— 4 —
B.– DES CAS PATENTS DE SPÉCULATION MALVEILLANTE OU ABUSIVE................................ 44
1.– Un exemple emblématique : Georges Soros, « l’homme qui fit sauter la Banque
d’Angleterre » ........................................................................................................ 44
2.– Certaines enquêtes actuellement menées par l’Autorité des marchés financiers
(AMF) illustrent la diversité des procédés utilisés par les spéculateurs ...................... 46
C.– LES « BULLES SPÉCULATIVES », PHÉNOMÈNES PATHOLOGIQUES ET DESTRUCTEURS .. 52
1.– Les bulles spéculatives, phénomènes inhérents à la vie des marchés ...................... 52
2.– Une bulle aux effets dévastateurs : l’emballement du marché immobilier aux
États-Unis, cause première de la « crise des subprimes » ........................................ 59
D.– SPÉCULATION ET VOLATILITÉ DES MARCHÉS : DES MOUVEMENTS PERTURBANTS
POUR LES PRODUCTEURS, LES INDUSTRIELS ET LES CONSOMMATEURS ...................... 60
1.– Le marché du pétrole ............................................................................................ 62
2.– Les matières premières agricoles : dissensions sur le rôle de la spéculation ............. 63
E.– UNE LOGIQUE DES MARCHÉS QUI N’ABOUTIT PAS NÉCESSAIREMENT À UNE
AUTORÉGULATION....................................................................................................... 66
1.– La remise en cause des théories des « marchés efficients » ................................... 67
2.– La prévalence croissante de comportements mimétiques ........................................ 67
3.– Le caractère autoréalisateur des anticipations et les phénomènes de spirale ............ 70
DEUXIÈME PARTIE – UNE SENSIBILITÉ ACCRUE DES ÉCONOMIES AUX EFFETS
NÉFASTES DES PHÉNOMÈNES SPÉCULATIFS................................................................. 73
I.– LA FINANCIARISATION DE L’ÉCONOMIE MONDIALE : UN PROCESSUS QUI S’ACCÉLÈRE....... 73
A.– UNE DÉCONNEXION CROISSANTE ENTRE L’ÉCONOMIE FINANCIÈRE ET L’ÉCONOMIE
RÉELLE ...................................................................................................................... 73
1.– Les indicateurs définis par le Centre national de l’information statistique................... 73
a) Un ratio entre le PIB et le volume de transactions financières exorbitant ........................ 73
b) Un coefficient de capitalisation des bénéfices trop élevé, signe d’une croyance dans une
croissance infinie ................................................................................................ 74
c) Un rapport entre les contrats sur instruments dérivés et le PIB en augmentation
tendancielle........................................................................................................ 74
d) Dans ces conditions, se dessine une économie plus financiarisée ................................... 74
2.– Le marché des changes traduit également cette déconnexion.................................. 75
3.– Le cas éclairant du marché pétrolier : l’explosion de la sphère financière .................. 75
B.– UNE SURABONDANCE DE LIQUIDITÉS EN QUÊTE D’OPPORTUNITÉS .............................. 77
1.– La surabondance de liquidités alimente les bulles spéculatives................................ 77
2.– Mais l’injection de liquidités est considérée comme la seule réponse possible à
court terme, même si son efficacité est douteuse. .................................................... 79