T3
2010
T4
2010
T1
2011
T2
2011
T3
2011
T4
2011
T1
2012
T2
2012
T3
2012
T4
2012
T1
2013
700
800
900
1 000
1 100
1 300
1 200
1 400
1 291 1 311
ACTUALITÉS
6EN BREF BARDAGE.INFO #03 MAI 2013
INDICATEURS
Les chiffres des permis de construire
repassent dans le vert
Pour la première fois depuis plusieurs mois, les indicateurs des permis de
construire sont en hausse contrairement à ceux des mises en chantier.
Vecteur Plus, SOeS, ECLN
Les chiffres
CONSTRUCTION NEUVE (source MEDDE)
5,6 %
Hausse du nombre de permis
de construire de logements neufs
de janvier à mars 2013 par rapport
à la même période il y a un an.
11,2 %
Baisse du nombre de mises
en chantier de logements neufs
de janvier à mars 2013 par rapport
à la même période il y a un an.
CONSTRUCTION SUR BÂTIMENTS EXISTANTS (source MEDDE)
5,4 %
Hausse du nombre de permis de
construire sur logements existants
de janvier à mars 2013 par rapport
à la même période il y a un an.
11,2 %
Baisse du nombre de mises en
chantier sur logements existants
de janvier à mars 2013 par rapport
à la même période il y a un an.
LOGEMENTS COLLECTIFS (source MEDDE)
5,2 %
Baisse du nombre de permis de
construire de logements collectifs
de janvier à mars 2013 par rapport
à la même période il y a un an.
5,6 %
Baisse du nombre de mises
en chantier de logements collectifs
de janvier à mars 2013 par rapport
à la même période il y a un an.
AMELIORATION-ENTRETIEN
0,6 %
Baisse de la production en volume en
2012 par rapport à 2011. (source FFB)
0,5 %
Augmentation de l’indice des prix
des travaux d’entretien-amélioration
des logements au quatrième
trimestre 2012 par rapport au
trimestre précédent. (source MEDDE)
11
,
1 %
C’est la part des femmes parmi les salariés du
bâtiment en 2010.
(source FFB)
1639
C’est l’indice du coût de la construction au
quatrième trimestre 2012, soit une
augmentation de un point par rapport à la
même période en 2011 (base 100 en 1953).
(source Vecteur Plus)
NOMBRE D’APPELS D’OFFRES COUVERTURE ACIER ET BARDAGE
Nombre de marchés
ACTUALITÉS
8EN BREF BARDAGE.INFO #03 MAI 2013
D
epuis la RT 2012, les mesures de perméabi-
lité à l’air de l’enveloppe des bâtiments se
généralisent. Une nouvelle profession de
« mesureur » s’est ainsi développée, dont l’enca-
drement est géré par Qualibat depuis 2011.
L’organisme a ainsi mis en place la qualifica-
tion 8711, « attribuée aux entreprises qui, pour
le compte d’un tiers, assurent, dans le cadre d’une
activité commerciale, la préparation du bâtiment,
la recherche de fuites et la mise en place d’un sys-
tème de mesures de leur réalisation ». Au sein de
ces entreprises qualifiées, seules les personnes
autorisées nominativement par le ministère de
l’Écologie sont habilitées à faire ces mesures.
Au 31 décembre 2012, Qualibat recensait
572 opérateurs de mesures autorisés, répar-
tis dans 432 entreprises, soit une augmenta-
tion de 79 % par rapport à 2011 et de 200 %
par rapport à 2010. Pourtant, « Qualibat est
légèrement en deçà des objectifs qu’il s’était fixé
il y a un an, escomptant quelques 500 entre-
prises qualifiées avec 600 opérateurs autorisés
à la date d’entrée en vigueur de la RT 2012 »,
déplore l’organisme. En cause principalement :
le fait que « les compétences ne sont pas toujours
présentes chez les demandeurs ». Les chiffres
devraient continuer leur progression d’ici à
la fin 2013 pour atteindre, selon Qualibat,
800 opérateurs. Par conséquent, le nombre
de mesureurs autorisés restera toujours faible
au regard des besoins théoriques découlant de
la nouvelle réglementation thermique (entre
2 000 et 3 000 opérateurs). l
PERMÉABILITÉ À L’AIR
Le nombre d’entreprises qualifiées n’atteint pas les objectifs
de Qualibat
NOMINATION
Dominique Royer, nouveau président du GS2
D
epuis le 1er janvier 2013,
Dominique Royer, direc-
teur technique de Smac,
assure la présidence du Groupe
spécialisé n°2 (GS2)*, chargé de
la délivrance des Avis techniques
pour tous les procédés de façades
et cloisons légères (bardages rap-
portés, translucides, panneaux
sandwichs, verrières, façades
légères…). Il succède ainsi à Michel
Krimm, retraité de la direction tech-
nique de Socotec. Au sein du GS,
le président anime les débats, en
assure l’objectivité et garantit la
libre expression de chacun de ses
membres. Il endosse également la
responsabilité, avec le rapporteur
spécialisé du CSTB, de valider le
texte définitif de l’Avis technique.
LES MEMBRES
Les membres d’un GS sont cooptés
par leurs pairs en fonction de leurs
compétences personnelles dans le
domaine d’activité du groupe. « Le
GS2 en compte environ une cinquan-
taine aux expertises différentes. Ils
assistent aux commissions en fonc-
tion de la thématique abordée »,
explique Dominique Royer. Au
final, une vingtaine de personnes
étudient les dossiers lors de com-
missions mensuelles. Leur appar-
tenance à un groupe industriel, un
syndicat professionnel, un bureau
de contrôle ou une entreprise ne
doit en aucun cas interférer dans
les discussions et le positionne-
ment du GS. Un président ne peut
d’ailleurs exercer d’activité chez un
industriel afin d’éviter tout conflit
d’intérêt. « Les dossiers examinés
doivent bien évidemment rester
confidentiels. Les membres des GS
s’y engagent et signent une clause de
confidentialité », précise le directeur
technique de Smac. l
* Comme tous les autres groupes spécialisés, le GS2
dépend de la Commission chargée de formuler les
Avis techniques (CCFAT), organisme paritaire com-
posé des instances ministérielles et professionnelles
du bâtiment telles que la FFB, la CSFE et le CSTB.
Le directeur technique de l’entreprise d’étanchéité et de bardage
Smac a été nommé président du Groupe spécialisé n°2, en charge
de la délivrance des Avis techniques des procédés de façades et de
cloisons légères.
Procédure de validation
La délivrance d’un Avis technique (ou d’un Document technique d’application –
DTA - lorsque le procédé relève par ailleurs d’une norme européenne) se fait à
l’initiative du fabricant en relation avec le CSTB qui étudie la recevabilité de la de-
mande et effectue tous les tests et essais nécessaires à valider le système.
« Les
évaluations sont spécifiques à chaque procédé,
rappelle Dominique Royer.
Elles
sont définies par la jurisprudence du GS. »
Le dossier technique présenté devant
le Groupe spécialisé comprend la définition du complexe, le domaine d’emploi
et les conditions de mise en œuvre. Il est complété par tous les justificatifs de
performances utiles à l’examen.
« Chaque procédé ne passe normalement
qu’une fois devant la commission du GS2. »
Charge donc au CSTB de s’assurer
que les éventuelles questions posées en commission aient trouvé leurs réponses
et soient intégrées à la rédaction de l’Avis technique avant la validation finale.
Parcours
Dominique Royer est diplômé de l’INSA de Lyon,
section génie civil et urbanisme en 1978. Un an plus
tard, il intègre l’entreprise Smac, qu’il ne quittera plus.
Il débute en tant qu’ingénieur R&D dans le domaine
de l’isolation extérieure des façades. En 1987, il est
nommé responsable de l’activité enveloppe acier puis
directeur technique adjoint pour l’activité enveloppe
du bâtiment (1995). Depuis début 2012, il occupe le poste de directeur technique
de Smac. Il commence à siéger en tant qu’expert au sein du GS2 dans les années
1980 et en prend finalement la présidence en 2013.
ACTUALITÉS
10 EN BREF BARDAGE.INFO #03 MAI 2013
Méthodologie
L’analyse s’est concentrée sur
101 actions de prévention mises en
place (classées selon l’organisme
technique habilité, la motivation et le
risque concerné) par 27 entreprises
couvrant 90 % des métiers du
bâtiment. Le panel de sociétés a été
catégorisé en fonction des effectifs :
moins de 20 salariés, entre 20 et
50 salariés et plus de 50 salariés.
« Un outil méthodologique a
été conçu afin d’identifier et
de caractériser une action de
prévention, et de recueillir les
données permettant d’en évaluer
tous les impacts économiques »,
précisent les auteurs de l’étude.
L’ensemble permet de dresser un
bilan économique pour chaque
entreprise,
« sur la base d’un état
avant/après sur tous les postes
impactés par l’action et les résultats
obtenus en matière de prévention
(risque éliminé ou réduit), de qualité
et de développement durable ».
OPPBTP
Prévenir les risques améliore la performance des entreprises du BTP
© Dekra Industrial
SALON
Batimat : rendez-vous à Villepinte en novembre
Pour sa vingt neuvième édition, le salon international de la
construction partagera le parc des expositions de Paris Nord
Villepinte avec ceux de l’efficacité énergétique des bâtiments
(Interclima + Elec) et de la salle de bain (Idéo Bain).
A
vec plus de 3 000 expo-
sants et 400 000 visi-
teurs attendus du 4 au 8
novembre prochain, cette plate-
forme tricéphale se présente sans
hésiter comme le premier rendez-
vous mondial du bâtiment et de
l’architecture.
« Transversalité des métiers »
pour Joseph Le Jollec, président
d’Interclima, « évolution des
méthodes de construction » d’après
Serge Lecat, celui d’Idéo Bain, ou
« nécessité de prendre en compte
la dimension internationale du
bâtiment », selon Stéphanie
Auxenfans, directrice de la divi-
sion « Construction » de Reed
Expositions : les organisateurs
ont des motifs convergents
d’approuver le transfert de leurs
salons du sud vers le nord de la
capitale, du parc des expositions
de la porte de Versailles vers celui
de Paris Nord Villepinte.
Tout le complexe sera occupé
et l’offre sectorisée par halls
pour la rendre plus accessible à
l’ensemble des visiteurs, en par-
ticulier au gros contingent des
Existe-t-il un lien entre prévention des risques
et performance économique ? Oui, répond
l’OPPBTP qui vient de publier une étude micro-
économique sur cette thématique. « Pour 100 euros
engagés dans une action de prévention, les gains éco-
nomiques réalisés ont été de 219 euros, annonce
l’organisme. Les gains observés se situent sur des axes
essentiels de l’efficacité opérationnelle. » Ces derniers
ont pu être identifiés. Ainsi, à temps passés égaux, le
travail en sécurité s’accompagne d’une plus grande
productivité des intervenants. Il apparaît également
que l’utilisation plus maîtrisée des ressources per-
met une optimisation du poste
« achats ». Plus difficile à chiffrer,
« 80 % des actions étudiées sont
en relation avec des gains liés à la
qualité ». Enfin, 13 % des mesures
de prévention mises en place ont
permis l’augmentation du chiffre
d’affaires et des marges des entre-
prises « en ouvrant la porte à des
activités connexes ».
En termes d’investissement
de départ, 24 des 101 actions
analysées n’ont pas engen-
dré de dépenses supérieures à
5 000 euros, remboursées en un
an et demi en moyenne. Le coût est donc accessible
aux entreprises de toutes tailles. Selon l’étude, les
TPE « sont celles qui bénéficient d’un rendement supé-
rieur à trois ».
Les dispositions prises en faveur de la prévention
s’avèrent donc être une voie à explorer pour le
développement des entreprises. 43 % des sociétés
interrogées ont réaffecté les gains réalisés pour
le recrutement. Pour les autres, l’investissement
ou le maintien des marges et de la compétitivité
face à l’augmentation générale des coûts ont été
privilégiés. l
ACTUALITÉS 11
EN BREFBARDAGE.INFO #03 MAI 2013
Le bardage et l’isolation représentés
Les stands des fabricants de produits de bardage et d’isolation seront installés
dans l’espace gros œuvre. Pour les parements, tous les matériaux auront
leurs représentants (3A Composites, Eternit, Trespa, Fundermax, VMZinc,
Silverwood…). Les professionnels de l’isolation seront également présents
(Knauf Insulation, Recticel, Foamglass…) sans oublier les fabricants de fixations
(Etanco…). Pour consulter la liste des exposants présents sur Batimat (mise à
jour régulière) : www.batimat.com
maîtres d’ouvrage et des maîtres
d’œuvre, des architectes et des
bureaux d’études. Munis d’un
badge unique, tous circuleront à
leur gré entre trois manifestations
qui auront en commun de se pla-
cer sous le signe de l’innovation.
Plus de 2 000 nouveaux produits
y seront présentés. Le concours
éponyme de Batimat s’élargit aux
deux autres salons et des espaces
dédiés ouvriront dans chaque hall.
Idéo Bain profitera du déménage-
ment pour se recentrer sur les pro-
fessionnels de la filière en ciblant
les prescripteurs, les distributeurs
et les installateurs. À proximité
du hall que ce dernier investira,
Interclima + Elec regroupera
650 exposants dans trois autres
halls en mettant l’accent sur la
domotique et plus largement, le
bâtiment intelligent, ou encore,
sur la production d’énergie
photovoltaïque.
LES ARCHITECTES
EN BONNE PLACE
Avec plus de 2 000 stands, dont
46 % sous bannière étrangère, et
quelque 350 000 visiteurs escomp-
tés, dont près du tiers venus de l’ex-
térieur des frontières nationales,
Batimat rappelle qu’il figure parmi
les premiers salons mondiaux de
la construction.
L’offre s’organisera comme d’ha-
bitude autour de trois univers :
matériaux ; fenêtres, fermetures
et façades ; matériels de chantier
et outillage.
Nouveauté : « Batimat in situ » réu-
nira une sélection de cinquante
bâtiments exemplaires de nouvelles
solutions constructives et/ou de
nouveaux matériaux (logements,
bureaux, écoles…). Leurs archi-
tectes expliqueront leur démarche
sur le salon et sur Internet, mais
aussi lors de visites programmées
dans le cadre de « Batimat off ».
C’est une ville – Londres en l’occur-
rence - et non un pays qui sera cette
fois l’invité d’honneur de Batimat.
Les professionnels pourront faire
le point sur la transformation de
l’ancien site des Jeux olympiques
en quartier et sur les grands projets
de construction lancés dans la capi-
tale britannique avec les élus et les
architectes concernés. La manifes-
tation déroule incontestablement
le tapis rouge à leur profession.
Le « lounge » de l’espace « Zoom
touch » (aménagement intérieur)
se chargera lui aussi d’en accueillir
les représentants et de les éclairer
sur les nouvelles matières. l
ACTUALITÉS
12 EN BREF BARDAGE.INFO #03 MAI 2013
ÉTUDE
Bon retour sur investissement pour la rénovation thermique
ORCHIES
Un palais des sports aux couleurs
du club de basket
Le grand chantier de la réno-
vation thermique des loge-
ments, prévu par le Grenelle
de l’environnement depuis 2007
prend du retard, malgré les
annonces des différents gouverne-
ments successifs. En cause notam-
ment : le contexte économique et
les difficultés de financement qui
en découlent. Dans son étude sur
l’évaluation des « impacts de mise
en œuvre d’un plan de rénovation
thermique des logements à l’échelle
nationale sur le même horizon que
celui proposé par le gouvernement,
à savoir quatre ans », le cabinet
de conseil en management SIA
Partners s’attache à démontrer
que, malgré les apparences, « une
stratégie volontariste en la matière
peut s’avérer économiquement ren-
table ». Le tout étant de définir les
priorités. D’après l’étude, celles-ci
L
a plus grande salle omnisport du Pas-de-
Calais se trouve désormais à Orchies. Avec ses
5 000 places, elle est vouée à accueillir des
compétitions nationales et même internationales
avec notamment dès juin 2013, les championnats
d’Europe de basket féminin.
Pour sa conception, les architectes de l’agence
Chabanne et Partenaires ont privilégié la forme
arrondie, « symbole des grands rassemblements. De
plus, le cercle est la forme géométrique qui présente
le périmètre le plus court. Le linéaire de façade est
minimum. Moins de façade, c’est moins de surface en
contact avec l’extérieur », justifie le maître d’œuvre.
Et donc des déperditions thermiques moins impor-
tantes que pour un quadrilatère, une diminution
des matières et des coûts de construction et des
surfaces à entretenir réduites. De plus, « la façade
circulaire répète le même module assurant la rapidité
de construction et le respect des délais », souligne
l’architecte.
Le bardage bicolore (Fundermax) de 2 000 m² fait
sont claires et, finalement, confir-
ment ce que l’on savait déjà : « les
épaves thermiques construites
avant la première RT en 1974 ne
constituent qu’un quart du parc
immobilier mais consomment pour
près de la moitié de l’énergie du
secteur. »
L’analyse va plus loin en chif-
frant le coût de passage d’une
étiquette H (épave thermique)
à A (bâtiment HQE) à environ
550 /m². Pour arriver à ce
résultat, les auteurs ont listé les
différents leviers accessibles à la
rénovation et leur ont attribué un
prix (voir schéma). Ils ont égale-
ment réalisé une modélisation de
quatre logements types, représen-
tatifs du parc résidentiel français.
Ces éléments permettent de
concevoir plusieurs scenarios
référence au sport local. Ainsi, le bleu rappelle les
couleurs du club de basket de la ville. Les pastilles
blanches disséminées rythment l’ensemble et symbo-
lisent le rythme du match qui se déroule à l’intérieur.
Les panneaux ont été disposés en facettes (sans
cintrage) selon l’arrondi du bâtiment. L’isolation
thermique par l’extérieur est assurée par une double
couche de laine de roche (Rockwool). l
plus ou moins favorables de mise
en œuvre d’un plan à l’échelle
nationale en prenant en compte
le type de logements ciblés et
l’évolution annuelle des coûts
de l’énergie. Résultat : concen-
trer les efforts sur les épaves
thermiques permet « d’alléger au
maximum la facture énergétique
(2 millions de logements rénovés sur
quatre ans = -125 TWh / an) et
qui fournissent le meilleur rende-
ment (TRI de huit ans) ». La plu-
part des leviers d’amélioration
peuvent en effet y être actionnés
et en priorité les plus efficaces.
Si les fortes dépenses débour-
sées les quatre premières années
(environ huit milliards d’euros
par an) sont importantes, quatre
milliards d’euros seraient ensuite
économisés sur la facture annuel-
lement. l
La forme arrondie du palais
des sports est symbole de
rassemblement.
© Rockwool
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