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Remerciements
Je remercie mon directeur de thèse Michel Agier pour m’avoir permis d’entreprendre ce
travail et pour m’avoir soutenu à des moments importants de mon enquête et de ma recherche.
Je remercie également le programme « FRONTIERES » dirigé par Didier Fassin qui m’a
donné l’opportunité de publier une partie de mes travaux.
Je tiens ici à assurer de mon immense reconnaissance Lise Gaignard, sans qui je n’aurai
sans doute pas commencé et encore moins terminé cette thèse. Ses relectures, ses conseils et son
soutien indéfectible ont été une motivation essentielle pour moi.
Merci également à Claire Jarreau et à Sarah Mazouz pour leurs relectures minutieuses et
intelligentes. Selon la formule consacrée, les imperfections du texte me reviennent mais les
améliorations sont de leur fait.
De nombreuses autres personnes furent à mes côtés tout au long de ce travail et
participèrent à son aboutissement dans des dimensions bien plus larges qu’elles ne le pensent. Je
tiens tout particulièrement à remercier, pour leur soutien, leurs conseils et leur amitié – ainsi que
pour leur sens de l’hospitalité ! – Samira Benahmed, Laure Gallois et Claire Jarreau. Merci
également à Sophie Baujean, Solène Faguet, Flora Derderian et Eugénie Tijou pour leur amitié et
pour nos débats sur le féminisme et le militantisme. Sans tous les nommer, je tiens à remercier
celles et ceux rencontrés au fil des luttes, avec qui j’ai partagé des idées et une amitié. Parmi eux,
un merci tout particulier à Nicolas Dreyer, Belgis Idriss et Gaëlle Le Furaut.
Un grand merci à mes interviewés et aux personnes rencontrées sur mes terrains, pour la
confiance qu’ils m’ont accordé et que j’espère ne pas avoir trahi. Ce travail leur appartient et leur
doit beaucoup. Ma gratitude va notamment à Louis et Danièle Barraud, qui ont toujours été
disponible et n’ont pas hésité à me confier leurs archives. Merci à eux et aux autres, pour montrer
jour après jour que quand il n’y a plus d’espoir, la lutte est encore un espoir.
Un grand merci également à toute ma famille qui a su m’épauler et m’encourager, avec ou
sans mots. Enfin, je remercie mes parents – bien sûr – pour tout et un peu plus, et les assure de
ma profonde affection – et un peu plus.