Commission: Commission Environnement, Développement Durable & Santé Question: Le changement climatique Auteur: Turquie Au cours de cette dernière décennie le changement climatique s’est mis en valeur du fait que ses effets sont en pleine apogée. Cela étant causé par le réchauffement climatique du à l’effet de serre qui est à la fois magnifié par l’action humaine, la Turquie est bien consciente qu’il est dans le devoir de toute nation contrôler les actions susceptibles d’aggraver la situation. Les effets de la pollution et du réchauffement climatique ne sont point inconnus. Les glaciers perdent un pourcentage de leur surface tous les ans et le niveau de la mer augmente en conséquence. En effet la désertification des terrains menace d’autant plus la Turquie par la diminution des précipitations. Ceux-ci ne sont que quelques exemples illustrant les conséquences de notre activité et qui visent à mentaliser l’ensemble des nations. Afin de procurer au pays une croissance économique et une amélioration globale de la situation économique de l’État, l’activité industrielle est infaillible et les émissions nocives sont désormais inclues dans cette activité. Cependant, en tant que cosignataire du protocole de Kyoto en 2008, la Turquie soutien qu’il est possible d’appliquer des mesures afin de réguler l’apport de polluants à l’environnement. Un correct traitement des déchets et un contrôle régulier des activités industrielles en priorité sont proposés pour favoriser l’immédiate amélioration de la situation. Notre pays est un exemple de ceci, la Turquie s’est imposé un projet de réduction des émissions qui sera possible d’accomplir grâce à cinq projets reliés qui bénéficient de l’aide internationale. Pour en donner l’idée, la Turquie vise la réduction des émissions de CO2, l’utilisation croissante d’énergies renouvelables telles que l’éolienne ou la solaire et l’augmentation des unités de transport commun, entre autres. La Turquie estime que la coopération internationale est dans ce cas nécessaire. Non seulement dans la résolution d’un changement des habitudes, mais aussi dans le cadre technologique et économique, pour permettre à la totalité des pays ayant l’intention de prendre des mesures de réaliser celles-ci. Ainsi notre pays, ayant soutenu à plusieurs occasions les traités fondamentaux pour prévenir la pollution, cherche à contribuer à la réorientation de nos activités afin de pouvoir réduire nos émissions dans l’athmosphère et l’hydrosphère qui ont longtemps contribué au changement climatique dans la planète.