en Turquie Service économique régional d’Ankara 3
Toutefois, si l’on exclut les hydrocarbures, on
remarque que la part des exportations à
destination des pays du CCG dans les
exportations totales turques, ainsi que la part
des importations provenant des pays du CCG
dans les importations totales turques reste
faible (5,5% et 2,5% respectivement).
2. Un commerce à faible teneur
technologique
En 2014, le volume total du commerce bilatéral
de la Turquie avec les six pays du CCG a atteint
15 Mds $ (dont plus d’un tiers avec l’Arabie
saoudite). Le commerce bilatéral entre la
Turquie et les Emirats Arabes Unis pèse 7,9
Mds $, alors que le volume du commerce
bilatéral avec le Bahreïn reste à 500 M $.
Les principaux produits exportés par la
Turquie à destination des pays du CCG en 2014
ont été les tapis et autres revêtements de sol
en matière textile (Arabie saoudite), les huiles
de pétrole ou de minéraux bitumineux (Arabie
saoudite, Emirats arabes unis, Oman, Qatar),
les appareils et matériels électriques
(Arabie saoudite, Bahreïn, Qatar), les cigares
(Bahreïn), les articles de bijouterie (Emirats
arabes unis) et les barres en fer ou en aciers
pour le secteur de la construction (Emirats
arabes unis, Kuweit, Oman).
Les principaux produits exportés par les pays
du CCG à destination de Turquie en 2014 ont
été les produits plastiques (Arabie saoudite,
Qatar), les produits chimiques organiques
(Arabie saoudite, Kuweit), les huiles de pétrole
ou de minéraux bitumineux (Bahreïn),
l’aluminium et les ouvrages en aluminium
(Bahreïn, Qatar), et l’or (Emirats arabes unis).
III. Malgré une baisse des IDE vers la
Turquie, le secteur de la
construction reste prioritaire pour
le développement des entreprises
turques dans la zone
1. Les IDE du Golfe vers la Turquie sont
très fluctuants
En 2014, ils ont diminué à 425 M $ (-455M$ par
rapport à 2013), soit 4,8% des IDE totaux vers
la Turquie (contre 8,9% en 2013 et 8,7% en
2012).
Le ministère de l’Economie turc explique ces
variations par la nature de ces IDE : des rachats
exceptionnels de grandes entreprises turques
s’élevant à plusieurs centaines de millions de
dollars ont eu lieu. La National Bank of Kuwait
a par exemple acquis, en 2008, des parts de
Turkish Bank.
2. Les IDE de la Turquie vers le CCG se
focalisent sur les secteurs de la
construction et des infrastructures
Ils ont augmen en 2014 et atteint 114 M $
(+85M$ par rapport à 2013). Néanmoins, iIls
ne représentent que 2,1% des IDE totaux turcs
à l’étranger.
Les grands projets de construction et
d’infrastructure, l’énergie, l’agriculture et la
sécurité alimentaire sont actuellement en tête
des activités développées conjointement par
les entreprises privées des deux parties. Les
entreprises turques de construction mènent
des grands projets dans ces pays pour un
montant total de 42 Mds $.
Les divergences géopolitiques dans cette
région vont à l’encontre du développement du
commerce et des investissements (cas de
Kuweit). Malgré les signes de croissance, les
secteurs agricole et agroalimentaire et le
tourisme restent encore embryonnaires.
Toutefois, les autorités turques ont défini la
région du Golfe comme prioritaire et les
investissements des pays du CCG dans les
secteurs bancaire et financier en Turquie
mériteraient une analyse plus approfondie.
Ambassade de France en Turquie Service économique régional d’Ankara 4
Les principales organisations
patronales en Turquie
Plusieurs organisations patronales et
associations sectorielles coexistent désormais
dans les milieux d’affaires turcs.
L’émergence de la communauté des affaires
turque remonte à 1965, avec la création de la
Fondation pour le développement économique
(IKV) ; les actions de cette organisation étant
limitées aux relations de la Turquie avec la
Communauté économique européenne, elle
n’eut pas le statut d’organisme patronal à part
entière.
Jusqu’à la fin des années 1980, le monde des
affaires a principalement été représenté par la
TÜSIAD, fondée en 1971, qui devint la
première organisation patronale turque,
regroupant les grands groupes du pays et
véhiculant l’image d’un patronat
occidentalisé et libéral. La TÜSIAD n'est pas
un « syndicat d'employeurs » au sens strict :
elle représente le monde de l'entreprise mais
n’est pas chargée des négociations collectives
et sectorielles dans le dialogue social. C’est
TISK, le « syndicat des patrons », qui est le
représentant du patronat sur ces volets.
Dans les années 1990, l’émergence de l'islam
politique et l'évolution des nouveaux centres
industriels en Anatolie ont entraîné
l’apparition d'une autre bourgeoisie structurée
à travers ses propres associations
professionnelles. Ces associations - MÜSIAD
(1990), ASKON (1998), TUSKON (2005),
TÜMSIAD (2005) - qui représentent une
classe moyenne d’entrepreneurs de
tradition plus conservatrice, ont
progressivement pris leur place dans le
paysage économique turc.
Cette redéfinition du paysage des
organisations patronales turques s’est
confirmée en septembre 2014, avec le
rattachement du DEIK, Conseil des relations
extérieures de la TOBB (Union des chambres
de commerce, d’industrie et des bourses de
commerce), au Ministère de l’Economie. Le
nouveau Président du DEIK, Ömer Cihad
Vardan, nommé par le Ministre de l’économie,
avait précédemment présidé la MÜSIAD, de
2008 à 2012.
Ce paysage composite se retrouve dans le cadre
de la préparation du B20, en marge du G20
dont la Turquie assure la présidence en 2015 :
la présidence turque du B20 est dirigée par un
comité exécutif compo d’organisations
professionnelles très diverses : TOBB, TÜSIAD,
DEIK, MÜSIAD, TIM...
TÜSIAD
Association des Industriels et des Milieux
d’Affaires Turcs
TÜSIAD est une organisation non
gouvernementale représentant le secteur privé
turc au niveau national. Regroupant les grands
groupes du pays (600 membres et 3.500
entreprises représentées), l’association
représente le patronat turc occidentalisé et
libéral, par opposition à la MÜSIAD.
Historique : suite à la demande d’adhésion de
la Turquie à l’Union Européenne, la TÜSIAD a
considérablement contribué à l’harmonisation
des normes économiques turques, ainsi qu’à la
représentation des entreprises turques sur la
scène internationale, en ouvrant des bureaux à
Bruxelles, à Washington, à Berlin, à Paris et à
Pékin.
Secteur d’activité : La TÜSIAD joue un rôle
très important dans l’économie turque, ses
membres réalisant près de la moitié de la
valeur ajoutée créée en Turquie et employant
environ 50% de la force de travail turque (hors
secteurs public et agricole).
La TÜSIAD est très présente au sein du
commerce extérieur : hors secteur
énergétique, ses membres réalisent 80% du
commerce extérieur turc.
Vision et but : La TÜSIAD s’inscrit dans une
ligne issue du kémalisme, qui souhaite
promouvoir l’image d’une Turquie moderne et
affiche des positions très pro-européennes. Ses
membres considèrent que le couple franco-
allemand est déterminant.
Action : la TÜSIAD a noué des relations étroites
et de longue date avec le MEDEF, permettant
un échange d’informations régulier. Les
relations entre les deux organisations sont
bonnes, même si la TUSIAD aimerait que son
homologue français soit plus actif dans la
promotion de la candidature de la Turquie à
l’UE. La TÜSIAD a participé aux travaux de la «
saison Turque » en France en 2009 et à
Ambassade de France en Turquie Service économique régional d’Ankara 5
l’organisation d’un petit-déjeuner «
investisseurs turcs en France » lors de la visite
du Président de la République en Turquie fin
janvier 2014. Un Français (représentant d’Air
Liquide à Istanbul) est devenu membre
récemment de la TUSIAD, qui compte peu
d’étrangers.
MÜSIAD
Association des Industriels et des Hommes
d’Affaires Indépendants
Etablie en 1990, la MÜSIAD est une
organisation non gouvernementale qui
représente le secteur privé turc au niveau
national.
Elle fédère principalement des PME-PMI
implantées en Anatolie et de sensibilité
musulmane, par opposition à la TÜSIAD. La
MÜSIAD est dirigée depuis avril 2012 par Nail
OLPAK.
Secteur d’activité : La MÜSIAD regroupe
3.150 membres supérieurs et 1.750 jeunes
membres qui représentent 15.000 entreprises
qui constituent 15% du PIB national. Elles
investissent 5 milliards d’USD par an et
emploient 1.200.000 salariés.
Représentée dans 31 villes de Turquie et 44
pays alliés, l’organisation est reconnue au
niveau international par l’organisation de
foires, congrès et conférences internationales
dans lesquels tous les secteurs et milieux
d'affaires sont représentés.
Vision et but : Bien que se définissant comme
une association patronale indépendante,
MÜSIAD est proche du gouvernement actuel.
Elle représente une classe moyenne
d’entrepreneurs, d’origine rurale et de
tradition plus conservatrice, dont
l’enrichissement est plus récent que celui des
grands entrepreneurs de la TÜSIAD.
Action : MÜSIAD propose de développer les
échanges commerciaux avec les pays voisins
pour réduire la dépendance commerciale de la
Turquie vis-à-vis de l’Union Européenne.
Les activités internationales de l’association
sont surtout orientées vers le Moyen-Orient et
les pays musulmans.
La CGPME vient de signer un accord de
partenariat avec la MÜSIAD.
TOBB
Union des chambres de commerce,
d’industrie et des bourses de commerce
Créée en 1950, TOBB fédère les 365 chambres
de commerce, d’industrie et des bourses de
commerces réparties sur l’ensemble du
territoire et rassemblent plus d’1,2 million de
sociétés turques. L’organisation est présidée
par Rıfat HISARCIKLIOGLU.
Secteur d’activité : la TOBB assure la
représentation auprès des pouvoirs publics
des intérêts du secteur privé en émettant des
avis aux travaux menés par le législateur dans
les domaines relatifs au développement des
relations internationales et sur les sujets
relatifs à l’Union Européenne. Dans ce
domaine, l’institution rivalise avec la SIAD
qui représente un groupe de pression écouté
dans les cercles qui comptent.
Vision et but : la TOBB a été par le passé
proche du parti libéral DYP. Sous l’impulsion
de Rıfat HISARCIKLIOGLU, elle s’efforce de
dépasser les clivages politiques et se consacre
à la conciliation des cercles d’opinion.
Action : Sur le plan national, la TOBB est
impliquée dans les activités de plusieurs
organismes : l’institution est impliquée dans
les travaux de l’Institut turc des normes (TSE)
et du Centre de productivité nationale (MPM).
Sur le plan international, l’institution est
membre d’Euro-chambres. Elle est également
membre de la Chambre de Commerce
internationale, du comité de consultation de
l’OCDE sur le commerce et l’industrie, de la
Chambre islamique de commerce et
d’industrie, de l’Union des chambres
méditerranéennes de commerce et d’industrie,
de l’Union des chambres des Balkans.
S’agissant des relations bilatérales, l’institution
est membre à part entière des Chambres de
commerce et d’industrie turco américaine et
turco allemande.
TISK
Confédération turque des associations
d’employeurs
Fondée en 1962 à travers la fusion de 5
associations patronales, la TISK est une
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