DE L`ÉTUDIANT EN phARmACIE

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GUIDE CARRIÈRE
Pour pratiquer
la pharmacie
en France>
Un guide
pour les futurs
propriétaires>
DE L’ÉTUDIANT
en pharmacie
Stages STOP au
Pharm. D. de l’UdM : Une occasion de
repousser les
limites de
la pharmacie>
2011
Nouveau Pharm. D.
à l’Université Laval
Perspective d’un
étudiant de
la première
cohorte>
PRÉSENTÉ PAR
Guide étudiant 2011 < 2 >
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BANNIÈRE
Pour pratiquer
la pharmacie
en France
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type d’officine et de commerce qui correspondent réellement
à vos aspirations, et de vous réaliser professionnellement dans
un milieu de travail qui répond à vos attentes.
et en ce qui a trait à l’apprentissage par cœur !) et, dans
les meilleurs cas, l’année concours habituelle suivie directement du stage de sixième année. Alors un stage de six
mois, c’est juste ce qu’il faut pour s’adapter à leur pratique
qui est extrêmement différente.
La première étape consiste à fournir au ministère de la
Santé et des Sports français les documents exigés par le décret et l’arrêté dudit ministère parus le 26 septembre 2010
(www.journal-officiel.gouv.fr/frameset.html). Le dossier doit être constitué du diplôme universitaire, du permis
d’exercice, d’une pièce d’identité et de l’annexe I de l’arrêté
qui est le formulaire de demande d’autorisation ministérielle
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la possibilité de bénéficier d’avantages et
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N’est il pas extraordinaire de se rendre compte que maintenant, en tant que pharmaciens québécois, il est possible
de pratiquer de l’autre côté de l’océan chez nos cousins
les Français ! C’est chez ces derniers que j’ai récemment
débuté mon stage pour obtenir cette fameuse équivalence
de diplôme, non sans avoir accompli quelques démarches
et avoir rencontré certaines difficultés ! Par contre, rassurezvous, la voie est désormais ouverte et les Français sont bien
prêts à accueillir leurs chers Canadiens à bras ouverts.
Pour pouvoir pratiquer en France, on nous demande de
compléter un stage de six mois à temps plein en officine
ou en milieu hospitalier. Il faut dire que l’entente QuébecFrance a grandement facilité les démarches, car avant qu’elle soit instaurée, il nous fallait refaire, dans les pires cas, les
six années d’études incluant l’année concours (qui rappelle
drôlement le cégep mais puissance dix côté concurrence
PhotoS : Gracieuseté de Marie-Claude Lefebvre
Par Marie-Claude Lefebvre, pharmacienne
Vous êtes étudiant(e) au doctorat en pharmacie (pharm. D.)?
En travaillant dans l’une de nos pharmacies pendant vos études,
vous pouvez participer au programme Élite. Unique à Uniprix, ce
programme vous permet de concevoir et réaliser un projet
novateur pour la pharmacie, et d’ainsi vous démarquer
professionnellement.
Guide étudiant 2011 < 3 >
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de formation continue pour Québec Pharmacie ?
En voici l’occasion, puisque la chronique
Les Pages bleues recherche activement des auteurs.
Les étudiants intéressés peuvent contacter Odette Grégoire
([email protected]).
d’exercice. Il faut également fournir une lettre de l’OPQ datant de moins de
trois mois incluant une attestation de notre inscription au tableau de l’Ordre
et une déclaration sur l’honneur confirmant l’absence de sanctions disciplinaires ou pénales à notre encontre. Ensuite, le Ministère se laisse un mois
pour étudier le dossier avant de nous donner le droit de débuter le stage.
Pendant ce temps, il faut trouver un lieu de stage dans la ville de notre
choix. Seules les pharmacies agréées maîtres de stage peuvent recevoir
un stagiaire. On peut obtenir la liste de ces pharmacies en contactant le
Conseil régional de l’Ordre des pharmaciens français de la région visée. En
France, une pharmacie ne peut recevoir qu’un stagiaire à la fois et il peut
parfois être difficile de trouver un lieu de stage car les Français ne sont pas
du tout affectés par la pénurie des pharmaciens. Lors de la rencontre avec
le potentiel maître de stage, il faut avoir l’air motivé et savoir tirer avantage
de notre charmant accent !
Ensuite, il faut compléter son inscription au DU (diplôme universitaire) de
préparation à l’exercice officinal de l’Université Paris Sud II, seule université
offrant cette formation spécialement adaptée à notre
cursus. Il est obligatoire de procéder à cette inscription
à Paris, peu importe la ville dans laquelle vous désirez
compléter votre stage. Il faut s’adresser au service de
scolarité de la Faculté de pharmacie pour compléter
l’inscription. Encore une fois, il faut fournir plusieurs
documents, dont une convention de stage signée du
maître de stage et son certificat de naissance. L’inscription universitaire coûte environ 540 € (~750 $). Toutefois, malgré cette inscription à l’université, aucun cours
n’est prévu, tout se passe dans le lieu de stage.
Enfin, il faut effectuer les démarches auprès du
Consulat de France à Montréal pour obtenir un visa
étudiant.
À la fin du stage, aucun examen n’est prévu, mais
le maître de stage remplit une évaluation du stage et
la rend au ministère, seul habilité à délivrer le permis
de pratique. Le stage peut être reconduit une fois si
nécessaire. Il est obligatoirement rémunéré, mais cette
rémunération reste symbolique, et le coût de la vie en
France est assez élevé.
Il faut compter deux à trois mois avant de pouvoir
débuter le stage, mais les démarches sont, somme
toute, assez faciles. Une fois sur place, l’accueil chaleureux des Français et l’enrichissement professionnel
font que l’expérience vaut vraiment la peine d’être
vécue. Alors hop, on prépare ses valises ! n
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2011
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de Québec Pharmacie
et de L’actualité
pharmaceutique sur...
Guide étudiant 2011 < 4 >
SOYEZ UN
Un guide pour
les futurs propriétaires
Par Christian Leduc
Comment s’y prend-on pour devenir un
pharmacien propriétaire ? Quels sont les
écueils à éviter ? C’est à ce type de questions que répondra un guide que veut
publier en 2012 l’Association québécoise
des pharmaciens propriétaires (AQPP).
De plus en plus de jeunes pharmaciens
deviennent propriétaires d’une pharmacie communautaire, parfois même peu
de temps après la fin de leurs études.
Or, la gestion d’une pharmacie est
loin d’être facile. À moins de vouloir
devenir un pharmacien propriétaire
indépendant, la plupart des pharmaciens préfèrent aujourd’hui s’associer à
une chaîne ou une bannière.
C’est pour soutenir les jeunes pharmaciens dans cette démarche
que l’AQPP compte publier
l’an prochain un guide sur le
sujet.
« Nous comptons former
un groupe de discussion au
cours des prochains mois
afin de voir ce qui devrait se
retrouver dans un tel guide,
explique le directeur des
affaires publiques de l’AQPP,
Vincent Forcier. Ce groupe
sera formé de jeunes pharmaciens qui ont eu à se débrouiller
lorsqu’ils sont devenus propriétaires d’une pharmacie. »
Hum...
Devenir propriétaire ?
Par où commencer ?
Le guide pourrait notamment conseiller aux pharmaciens désirant devenir propriétaires de faire affaire avec un
comptable et un avocat, car la plupart d’entre eux n’ont
pas une formation complète de gestion d’entreprise.
« L’AQPP n’a pas comme mandat de prendre position sur les contrats entre les
bannières et les pharmaciens, mais nous
pouvons conseiller à nos membres de
prendre les services d’un avocat pour
s’assurer que leurs droits sont respectés », illustre Vincent Forcier.
Le directeur des affaires publiques
de l’AQPP ne sait cependant pas encore quelle forme prendra ce guide.
« Nous allons commencer à élaborer
ce qui se trouvera dans le guide
avant de déterminer le meilleur
moyen de transmettre
l’information. n
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Guide étudiant 2011 < 5 >
Stages STOP au Pharm. D. de l’UdM
Une opportunité de repousser
les limites de la pharmacie
Audrey Boisvert, étudiante de 4e année au Pharm. D.
de l’Université de Montréal
Le stage à thématique optionnelle en pharmacie (STOP) est
souvent le plus attendu de la part des étudiants. Plusieurs
facteurs expliquent l’engouement étudiant envers ce stage
unique en son genre.
Le stage STOP se déroule au cours de la quatrième année du Pharm. D. Le but ultime de cette expérience est de
faire en sorte que chaque étudiant assume pleinement son
rôle dans le système de santé en s’engageant au développement et à la reconnaissance sociale de sa profession (cf.
plan de cours PHA4550v2011-2012, Faculté de pharmacie).
Le stage a une durée de 160 heures réparties sur quatre
semaines. Autre singularité, le superviseur n’a pas à être un
clinicien associé. Rappelons que le clinicien associé est un
pharmacien qui a reçu une formation offerte par la Faculté
de pharmacie de l’Université de Montréal. Autrement dit, le
maître de stage peut être pharmacien, médecin, infirmière,
journaliste, etc. Si le superviseur n’est pas un pharmacien,
l’étudiant ne doit pas réaliser d’activités réservées au
pharmacien, tel que décrit par l’article 17 de la Loi de la
pharmacie (cf. www.opq.org).
Afin d’atteindre cet objectif général, le futur pharmacien
doit créer lui-même son projet. C’est ce critère qui fait du
stage STOP une expérience unique convoitée par les étudiants. L’étudiant se fixe trois objectifs en accord avec son
superviseur, qui doivent ensuite être approuvés par les professeurs responsables du stage. Les possibilités sont infinies,
tant en ce qui a trait au milieu où le stage se déroule que
par ce que l’étudiant crée durant celui-ci. Le stage peut
se dérouler dans des milieux plus traditionnels, tel qu’une
pharmacie de quartier ou à l’hôpital, mais les plus audacieux pourraient choisir le domaine de l’industrie pharma-
ceutique, l’Ordre des pharmaciens du Québec, le ministère
de la Santé, l’Institut national d’excellence en santé et en
services sociaux (INESSS), un groupe de médecins de fa-
mille, pour ne nommer que ces milieux. Les stages humanitaires avec Pharmaciens sans frontières et l’Alliance de santé
communautaire Canada-Afrique sont inclus dans les choix
de stage STOP. Pour l’année 2011-2012, 17 étudiants vivront
leur stage STOP avec ces organismes à vision humanitaire.
Quant à ce qui sera réalisé dans le milieu choisi, les possibiLire la suite >
e
Voici trois étudiants de 4 année du Pharm. D. de l’Université de Montréal qui ont bien voulu partager l’expérience
qu’ils espèrent vivre durant leur stage STOP.
Viviane Lavigne fera sont stage
STOP au printemps 2012 à la
pharmacie Morin, à Montréal. Le
but de son stage est de consolider le suivi du traitement de
l’hypertension chez une clientèle majoritairement âgée. Pour
ce faire, Viviane prévoit créer un
protocole qui pourra être utilisé
par toute l’équipe de pharmaciens et qui permettra un
suivi similaire pour tous les patients. Viviane désire aussi
promouvoir le travail interdisciplinaire entre l’infirmière
de la pharmacie, le pharmacien et le médecin. Selon elle,
le pharmacien peut jouer un rôle important auprès du
patient. La mise en place d’un suivi systématique sera
bénéfique pour l’état de santé du patient. D’autant plus
que le traitement adéquat de l’hypertension a des répercussions positives sur la santé à long
terme. Enfin, Viviane espère développer davantage son autonomie dans la
mise en place de nouveaux projets en
pharmacie.
Marc-Alexandre Duceppe veut
améliorer la qualité des stages
qui se déroulent durant tout
le programme de Pharm. D. en
travaillant en collaboration avec
l’équipe des stages de la Faculté
de pharmacie. Il créera d’abord
un questionnaire sur les stages
pour chaque année d’études au
Pharm. D., puis il compilera les données obtenues. Les
étudiants seront questionnés sur leurs attentes envers
les milieux de stage, les cliniciens associés et les tâches
à compléter. Ce sera également l’occasion pour eux
de mentionner leurs craintes face aux stages. Au final,
Marc-Alexandre prévoit faire des recommandations visant à améliorer le déroulement des stages. C’est une
tâche colossale qui l’attend aux cours des semaines à
venir. Au bout du compte, c’est toute
la communauté étudiante qui bénéficiera de son projet.
Pour son stage STOP, Suhail Sami
Jouni a choisi de démystifier le monde de la dépression. C’est dans une
pharmacie de quartier près de l’Hôpital Louis-H. Lafontaine qu’il créera
un outil de suivi du traitement de
la dépression. Cet outil pourra être
utilisé par le pharmacien et permettra de choisir le traitement optimal
pour le patient. Grâce à cette aide, Suhail s’attend à ce que
le pharmacien soit plus en confiance pour accompagner le
patient dans sa thérapie et intervenir auprès du médecin
en cas de besoin. De plus, il désire rencontrer individuellement des patients ou leurs proches afin de répondre à
leurs questions face à la dépression. Selon lui, les patients
abandonnent trop souvent leur traitement puisque celui-ci
les inquiète et que les tabous concernant la dépression sont
multiples. Suhail désire clarifier ces tabous avec les patients
afin de soulager leurs craintes et d’optimiser leur observance au traitement.
Il croit que le pharmacien est un intervenant important dans le traitement de
la dépression et il prévoit faire valoir ce
fait au cours de son stage.
Guide étudiant 2011 < 6 >
lités sont encore une fois innombrables. Bien sûr, le moyen
de promouvoir la profession de pharmacien est en étroite
relation avec le milieu sélectionné par l’étudiant.
L’étudiant et le maître de stage établissent d’un commun
accord les critères qui seront évalués à partir de la grille
trouée remise par la Faculté. Les compétences spécifiques
et transversales sujettes à l’évaluation sont celles qui sont
prônées par le programme de Pharm. D. Cependant, les
critères d’évaluation seront choisis en fonction des objectifs
de stage que le duo s’est fixés.
Enfin, au cours des quatre semaines, l’étudiant doit réaliser
une activité de type service à la communauté. La plupart
du temps, l’étudiant fera une présentation à un groupe
concerné par la réalisation faite en cours du stage. Par
exemple, un stagiaire peut présenter au Conseil des médecins, dentistes et pharmaciens (CMDP) une nouvelle molécule que le comité pharmacologique désire voir ajoutée à
la liste des médicaments de l’établissement de santé.
Bref, le stage STOP permet aux étudiants de quatrième année de découvrir ou d’approfondir un volet de la pratique
pharmaceutique qu’ils affectionnent particulièrement. n
Voici quelques
exemples
de stages STOP
> Participer à une clinique de diabète ou d’asthme
dans un CLSC
> Participer à la rédaction d’articles scientifiques
pour Québec Pharmacie
> Participer à la réalisation d’une recherche clinique
en établissement de santé
Éditrice : Caroline Bélisle
[email protected]
Rédactrice en chef : Caroline Baril
[email protected]
Rédactrice en chef adjointe : Mélanie Alain
[email protected]
Journaliste : Christian Leduc
[email protected]
Directeur artistique : Dino Peressini
[email protected]
Nouveau Pharm. D. à l’Université Laval
Perspective d’un étudiant
de la première cohorte
Par Jean-Christophe Raymond, 1re année du Pharm. D.
L’année 2011 marque le début d’une ère nouvelle pour la
Faculté de pharmacie de l’Université Laval, avec le déploiement de son nouveau programme de doctorat de premier
cycle en pharmacie (Pharm. D.). Le programme de baccalauréat, comptant 128 crédits et élaboré à partir de contenus
à savoir, est donc supplanté par un programme élaboré à
partir de cinq compétences professionnelles et comptant
164 crédits. Les seize semaines de stage en fin de baccalauréat sont remplacées par 41 semaines d’apprentissage en
milieu professionnel, débutant dès la première année de
formation. Ainsi, les stages de l’Ordre des pharmaciens sont
intégrés au programme afin de permettre aux diplômés
d’exercer dès que le programme est complété en avril.
La refonte des méthodes d’enseignement est substantielle, incorporant une multitude de nouvelles approches
pédagogiques telles que la séparation de la cohorte en six
communautés d’apprentissage, des activités de formation
en auto-apprentissage et l’intégration des apprentissages
pratiques avec les laboratoires de simulation dans un continuum d’apprentissage. L’implantation efficace de tels changements représente un défi d’organisation et d’adaptation
stimulant pour la direction, les professeurs et notre première
cohorte d’étudiants. Nous avons apprécié la communication rapide et le dévouement de la direction lorsque certains ajustements bien anticipés se sont avérés nécessaires.
Un cours de première session est destiné à présenter aux
nouveaux admis le lourd jargon associé à cette nouvelle
Collaborateurs : Audrey Boisvert,
Maie-Claude Lefebvre, B. Pharm.,
Jean-Christophe Raymond
Photos : iStock Photography
Coordonnatrice de la production : Maria Tomasino
514 843-2147
Superviseur au MSG : Sylvie Graveson
514 843-2565
PUBLICITÉ
Montréal
Josée Plante, directrice des comptes
514 843-2953
Pauline Shanks, directrice des comptes
514 843-2558
Nancy Dumont, petites annonces
514 843-2132
structure pédagogique complexe afin de faciliter l’appropriation des repères essentiels du programme. Bien que
les facultés de pharmacie québécoises aient maintenant
mis en place leur programme de doctorat, elles ont opté
de manière indépendante pour des approches pédagogiques bien différentes. Depuis 2007, l’Université de Montréal
favorise un modèle d’apprentissage axé sur une approche
contenu fondée sur l’étude des systèmes physiologiques.
Toronto
Teresa Tsuji, directrice des comptes
416 764-3905
Norman Cook, directeur des comptes
416 764-3918
Sarah Mills, directrice des comptes
416 764-4150
Stephen Kranabetter, directeur des comptes
416 764-3882
L’Université Laval a, quant à elle, opté pour un contenu axé
sur l’étude des classes de médicaments par classification
anatomique, thérapeutique et chimique (ATC).
Les nouvelles activités de formation se déroulent exclusivement dans le Complexe intégré de formation en
sciences de la santé, soit le Centre Apprentiss, situé dans
le pavillon Ferdinand-Vandry, nous permettant de côtoyer
quotidiennement nos futurs collègues professionnels de la
santé, avec lesquels nous devons compléter trois cours de
collaboration interprofessionnelle obligatoires. D’ailleurs, le
bâtiment a été entièrement rénové l’an dernier et respire
la fonctionnalité et la haute technologie.
Compte tenu du contingentement, l’admission au programme nécessite un excellent dossier académique. Ainsi,
près de 1800 demandes d’admission ont été déposées et
analysées afin de combler les quelque 190 places disponibles cette année. Après une première sélection basée
sur les résultats académiques, les candidats ont dû se
soumettre à un test psychométrique dont l’objectif est de
cibler les qualités recherchées afin de pouvoir exercer de
façon exemplaire la profession de pharmacien. De plus, les
candidats universitaires ont dû remplir un questionnaire
autobiographique.
À la suite de l’accomplissement de l’adaptation de
toutes les parties impliquées à un programme en phase
expérimentale, il ne fait aucun doute que des docteurs en
pharmacie possédant une formation de haut niveau adaptée au contexte moderne de la pratique obtiendront leur
diplôme à Québec en 2015. n
Président des Éditions Rogers Media
Ken White
Vice-président, Finances
Patrick Renard
Éditrice exécutive, Groupe Santé
Janet Smith
Le Guide carrière de l’étudiant en pharmacie 2011
est publié par Rogers Media,
1200, avenue McGill College, bureau 800,
Montréal (QC) H3B 4G7
Tél. : 514 843-2105 Télécopieur : 514 843-2184
Cette publication ne peut être reproduite, en tout
ou en partie, sans le consentement écrit de l’éditeur.
Tous droits réservés.© 2011
Supplément annuel de L’actualité pharmaceutique/
automne 2011
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